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Le copain privilégié 2/3

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Lue : 3702 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/03/2016

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On surmonte la tristesse du retour à la vie de con, du boulot, puis le WE arrive, défilé des copains pour discuter de nos vacances, lui, il ne vient pas, mais le mardi, je crois, il arrive après le boulot, je lui fais remarquer que ça fait longtemps qu'il n'est pas venue, disant ne pas vouloir être sans arrêt dans nos pattes, je lui dis, ben justement, tu as oublié un peu vite ta corvée huile.

Je n'osais pas qu'il dit, je lui réponds qu'il est con, il dit ça, c'est sur, tu as entièrement raison, j'ai été me doucher, lui aussi, car il sortait du boulot, il m'a huilé en disant, "ha, je revis là", je réponds que moi aussi, je n'aime pas me le faire moi-même et il y a aussi le côté massage, demande dit il, timidement, je dis, toutes les semaines, ça va, il dit sans soucis, il venait toutes les semaines, des fois deux fois à ma demande.

L'automne et l'hiver passent et aux beaux jours, il vient pour l'huile, je suis en retard, il m'attend, j'arrive et m'excuse, répondant qu'il a tout son temps, je parle et me dirige à la salle de bains, il s'arrête dans la salle, je lui dis de venir, pour continuer a discuter de ce que je lui disais, je me déshabille devant lui, il dit, j'ai droit à un Streap, je lui dis qu'on est plus en vacances, mais bon, on ne va pas faire de chichi, ici ou là-bas, c'est pareil.

Je rentre dans la cabine douche, je me savonne en lui parlant, il me coupe en disant, "tu veux que je te savonnes", je lui dis, "je te vois venir", il dit, "je me devais essayer", le prenant au mot, je dis, "aller, viens, mais va fermer la porte à clef (je n'avais pas envie qu'un copain arrive et rentre sans qu'on l'entende), il y va, se déshabille en gardant son slip, il rentre avec moi et me savonne partout (sauf le sexe, que je fais moi-même).

En principe en trois minutes, je suis douchée, là le savonnage a duré au moins dix minutes, il me rince ensuite, me mettant la pression sur le sexe, il m'essuie, je lui dis, j'ai l'impression d'être une princesse, oui et je suis ton esclave dit-il, en m'essuyant, il me passe la serviette sous les fesses et me soulève en bougeant la serviette, je pousse un petit cri, car ça me presse le sexe, il le sait, j'ai l'impression qu'il se venge en me mettant sur la corde raide, (sans jeu de mots).

Mais il n'insiste pas, restant sous le couvert du chahut, il finit de m'essuyer et m'enfile ma sortie-de-bain, on va dans une petite pièce exprès (comme j'ai encore maintenant, j'avais une pièce aménagée en cabine d'esthéticienne), il m'huile comme à chaque fois, j'ai mis une musique relaxante, comme j'en avais déjà l'idée, j'ai mis un petit masque sur les yeux, comme pour dormir le jour, pour ne pas être ébloui par les néons et aussi pour le laisser mater.

Et également pour ne pas que mes yeux trahissent ce que je ressentais, je lui ai dit, "aller esclave, à toi d'œuvrer", oui maitresse dit-il, et là, je me laisse aller complètement, j'ai une confiance totale en lui, il me fait les jambes, il est assis sur un tabouret sur le devant, j'ai donc les jambes écartées, je lui dis, je suis sûr que tu te rinces l'œil, il répond, oui, j'avoue, mais même là, c'est beau, j'espérais voir un endroit moche, mais hélas, c'est beau partout.

Je lui réponds, "étale, masse, je ne veux rien savoir", comme aux vacances, il jouait à la limite de mes sens, je ne l'ai jamais surpris à se masturber, il le faisait surement, mais j'ai jamais su et ne lui ai jamais demandé.

Afin de ne pas que cela paraisse louche, nous ne sommes pas partis le mois entier en vacances avec lui, nous avons été chez quelques copains, depuis le temps qu'ils nous disaient de venir, nous avons quand même été dans notre maison de campagne où il nous a rejoint.

Les massages tripotages, on reprit, à la maison, il avait fini par être comme chez lui, il entrait dans la salle de bains lorsque j'y étais, il me touchait les seins en faisant "pouet pouet", quand il en avait envie, mais beaucoup moins quand mon mari était là, même s'il savait qu'il savait ce qu'on faisait.

Une fois, il m'avait emmené des ennuis avec une assurance, assise sur un chaise, il était derrière et me tripotait les seins, ne te gêne pas que je lui disais, c'est ce que je fais répondait-il, il me lavait des fois, c'était suivant le contexte, il assistait à mes habillages, déshabillage, les fois où j'étais vraiment très sale, retour de cheval, quad ou jardin, je me prélavais avant qu'il ne vienne et il me savonnait ensuite.

Quand le soir, il restait à la télé, il me caressait les jambes et les cuisses, mon mari disait, vas-y chauffe moi là pour tout à l'heure, il arrivait aussi des fois en semaine, quand mon mari était en déplacement, à ma demande, il dormait à la maison, le matin une demi-heure avant son réveil, il me rejoignait dans le lit, il ne m'a jamais demandé de dormir la nuit et je n'aurais pas voulu, je ne pouvais pas lui demander, ce que moi-même n'aurais pas pu faire.

Il me rejoignait dans le lit, il me caressait jusqu'à la limite du plaisir, puis il partait s'habiller et surement se soulager, il me disait, "a toi de finir", je faisais, celle outrée, mais dés que j'entendais la porte se fermer, je sortais un jouet et me finissait comme il disait, disait-il cela en connaissance de cause ou pour plaisanter, je ne sais pas.

Je ne voulais pas raconter ce qui va suivre, mais comme dit mon mari, quand il y a des spectateurs, on veut se surpasser, cela s'appelle l'euphorie du spectacle, ici, d'écrire, peut être cela est-il ressemblant.

Cela faisait déjà plus de deux ans, qu'il me lavait, massait, m'excitait, qu'hypocritement, nous ne parlions jamais du plaisir que j'en tirais, en nettoyant une machine, il passe ses huit doigts entre des rouleaux lisses, (ceux qui connaissent comprendront), les os n'ont rien, mais ses doigts ont morflés, il est resté deux semaines sans pouvoir les bouger comme il voulait, s'ennuyant à l'hôpital, il est sorti rapidement en ayant des soins à domicile.

Cela a été possible sous conditions qu'il soit à la maison, et non seul chez lui, il y avait une infirmière qui passait pour les soins et une autre personne pour sa toilette, si les premiers jours, la douleur lui avait couper la libido, la nature a repris le dessus, il ne pouvait pas me masser, mais comme je déambulais dans le plus simple appareil devant lui, son onzième doigt avait reprit du service, et les pouces seuls intacts pour se soulager, c'était impossible.

Mon mari, me dit que si je le voulais, je pouvais le soulager, mais uniquement quand il n'était pas là et sans lui dire qu'il le savait, je lui dis qu'il est malade de me demander cela, contrairement à son habitude, de foncer direct, là, il n'insiste pas, il laisse l'idée faire son chemin dans ma tête, comme on avait pris les soins pour la toilette que pour la semaine, je n'ai pas renouvelé, de plus, ce ne serait pas la première fois que je rends ce genre de service.

Bien évidemment, je ne lui ai pas dit, et le dimanche, je fais comprendre à mon mari qu'il faut qu'il me laisse, une fois parti, je dis, "bon, l'aide pour la toilette ne passera plus maintenant, c'est moi qui ai pris sa place, il cherche la blague, je le pousse à la salle de bains, je le déshabille, cela va vite, car il n'est qu'en pyjama, je lui mets deux sacs plastiques sur les mains pour ne pas mouiller les pansements, je me mets nue aussi.

Son sexe est au garde-à-vous, je lui dis qu'apparemment le moral va mieux, je nous mouille, je nous savonne, une fois que je me suis bien savonné entièrement, et lui aussi, je me mets derrière lui, je savonne son anus, il va pour dire quelque chose, mais je le somme de se taire, je passe dessous, je lui attrape les bourses, il fait un "ho" de surprise, de ma main droite, je fais le tour, et je lui attrape le sexe.

Il dit, "j'ai compris, ce que j'ai, c'est grave, et là, tu me donnes le dernier sacrement", je lui dis, "tait-toi, sinon je dis à l'aide a domicile de revenir et c'est elle qui va te faire cela", il fait, "nooooonnnn", je lui dis, "alors profite en silence, comme j'abuse avec mes massages, je me devais de te rendre la pareille, mais tu ne diras rien à personne, ça reste entre tous les deux, mais je te préviens, dés que tes mains iront mieux, moi, j'arrête.

Je vais me les faire couper dit-il, je réponds, "et mes massages", ha oui répond-il, je ne pourrais pas m'en passer, comme je suis plus petite que lui, j'ai ma tête sous son bras, je suis un petit peu baissé pour lui malaxer les couilles et le branler de l'autre main.

Je pourrais le branler à toute vitesse pour finir au plus vite, mais je mentirais si je ne trouvais pas cela excitant et que j'y prenais du plaisir, et cela, ce n'est pas lui qui allait me le reprocher, mais même en y allant doucement, ses couilles étaient pleines depuis quinze jours d'abstinence, il commence à donner du bassin, voyant cela, je m'active, et il crie mon prénom de plaisir en éjaculant.

Il s'en excuse une fois revenu à la réalité, je lui dis que ce n'est pas grave, je lui demande, si quand il se branle tout seul, s'il ne criait pas pareil, il me dit non, mais fini quand même par me dire que si, quand je lui dis que cela ne me gêne en rien, et que cela peut être flatteur.

Je lui rappelle aussi qu'il me doit son silence sur ce qu'on vient de faire, il me le confirme, je nous rince et nous retournons au salon, il a voulu parler de ce qu'il c'est passé, mais je lui ai dit que je ne voulais qu'on fasse comme s'il n'y avait rien eu.

Le lendemain, il a eu droit au même traitement, le mardi, je lui dis que ça me casse le dos dans la douche, je lui rince le sexe au lavabo, et on va dans ma petite pièce, là ou il me masse, je suis plus à hauteur, je l'ai masturbée en étant assise sur le côté.

J'ai varié les positions plusieurs fois, sois assise à coté ou alors en montant et l'enjambant sur la table de massage, puis arrive le jour ou sans être habile, ses doigts se remettent à saisir faiblement, je lui fais sa purge, le lendemain, mon mari doit partir trois jours sur un chantier.

Le premier soir, comme tous les soirs, il y a un couple d'amis qui sachant que je suis seule, passe nous voir, je leur dis de rester dîner, le copain en joue de ses doigts non-opérationnel, pour justifier qu'il est bon à rien dit-il, une fois qu'ils sont partis, je le masturbe comme les autres fois, mais dans le lit.

Le premier soir, cela a été, mon mari m'avait donné une dose de sexe, mais le lendemain, sans être vraiment en manque, le masturber m'excitait bien plus, j'ai pu me contrôler encore, il restait environ une heure à me tenir compagnie, on discutait de tout, de leur enfance avec mon mari, leurs 400 coups, les galères, les bagarres.

Et également, les filles, toutes les astuces pour aller les mater là ou ils pouvaient, mon mari ne me disait pas toutes ses frasques, j'en ai appris par d'autres copains lorsqu'ils étaient un peu chauds au moment des apéros ou repas, mais je ne savais pas tout.

Le copain n'a plus ses bandages, et pendant qu'on discute, il a une main sur mon bras qu'il caresse de sa paume, et le revers de l'autre main touche mes seins, agaçant les tétons, la situation est la suivante, je le laisse faire, car pendant ce temps, j'ai des infos sur mon mari que je recoupe avec d'autre que j'ai entendu, et lui, il se dit que tant que je suis intéressée, je le laisse faire.

En même temps que je lui pose des questions, je bouge mes mains qui sont sur mes cuisses, et il arrive que je lui touche le sexe qui est redevenu vaillant, il arrête de parler en disant, qu'il ne peut pas dire tout, je le force à continuer et devant son silence, je lui attrape le sexe en lui disant, "tu parles, je continue , tu te tais, j'arrête".

Il me dit, mais c'est du chantage, je dis oui, il me dit, que dés qu'il aura parlé, que je vais arrêter, je lui dis non, que j'irais jusqu'au bout du deuxième service, il ironise sur ma méthode en prenant un accent teuton, et dit en référence à un film, (nous afons les moyens de fou faire parler", sans vraiment m'apprendre de nouvelles choses, il m'en confirme pas mal, le deuxième service est plus long bien évidemment, et ce que je fais ainsi que sa caresse sur mes tétons m'excitent.

Il me dit qu'il ne regrette pas de s'être fait attraper les doigts, je le traite d'imbécile, car je n'ai plus mes massages, je suis en train de m'exciter, je m'active sur son sexe et finalement, je le fais jouir à nouveau, l'heure étant passé, il va dans son lit.

Ce soir-là, je me rappelle d'une chose que je n'ai jamais pu savoir avec mon mari et qui m'a toujours turlupinée, le lendemain matin, il me rejoint dans mon lit, il sait que je dors peu, le matin, ses doigts son engourdi par la nuit, il me tripote les seins, mais sans fermeté, il me fait un cinéma en disant que j'ai abusé de sa faiblesse, de son handicap, afin de le faire parler.

Je lui dis que je recommencerais à abuser, il répond qu'il ne parlera que sous la même torture, j'y compte bien que je lui réponds, depuis sa première branlette dans la douche, il ne prend plus autant de détour pour me tripoter, il y va direct, de plus, il ne me cache plus rien non plus, il ne me ment pas, il dit les choses comme elles sont.

Quand je lui demande pourquoi maintenant, il me tripote directement, il me répond que c'est parce que j'aime ça et qu'aussi, que si j'en suis à le masturber, qu'il peut se permettre de me tripoter, en clair, ce qui peut le plus, peut aussi le moins, il confirme ses dires en me faisant remarquer que mes tétons se sont mis à durcir quand il les a frôlés.

Je lui attrape fermement le sexe et lui dis, "et ça, ça réagit aussi au frôlement", il me fait remarquer que mon frôlement n'est pas commun, il était déjà dur quand je lui ai attrapé, mais une fois en main, j'ai senti que ça durcissait encore, c'est le miracle de la nouveauté d'une relation, qu'on a plus avec son concubin et c'est valable dans les deux sens.

Je voulais lui demander ce dont j'avais en tête, mais j'ai préféré attendre le soir, il sera plus malléable, je le vide et pars travailler, le soir, j'ai toujours la "corvée" de la douche, je dis corvée, car s'il n'est pas adepte du bodybuilding, il a quand même des pectoraux et un peu de carrés de chocolat abdominal, des cuisses et bras musclés, ce n'est pas un bébé que je savonne, c'est un homme, avec en plus, un gourdin qu'il me présente avec fierté.

Cela fait 36 heures que je fais ceinture coté sexe, et ce que j'ai dans les mains, n'est pas fait pour me calmer, je le savonne de façon aussi méticuleuse que lui me mettait de la crème, il ne me le fait pas remarquer sur le coup, mais il me la dit plus tard, quoi qu'il en soit, comme il me la également dit, si j'avais passe deux heures de plus, il ne s'en serait pas plaint.

Une fois la toilette faite, il me dit, qu'il n'a jamais été aussi propre, on dîne, on regarde la télé puis au lit, mon mari doit arriver dans la nuit, alors je lui dis qu'on va dans son lit, au début, cela était une tolérance de ma part, maintenant, c'est presque un dû, contrairement aux autres fois, il se colle sur moi et me dit, "toi, tu vas encore me demander quelque chose que je ne dois pas te dire".

Je le laisse se positionner comme il veut, nos corps se touchent pleinement, il dit, "ho là, ho oui, ça doit être important, va-y, je t'écoute", le laissant me coller, je lui donne le peu de détails d'une certaine journée, de ce qui c'est passé, de ce qui a été dit, et que je voudrais tous les détails, il se décolle et me dit qu'il ne peut pas, qu'il n'a pas le droit, j'argumente que cela ne sortira pas d'ici, etc. etc.
Devant son refus, je me décolle et lui dis dommage, que je l'aurais récompensé avec un petit plus, il répond, "ha la vilaine, elle va m'avoir encore une fois, je lui dis, "oui aller, parle, regarde ce que tu perds", ce faisant, je lui tourne le dos, j'attrape son sexe, je me le mets entre les cuisses et le retire aussitôt, la honte m'envahit, j'ai complètement inondé son sexe.

Me connaissant, il ne dit rien, il sait que je risquerais de partir de honte, il me dit en le remettant ou il était, ok je te raconte, il me parle de ce que je sais déjà, mais qu'il ignore que je savais, en racontant, il a son sexe entre mes cuisses et sur le mien, sa main par-dessus mon épaule, j'ai la tête sur son bras, sa main m'attrape un sein et son autre main appui la première pour mieux me serrer.

Je peine à rester immobile, son sexe dépasse de l'autre côté, je sens bien qu'il sait dans quel état je suis et il fait tout pour l'accentuer, il me raconte tout le cheminement de cette affaire, et au moment de l'épilogue, il ne dit plus rien, je lui dis alors, il me dit, a moi de te faire chanter, je lui dis, non, je…., sachant ce que j'allais dire, il me dit, "non c'est pas ça que je te demanderais, hélas, je sais que tu ne me le pardonnerais pas", il hésite a me demander, je lui dis que seules les pénétrations sont exclues.

J'ai dans l'idée qu'il va me demander une pipe, cela n'est pas pour me déplaire, il me dit, "si je te le dis et que tu me dis non, je me sentirais con", je lui rappelle que du moment que ce n'est ni baise, ni sodo, je dirais oui, il me le fait répéter, je le lui répète sans hésiter, savoir que je vais le sucer m'excite davantage.

Et là, pendant qu'il fait des va-et-vient avec son sexe sur mien qui mouille comme jamais, il me dit, "je voudrais que tu ne te retiennes pas et que tu jouisses aussi", je lui dis, "ha non, pas ça", il me rappelle ma promesse en me faisant remarquer que j'en ai envie, il me répète plusieurs fois, "d'accord, aller, tu en meurs d'envie".

A mesure qu'il me le demande, mon bassin ondulait de plus en plus, et j'ai succombée, il m'a donné le nom que j'attendais, mais cela n'était plus ma préoccupation, j'ai pressé ses mains sur mes seins, je me suis caressé le sexe en caressant le sien aussi, puis je me suis laissé partir à jouir en le lui signalant, il m'embrassait le cou par petite baiser, afin de ne pas me faire de suçon.

Une fois le moment magique passé, je me sens un peu mal à l'aise vis-à-vis de lui, je nettoie le sperme renversé avec une serviette amenée à cet effet, et afin d'oublier ce qui vient de se passer, on reparle de ce que venais d'apprendre, reparlant de toute cette affaire, me donnant des foules de détails sur tout ce que j'ignorais.

Nous étions décollés, car en sueur, et au fil de la discussion, sans savoir qui de nous, nous nous sommes recollés, j'ai senti son sexe reprendre forme, comme je devais retourner dans mon lit, je lui dis, deuxième service et je vais dans mon lit, si le petit encas m'avait décongestionnée un peu, il ne m'avait pas vraiment calmé, mais mon mari arrivait dans la nuit, je me réservais pour lui.

Il avait deviné dans mes pensées, car il m'a dit, "s'il n'arrivait pas bientôt, j'aurais demandé autre chose", je lui demande quoi, mais il me dit, non, ça sera pour une autre fois, il savait me rendre curieuse, d'insister m'aurait excitée, j'ai préféré retourner dans ma chambre, en moi-même, quand je vais annoncer cela à mon mari, il ne va pas en revenir.

Il est arrivé deux heures après, j'ai eu l'agréable surprise d'être réveillé avec un cunni, je ne sais pas si on a réveillé le copain, en tout cas, si c'est le cas, nous ne l'avons pas dérangé longtemps, nous n'avons pas mis longtemps à jouir tous les deux

Le lendemain matin, nous avons repris le rythme habituel, c'est après avoir joui, en se reposant, que j'entends un bruit de tasses qui se brise sur le carrelage, le copain a voulu nous faire plaisir, mais il n'a pas pu bien saisir, mon mari lui dit, "alors, j'arrive et c'est déjà une connerie", tous les deux, ils sont toujours en train de se lancer des vannes, de s'envoyer des pics, mais si un autre venait dire du mal de l'un, l'autre le défendrait.

Le copain devait repartir chez lui, mais j'ai dit "pas question", il a dit à mon mari, "mais dit quelque chose, je suis sûr que c'est pour me laver", il lui a dit, soit tu restes et elle te lave, soit tu rentre chez toi, et c'est moi qui viens te laver, le copain répond qu'il capitule sans condition, le soir, après notre douche à tous les deux, mon mari nous attendait dans la salle avec des bouts de mouchoir autour des doigts en disant que je dois aussi le laver

Excitée par le lavage du copain, je suis rentré à nouveau dans la salle de bains, et j'ai lavé mon mari en faisant exactement les mêmes gestes qu'avec le copain, sauf l'éjaculation, ou là, j'ai demandé mon dû, la semaine d'après s'est passé de la même façon, il faisait sa rééducation sur moi, il était très assidu aux séances, du moins celles-là, car quand il a fallu qu'il aille a celles remboursées par la sécu, ce n'était pas la même chose.

Si dans les débuts, on faisait l'amour en sourdine, du moins on essayait, depuis que mon mari est rentré de déplacement, on ne se gène plus du tout, de toute façon, il entendait quand même, là, il n'avait juste plus besoin de tendre l'oreille, il n'aurait pas dû reprendre le volant, mais en roulant aux lenteurs autorisées, cela allait, il se rendait à sa rééduque, il aurait pu rester chez lui, mais ni lui, ni nous, n'étions pressés.

Je le lavais toujours, sauf que c'est lui qui me savonnait, en fait, on se tripotait, j'étais en perpétuelle excitation, mon mari en profitait et le copain avait sa petite masturbation, quand un copain venait, il faisait celui qui ne pouvait pas encore se servir de ses doigts, il en jouait, on disait qu'il y avait une aide qui venait pour les soins de toilette.

Et il a bien fallu qu'il rentre chez lui, cela nous a fait tout drôle, lui aussi surement, il est resté cinq jours sans venir, traitement de choc avait-il dit, quand il venait à la maison, il faisait partie de ceux qui n'ont pas besoin d'appeler avant, il savait quand on avait du monde, et savait ceux avec qui il pouvait rester ou pas.

Il me demande si je suis intéressée, pour un massage à l'huile, je lui demande s'il peut, il dit, c'est en essayant que je saurais, il avait retrouvé en grande partie sa mobilité, sa dextérité, la seule chose qui avait changé depuis la dernière fois, c'est ce qui s'était passé entre nous.

Il me masse certes, il m'étale l'huile bien sûr, mais je devine bien que ses gestes sont plus à m'exciter, je m'efforçais de rester stoïque, cela n'était pas facile, je tenais un peu, mais j'étais vite dépassé, il guettait la moindre ondulation de ma part, et quand celle-ci arrivait, il s'activait à la caresse, il m'avait mise dans un état, la proximité de mon mari l'avait un peu refréné

Le soir, j'en parle bêtement à mon mari, si certaines femmes en parlent à leur mari, c'est pour faire cesser une situation, mon mari, lui, il me pousse à ce dont à quoi je tente de résister, ce n'est donc pas avec lui que je vais trouver les motifs pour arrêter, enfin, ça, c'est ce que je veux faire croire, en fait, la fois où j'ai jouis avec lui, cela m'avait fortement plu, en disant à mon mari, "ha, c'est vrai, avec toi, tout va toujours bien, mais bon, tu as raison, je le laisserais faire".

Rien qu'à ces mots, il m'attrape et me pénètre sans prévenir, il se doutait que de parler de ça, ça m'avait chauffé, j'étais toute humide, mon mari n'est pas un routinier du sexe, bien souvent, la minute avant de faire l'amour, je n'ai aucune idée de ce qui va arriver, il peut aussi bien me prendre comme cela sans préliminaire, en vide couille comme il dit, ou alors le grand jeu, ou encore, s'endormir, et en pleine nuit, me réveiller avec sa tête entre mes cuisses.

Il peut très bien aussi venir au boulot, me dire devant tout le monde qu'il doit m'entretenir de quelque chose d'important, et me prendre sur mon bureau ou à même la moquette, bien évidemment, je pourrais refuser, mais cela est tellement excitant, il connaît mes points faibles, et je me fais avoir à chaque fois, ce qui me fait le plus rire, c'est la tête grave qu'il fait en arrivant et repartant, mes collègues me disaient, "rien de grave, j'espère", je répondais non, juste des soucis de famille, sans m'étendre, du moins avec eux.

Le samedi suivant, mon mari à une opportunité de courir en cross, le cousin d'un copain qui connaît le concierge de la belle-sœur de son épicier qui a loué un terrain pour le weekend, enfin tout ça pour dire qu'il a eu cette opportunité et que je ne sais pas par qui exactement, à la maison, mon mari sait que je n'aime pas le suivre pour le regarder courir, et je ne suis pas doué la dessus, il n'hésite pas à me laisser seule, car il sait qu'il y a le copain ou même d'autres qui ne demandent que ça, de me tenir compagnie (compagnie soft).

J'appelle donc ce copain, sans arrière-pensée, (quelle menteuse je fais), je ne lui demande pas s'il peut venir, je lui dis, "tu passes la journée avec moi", il répond, j'arrive, cette fois-là, je le savais seul, mais il y a d'autre fois, dans les mêmes conditions, ou je n'ai pas été très cool et ou j'ai dû lui faire perdre des coups en lui disant de venir au dernier moment, par la suite, on m'avait rapporté que quand je l'appelais, même s'il avait un rancard, il laissait tomber et venait à la maison, j'étais égoïste sans le savoir.

Il ne faut pas croire qu'il venait et qu'on ne faisait que des jeux coquins, il me tenait vraiment compagnie, on discutait, on se promenait, on mangeait ensemble, il m'accompagnait même pour faire du shopping, comme je sais que pour les hommes, c'est une énorme corvée, je passais au rayon lingerie, ou là, ça devenait pour lui beaucoup plus intéressant, je dosais le mélange corvée et plaisir.

Avant 17 heures, on rentrait, il pensait que je lui aurais fait un défilé, mais je lui ai dit, "massage", ce qu'il aime autant, je me douche, seule, lui également, et une fois dans ma petite pièce, je m'allonge sur la table, nue, je me mets un casque audio sur les oreilles, j'écoute une musique relaxante, planante, qu'il entend aussi en direct, mais beaucoup moins fortes, et je lui dis, "éteint la lumière, tu me masses à tâtons".

Une fois dans le noir, il me masse et huile les jambes, ou plutôt, je devrais dire caresser, mais cela est le but, on le sait tous les deux, pourquoi on est là, on ne se le dit pas, c'est tout, cela est hypocrite, mais ça évite des justifications, et aussi des privations.

À part quelques bourrins de base, qu'heureusement, je n'ai pas le désagrément de connaitre intimement, les hommes aiment nous donner du plaisir, cela flatte leur ego et tant mieux pour nous, il me fait les cuisses, elles sont serrées normalement, il passe au ventre, aux seins qu'il malaxe et pétrit, il fait les hanches aussi, il est sur le côté, il me masse les hanches jusqu'au ventre d'une main, et de l'autre, il me caresse les seins, me pinçant légèrement les tétons qui durcissent aussitôt.
Il ne dit rien, car je ne l'entendrais pas, je ne dis rien non plus, alors il continue, il se pose des questions, pourquoi je me suis bouché les oreilles et pourquoi vouloir être dans la pénombre, son cerveau pédale à fond, pendant ce temps, je profite pleinement de ses mains, je peux réagir comme je souhaite à ses caresses, sans que mon visage trahisse mon ressenti, quand il me tapote sur le côté, il me signifie qu'il faut que je me mette sur le ventre, je me retourne donc.

Il me fait derrière les jambes, derrière les cuisses, les fesses ensuite, timidement puis passe au dos, aux épaules, il revient aux jambes, cuisses, fesses, je commence à être émoustillée, quand il est sur mon dos, j'écarte les cuisses, un peu plus, il redescend aux fesses, aux cuisses, la fois d'avant, sa main entre mes cuisses arrivait à mi-cuisse, cette fois-ci, il a pu remonter un peu plus haut, cinq ou dix centimètres, s'en est-il aperçu, je ne sais pas, moi oui, je l'ai ressentie.

Quand il remonte sur mes fesses, puis mes épaules, j'écarte à nouveau un peu plus, il redescend aux fesses, qu'il malaxe plus encore, puis il repart des jambes, puis des cuisses, ou là sa main qui est à l'intérieur, va bien plus haut, ce qui me fait sursauter et resserrer les cuisses, il stoppe aussitôt, ses mains ne bougent plus, j'écarte a nouveau mes jambes, il retourne à nouveau sur mes chevilles.

Il remonte, dans sa tête, il n'y a plus aucun doute, le peu de discussions sur le sujet, de la fois où j'ai joui avec lui, il sait que s'il me pénétrait, je me laisserais faire, mais il sait aussi que je le dirais à mon mari, il sait que je lui dis tout, il doute que je ne lui répète rien lors des massages, mais comme mon mari n'a rien changé dans son comportement avec lui, il se dit, que soit, je ne lui dis rien, soit cela ne le dérange pas que je me fasse tripoter.

Ce copain ne sait pas que nous sommes libertins, il sait aussi ce que signifierait le fait qu'il me pénètre, la fin de notre amitié, celle de mon mari et la mienne, la fin de notre relation, notre maison lui sera fermée ensuite, on ne se reverrait que lors de fêtes avec d'autre copain, plus de sorties, plus de repas, plus de notre compagnie, plus de confiance en lui.

À ce moment-là, je n'avais pas ces pensées en tête, j'étais sur un nuage, profitant de chaque centimètre de ma peau touchée par ses mains, à chaque passage sur mon entrecuisse et mes fesses, je frissonne de plus en plus, il ne peut pas ne pas le sentir, de mon côté, j'ai perdu ma réserve, je me moque de ce qu'il découvre, que je prends un grand plaisir à ses caresses.

Je ne dis rien, donc je suis consentante se dit-il, et il a raison, le massage est fini, il le sait, il sait que je le sais, il me tapote sur le côté pour que je me retourne, que je me remette sur le dos, attendant surement que je dise, "mais, tu l'as déjà fait de ce côté", de cette façon, il saura que c'est fini, mais je me tourne et ne dis rien, il prend cela comme un encouragement.

Quand je me suis retournée, j'ai directement mis mes pieds sur le bord de la table de massage, il me tripote les seins d'une main, il me caresse l'intérieur des cuisses de l'autre, arrivé à quelques millimètres de mes lèvres intimes, il remonte sa main et frôle mon pubis, augmentant mon excitation, il renouvelle cela à nouveau, mon excitation est à son comble, mes pieds ne sont plus sur le bord de la table, mais dans le vide, il ne peut ignorer que je suis complètement écartée.

Il recommence, je lève mon bassin, il anticipe, frôlant à nouveau mon pubis, il alterne en me tripotant les seins, et pinçant les tétons l'un après l'autre, de son autre main, il caresse ma cuisse et à chaque fois me frôle presque le sexe, je sais que je gémis, mais je ne m'entends pas, je retire mes écouteurs et continu à prendre le plaisir qu'il me donne, n'y tenant plus, je l'encourage en lui disant que j'aime, que j'ai envie de jouir.

Quand sa main revient sur ma cuisse et remonte, juste avant qu'il l'éloigne de mon sexe, je lui attrape la main et la mets sur mon sexe, il force un peu pour la retirer, je lui dis "non, laisse là,…..", l'orgasme m'emporte, je me sers de sa main comme d'un gode la frottant sur mes lèvres intimes pour accompagner ma jouissance, il se laisse faire.

Le contexte de l'obscurité, fait que je ne me retiens absolument pas, je jouis pleinement et longuement, une fois soulagée, je suis consciente de ma bêtise, mais je ne peux pas partir et le laissant dans l'état qu'il doit être, d'une voix faible, je lui dis, "met-toi nu et prend ma place", tel un automate, il ne dit rien et fait ce que je demande, je lui attrape le sexe et le masturbe.

Mon intention était de le soulager le plus vite possible, mais je me suis dit qu'au point que j'ai franchi, je ne peux pas le traiter ainsi, je le branle en l'excitant un maximum, faisant durer le plaisir, j'adore ces moments ou un homme vibre et s'abandonne complètement entre mes mains, cette force de la nature dont le corps obéit à mes moindres gestes, il se cramponne à la table, son bassin se soulève par moment, il retombe aussitôt.

Puis ce sont les gémissements qui arrivent, je lui caresse les bourses en même temps, plusieurs fois, je l'emmène à éjaculer, mais j'arrête à temps, je reprends la masturbation quand il s'est repris, quand je sens sur mes doigts qu'un liquide gluant commencé à suinter, j'ai plaisir à torturer de plaisir cet homme qui se tortille, qui gémit, de l'avoir à ma merci, de le sentir m'implorer la délivrance.

C'est presque à regret que j'abrège sa souffrance, j'accélère la cadence, il soulève son bassin au maximum pour se mettre en position ou il ressent mieux la caresse voulu, complètement déconnecté, il jouit et cri, "ho oui, c'est bon, c'est bon Annie, haaa c'est bon".

Dans le feu de l'action, je ne me suis pas protégée en empêchant qu'il gicle partout, j'en ai sur le cou et les seins, après l'avoir bien vidé, je lui dis que je vais me nettoyer, qu'il ma aspergé, je file à la douche, quand il revient, il me regarde craintivement, je souri, et lui dit de se laver aussi, il me dit que les effets de l'huile, n'ont pas durés longtemps.

Il me rejoint sur le canapé, je le sens qu'il attend que je dise quelque chose, je lui dis qu'on a fait une bêtise, il va pour dire qu'il est désolé, mais je lui dis qu'il n'a rien à se reprocher, que je suis la seule responsable, et que je ne regrette rien, mais qu'il faut revenir en arrière pour éviter d'aller plus en avant.
A suivre.
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Histoire de annizette

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