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Deconstruction, sexe et MJC partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/11/2023

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DECONSTRUCTION, SEXE ET MJC
PARTIE 1

J'ai passé mon enfance et mon adolescence dans une petite ville de province, G...Et j'ai du malheureusement partir pour le travail. Si j'y reviens, ce sera pour la retraite, mais pas avant. J'ai par contre opté depuis longtemps pour un retour aux sources pour les vacances. Je retrouve ma famille, les amis, et des lieux qui me renvoient à tant de moments heureux
On finissait le repas quand ma mère m'a dit :
--Ils sont entrain de raser les bâtiments de la MJC. Je tenais à te le dire...Je sais que tu y as passé des moments importants. Mais le bâtiment datait de 1972 et il ne tenait plus debout. En plus, ils ont trouvé un bon paquet d'amiante...C'était sans doute aussi bien.
--La nouvelle MJC est installée au même endroit ?
--Ils l'ont localisée ailleurs. Les murs montent. C'est un bâtiment à énergie positive. On ne savait même pas ce que c'était en 1972. Tout évolue, tout doit changer.
Ca me mettait un coup. La MJC, j'y avais passé toute mon enfance et mon adolescence. Pour les familles qui n'avaient pas trop d'argent, catégorie dont nous faisions partie mon frère, ma sœur, mes parents et moi, la MJC, c'était le moyen d'avoir accès à de multiples activités à des prix raisonnables. On se rendait au secrétariat, généralement, on avait vu le programme et les tarifs avant et on prenait ce qu'on voulait. Il fallait une carte d'abonnement à la MJC, et ensuite s'acquitter du coût de l'activité, qui était bien moins élevé que dans un club classique. Moi, j'avais fait des échecs pendant plusieurs années, j'étais parti sur du volley, et ensuite du yoseikan, alors que ma sœur elle s'enthousiasmait pour danse et badminton, et mon frère adorait le foot et le judo...
Et on connaissait les bâtiments par cœur. Le cœur, c'était l'espace administratif, et tout autour, les salles de sport, de musique...C'était une grande bâtisse à un étage, assez laide, mais on s'en fichait.
Quand je revenais l'été, je ne manquais pas de passer devant. Elle était sur un grand terrain, vague avant, qui était arboré aujourd'hui, avec le terrain de foot, et le skate-park.
Pour moi, la MJC était éternelle.
Ma mère n'a rien dit, mais je crois qu'elle a bien lu en moi.
Et l'après-midi, j'ai décidé d'aller dire adieu à mon passé.
Je suis parti à travers l'entrelaçis des rues. Je connaissais presque l'histoire de chaque bâtiment.
Je suis sorti des rues les plus étroites de la ville pour arriver sur le vaste espace de la MJC.
Ma mère ne m'avait pas donné de détails.
Je m'attendais au pire. Je n'ai pas été déçu.
Si les terrains autour, bien que vieillissants, étaient demeurés intacts, il ne restait plus rien du bâtiment que des amas de gravats, résultant de la destruction qui avait certainement eu lieu les jours précédents.
Je me suis glissé entre les grillages metalliques, pris soudain par l'idée de garder un fragment de ce lieu qui avait compté pour moi.
C'est alors que je l'ai aperçue. Une fille brune, fine, très fine, avec des cheveux très longs, qui arrivaient à ses fesses. Rien que pour cela je l'aurais reconnue.
Tout le passé est remonté, d'un seul coup. Je me le suis pris en pleine figure.
Un passé trouble, comme peuvent l'être les envies, les désirs et les fantasmes.
Marie-Alice, puisque c'était d'elle qu'il s'agissait, avait été le fantasme d'une génération. Il n'y avait sans doute eu aucune autre fille qui ait inspiré autant de désir et à autant d'hommes.
A l'époque, on était vraiment dedans, sans recul, sans réflexion. Si je devais aujourd'hui clairement me demander pourquoi chaque soir, des dizaines de garçons se branlaient en pensant à elle, j'aurais pu suggérer de nombreuses pistes.
Déjà elle était unique. Les autres filles pouvaient être aussi jolies, mais elles étaient plus dans les canons de beauté classiques. Elle, elle était vraiment différente. Elle ne ressemblait à personne.
Il y avait eu, il fallait bien le dire, une Marie-Alice avant les vacances d'été, et une Marie-Alice après les vacances d'été. Une métamorphose, pendant les deux mois où on ne l'avait pas vue, comme par un coup de baguette magique. Elle avait pris un paquet de centimètres conséquent en horizontal comme en vertical. Je ne me souvenais plus très bien, mais elle devait faire un mètre 86 à l'époque, et elle était montée à un bon mètre 91.
Et puis les zones du corps féminin qui sont généralement pleines, s'étaient effectivement bien remplies. Des seins hyper-volumineux, des fesses bien charnues, hanches et cuisses marquées. C'était d'autant plus évident qu'elle avait une taille fine, qui mettait d'autant plus en valeur les rondeurs acquises pendant l'été.
Moi ce qui fascinait c'étaient deux éléments : d'une part sa crinière...Avant, elle avait des cheveux mi-longs, mais, à partir de cet été-là, elle avait laissé pousser ses cheveux, en faisant un blocage sur le coiffeur, et ça lui avait fait une chevelure épaisse et longue que je trouvais très troublante.
L'autre aspect de Marie-Alice qui m'avait mis sens dessus-dessous, c'étaient ses jambes. Elle avait des jambes magnifiques. Parfaitement dessinées, et je laissais plus souvent mon regard glisser dessus que sur ses fesses par exemple.
Ce qui nous retournait tous par contre, sans aucun doute, c'était son visage. Avant, c'était celui d'une enfant, il était devenu et s'était stabilisé en celui d'une jeune femme, dans une beauté loin du classicisme. Elle avait un visage allongé, mais avec des pommettes très marquées, de très grands yeux, et une bouche très charnue.
Et puis, sans doute, tout cela n'aurait rien été s'il n'y avait pas eu sa nouvelle manière de s'habiller.
Oui, elle avait radicalement changé de personnalité pendant les vacances. Avant, c'étaient des pantalons et des jeans sans forme, et des pulls dans lesquels on aurait pu rentrer trois personnes comme elle. Après...Elle avait fait le choix de tenues qui soulignaient et mettaient en valeur sa féminité, et ça nous avait bien perturbés...J'imaginais parfois le soir, la queue dans la main, une sorte de vaste réseau, qui se serait étendu dans la ville et les villages autour, de gars ou peut-être même de filles qui se seraient branlés en repassant sans fin les images de la journée jusqu'à jouir.
Chaque jour était une nouvelle surprise. Il y avait de tout. En même temps, il n'y avait rien à lui reprocher, on n'était pas dans la provocation. Plutôt dans une sensualité qu'on se prenait en pleine figure. Elle portait souvent, maintenant, des vestes, des blousons, ouverts sur des hauts très divers, parfois des crop tops, ça existait déjà à l'époque, la mode est cyclique, qui mettaient ses seins en valeur d'une manière ou d'une autre...Ca pouvait être en les moulant, ça pouvait être avec des décolletés...Elle aimait bien les corsets qui soulignaient sa taille, et dont ils émergeaient, seulement tenus par le corset. Et l'inévitable s'était produit deux ou trois fois, il y avait eu un sein, voire les deux qui s'étaient barrés et qu'elle avait du refourrer dans son décolleté. Ces soirs-là, des fleuves de sperme et de cyprine avaient coulé...Les incidents se produisaient un peu partout...A la MJC, dans les activités, les échecs par exemple,en cours , à la cantine, à l’arrêt de bus...Elle avait une horde d'admirateurs qui se changeaient, à l'époque il n'y avait pas de réseaux sociaux, de colporter les événements glorieux. Y avait-il de l'exagération ? Il y a la réalité et la légende, mais j'avais été témoin moi-même de plusieurs moments qui pouvaient dire qu'il n'y avait pas tant d'exagération que ça. Je m'étais branlé cent fois en pensant à ces moments, en transes.
Nous étions, elle et moi, au même club d'échecs. Quand elle jouait, souvent, elle se posait de biais. C'est-à-dire qu'elle avait le torse tourné vers le joueur adverse, mais les jambes à 180. Moi j'étais un peu plus loin, en retrait, la rangée à côté, une table avant, mais j'avais pu profiter d'un spectacle auquel je ne m'attendais vraiment pas. D'ailleurs, j'étais très concentré sur l'échiquier et sur mon jeu, et pas sur elle. Même si je me branlais en pensant à elle, elle n'était pas une obsession.
Et donc, il y avait eu ce moment, quand j'avais tourné la tête, et j'avais vu ce que je ne devais pas oublier.
D'abord, j'avais été surpris de constater que le nylon qui gainait ses jambes n'était pas celui d'un collant, mais d'une paire de bas. Je trouvais énormément sexy de voir les jambes d'une fille gainées de nylon, quel que soit le moyen, la fin était atteinte, mais je ne l'avais jamais imaginée autrement qu'enveloppée de collants. Et c'était effectivement aussi déconcertant que perturbant de voir que le nylon s'arrêtait à mi-cuisse, le bas terminé par une jarretière noire, pour laisser place à sa chair. Elle avait des escarpins, avec des talons de quatre ou cinq centimètres...
Mais ce qui m'a totalement renversé, ça a été de constater qu'elle n'avait pas de slip, et que je pouvais parfaitement voir sa chatte. Je me suis demandé si je ne rêvais pas...Mais non, sous mes yeux, il y avait bien un sexe de fille, nu, comme je n'en avais vu jusqu'alors que sur des vidéos, ou des photos...La robe, était courte, et puis elle avait les jambes ouvertes...Je pouvais parfaitement voir le gonflement de son sexe, la fente qui coupait cette bosse en deux, l’émergence de deux bouts de lèvre de cette ouverture naturelle...mais aussi une partie de son pubis, couvert de poils, aussi sombres que sa chevelure.
C'est sans doute parce que j'avais vraiment l'habitude de jouer aux échecs, et que j'étais plutôt bon que je ne m'étais pas laisser déconcerter, et que j'avais pu gagner finalement la partie, me partageant entre la contemplation de ce sexe, et celle de l'échiquier.
Ce qu'elle aimait bien aussi, c'était mettre un collant et par dessus des bas, souvent de laine, noirs ou colorés...Ca lui allait très bien...
Il avait du y avoir un moment où elle mettait une culotte sous son collant, mais ce temps-là était terminé...
C'était une très bonne élève, Elle réussissait tout, dans toutes les matières, et elle était toujours volontaire pour aller au tableau.
Le prof de maths, quand il posait des exercices, passait voir ce qu'on faisait, puis demandait s'il y avait un volontaire pour faire la correction au tableau. On avait pris l'habitude, parce qu'on n'était pas aussi bons qu'elle, de nous défausser sur Marie-Alice, qui elle réussissait parfaitement, mais savait aussi expliquer pourquoi elle avait fait ceci ou cela...Généralement, le prof la laissait faire, et il lui demandait ensuite d'éclaircir deux ou trois points, ce qu'elle savait quasiment toujours faire. C'était rare qu'elle n'en soit pas capable.
Là, Marie-Alice était au tableau, et lui sur son ordi, il remplissait sans doute le cahier de texte.
Marie-Alice était devant nous, je crois qu'on était en octobre...Elle avait de magnifiques cuissardes de velours noir, et du nylon sombre, avec en haut un chandail framboise bénéficiant d'un bon décolleté rond, laissant voir une partie de ses seins, et on pouvait se demander s'il n'y en avait pas un qui allait sortir. Mais non, ça n'avait pas été le cas. Pas cette fois.
Comme elle était très grande, elle commençait toujours à écrire en haut du tableau. Et elle descendait au fur et à mesure.
Ce qui s'est passé ce jour-là c'est qu'au lieu de s'accroupir pour écrire, elle s'est pliée...Alors s'est produit ce qui devait se produire. La jupe a commencé a remonter, à mesure qu'elle se pliait.
Il y a eu une tension qui a commencé à apparaître, bien perceptible, sauf pour le prof...On se demandait ce qu'on allait voir. Même si ça avait été sa petite culotte, on aurait été dans tous nos états.
Ce collant, en tout cas, elle avait choisi de le porter sans slip dessous, et on a vu apparaître, petit à petit, ses parties intimes...
Pour les garçons, dans nos libidos tourmentées et en pleine expansion, pour ne pas dire explosion, je crois qu'on a été marqués à jamais. Il y a eu un avant et un après...Il y en a sans doute qui se sont éjaculés dessus.
Niché entre ses cuisses, on voyait parfaitement le bourrelet de son sexe, tout gonflé, dont dépassaient ses lèvres. Et plus haut, on a vu...les trois-quarts de ses fesses avec un sillon profond au milieu, des fesses rondes, plutôt allongées, volumineuses, mais qui semblaient parfaitement fermes...On aurait bien mis la main dessus pour vérifier.
Les filles bien sûr, étaient jalouses, sauf celles qui auraient bien aussi mis la main dessus, et elles se sont répandues plus tard en commentaires fielleux..'Tu as vu cette salope! Elle ne met pas de slip !' 'C'est une pute!' , 'Elle n'a aucune moralité!'
Marie-Alice et moi ne nous parlions jamais. On n'appartenait pas à la même sphère. Sans surprise, elle n'avait que peu d'amies filles et beaucoup de garçons par contre.
Notre relation a évolué quand notre prof d'échecs a décidé de nous faire faire des compétitions. Il y avait un championnat départemental à A... à 20 kilomètres de là, habituellement il n'y avait pas de compétition dans notre département. Il a demandé si des personnes étaient intéressées. Deux mains se sont levées, celle de Marie-Alice et la mienne.
Je ne savais pas quelles étaient ses motivations, je n'étais pas spécialement dans le compétitif, mais j'adorais jouer, et je voulais voir quel niveau j'avais en me mesurant à d'autres personnes que celles du club.
Un dimanche matin, je me suis retrouvé devant chez moi, très tôt, attendant que Jean-Pierre, notre entraîneur , passe me prendre.
Dans la rue déserte, j'ai entendu des talons taper sur le macadam. Je me suis tourné vers leur origine.
Tout en rouge, des bottes de cuir rouge qui lui arrivaient juste sous les genoux et robe courte, Marie-Alice était plus ravissante que jamais.
Elle m'a fait un sourire.
--Nous voilà lancés dans l'aventure...
JP est arrivé, et nous a embarqués. Assis l'un à côté de l'autre, en partie sans doute à cause du stress, on n'a pas trouvé grand chose à se dire. La robe était remontée quand elle s'était assise, dévoilant ses jambes très haut, et elle sentait très bon, un parfum qui me rappelait le muguet.
La journée est passée très vite, de compétition en compétition. Le soir, on a découvert qu'on était sélectionnés, parce qu'on avait gagné un certain nombre de parties, pour les compétitions régionales.
--Ca vous tente ?, nous a demandé notre coach.
On s'est regardés Marie-Alice et moi. Oui,sans aucun doute, on avait envie de pousser l'aventure un peu plus loin.
Ca s'est passé quelques minutes avant qu'on arrive.
Elle m'a glissé tout bas:
--Regarde, tu y penseras quand tu te branleras...
Avec un sourire qui disait qu'elle était parfaitement consciente de son pouvoir de séduction, elle s'est dévoilée à moi. Elle s'est tournée, mais en gardant une jambe au sol et en venant poser l'autre sur le siège. En même temps, elle a remonté sa robe, déjà haute sur ses cuisses, sur son ventre.
Elle était toujours très bien habillée, elle changeait très souvent de tenue, mais elle ne devait pas dépenser une fortune en culottes. Une fois de plus, elle avait le lycra à même la peau.
Ce que j'ai compris ce jour-là, c'est que le sexe d'une fille n'est jamais vraiment deux fois le même quand un homme pose ses yeux dessus. Il était plus ouvert que la fois ou je l'avais vu au club d'échecs, et, de la sorte, je pouvais découvrir un bout de son intérieur, tout rose, mais il n'y avait aussi qu'un bout de lèvre de sorti. Elle a glissé sa main à l'intérieur, sous le lycra, et elle a balayé son ventre, du bout des doigts. De la sorte elle a ouvert un peu plus son sexe, et la deuxième lèvre est apparue.
Elle a sans doute jugé que ce n'était pas suffisant pour me mettre dans tous mes états, elle avait tort, ça aurait pu suffire, car elle a glissé son autre main sous son collant, et elle est venue planter ses deux index dans son sexe pour me présenter son intérieur. Tétanisé, j'ai plongé pour la première fois dans le sexe d'une femme, une muqueuse toute rose, Elle m'a bien laissé le temps de la regarder. J'ai eu le sentiment que c'était une éternité, c'était sans doute moins longtemps que ça. Je me suis rendu compte que, sans avoir vraiment eu d'orgasme, une sorte de soulagement, je m'éjaculais dessus, et que je remplissais mon caleçon de sperme. Un moment singulier.
On approchait, elle s'est remise dans une position plus classique.
J'ai passé la soirée à me branler en repensant à ce moment. La suivante et celle d'après aussi, d'ailleurs.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Deconstruction, sexe et MJC partie 1

Le 07/11/2023 - 16:13 par OlgaT
Un très beau texte autour de merveilleux souvenirs!

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