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Deconstruction, sexe et MJC partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/11/2023

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DECONSTRUCTION, SEXE ET MJC
PARTIE 2
On a retrouvé notre vie de tous les jours, les études, et le club d'échec. Il fallait nous préparer pour les régionales, et notre coach nous a mis face à quelques adversaires inattendus, qu'il avait invités.
Ce qui avait pu se passer entre Marie-Alice et moi semblait totalement oublié.Je me demandais même si je n'avais pas rêvé. Elle était redevenue la même qu'avant, m'ignorant totalement.
Et puis enfin, on est partis pour la capitale régionale. Vu la distance, et que les épreuves étaient sur deux jours, la nuit du samedi au dimanche, il fallait la passer à l'hôtel.
J'ai trouvé Marie-Alice très sobre. Enfin presque. Elle portait une combinaison noire extrêmement moulante, qui ne révélait pas de chair, mais qui, au final, était sans doute paradoxalement plus révélatrice dans sa manière de souligner ses charmes de manière vraiment marquée.
On a fait nos premiers matches, et on a eu l'assurance qu'on serait en demi-finale le lendemain matin, voire plus.
L'hôtel-restaurant où on avait réservé appartenait à une chaîne. Il était impersonnel, avec un confort minimum. Il fallait imaginer un bâtiment en T, la partie transversale du T était réservée aux cuisines, au restaurant, à la réception et aux bureaux, alors que la partie chambres, c'était le long bâton du T.
Notre coach avait une chambre sur la partie gauche en avançant dans le couloir, et nous sur la partie droite.
On est parfois naif, et je n'avais pas compris que la porte au fond de la chambre, c'était une porte qui communiquait avec la chambre adjacente.
En l' occurrence celle de Marie-Alice.
On a dîné ensemble, un peu de debriefing, et on s'est retrouvés dans nos chambres sur le coup de neuf heures. Je n'avais pas sommeil, pas envie non plus de regarder la télévision.
Et puis évidemment, je pensais à Marie-Alice.
Tout en elle me plaisait, même si je savais bien qu'elle était totalement inccessible. On avait quand même un peu échangé pendant le dîner.
Je ne m'attendais donc pas à la voir surgir dans ma chambre.
Il était pas loin de dix heures, et je masturbais en pendant à elle.
Et la porte s'est ouverte.
Si j'avais du faire une hypothèse, j'aurais imaginé qu'elle se serait présentée toute nue. Mais ce n'était pas le cas. Elle avait compris, je l'ai réalisé plus tard, que si, certes, se prendre la nudité d'une fille en plein visage, c'était un choc, la nudité magnifiée par un vêtement c'était le comble du trouble. Et peut-être plus fort au final.
En l’occurrence, elle avait un baby doll sur le dos.
La plupart d'entre vous ne savent sans doute pas ce qu'est un babydoll, Et certaines en portent sans connaître le nom de la pièce de vêtement. C'est une chemise de nuit courte, qui s'arrête généralement en dessous des fesses et qui finit en s'évasant, portée avec une culotte...ou pas...La pièce de vêtement a été développée suite à un fameux film d'après une pièce de Tennesse Williams avec une jeune actrice qui portait cette pièce de vêtement.
Avec cette forme de base, il y en avait de toutes les couleurs, de pas mal de matières, et des transparents..Ou pas...
Le sien était totalement transparent, donnant une vision de son corps troublante. Bien sûr, j'en avais déjà vu pas mal, mais c'était la première fois que j'avais sous les yeux sa nudité dans son intégralité magnifiée par la transparence du babydoll.
Blasé, je ne l'étais pas encore, et ça a été un peu comme un cadeau de Noël avant l'heure.
D'autant qu'elle était métamorphosée. Tout comme quand elle s'était exhibée dans la voiture, elle était animée par quelque chose de lumineux et fort qui n'émanait pas d'elle en temps habituel.
--J'te plais ?
J'ai pensé un instant qu'il y avait en elle un désir, basique, de plaire, qui venait d'une peur justement de ne pas être assez séduisante.
Elle a tourné sur elle-même, m'offrant sa nudité.
J'avais rabattu le drap sur moi-même, mais le geste ne lui avait pas échappé.
--Tu te branlais ? Tu pensais à moi ?
--Quelle intuition, j'ai ironisé.
--Voyons, montre-moi, elle m'a dit, les yeux brillants. J'ai envie de voir ta queue. Comment elle est.
Avant que j'aie pu l'en empêcher, elle s'est laissée tomber sur le lit et elle a soulevé le drap. Ca faisait déjà un moment que je me caressais, et j'avais atteint une étape où j'étais bien dur, long, épais.
--Oh, elle est belle ta queue...
On aurait dit qu'elle venait de découvrir un trésor. C'était peut-être le cas.
Elle que je sentais si audacieuse, a été soudain timide.
--Tu veux que je te caresse ?
Je ne sais pas ce qui m'a pris, une montée d'audace ou alors une envie qui traînait depuis tellement longtemps qu'elle a eu la force de se manifester. Je lui ai dit :
--Je voudrais te caresser toi d'abord.
Elle a répondu très vite...
--Ce soir, c'est notre soir...Mais je ne veux pas que tu mettes ma queue dans ma chatte...J'ai trop peur d'être enceinte...Même avec une capote...Mais on peut quand même avoir du plaisir.
Et le plaisir, c'est une infinie palette...Je n'ai jamais oublié ce moment où ma main est venue à son contact, à travers le tissu du babydoll. Elle a frémi, éprouvant elle aussi du plaisir. Elle a fermé les yeux, alors que, d'une main sans doute malhabile, mais, qui s'est affermie, je l'ai caressée, avec la double sensation du tissu du babydoll, souple et électrique à la fois, et celle de sa chair, qui montait à travers, était magnifiée, chaude, brûlante, même, et douce.
Surtout, je sentais l'épaisseur de son corps qui vibrait, de ses seins dont je suis venu caresser la chair, les aréoles, les tétons qui se sont durcis, son ventre, j'ai tourné dessus, d'un mouvement circulaire, autour du nombril, ça a été quelque chose de magique, parce que ça a fait s'ouvrir son sexe, que je voyais entre ses cuisses écartées, elle s'était posée, jambes repliées sur le lit, et si au départ ce n'était qu'une simple fente dans sa chair, j'ai vu son sexe s'ouvrir petit à petit. C'était très troublant. J'étais bien conscient de la beauté d'un corps de femme, d'un sexe de femme, mais sans doute pas de la manière dont celui-ci pouvait se métamorphoser, s'ouvrir, dont il pouvait se remplir d'humidité, et dont cette humidité pouvait couler d'elle. J'ai été impressionné, en tout cas, de voir les processus s’enchaîner, les lèvres sortir, s'épanouir, le gland clitoridien se décalotter et saillir nettement, et les liquides couler avec de plus en plus d'abondance, c'était impressionnant, ça a mouillé ses chairs, mais aussi le couvre-lit qui a été marqué par une auréole de plus en plus large. Et alors même que je ne touchais pas son sexe.
--Ah c'est trop bon ce que tu me fais...Tu sais vraiment bien caresser. Tu sais ce qu'on va faire ? On va se caresser mutuellement...Ca te dit ?
Et on s'est retrouvés comme cela, elle a attrapé ma main et elle l'a posée directement sur son sexe, tandis que son autre main venait s'engager autour de ma queue.
J'ai été submergé par les sensations. Celle de sa main autour de moi, chaude, douce...C'était différent de sentir ma propre main sur ma queue. J'éprouvais un plaisir très fort à me masturber, là c'était encore autre chose. C'était la première fois qu'une fille me masturbait. Ce n'était par contre pas, d'évidence, la première fois qu'elle, elle masturbait un garçon. Elle était très habile.
Je ne l'ai certainement pas été autant pour caresser son sexe. C'était la première fois que je posais ma main, mes doigts sur une chatte, et, je me le suis reproché après, j'ai sans doute moins été dans la caresse que dans la découverte. J'ai senti contre ma paume la pression de ses lèvres, et aussi le jaillissement de liquides chauds. Je me suis enhardi finalement, et j'ai commencé à caresser ses lèvres, puis je suis remonté sur son gland clitoridien que j'apercevais tout en haut de ses lèvres. Je l'ai senti sous mes doigts.
Elle avait commencé par travailler juste mon gland, et cette caresse avait propagé du feu dans mon ventre...Il s'était mis à sortir de mon méat un déluge de liquide pré-sécrétif dont la source ne voulait pas se tarir. Ca faisait une demi-heure que je me caressais, et c'était bon, mais ça, sans aucun doute, c'était encore meilleur. Un instant, j'ai cru que j'allais jouir, mais c'était trop tôt. Je voulais profiter encore d'elle.
Elle est descendue sur mes couilles, tout en me disant :
--J'ai envie que tu mettes deux doigts dans ma chatte et que tu les fasses bouger d'avant en arrière...Tu crois que tu peux faire ça ?
--Mais tu...
Elle a compris à quoi je pensais.
--Je n'ai plus d'hymen depuis longtemps. Et ce n'est pas parce que j'ai pris une bite. Tu peux y aller.
J'ai glissé mes doigts en elle, envahi par des sensations que j'ai éprouvé plus tard, avec d'autres filles, autour de ma queue. La chaleur, l'humidité, la géographie complexe surtout de l'intérieur de son sexe, des sensations de creux, de plein, de vide, de relief...Ca lui a procuré, en tout cas, un plaisir très fort. Les yeux clos, elle m'a dit, d'une voix faible, le souffle court :
--C'est ça que j'aime...Me sentir remplie...J'ai envie de sentir une queue bouger en moi, la sentir aussi cracher son sperme, qu'il vienne ricocher contre les parois internes de mon vagin, mais j'ai trop peur d'une catastrophe, même avec pilule et capote...Je veux pas avoir de gosse...Alors pour l'instant, c'est mes doigts et des godes...
Elle est venue sur mes couilles, je ne les caressais jamais, et ca a été une découverte...
On a joui très tranquillement, Il y a quelque chose qui est parti d'un point dans mon ventre, qui m'a traversé, et mon sperme a commencé a jaillir, alors que j'éprouvais un plaisir très intense. Le premier jet de semence est parti dans les airs, elle a resserré sa main autour de moi, cueillant tout mon sperme au creux de sa paume, qu'elle a ensuite lapé jusqu'à la dernière goutte. Elle aussi, elle a été atteinte par un point d'incandescence, elle s'est tendue, a lâché une sorte de râle, et autour de mes doigts, elle a éjaculé des jets d'un liquide aussi blanc que du sperme.
Le silence s'est emparé de la pièce, avant qu'elle ne dise ;
--Je ne suis pas rassasiée...J'ai encore envie de sexe...Tu crois que c'est possible ? Je vois que ta bite est encore bien dure...Ce serait dommage de ne pas en proiter.
Cinq minutes plus tard, on partait pour un 69 impeccable. C'était la première fois pour moi. J'avais à peu près compris qu'il y avait pas mal de variantes, on s'était calés dans un cercle imparfait qui lui permettait d'avoir accès à ma queue, tandis que moi j'avais la possibilité de goûter à son sexe, à quelques centimètres de mes yeux et de ma bouche. Une perspective plus qu'intéressante, tout autant que de sentir et de voir sa langue venir caresser ma queue, avec l'absolue évidence que, si c'était la première fois que je faisais un cunni à une fille, elle avait déjà fait des fellations, et sans doute pas qu'une. Mais je me suis rendu compte, plongeant moi aussi sur sa vulve, maintenant béante, que la nature, l'instinct, palliaient très vite au manque d'expérience et qu'on trouvait très vite ce qu'il fallait faire. En tout cas, ma langue glissant sur ses lèvres,ses liquides intimes coulant, de plus en plus abondants dans ma bouche étaient le témoin indiscutable du plaisir qu'elle pouvait éprouver, et qui s'est prolongé et intensifié quand j'ai tenté de pousser ma langue plus profondément en elle, venant caresser ses parois internes.
--Rentre, j'ai envie que tu m'enfonces la langue jusqu'à l'utérus.
Ca semblait difficilement possible. C'était une sorte de rêve, qui pouvait basculer sur une sorte de réalité, entre ce que je faisais et ce qu'elle imaginait. Quelque chose de sympa, comme l'a été ce moment où nous étions très loin de l'hôtel, de la compétition, dans un moment de rapprochement, qui, je le savais, ne durerait pas. Il y a vraiment eu un moment de grace, un moment qui a duré longtemps, avant qu'elle soit secouée par une série d'orgasmes, m'arrosant de ses liquides intimes, pendant que moi, je m'efforçais de maîtriser l'arrivée d'un second orgasme, qui l'a surprise, et a arrosé son visage de semence, spectacle excitant de sa face et de ses cheveux maculés.
On avait le sentiment d'une harmonie entre nous, c'était bien la première fois.
Je me suis assoupi quelques minutes. Quand j'ai repris conscience, elle avait disparu.

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Commentaires du récit : Deconstruction, sexe et MJC partie 2

Le 07/11/2023 - 16:21 par OlgaT
Un merveilleux et prometteur retour vers le passé

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