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Deconstruction, sexe et MJC partie 3

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 07/11/2023

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DECONSTRUCTION, SEXE ET MJC
PARTIE 3
Le lendemain, était-ce ce moment qui nous avait galvanisés, on s'est surpassés elle et moi, jusqu'à être admis au niveau national. Ironiquement, on a refusé tous les deux d'y aller.
C'est dans les semaines et les mois qui ont suivi que s'est développée entre Marie-Alice et moi la relation la plus étrange qui soit.
Elle avait rentré son numéro dans mon téléphone. Je lui ai envoyé un SMS, trois semaines après. Ce que j'écrivais n'était pas très glorieux, mais au moins, elle saurait ce que je pensais.
J'ai envie qu'on se revoie. Tu crois que c'est possible ?
Il s'est passé deux semaines avant que je n'aie une réponse.
Demain après-midi. A partir de 14 heures. Je suis seule pour l'après-midi eet la soirée. Passe chez moi.
Je me demandais à quoi m'attendre. Cela faisait cinq semaines que je me branlais matin midi et soir en pensant à elle. Je me repassais ce moment exceptionnel, et je me rendais bien compte, au-delà, qu'elle m'attirait énormément. Il n'y avait peut-être que cela, mais c'était déjà beaucoup.
Elle a ouvert la porte entièrement nue. Il n'y avait pas de faux-semblants, de parure. Juste sa nudité que j'ai pris en plein dans la tronche. L'épaisseur de son corps, la chaleur de son corps, la beauté de son corps...Le sourire qu'elle m'a dédié, qui parlait de manque et d'envie. Elle m'a tirée à l'intérieur, a refermé la porte, et elle est venue littéralement s'écraser contre moi, des seins, du ventre, venant chercher ma bouche avec avidité, et glisser sa langue à la rencontre de la mienne.
--Viens, on va aller se mettre un peu plus loin.
--Voilà un accueil bien sympathique.
--J'ai envie de sexe avec toi. Il faut qu'on en profite.
Elle m'a entraîné dans sa chambre, et on a glissé sur un grand lit moelleux. Elle m'a défait, et elle est venue chercher ma queue. On avait l'impression qu'elle avait trouvé un trésor. Elle est venue me caresser longuement de la bouche, avant de me dire :
--Je vais faire quelque chose avec ta queue, mais il est hors de question que tu rentres dedans, on est bien d'accord.
Elle est partie pour une reptation, et elle s'est accrochée des jambes à mon dos, de telle manière que nos ventres soient proches, ma queue et son sexe, que je voyais ouvert et suintant.
--Il est hors de question que tu viennes dedans, elle m'a répété.
Elle s'était calée naturellement dans une position qui mettait ma queue et son sexe en contact, mais, si on ne bougeait pas, je ne pouvais pas rentrer en elle. Les choses auraient changé s'il y avait eu un mouvement de l'un vers l'autre...Mais on était parti sur un exercice. Je me suis rendu compte plus tard que faire l'amour c'est souvent utiliser des règles...Tu fais pas ça...Tu fais ça...
Elle a pris ma queue dans sa main, et elle a amené mon gland contre elle. J'avais son sexe pile dans ma ligne de mire, ouvert d'excitation, ses lèvres sorties, toutes gonflées, son gland clitoridien saillant en haut de l'ouverture, aussi érigé que ma queue...Elle m'a frotté contre elle, et ça a été un monde de sensations qui m'a accueilli, qui m'a vraiment remué...Si je ne m'étais pas retenu, je crois bien que j'aurais joui tout de suite. En même temps, pourtant, j'ai bien vu qu'elle aussi, selon le principe de l'arroseur arrosé, elle a très vite éprouvé du plaisir, et que ce plaisir l'a submergée...Elle a lâché une série de gémissements, en même temps qu'elle arrosait ma queue de sa mouille. On a été dans une sorte de transe, éprouvant un plaisir qui prenait de nouvelles nuances dans cet exercice. Il y a eu un moment où elle est passée sur un autre palier, elle m'a dit :
--Je vais jouir...
Elle s'est tendue, elle a poussé une sorte de cri, et, agitée de spasmes elle a joui, éclaboussant nos chairs de ses liquides intimes qui jaillissaient comme autant d'éjaculations. Moi j'étais bloqué dans un entre-deux. Elle m'a pris autrement, se poussant un peu plus loin, et posant ma queue sur son ventre, mes couilles reposant sur son clitoris. Ma queue bien à plat...Elle a frotté ma queue, et j'ai explosé de jouissance, crachant des jets de sperme à n'en plus finir, arrosant, son ventre, ses seins...
On se voyait comme ça, elle m'envoyait un SMS et je la rejoignais. Il y a eu chez elle, mais aussi dans d'autres lieux...On s'est retrouvés plusieurs fois sur un banc dans les parcs de la ville...Il y avait l'excitation d'être à l'extérieur, de risquer d'être vu, d'être vu même parfois, alors qu'une main ou une bouche allait et venait sur sa queue, alors que mes doigts glissaient dans sa chatte.
Il s'est passé deux ans avant qu'elle ne me dise:
--Ca fait deux ans qu'on se voie, et j'ai toujours envie que tu viennes dans mon ventre, mais toujours autant peur d'avoir un gosse par accident. Alors j'ai pensé qu'il y avait une solution.
On était chez elle. En deux ans, elle avait changé. Sa beauté s'était encore affirmée, il y avait quelque chose de resplendissant chez elle, un aura très fort. Ce qui n'avait commencé que par du désir, une envie intense, avait pris une autre dimension au fil du temps. J'étais sans doute très bêtement tombé amoureux d'elle, Alors même qu'il apparaissait comme une évidence que, d'ici peu de temps, nous quitterions la ville pour poursuivre nos études ailleurs, et avoir un métier aussi ailleurs.
On se parlait plus maintenant, au quotidien, et je la raccompagnais souvent chez elle. Ce jour-là, elle avait un pantalon de vinyle qui soulignait sa silhouette impeccable, ses jambes magnifiques. Elle s'est levée pour le défaire. Elle mettait plus souvent des petites culottes maintenant, et je me suis trouvé face à un slip fuschia. Je me suis demandé où elle voulait en venir, j'ai eu la réponse quand elle l'a baissé, et qu'elle a basculé en arrière. Son corps, je le connaissais par cœur à présent, et j'ai été surpris de trouver, là ou j'avais l'habitude de voir ses plissements anaux, une rondelle métallique en acier. Elle l'a retirée, me révélant un anus que le jouet avait fait béant et dans lequel il était facile de rentrer.
--Prends-moi par là..Là je ne risque rien et je te sentirai bien en moi.
C'était une perspective toute nouvelle, qui nous a excités tous les deux, on n'y avait pas vraiment pensé, on se voyait très souvent, mais on n'était pas pour autant de vieux routiers du sexe, et on avait envie d'essayer sur le champ sans attendre. J'ai attrapé un préservatif, et elle est venue se poser au-dessus de moi. Elle a pris ma queue dans sa main, l'a guidée, et je me suis retrouvé en elle. Je n'avais jamais encore pénétré une fille, et ma première sensation, ca a été celle caractéristique d'une sodomie. Plus tard, quand j'ai pris une fille de manière plus classique, j'ai vu la différence. La largeur d'une chatte, et là quelque chose de plus serré.
Ce qui s'est passé cette première fois, c'est que ça a été tellement bon, de me retrouver en elle, dans sa chair, dans sa chaleur, je l'avais anticipé, j'en avais rêvé que j'ai joui tout de suite, mon sperme partant dans le préservatif.
Elle a été un rien surprise.
--T'as déjà joui ?
Mais en fait je suis resté dur, et elle m'a gardé en elle.
Ce qui m'a énormément plu, ça a été d'avoir son sexe sous les yeux, les réactions d'excitation de celui-ci, et qu'elle vienne se masturber pour compléter son plaisir. J'avais sous les yeux une vision dont je ne me lassais pas, je devais bien l'avouer, son sexe tout excité, gonflé, gorgé de sang, ouvert...On avait un petit jeu auquel on jouait très souvent, on se caressait l'un devant l'autre jusqu'à la jouissance.
Elle s'est calée sur un rythme, se faisant monter et descendre sur ma queue, la caressant, en même temps qu'elle se masturbait, dans un geste large qui enveloppait l'ensemble de son sexe, m'arrosant et s'arrosant de ses jus intimes...Elle est montée dans le plaisir jusqu'à enfin jouir. La jouissance la plus violente que j'avais sans doute vu. Elle n'a pas gémi mais hurlé, et elle m'a arrosé de jets de mouille hyper violents.
Il nous restait quelques mois, et puis nous nous sommes séparés. Je pense qu'elle s'y préparait. On s'est vus de moins à moins, avant que la vie ne nous transporte ailleurs.
Et je la voyais devant moi. De dos.
Je me suis dit que j'allais partir, je ne voulais pas la voir aujourd'hui, près de...Non, je préférais ne pas compter.
Mais elle s'est retournée...
Je me suis dit que le temps avait été clément avec elle.
Il ne l'avait pas affadie, mais au contraire magnifiée.
Elle m'a reconnu tout de suite.
--Ca alors, je ne pensais pas te revoir...
--Moi non plus.
--Je suis revenue il y a deux ans, j'ai monté une épicerie bio. Je voulais changer de vie, et revenir au pays.
--On est ici pour la même raison, non ?
--Oui. Dire au revoir à hier. A notre passé. C'est seulement maintenant que je me rends compte à quel point j'étais heureuse à la MJC, mais aussi à quel point ces temps étaient heureux. Et insouciants. Je suis venue chercher un souveniir...Toi aussi j'imagine. Tiens regarde ce que j'ai trouvé...Ca te rappelle quelque chose ?
Elle avait récupéré plusieurs poignées de porte. Je me souvenais bien de ces larges portes en bois, épaisses, solides, qui s'ouvraient avec ces poignées, stylisées, une spirale de métal et une poignée qui ressemblait à une quenouille. Elles étaient en métal doré.
Elle m'en a tendu une.
--Ca t'ira comme souvenir ?
Et c'était vrai qu'à la voir, beaucoup de choses remontaient.
Je repensais à tous ces moments de sexe. La vie avait continué, j'avais vu et eu d'autres partenaires, et donc les choses étaient parties différemment. Et tout d'un coup, tout revenait. Et je voyais bien qu'elle s'en souvenait aussi.
Et au-delà que le désir remontait. C'était une autre Marie-Alice que j'avais sous les yeux, totalement épanouie, elle avait certes, en 15 ans, perdu sa première fraîcheur, mais elle était devenue, après avoir été une jeune femme, ultra-sexy, une trentenaire ultra-sexy.
Tout ce qui avait été enfoui, tout ce qui s'était dissous revenait, semblable et cependant forcément différent.
--Tu as le temps ?
--Je suis en vacances.
--Je n'ouvre que dans deux heures. Ca te dit qu'on aille boire un café ? On pourra évoquer le bon vieux temps.
Je suis parti avec elle. On s'est calés dans un bar un peu plus loin, au coin de la rue, avec deux cafés.
On a embrayé très vite sur ce qui nous avait marqués, bien sûr.
--Je n'ai jamais voulu te le montrer, mais j'étais folle de toi. Et quand il a fallu qu'on se sépare...Pour moi, c'était une tragédie...
--Je suis là pour un mois et demi encore.
Elle a souri.
--Tu as envie de renouer avec le passé ?
--Pas toi ?
--Si, elle a fini par avouer, j'aimerais qu'on reprenne là où on s'est arrêtés...Mais tu es là pour combien de temps... Un mois et demi, et après plus rien...
--Les mutations, ça existe. Mais pour l'instant, on n'aura que ce temps, c'est vrai.
Elle a fait une pause, avant d'ajouter :
--Tu n'es jamais venu dans ma chatte...A l'époque, j'avais trop peur d'être enceinte.
--Et aujourd'hui ?
--Ma hantise est derrière moi, et j'ai des préservatifs sur moi.
Elle a pointé son doigt vers le bout de la rue.
--Tu vois la maison avec une façade ocre ? J'habite là.
On est presque partis en courant. Les quinze ans de séparation s'étaient dissous, et c'était comme si on s'était quittés la veille.
Elle était devant moi, et, pendant qu'on montait la volée de marches, j'ai retroussé sa robe parce que j'avais envie de voir son cul. Elle avait un collant, pas de slip dessous, et j'ai retrouvé sa croupe pleine, reboondie, et le sexe niché en haut de ses cuisses.
--Mets ta main dans mon collant et touche-moi le cul, j'en ai envie, elle a dit, pendant qu'elle cherchait ses clefs.
J'ai retrouvé des sensations du passé, et pourtant, elles étaient quand même neuves. J'ai pris ses fesses à pleines mains, me remplissant de leur volume, de leur rebondi, de leur chaleur,
--Il n'y a rien de plus beau qu'un cul de femme.
--Le mien.
--Tu n'as pas les chevilles enflées, toi...
--Ce qui t'intéresse surtout, c'est que mon cul soit enflé, non ?, elle a dit en rentrant la clef dans la serrure, tournant et poussant la porte.
J'ai pénétré à sa suite, j'ai basculé à genoux, la retenant par les hanches, descendant le collant, appuyant sur ses fesses, et venant glisser ma langue dans son sillon fessier, le faisant coulisser plusieurs fois, avant de revenir sur sa muqueuse anale, sous ses gémissements.
--Tu démarres fort, elle a dit. C'est un bon retour.
Et c'était vrai que c'était étrange, de constater que la période entre s'était totalement dissoute. C'est exactement comme si on ne s'était séparés que la veille.
--Ca y est tu me rends folle...Je sens que ma chatte s'ouvre. Viens...On va faire ce qu'on n'a pas fait il y a quinze ans...Tu vas venir dedans...Je suis plus rationnelle, maintenant.
J'ai glissé mes doigts entre ses cuisses, et constaté qu'effectivement, son sexe s'entrouvrait et qu'elle coulait bien.
Ca s'est fait très rapidement et sans préliminaires. Mais ils n'étaient pas forcément nécessaires. Il s'agissait sans doute d'arriver, quinze ans après, au bout d'un chemin, avant d'en prendre un autre. Elle m'a entraînée dans un living chaleureux.
--J'ai envie de retrouver ta queue. Tu crois que c'est possible?
Elle n'a même pas attendu la réponse, deux minutes plus tard, elle avait ma queue dans la bouche, faisant aller et venir celle-ci dessus comme si elle avait voulu la bouffer.
--Elle a pas changé...Toujours bien longue et bien dure...
Elle se caressait en même temps,
--C'est bien qu'on se soit revus. Tu sais que quand on s'est perdus de vue, j'ai toujours énormément culpabilisé qu'on n'ait pas fait l'amour de manière plus classique. Pour toi et pour moi...J'étais totalement parano. Je prenais la pilule, si tu étais venu dans ma chatte avec une capote, il n'y avait aucun risque.
Elle a récupéré une boite de capotes dans un tiroir, elle en a sorti un, l'a arraché de son emballage, et a fait glisser le latex sur ma queue bien dure. Deux secondes plus tard, le collant descendu à ses genoux, elle venait au-dessus de moi, et elle guidait mon membre vers ses lèvres, pour l'ajuster sur son sexe. Mais il est rentré du premier coup, et ce dont on avait eu envie sans jamais vraiment se l'avouer s'est enfin réalisé. J'étais dans sa chatte, enveloppé par la sensation de la gaine élastique de son vagin autour de ma queue. Elle s'est mise à pleurer de joie, de me sentir en elle, se faisant monter et descendre sur ma queue. Il y avait des filles qui se faisaient prendre par la chatte, qui rêvaient d'une queue dans leur anus, elle, c'était l'inverse. Le plus simple, le plus basique, il avait fallu attendre quinze ans pour y arriver.
Mais c'était très bon pour moi aussi. Différent sans aucun doute de ce que je pouvais ressentir quand j'étais dans son rectum, et j'aurais été bien incapable de faire passer un plaisir devant l'autre.
Elle était en plein nirvana, et ça a duré longtemps, dans une tension, elle s'est mise à jouir, secouée par des orgasmes. Elle a lâché tellement de sécrétions autour de ma queue que j'ai pensé qu'elle se faisait pipi dessus.
Elle s'est soulevée, sortant ma queue qui n'avait pas encore joui, dilatée à l'extrême, j'avais du gagner un bon tiers depuis que sa chatte me frottait, et elle a posé mon gland, énorme,contre sa muqueuse anale, en disant :
--Il faut aussi être fidèle aux plaisirs du passé.
Et elle s'est laissée descendre sur moi jusqu'à m'avoir avalé jusqu'à la garde.
C'est vraiment à ce moment que le passé est remonté. On s'est retrouvés quinze ans en arrière, quand elle me prenait pas le cul par peur d'avoir un gosse.
Le temps s'est étiré, le plaisir aussi, jusqu'à ce qu'on sont épuisés à force d'orgasmes.
On ét ait en fin d'après-midi et elle m'a dit :
--Si tu restais diner ce soir ? Et pourquoi pas cette nuit ? On s'est retrouvés, j'ai envie qu'on reste un peu ensemble.
Ca s'est étendu au matin, à la journée suivante, à celle d'après, puis au mois et demi. Et quand je suis reparti, pour revenir d'ici un mois, je savais que je la retrouverais.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Deconstruction, sexe et MJC partie 3

Le 08/11/2023 - 12:53 par Sexytoy86
Superbe histoire
Le 07/11/2023 - 20:03 par JamesB
Merci pour ces commentaires laudateurs.
Le 07/11/2023 - 16:24 par OlgaT
C'est une très belle histoire

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