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Delphine, une lesbienne pure souche

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Lue : 864 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/03/2015

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LES AVENTURES DE PATRICK.
Patrick et Delphine.

Je m'appelle Delphine, je vis en colocation avec Sylvie et Jeanne, 3 très belles filles de 21 ans qui habitons ensemble dans un grand logement.
Nous avons une particularité, nous sommes tellement bien ensemble que nous n'avons besoin de personne d'autre pour nous donner du plaisir.

Cela fait 2 ans que nous filons le parfait amour mais un grain de sable vient de se glisser entre Sylvie, Jeanne et moi. Je suis des cours pour devenir ostéopathe et suis devenue une très bonne amie d'un beau jeune homme poursuivant les mêmes études. Patrick.

Nous avons de longues conversations sur tout et rien et un jour je lui ai fais la confession de ma vie intime avec mes colocs, le regrettant aussitôt. Contrairement à ce que je craignais, il ne s'est pas moqué de moi mais a trouvé notre cas intéressant m'expliquant que de son côté c'était aussi assez spécial ayant déjà couché avec sa demi-sœur et sa tante par alliance, des fois avec les 2 en même temps. Il n'est donc pas choqué par notre comportement.

- Je t’apprécie beaucoup Delphine et tu me plais beaucoup. Mais j’ai l’impression que toi et tes amies refusent quelque chose qui vous fait peur.
Tu es belle et tu as la chance de vivre avec Sylvie et Jeanne une expérience que peu de femmes peuvent se vanter de vivre. Il n’est pas question pour moi de m’interposer entre vous trois, même si l’idée d’être avec vous est plus que tentante.

- Tu aimes être avec moi, tu aimes être avec elles. De quoi à-tu peur ? Tu as une chance inouïe.
L’Amour est une force qui peut se partager à l’infini. Une mère aime autant ses enfants, qu’elle en ait un, deux ou plus.
Toi, Delphine, tu aimes autant Sylvie que Jeanne mais votre histoire ne doit pas inhiber votre sexualité et vous empêcher de connaitre d'autres expériences. Comme les petits enfants, il faut goûter avant de dire que l’on n’aime pas.
Il m'a si bien convaincu que j'ai cédé à ses avances et je l'ai invité chez moi, mes colocs étant absentes. Je l'ai mené à ma chambre avec un peu d'appréhension pour la suite.

Ne voulant pas me brusquer, il me demande d'enlever mon pantalon !
Je déboutonne mon jean, et d’un geste rapide le fait descendre sur mes chevilles. Je porte un string noir qui contraste avec la blancheur laiteuse de ma peau.

Il m’aide à me débarrasser totalement de mon pantalon et s’agenouille devant moi, il admire ma chatte, écarte le tissu du string et découvre mon petit paradis et commente sa vision.

- Tu es belle, avec ton pubis complètement épilé et bombé. Tes grandes lèvres sont fines et ouvertes et laissent voir les petites lèvres luisantes d’un rouge vif. Ton clitoris est petit mais déjà dressé et dur sous l’effet de l’excitation.
Je vais te bouffer la chatte si tu le veux bien! Je rougis enivrée par ses paroles. Patrick glisse un doigt sous le tissu et caresse mon pubis. Je sens la pression légère de ses baisers sur mon sexe.
N’en pouvant plus, je retire mon string. Patrick en profite pour remonter sur mes seins qu’il lèche avec un réel plaisir. Je vibre à chaque contact avec lui.

Pendant qu’il me suce les tétons, sa main se glisse sur mon sexe et ses doigts se perdent dans ma chatte complètement ouverte. Je ne peux retenir mes gémissements et tout mon corps s’abandonne à ses caresses.
Patrick lâche mes seins et descend vers mon ventre pour enfouir sa tête entre mes cuisses.
Il pose sa bouche entre mes grandes lèvres et suce goulûment mes petites lèvres puis le clitoris, plongeant sa langue à l’intérieur du canal vaginal, sombre et étroit.

Je prends un immense plaisir à me faire sucer la chatte. Je bouge mon bassin au rythme du va et vient de sa langue dans mon vagin.
Il continue à me lécher longtemps, arrêtant de temps en temps le mouvement de sa bouche, de ses lèvres et de sa langue, pour que je ne jouisse pas tout de suite.

Il veut faire durer le plaisir pour que ma jouissance finale soit paroxysmique, phénoménale. Je me mets à couler abondamment.
Il boit tout mon jus avec délectation. Je pousse des petits gémissements et lui tient la tête pour la maintenir en place et l’empêcher de s’en aller ailleurs.

- Encore ! Encore ! Ne t’arrête pas ! Il me regarde et m'avoue. - Tu as le goût et l’odeur d’une fille vierge, un peu visqueux, acide et salé. Une merveille pour mes papilles !
Il me titille maintenant mon anus avec sa langue. J’ai un petit anneau brun très serré.
Il le lèche un moment en le mouillant avec sa salive, tentant d’y introduire un doigt.
C’est difficile, tellement ma rondelle est serrée.
Il retourne à ma chatte et suce mon clitoris jusqu’à ce que je me mette à gigoter comme une folle et à crier :
- Baise-moi ! Baise-moi ! Mets-moi ton sexe à l’intérieur ! Défonce-moi la chatte!

Il mouille un doigt avec le liquide qui sort de ma chatte et en lubrifie l’anus pour qu’il s’ouvre et laisse pénétrer son doigt, et pousse un peu pour forcer l’entrée et l’introduit à demi dans l’orifice.
Je pousse un petit cri de surprise mais trouve la chose très agréable. Il suce ma chatte s'abreuvant à la source. Le tout, en faisant tourner doucement son doigt incrusté dans mon anus.

Je me sens défaillir tant l’excitation et l’envie de jouir et de décharger sont fortes. Je me tends comme un ressort et pousse un long râle rauque très sonore, avant d’éclater comme un tonnerre et lâcher un torrent de cyprine, en criant, dans sa bouche.

Ses mains sur moi m’électrisent, il me caresse partout. Je le laisse faire. Maintenant c'est à mon tour, je le caresse et me surprends à descendre vers son sexe qui fait une énorme bosse dans son pantalon.
J’entreprends de défaire la ceinture, dégrafer les boutons de son pantalon, ouvrir la braguette, abaisser le pantalon et le slip sur ses genoux et mettre à l’air libre son engin qui se dresse immédiatement à la verticale, la vue de son sexe me surprend par sa taille.

Je demande à Patrick de se mettre nu comme moi. Ce que je vois est énorme et une inquiétude commence à naître en moi pour la suite des évènements.
Mon excitation est à son comble. Je me sers de godes dont un de la même longueur mais en beaucoup moins gros.
Son sexe ressemble à un gode de Sylvie d'une dimension exceptionnelle, le modèle P. J’allais peut-être avoir mal et mon inquiétude augmente.

Je prends sa queue dans ma petite main et me rends compte qu’elle n’arrive pas à l’entourer. J'ai une impression bizarre de déjà vu.
Je murmure dans un souffle.
- Je me demande bien comment elle pourra rentrer dans ma chatte! Elle va me déchirer !

Sans attendre de réponse je me mets à genoux sur le sol et avance ma tête vers son gland boursouflé, promène mes lèvres à demi ouvertes tout autour de lui en donnant de temps en temps des coups de langue pour le titiller un peu plus.
J’ai pris son sexe en y allant étape par étape. Je commence à le lécher du bout de la langue et ensuite j'ouvre toute grande ma bouche et essaie d’y introduire son gland violacé, j'ai une toute petite bouche et je dois l’ouvrir encore plus pour qu’il entre.

Au bout d’un moment je trouve la méthode pour que la pénétration se passe bien, sans le mordre et sans m’étrangler avec une queue aussi énorme.
Ma bouche épouse parfaitement la forme de son pénis en érection comme un moule sur la dimension hors-norme de sa queue.
Je regarde ce sexe d'homme que je découvre vraiment pour la première fois. Je ne croyais pas que ce soit aussi gros…

Je joue avec son gland en bouche plus habituée à téter les seins de mes sœurs, je découvre de nouvelles sensations. Pendant ce temps, Patrick ne reste pas immobile et il me caresse les seins en jouant avec mes tétons.
À plusieurs reprises, il me montre comment décalotter le gland ou branler la hampe majestueuse.
Je découvre et j’adore. Il me veut tête-bêche sur lui pour faire un 69. Sans aucune hésitation, je lui tourne le dos et lui présente ma croupe.
Il doit avoir une vue imprenable sur ma chatte. Il me dit que je suis vraiment superbe et met ses mains pour m’ouvrir encore plus. Je recule mes fesses et pose ma vulve baveuse de désir sur sa bouche. Tout mon corps s’électrise au contact de sa langue.

Il lèche admirablement bien et le plaisir me submerge. Je glisse rapidement son sexe dans ma bouche et l’enfonce au fond de ma gorge.
Sous ses assauts j'ai un orgasme foudroyant, je le veux en moi, là, maintenant, au fond de mon ventre. En retirant ma jambe pour libérer la tête de Patrick, je l'implore. - Viens en moi maintenant, j’te veux vite, prend moi en levrette !

Je me positionne à quatre pattes avec la croupe bien tendue. Patrick se relève et vient se mettre derrière moi. Je sens un doigt me pénétrer et il me prévient.
- Il ne m’est encore jamais arrivé de prendre pour la première fois une fille dans la position de la levrette.
C’est une position qui ne permet pas de s’y prendre avec précaution et d’adoucir le dépucelage ce qui est ton cas pour une vraie pine et comme tu l'as remarquée, tu n'as pas choisi un petite modèle.

Je me pose aussi la question, te défoncer l’anus ou la chatte?
Je vois son membre, déjà à l’apogée de son développement, grossir un peu plus. Il est devenu monstrueux à force de désir et d’attente.
J'espère qu'il vient de plaisanter, je ne suis pas encore prête pour une sodomie, surtout avec un tel pal.
Accédant à mon désir, il fait pénétrer son engin fabuleux en moi, c'est chaud, dur et aussi plein de douceur.
Elle est si épaisse que même mouillée comme je le suis, je la sens me distendre les chairs, tout mon sexe est comme écrasé et écarté. Il introduit son membre avec délicatesse sans forcer.

Mon vagin est très étroit, mais parfaitement lubrifié. Il se retire et replonge encore un peu plus profondément, ressort à nouveau et d'une seule poussée la plante en moi jusqu'à la garde butant sur le col de mon utérus, je n'ai jamais connue cette sensation d'être complètement remplie.
Il commence à limer, entrant et sortant doucement presque entièrement, alternant les coups de boutoir doux et puissants. Je gémis quand son sexe rentre en moi, ça n'a rien à voir avec un gode. Mon vagin enveloppe comme une gaine son membre, il se referme sur la partie de la hampe qui me pénètre et le masse.
Sa queue est si longue qu'il ne peut la faire entrer en entier. Il ressort son engin doucement et en caresse ma fente et mon clitoris.
Je gigote et gémis de plaisir, me crispant de temps en temps quand je sens son membre me pénétrer pour aller cogner légèrement.
Il m'a de nouveau mit un doigt dans le cul après l'avoir lubrifié dans ma chatte. Puis deux. Drôle de sensation.
Ca va faire 25 minutes qu'il me besogne et il n'a toujours pas jouit, je croyais que les hommes lâchaient la sauce en 10 minutes tout au plus.

Soudain il se retire et je sens une pression s'exercer sur mon petit trou. Il me donne tellement de plaisir inconnu que je lui fais confiance mais j'ai quand même très peur de ce qui va suivre.
Sa bite est toujours tendue au maximum, bien huilée par mes sécrétions vaginales, il la frotte plusieurs fois contre la rosace fermée puis maintien son gland congestionné contre l'anus avec sa main,

- Je vais te sodomiser, tu risques de souffrir au début.
Il présente le gland et pousse énergiquement me retenant avec l'autre main. La queue essaie de rentrer, la hampe plie sous l'effort, la tête de son sexe arrive à peine à s'introduire, je hurle de douleur.
Mon sphincter s'ouvre sous la pression et lentement laisse glisser le gland énorme se resserrant une fois passé son gros champignon. - Putain! Ton anus est tellement serré que j'ai de la difficulté à faire rentrer mon gland, je sens le bout de ma bite regonfler à l’intérieur.
- Oh s'il te plait..... J'ai mal ... J'ai trop mal .... Tu es beaucoup trop gros !..." "Oohhhhhh..... Oh, mon Dieu .... Ohhhhh ....... Nonnnnnnn , tu me déchires ! Après avoir patienté une minute pour que je m'habitue à cette intrusion dans mon fondement, il me prend par les deux hanches et pousse faisant pénétrer le début de sa hampe...
- ooooooooouah !! Tu es trop gros arrête !!! Il pousse encore plus fort.
- aaaaaaaaaaaaaah !!! Mon dieu que ça fait maaaaaal, noooooooon !!! Ca ne rentrera jamais!!! Arrête, j'ai trop mal !!

Il donne un violent coup de reins. Je défaille sous la douleur.
Le mandrin s'est enfoncé de 15 cm et commence un lent va et vient, sa bite ressort et se renfonce toujours un peu plus.
A chaque poussée il gagne 2 a 3 cm.
- Tu es hyper serrée!!!
Lentement il ramone le cul.... dilaté par la queue gigantesque.

- Ça te plait, la douleur s'atténue?... La progression est continue, les derniers centimètres sont les plus durs étant les plus épais. - Ca va ? ¬ - Ca commence à aller mieux mais je déguste, je ne croyais pas que j'aurais aussi mal.¬ C’est bon, fort, très fort mais délicieux.
Pendant un bon moment il pratique de la sorte, enfin ses couilles frappent mon cul. Je prends un pied phénoménal. Chaque poussée de sa queue dans mes reins me tord de douleur mais aussi de plaisir.
- J'ai même plus mal putain ça devient même très bon !!! Vas-y encules moi à mort, fais-moi jouir par le cul !!!

Encouragé par ces mots Patrick accélère la cadence, le monstre de chair entre et ressort du cul à vive allure, le rythme et soutenu.
Longtemps il me pistonne et je jouis à répétition.
Patrick alterne entre mon cul et ma chatte. Plus il effectue des passages dans mon vagin et plus le retour dans mon cul est facile.

Je sanglote t m'offrant lubriquement à ses assauts…
Alors il reprend ses enculages, se retirant parfois du cul avaleur de bite pour s'enfouir dans mon étroite petite chatte. Je me fais empaler et je trouve cela bon et agréable.
Il se retire brusquement, vient présenter sa queue devant ma bouche et m'ordonne. - Suces moi maintenant !!
Et il enfourne difficilement le mandrin qui est toujours gonflé entre mes lèvres, je tète sa monstrueuse bite.
Je la sens vibrer et enfler et soudain il décharge une quantité énorme de sperme dans ma bouche. Continuant inlassablement à se vider les couilles. Son sexe crache sa semence en longs jets.
Bon sang, c'est incroyable, les hommes sont-ils tous comme lui?
J'essaie de déglutir mais ne peux suivre le rythme, des filets de foutre coulent aux coins de mes lèvres. Le goût n’est pas particulièrement mauvais, pas plus que la cyprine de mes sœurs. Il se retire de ma bouche mais son engin ne désenfle pas, il est toujours aussi gonflé.
- J'ai encore envie de toi!
Et pendant les 2 heures qui ont suivi, il m'a prise encore 3 fois, j'ai vraiment tiré le bon numéro!
Nous avons recommencé de plus en plus souvent nos agapes sexuelles et ce qui devait arriver arriva. Un jour, Sylvie et Jeanne sont revenues plus tôt que prévu et nous ont surpris en plein 69.
Mais ça, c'est une autre histoire!!!
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Histoire de mlkjhg39

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