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Dépanneur intime

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Lue : 17104 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/05/2010

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Il est des métiers privilégiés à certains égards. Oserais-je dire que je suis un touche à tout de génie. J’ai toujours su user de mes mains. Mon premier métier dont j’ai été évincé pour une sordide histoire de malversation dont je me défends encore aujourd’hui d’être en partie innocent, était celui de gratte-papier dans un cabinet comptable. J’ai toujours eu une horreur quasi physique des chiffres et du jargon du droit. Je me demande encore à quelle sirène ai-je pu céder pour avoir perdu dix ans de ma vie dans ce foutu métier.

Bref le destin a voulu que j’en sois par providence éjecté. J’ai pu du même coup flatter mon autre vice : les femmes. Hormis quelques aventures de raccroc et la baise quotidienne de la vieille secrétaire du cabinet comptable, j’ai du ronger mon frein souvent. Du coup je me trouvais du jour au lendemain à avoir beaucoup de temps et de loisir et à gagner bien ma vie. On n’imagine pas les opportunités qu’on peut avoir en milieu de journée, notamment quand les maris et les invétérés forçats du salariat ont déserté au matin leur domicile et leurs dame. Qui plus est il y a tout ce contingent de désœuvrés et de chômeurs vivant d’expédient et d’allocations sommés de devoir s’ennuyer devant la télé ou dans les rayons des supemarkets. J’ai trouvé à consoler et à réjouir beaucoup de ces femmes abandonnés. Par ailleurs mon annonce sur le Net d’homme à tout faire, bricoleur émérite et coursier infatigable a vite fait de me constituer un réseau de fidèles. Tantôt repeindre une chambre, dépanner une auto récalcitrante, conduire une mamie à l’aéroport, faire des courses et monter celles-ci aux étages, autant de petits services rendus à toute cette planète du peuple. J’y ai croisé un florilège de garces charmantes. Plus attendrissantes les unes que les autres. J’y ai conforté ma misandrie initiale. Les mecs sont en-deça des femmes. Ils ont mérité cent mille fois d’être cocus.

Ma dernière cochonne s’appelait Milady, un surnom commode. Une mère de famille de cinquante ans dont le mari était un notable important de la ville que j’avais croisé souvent sur des chantiers, type sympa au demeurant. La première fois que j’avais découvert sa nana, celle-ci était venue le chercher dans un gros 4x4 et l’attendait debout contre le véhicule tirant sur sa longue cigarette, le regard planqué derrière d’énormes lunettes noires. Je trouvai inconvenant qu’elle pu ainsi me cacher ses yeux. J’avais ce jour là affecté de me planter devant elle pour mater sans vergogne ses belles jambes gainés de noir. Je comptais bien en retour qu’elle apprécia mon manifeste hommage de mâle. Mon effronterie m’a souvent réussi. Les femmes ont une prédilection pour les mufles et les voyous. Je ne pensais pas ce jour devoir revoir cette femme.

Or un jour sur la boite e-mail je découvre qu’en toute urgence l’on me requiert pour récupérer des données informatiques. Le disque dur de l’ordi d’un jeune garçon était out. Il se trouvait que celui-ci était le fils de la dame en question. L’échéance du BAC approchait, tous ses dossiers et autres pièces de révision étaient renfermés dedans. Je lui rappelais l’intérêt de devoir toujours sauvegarder son boulot sur la clef USB. Le gamin était pédant et désagréable. Je découvrais ce jour là les yeux gris magnifiques de sa mère qui n’arborait point de lunettes noires cette fois là. En un tourne main je récupérais les informations dans ledit ordi et ramenait celui-ci triomphant le lendemain. Il était dix heures du matin, le gamin était absent. Sa mère vint m’ouvrir en peignoir. J’avais songé à elle toute la nuit. Je ne fus pas tant étonné qu’elle me reçoit en si léger appareil. Nombre de femmes procédant de la sorte. Par bravade je tins à m’excuser d’avoir été peut-être trop prompte à venir et que j’aurais du auparavant l’appeler afin de ne pas la surprendre au sortir de sa toilette. Elle perçut d’emblée mon ironie et me rendit un grand sourire. « Vous trouvez que ma tenue est inconvenante ? » « Non j’ai l’habitude », répondis-je », ma réplique résonnait avec le maximum de muflerie, elle aurait du me rembarrer, récupérer l’ordi, me payer et m’indiquer la sortie.

En fait et à dessein, je lui signifiais qu’elle pourrait avec moi aller à l’essentiel et ne pas perdre son temps. Un second sourire m’encouragea à poursuivre. Elle me dit qu’elle était un peu pressée mais que volontiers elle partagerait un peu de son café avec moi avant de me libérer. Elle m’enjoignis de m’asseoir sur le fauteuil du salon et placé en vis à vis de moi, elle s’assit à son tour et sans détour me découvrit tout ‘intérieur du peignoir. Elle avait une sorte de tee shirt mauve foncé assez moulant et absolument pas de culotte, sa chatte m’étant offerte de même que ses cuisses dont j’avisais la chair blanche au dessus des bas. Elle put vérifier mon grand sang froid.

En effet j’examinais calmement la beauté de sa moule. J’émis même un petit sifflement vulgaire et que prodigue des fois l’ouvrier sur le chantier lorsque passe une belle pouliche. Elle avait du elle même essuyer ce genre d’avanie. « Dois-je en déduire que votre mari a beaucoup de chance ? » « il est fatigué par les ans et par son boulot, je ne peux tant lui demander ». Je me levais en un instant et me mettant à quelques centimètres de son beau visage fatigué traversé encore de beaux yeux gris, j’ouvris lestement ma braguette et sorti ma bite afin qu’elle en put mesurer et la grosseur et la beauté. Je m’abandonnais au jeu amusant et caressant de lui en caresser la joue et la bouche. Elle s’amusa d’être ainsi agacée et défiée. Puis en un instant sa bouche happa et englouti ma verge toute entière comme l’eut fait une murène d’un imprudent poisson. Je découvrais ainsi son avidité et l’ampleur et toute sa lubricité. Elle aimait sans façon la queue, je devinais qu’elle ne pouvait facilement s’en passer et nombre d’hommes avaient du recourir à son talent. Je sus après un jeune livreur de pizza l’avait hier besogné dans le garage tandis que son fils regardait la télé avec des copains. Elle adorait souvent faire la pute sur une impulsion. Avec quelque effroi elle s’était ressouvenu de mon visage que je l’avais snobé un jour sur un chantier et si son fils n’eût été présent elle m’aurait éconduit en me traitant de « pauvre con ».

Par la suite elle avait avisé que j’étais vigoureux, adroit, intelligent. Elle conçut qu’au lieu d’une vengeance ce serait bien de m’ajouter à sa cohorte d’amants et de queues de hasard. Elle avait souvent reçu en petite tenue des ouvriers de passage. Elle ne tombait pas nécessairement toujours sur quelque Apollon mais elle ne pouvait se résoudre à abandonner son idée initiale. Ainsi elle avait il y a une semaine manigancé pour que lui soit adressé qu’un jeune mécanicien stagiaire qu’elle avait repéré au garage Renault afin qu’il vienne réinitialiser la boite de vitesse de son espace. Or celui-ci avait au dernier moment été remplacé par le patron lui-même du garage vieux beau de 65 ans d’origine vaguement albanaise qu’elle méprisait et moquait souvent devant son mari. L’idée ne l’aurait jamais effleuré de coucher avec ce type. Or il était là ce matin devant elle avec sa boite à outils engoncé avec son ventre ridicule dans sa combinaison graisseuse. Elle affublée de son fameux peignoir de circonstance et fort marri que ce ne fut le charmant blondinet tant convoité. Elle dut se reprendre et masquer son dépit. Elle commença à raconter que la course était inutile car l’auto avait ce matin démarré. Elle ajouta que la course serait cependant payée d’un gros pourboire de 50 €. Le patron protesta, elle insista, lui dit d’entrer une seconde tandis qu’elle allait chercher la somme. Dans la chambre toujours colère, elle trouva bon de se venger de cet empoté de stagiaire qui manifestement laissait passer sa chance. Ce serait son con de patron qui s’amuserait à sa place. Elle revint tout sourire avec le billet de 50 €. Elle dit j : « ’insiste pour que vous m’aidiez à finir mon café, ensuite je vous rend à vos ouvriers ».

Disant cela elle s’assit de même en face de lui sur le divan en ouvrant ostensiblement son peignoir la chatte à l’air. Il eût fallu filmer la mine et les yeux écarquillés du papy. Il regarda autour de lui afin de deviner si un détective privé ou le bon Dieu n’était posté en embuscade. Il ne rêvait pas cependant pas Mme untel dont il connaissait bien le mari, un très gros client, lui montrait sa moule et aspirait manifestement à davantage. Tétanisé, elle fut bientôt sur lui, s’asseyant sur ses genoux et lui prenant le menton avec les doigts, regard de chienne allumé, lui disant : « T’aurais peur de moi, mon chérie ? », elle lui dévora la bouche, leurs langues se mêlèrent . Elle trouva, délicieux, répugnant que cette bouche d’ouvrier pua le vin déjà le matin. La combinaison fut hâtivement descendue sur les godasses et la queue promptement sucée. Elle s’assit dessus, la chatte fort baveuse. Il se réveilla enfin et conçut l’aubaine de se taper une salope et qui plus est une bourgeoise des plus notoires. Il accorda volontiers à celle-ci un dernier caprice en l’enculant à même la moquette. Cela fut fait sans cérémonie. La bite épaisse entra rapidement dans l’anus. Ce dernier se révélant des plus généreux.

Manifestement il avait été souvent éprouvé, visité par d’autres. Il lui éjacula dans le cul et dessus les fesses. Elle se rua ensuite et pour finir sur la queue pour la sucer, la lécher comme s’il se fut s’agit d’un outil qu’il fallait laver, nettoyer de toute trace de stupre. Elle le poussa rapidement hors de chez elle sans omettre de lui signifier et d’un air menaçant que son mari n’aimerait pas entendre dire du mal de son épouse. Il se confondit en excuses et disparu avec son billet. Je tiens à préciser que je la baisais et l’enculais de même sur la moquette, rituel oblige et elle me conta par le menu deux ou trois saloperies récentes de son acabit. Elle était belle femme, intelligente et distinguée et ses yeux las et gris me demeurent encore comme un regret.
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