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Ni pute ni soumise

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Lue : 11976 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/05/2010

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J’ai eu une longue conversation avec l’une de mes meilleures amies. Je sortais d’une longue dépression nerveuse. Nous nous étions croisées une après-midi à la grande librairie du centre ville. Elle était flanquée de son grand fils de 17 ans joli garçon. Nous nous étions perdues de vue depuis dix ans. Elle avait d’emblée était frappée de mes traits amaigris et éteints. Sur un ton de rigolade elle avait insisté pour que nous prenions au plus vite un verre au pub du même centre ville.

J’accédais deux jours après à sa demande. Je lui racontais rapidement ma galère banale dont mon ex et moi même nous ne sortîmes grandis. Pour aller vite mon mari s’était enfui depuis avec une toute jeune stagiaire de sa société. J’avais consenti longtemps à ses infidélités chroniques d’autant qu’il satisfaisait encore à son devoir conjugal. J’avais même dit oui à certains de ses derniers caprices sexuels. Tout cela m’a détruit et je me recompose à peine.

Ladite amie qui me consolât ce jour là (je l’appris bien plus tard) était aussi tombé dans ses rets. Mais elle était pour lors consentante et n’était pas en reste pour les affaires de cul. Je le compris d’autant qu’elle me demanda par le détail que je lui contas par le menu toutes les turpitudes subies. Je m’en tins aux dernières. J’avais quarante cinq ans et pouvais paraître encore une belle femme blonde, grande de ses 1,75 m arborant tailleurs, talons hauts et pouvant légitimement rendre fier un époux revendiquant un rang de choix parmi les notables de notre ville. Il était flatté que sa femme fut convoitée et des fois courtisée devant lui s’en remettant à bon droit à la vertu et au savoir-vivre de celle-ci. En effet à défaut de l’avoir aimé vraiment, je l’ai admiré.

Son ton d’autorité, son audace et sa désinvolture m’ont toujours subjugué. Je ne concevais autrement qu’un homme vrai pu être autrement. Il ressemblait tant à mon père qu’il avait séduit illico. J’aurais du me souvenir des chagrins que ce même père a infligé à ma mère. Le début des incartades fut relatif à un appel d’offres de la mairie pour un chantier près de la nouvelle zone industrielle. J’oubliais de dire que mon ex-mari était un gros entrepreneur de bâtiment. Il appris que son offre pouvait lui être refusée. Celle-ci était gérée par un de ces sinistres copains, complice de poker et de beuverie. Ce dernier m’avait souvent dragué effrontément devant lui.

Il était petit, noiraud et au vrai assez moche compensé par une morgue non moins grande. Le délit d’harcelement sexuel a du être inventé pour lui. Nombre de jeunes assistantes ont du céder à ses avances. Il s’en vantait largement. Je ne comprends pas encore aujourd’hui qu’on ait pu tolérer cela dans cette mairie. Notamment les femmes auraient du se fédérer pour évincer ce type ou du moins obtenir qu’il cesse ses agissements. Je n’aurais jamais imaginé qu’un jour je pus tomber aussi dans ses griffes et cela du fait même de mon époux.

Ce dernier rentra un jour furieux dans le bureau du sinistre personnage. Appelons le Paul par commodité. Ledit Paul nia d’abord qu’il fut responsable du fiasco puis de but en blanc convint qu’une autre société avait davantage les faveurs du maire du fait de pots de vin plus conséquents. Paul précisa que sur le plan financier il serait difficile de concurrencer. Seul un je ne sais quoi pourrait faire pencher la balance. « Demande à ta femme ! » Mon mari fut un premier temps interloqué que je vins ainsi dans la conversation. Me croyant infidèle il se rembrunit un peu et fit son offusqué. Paul le rassura d’emblée et au contraire fit un éloge outré de ma vertu. Notamment que je lui avais refusé un restaurant un midi, proposition sans équivoque car au su de tout le monde. Paul avait été affligé que la femme de son meilleur ami lui refuse une invitation si anodine. Mon mari en un clin d’œil compris où Paul voulait en venir. Il devina les projets très précis de Paul à mon égard. Il fit l’idiot et assura à Paul que d’ici à la fin de semaine il obtiendrait un déjeuner en tête à tête. Les affaires allaient mal, ce chantier ne pouvait lui échapper. Il se convainquit que Paul n’abuserait pas de la situation. Je fus abasourdi qu’il me rapporta cet arrangement et que surtout il m’obligea à l’accepter pour soutenir ses affaires. Je dis en plaisantant qu’il me prostituait de quelque façon. Je fus surpris alors de son regard et du ton emprunté : « tu veux que je te fasse un dessein. Démerde-toi mais je veux que ce con signe pour moi ». « il est inconcevable que ça foire. Tu en serais la première responsable. Ne commence pas à me décevoir ». Je mesurais maintenant tout le mépris que je lui inspirais. J’allais pleurer dans ma chambre.

Là je fus surpris par la sonnerie de mon portable et surtout d’entendre la voix dudit Paul manifestement impatient d’un rendez-vous. Il s’excusa et m’avoua que c’était mon mari qui lui avait fourni le numéro. Je dus conservé ma contenance et ne pas laisser exploser ma colère. J’affectais d’être au courant et dis être enchanté de déjeuner le jour voulu avec lui. Je me haïssais au plus haut point. Je méprisais ce Paul et craignais plus que tout mon mari. Je me rassurais que j’accéderai au désir idiot dudit Paul dont le seul but avoué était de nourrir sa vanité et de se monter en charmante compagnie le midi avec une des femmes les plus en vue de la ville. Je préparais déjà la version que je servirais à mes copines en disant que j’étais en service commandé pour mon entrepreneur de mari. Bref tout cela ne méritait pas tant d’émotion. Je notais cependant que mon mari m’utilisait à son business ce sans scrupule.

Ce fut le surlendemain que j’allais au plus joli restaurant de la ville. Il est un peu à la périphérie de celle-ci près d’un bois charmant. Beaucoup de messieurs y amènent le soir leurs maîtresses ou de notoires prostituées. L’heure du midi me rendit tout cela anodin. Je ne me méfiais guère et cependant je me surpris à peaufiner ma mise. Je devais séduire un peu ce type et je sacrifiais à une jupe des plus courtes et à des bas résilles. Je pris conscience de mon inconscience lorsque je vis la surprise étonnée du serveur lequel me connaissait bien. Il n’imaginait que bonne bourgeoise de la ville je pus paraître vêtue de la sorte. Il fut d’autant surpris de l’heureux élu avec qui j’avais rendez-vous. Celui-ci avait réservé une table dans une sorte de recoin faisant quasi office de petit salon. Je vis le serveur avec un collègue chuchoter et sourire à notre encontre. Pour eux ils n’étaient pas de doute que s’effectuerait là des cochonneries à la dérobée. Je ne pouvais plus reculer. J’avais confiance de ma gaffe et d’avoir donner le bâton pour être battue. Paul lui même fut surpris de sa bonne fortune. Il n’en demandait pas tant. Il ne faisait plus de doute pour lui que je voulais me faire sauter et que j’avais comme nombre de bourgeoises le feu au cul. Une érection lui venait déjà.

Je me sentis pris comme un poisson dans la nasse. Je ne savais quelle contenance adoptée. Mon plan initial s’écroulait. J’étais désemparée. Je jetais des regards vers la grande salle et la sortie baignée de soleil. Le restaurant à cette heure de midi était encore désert. J’aurais voulu être secouru par mon mari, l’instigateur cependant de tout ce beau gâchis. Paul entrevit mon désarroi, pitié ou cynisme, il se crut obligé d’ajouter que le déjeuner serait court et léger et qu’il n’abuserait pas de mon temps car il avait fort affaire à la mairie tout à l’heure. Je le crus sur le moment or tout cela n’était que feint. Il avait raconté à sa secrétaire qu’il était allé rendre visite à sa mère et qu’il ne voulait être dérangé. Son bobard gagna cependant à me calmer un peu. Il m’enjoigna de savourer le champagne bien frais qu’on nous servait. Je bus plus que de raison, j’avais soif, j’avais encore peur. J’entendais ma voix proférer des inepties et je devinais que Paul s’en amusait. Il me trouvait gourde assurément, l’ivresse me gagnant peu à peu. Je trouvais qu’il faisait un peu chaud. Paul tâcha vainement d’ouvrir une fenêtre qui se révéla condamnée. Il en profita pour glisser une des premières insanités. « Il ne reste au plus qu’à vous retirer un vêtement mais vous risquez à n’avoir plus rien sur vous », allusion par trop cynique sur ma jupe courte et mes cuisses dont il avait perçu la chair au dessus de mes bas. Je ne su que répondre une banalité : une femme mariée n’a rien à craindre d’un gentleman ». »Je suis trop heureux que vous me rangiez dans cette catégorie, j’avais cru que vous me preniez pour un e sorte de vulgaire Don Juan. ». Disant cela il emplit ostensiblement mon verre du divin breuvage. Je ne pus réprimer un petit rire idiot, signe que j’étais pompette. « Devrais-je vous ramener chez vous, les gendarmes sont sévères sur l’ivresse ? ».

Je l’en remerciais et lui répondit que si je mangeais, cela devrait s’arranger. En fait les mets succulents ne parvinrent pas à me convaincre. J’avais davantage soif que faim. Paul maîtrisait tant l’alcool qu’un parfait appétit. Il mesurait en connaisseur les ravages de l’alcool. Il se permit alors un geste des plus déplacés. En effet la salle s’emplissait à mesure. Il prit prétexte du brouhaha pour se lever et tirer derrière moi une sorte de rideau qui nous soustraya aux regard des autres. Je ne le vis pas faire un geste d’intelligence à l’égard du serveur. Celui-ci comprit qu’il ne devait nous déranger. J’aurais du me lever et protester or toute force et lucidité m’abandonnaient. Je portais un peu la tête à mon front. Ingurgiter un aliment m’eut fait sans doute vomir sur le champ. Je mis une seconde à percevoir que Paul m’embrassait dans le cou. « J’ai trop envie de toi, il est injuste que tu n’appartiennes qu’à un seul ». Je n’eus pas la présence de le repousser. Je le laissais faire fermant les yeux. Les rouvrant il était à genoux devant mes cuisses, ses mains caressant celles-ci. Je voulus me relever et je découvris que mes jambes pesaient une tonne. Une de ses mains effrontément avait glissé entre les cuisses jusqu’à la culotte qu’il examinait même et ce sans retenue. « J’aurais cru que tu n’en portais pas ma coquine. ».

J’aurais du l’arrêter sur la pente de la goujaterie. Il ne se contenait plus et m’assimilait aux putes de sa connaissance. Au lieu de paroles, je n’eus qu’un regard vide et implorant de suppliciée. Cela l’excita davantage. Sa main s’engouffra d’un coup à l’intérieur de la culotte. Cette sensation ne me surprit et même me prodigua une étrange sensation que je perçus rapidement agréable. Il y a longtemps qu’un homme ne m’avait tripoté de la sorte. Mon mari me baisait classiquement, machinalement. Sa main était douce et chaude et savait caresser la moule. J’écartais les cuisses et il vint jeter toute sa tête à l’intérieur pour un baiser goulu sur le sexe. Je chavirais prise dans un brouillard du champagne. Quand je rouvrais à nouveau les yeux, il s’était relevé et je compris que ses doigts s’affairaient à entrouvrir la braguette et à libérer son sexe. Je n’émis aucun geste. Sa queue était belle et dure, le gland brillait rosacé et luisant. Il l’approcha près de ma bouche. Je ne tins pas compte de l’endroit, je le suçais. Il était malvenu qu’un serveur rentra. Il m’aurait découvert tout à la fellation d’un des adjoints au maire. J’avais bu, je n’avais pas faim, je pris cette queue comme une sorte de compensation. Sa jouissance augmentait en même temps la mienne. C’est lui qui me repoussa avant que son foutre n’explosa complètement dans ma bouche, il avait d’autres projets à mon égard. Je pris cela comme une humiliation à être repoussée tandis que je me donnais entière. J’eus le temps d’entrevoir le ridicule de le lui dire. Je me retournais et affectais de chercher du maquillage dans mon sac tandis que Paul s’étant rhabillé, avait tiré le rideau et appelé le serveur. Celui-ci tout sourire promit d’amener rapidement l’addition.

Lorsque nous sortîmes du restaurant j’avais la honte au front augmentée du regard d’insolence du même serveur. Il est flagrant qu’il ne me regarderait plus désormais comme une bonne épouse et qu’il colporterait des contes sur mon compte. Il faut savoir qu’un mois plus tard il me faisait chanter et me culbutait à l’arrière de sa voiture. Paul me dit de laisser là ma voiture et de monter dans la sienne. Là il se défoula sans mesure, m’embrassa sur le parking ostensiblement devant la baie du restaurant. Il voulait marquer à tous qu’il tenait sa proie et du coup se venger de mon mari qu’il avait toujours détesté. Ce n’est que maintenant que je réalise le spectacle que je dus offrir. Tripotée pendant cinq bonnes minutes devant une partie des notables de la ville. En un instant je fus cataloguée comme une pute. Mon mari crut par la suite devoir se venger sur moi de cette humiliation publique.

Paul m’emmena à un hôtel très connu où l’on déguste les call girl du coin. Le garçon d’hôtel me reconnu et ne fut pas peu surpris de me voir ici et à cette heure avec ce Paul dont il connaissait fort bien les mœurs. J’attendais piteuse dans le petit salon que les deux hommes discourent du match de rugby. Puis d’un claquement de doigt comme à une pute il m’intimât de prendre l’escalier. Là tandis que j’empruntais les premières marches, il foutu magistralement sa main dans mon cul à l’adresse du garçon qui gloussait dans sa barbe. A l’intérieur de la chambre, il me traita, de pute, me gifla , me traîna sur la moquette, m’obligeant à le sucer devant la fenêtre grande ouverte et là sur le lit il m’enfourna la chatte et procéda à une sodomie toute méthodique ce dont il m’avait menacé en chemin. Dois-je avouer à ma grande honte que je pris mon pied. Il me gicla à la fin non pas dans l’anus mais sur le visage, finissant par lui lécher le gland avec ma langue. Il était seize heures quand il me ramena à la voiture. Il ne me remercia aucunement et partit en trombe.

Mon amie à qui je contais cela ne put réprimer un éclat de rire. Elle détestait ce pauvre type affublée du prénom de Paul et trouvait ignoble que mon mari m’est vendu à lui. En même temps elle se délectait de mon abaissement. Je lui fit part d’un second épisode non moins sordide. Mon mari se vengea en effet de mille façons de l’épouse indigne que j’étais devenu. D’abord il tint à ne plus me toucher. Du coup je découvris que j’avais un appétit sexuel et ne pouvait supporter une telle privation. Paul m’avait révélé de profonds penchants trop longtemps refoulés. N’y tenant plus j’appelais un soir Paul prétextant qu’il devait parler à mon mari pour tout démentir. Il me donna rendez vous à une terrasse d’un café où il me fit poireauter une heure. Je m’abritais vainement derrière mes lunettes , les badauds m’ayant à peu près reconnu. Je tirais sur ma cigarette, j’avais de désespoir renoué avec ce vice. J’entendis un klaxon, Paul à quelque pas de là dans sa Mercédes me signifiait de monter. Quelques témoins de la scène pouvaient avoir faire partie des clients du resto l’autre jour. Le sourire triomphant de Paul s’adressait sûrement à eux. Il venait chercher sa pute. Honteuse je m’engouffrais dans le véhicule et criais à Paul de démarrer. Il riait, était de bonne humeur et n’écoutait aucune de mes sornettes. Il n’étais pas dupe. « M’embête pas avec ton mec, il a obtenu grâce à toi son marché public, si t’es là c’est pour la queue, raconte pas d’histoire ».

Sa tirade en effet me laissa bouche bée. Il avait résumé toute ma situation. J’étais une chienne en rut, je voulais être saillie rapidement fut-ce par n’importe qui. Il emmena la voiture derrière le bosquet qui jouxte la maternelle qui à cette heure avancée était vide. Il me pressa d’autorité la tête pour que je me pencha sur son pantalon et commença la fellation. Comme un bébé avec son biberon, je suçais hâtivement l’engin. Il étais gros et délicieux comme l’autre fois. Celui de mon mari devint du coup minable et à des années lumière de qualité de celui de Paul. Je devenais très exigeante sur la chose. Nous sortîmes de la voiture au prétexte de plus d’aise pour baiser. En repartant je découvris qu’à deux pas il y avait un immeuble où il était loisible de nous observer. Chez Paul la forfanterie le disputait souvent à l’exploit sportif. Il n’appréciait de baiser une nana que si un public lui était assuré. Il ne désespérait pas que parmi ces voyeurs quelques-uns reconnussent la femme qu’il enculait sauvagement. J’étais toute épanouie et reconnaissante tandis qu’il me ramenait. « Tu me dois une fière chandelle, chérie. Suis sure que ton mec te baise comme une godiche. Je peux te faire connaître du beau monde tu sais ». Je ne relevais pas le sens de son propos et j’acceptais par défi une dernière fois de le sucer devant la grille de la maison.

J’en reviens à cette ignominie de mon mari. Quinze jours après on lui rapporta ma frasque avec le Paul. Il trouva que ce dernier lui faisait trop payer son marché public. Il ne pouvait atteindre ce garnement, il préféra lâchement de me punir plutôt. Sortant ivre d’une partie de poker, il vint un soir avec son Pote Souleyman, un jeune sénégalais coursier dans la boîte et que mon mari avait pris d’affection. Cela ne laissait pas de m’étonner d’autant que je le savais par ailleurs méprisant pour les ouvriers et plutôt raciste. Dans son accès de paternalisme, il avait entraîné dans sa débauche ce jeune garçon de dix huit ans et au moment de l’amener chez une fille , se ravisa : « En fait j’en connais une autre pute ». Souleyman fut effrayé lorsqu’il reconnut la grille de la maison et que la pute dont il s’agissait était moi. Il m’avait souvent contemplé de loin et baissait les yeux quand je daignais le saluer voire lui adresser la parole. Il était imaginable pour lui de porter la main sur une femme belle comme moi. Les ragots sur mon compte ne lui étaient pas parvenus. Victime expiatoire, il entra dans le salon à la suite de mon mari. Il crut un moment qu’il y aurait dedans une autre femme que moi qui pu avoir rapport avec la pute promise. Mais non j’étais seule, en jupe longue, adonnée à la lecture d’un essai. Je ne comprenais pas ce que racontais mon mari manifestement éméché et surtout la présence du commis noir. « Je t’ai trouvé mieux que ton Paul, on dit les nègres mieux montés ».

Peu à peu je devinais l’horreur de son projet. Par un signe je signifiais à Souleyman d’aller dans le salon d’à côté afin que je raisonne mon mari. Je fus vite submergée par sa violence laquelle tenait plus à la crudité des mots qu’à des gestes physiques. J’avais peur du scandale et surtout que ma fille dans la chambre du dessus ne vint. En une seconde je pris la décision d’emmener tout ce monde dans le garage à côté . Mon mari interloqué d’abord par mon initiative, trouva cela convenable à son projet. Souleyman hésita une seconde de s’enfuir mais se rappela la difficulté à avoir obtenu le job. Dans le garage loin des yeux et des oreilles de ma fille je tentais une nouvelle fois de raisonner mon mari. Il ne proférait plus de paroles et avait à mon encontre un regard de haine glacée. Souleyman et moi comprirent que nous n’y couperions pas. Il fallait éviter le drame. « Que veux-tu que je fasse ? » ceci proféré calmement. J’étais devenu en l’espace d’un mois, une femme tout de sang froid. « Je veux te voir sucer mon pote». « Faisons lui ce plaisir Souleyman, voulez-vous ? Souleyman voulait davantage obéir aux caprices de ses maîtres qu’obtenir à bon compte les faveurs d’une belle femme blanche, épouse de surcroît du boss. Je le plaçais contre la voiture, lui fit descendre son pantalon ; lui dégageant le sexe que je découvris en effet noir et énorme. Il était plus gros que celui de Paul. J’allais de découverte en découverte. Mon mari put s’aviser ce jour là des grands progrès que j’avais effectué. Souleyman perdit vite toute contenance et réserve. La patronne suçait bien et manifestement adorait cela. Mon mari impatienté, excédé cria : « ça suffit ! baise là ! ».

Dextrement je me tins contre la voiture leur tournant le dos et relevant la jupe. Souleyman comprit que je devais être prise de cette façon debout et par derrière. A la façon dont la bite s’engouffra sans peine dans la chatte mon mari pu déduire que j’avais bien mouillé pendant ma fellation. Mon gémissement le confirma que j’étais effectivement une pute. Je lui répugnais de plus en plus. « Encule là je veux voir ! » Il avait rarement recouru à la sodomie avec moi. J’avais prétexté détestée cela d’autant que mon orifice était menu. Sa perplexité se changea vite en émerveillement. La grosse queue de Souleyman après un léger suspens était parvenue à entrer tout à fait dans l’anus et y procéder à des allers et venues. Le chemin y était facile. Il n’était pas difficile de deviner que d’aucuns l’avaient déjà emprunté et élargi. Mes petits cris de jouissance témoignant d’une réelle prédilection pour la sodomie. Il tenait là la preuve irréfutable de ma putasserie. Il m’avait involontairement jeté dans ce vice.

Quelle ne fut notre surprise lorsque Souleyman m’explosa dans le cul. Il n’avait pu se contrôler davantage. La baise prenait ici son terme. Mon mari et moi en furent manifestement frustrés et Souleyman penaud. « On ne va pas en rester là ». Mon mari d’un sourire large nous embarqua dans son 4x4 en direction du chantier. Là-bas dormaient deux, trois ouvriers. Ils voulaient que ceux-ci profitent de sa putain. J’étais effondrée et en larmes, Souleyman tâchait de me consoler. Il profitait en même temps de ce désarroi pour me baiser la bouche et fourrer ses doigts dans mon sexe. Nous parvînmes vers minuit devant le mobile home. Les types regardaient du foot à la télé, riaient et vidaient une dernière bouteille de vin. Souleyman à leur grand étonnement les informa de ce qu’ils devaient faire. Mon mari leur expliqua que le match l’intéressait et qu’il voulait bien de leur vin. En contrepartie chacun devait à son tour me baiser dans le 4x4. Cela dura une bonne heure. Réticent au départ et croyant à une blague, ils convinrent que leurs patrons étaient devenus fous. Je dus subir leur odeur de transpiration, leur langue pleine de vinasse et avaler tour à tour leur sperme dans ma bouche. Ce ne fut pas vraiment un viol car je consentais rapidement à toutes leurs demandes. Cela finit que deux me prirent vers une heure du matin par mes deux trous. Dans la voiture sur le chemin du retour mon mari ne m’adressa ni un regard ni une parole. Le lendemain Souleyman était licencié ainsi que les autres ouvriers de partouze. L’indemnité de licenciement étant constituée du cul et de la chatte de la patronne.
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