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Derrière le miroir

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Lue : 1362 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 15/02/2022

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Pierre la quarantaine est marié à Edwige depuis de nombreuses années maintenant, je suis quant à moi Sophie l’épouse, depuis maintenant vingt ans d’André. Pierre et moi sommes collègues, nous travaillons ensemble depuis longtemps dans la même entreprise, dans le même service et dans le même bureau. Avec le temps notre relation professionnelle à évoluée vers une complicité amicale que nous ne dissimulons pas, mais qu’importe la teneur de notre relation, parlons plutôt de nos conjoints.





Edwige la femme de Pierre est une très élégante femme qui prend soin de son corps et de son apparence, elle fréquente avec une amie de longue date, les endroits, les quartiers et les établissements les plus chics de la capitale. Au volant de son Alfa Roméo rouge, elle sillonne les rues à la recherche des bonnes adresses. Sa vie est en somme toute simple, rangée, méthodiquement organisée.





André mon époux, est un homme séduisant sans histoire, que j’imagine fidèle et respectueux des valeurs du mariage. Il travaille dans le très chic 15° arrondissement. Ses bureaux installés dans un hôtel particulier lui confèrent une certaine prestance, assurance.





Nos conjoints respectifs se sont rencontrés lors d’un événement organisé par le directeur de notre société. Je me souviens de ce diner auquel nous étions conviés. Je revois mon mari et sa mine lorsqu’Edwige resplendissante de beauté dans sa robe jaune pâle, chaussée sur ses escarpins passa la porte du salon au bras de son mari Pierre. Je sentis le cœur d’André s’emballer, vibrer, prêt à exploser pour la belle Edwige. Tout naturellement, ils ont sympathisés, se découvrant même des points communs.





Depuis ce fameux repas, André en pince pour Edwige, il se sent fort gonflé, Il rêve aux fesses, aux hanches, aux chevilles, au gloussement gêné de l’épique brune, à ses mains délicatement manucurées, aux vernis rouge vif de ses ongles, il cherche à la revoir. Et depuis peu, en se rendant chaque jour à son bureau où pendant sa pause méridienne, il traîne, flâne dans le quartier à la recherche de l’Alfa Roméo rouge et de sa propriétaire. Peut-être va-t-il la croiser, l’apercevoir. André regarde l’immeuble chic ou réside son amie. Il imagine qui peut bien être cette étrange amie à qui elle rend si souvent visite, ce qu’elles se racontent toutes les deux, en pleine après-midi, dans ce coquet salon de thé. Il les imagine dans le canapé. L’amie est belle, séduisante, fine, délicate, blonde et frisée, aussi blonde qu’Edwige est brune, elle porte des longues boucles d’oreilles qui tintent quand elle secoue la tête. Derrière la grande fenêtre, dans l’écrin des lourds rideaux retenus par les passementeries de velours, il n’entend que le tintement léger et obsédant des boucles d’oreilles, la douce glissade de l’escarpin rouge et le chuintement des jupes plissées qui se froissent sur le canapé. Il imagine que la jolie brune lui lance une adorable œillade, un signe de la main. Il peaufine sa vieille technique d’approche, qui ne brille pas d’originalité mais qui à le mérite d’être efficace.





Puis, un jour…………..





Un midi, je reçois un coup de téléphone de mon collègue et ami Pierre. Il est agité, agacé, reste mystérieux. Il me sonne de le rejoindre immédiatement à une adresse qui m’est inconnue. Inquiète, je ferme mon ordinateur et retrouve Pierre aussi vite que possible. Je vais pour passer la porte du restaurant dans lequel je suis conviée, lorsqu’une main pressante et nerveuse agrippe ma manche et m’entraîne à l’étage sur une sorte de balcon ouvert sur la salle. Pierre me pousse sur une chaise contre la lourde rambarde en fer-forgé et s’attable en face de moi. Dans la discrétion des plantes vertes, Pierre me fait un signe et je tourne la tête.





Je les vois, tous les deux, mon mari et sa femme, en bas, à une table, en train de déjeuner. Ils se sourient, se parlent doucement et l’éclat dans leurs yeux est troublants. L’attention que porte André à Edwige, qu’il porte à ses lèvres quand elles s’ouvrent pour parler est troublante. Et elle, si sage d’habitude, minaude, timide se laisse grisée, intimidée. Devant une tasse de café fumant, je regarde mon mari et sa femme échanger leurs simagrées. André caresse la main puis la joue d’Edwige en lui confiant quelque chose. Il se lève, se dirige vers le comptoir, règle l’addition, discute avec le serveur qui sourit poliment en lui indiquant l’étage. Mon mari revient à la table, prend la main de sa compagne. Elle baisse la tête, son visage d’un coup se ferme, elle regarde par la fenêtre. André attrape sa veste, son sac le bras d’Edwige et l’embarque dans l’ascenseur.





De la même manière, Pierre m’emporte maladroitement par l’escalier pour rejoindre les étages. Dans le couloir, les voix de nos conjoints nous parviennent, des excuses fusent, raisonnent dans la frêle voix d’Edwige. Puis, un cliquetis d’une clé dans une serrure, La belle et la bête disparaissent derrière une porte. Et le silence du corridor moquetté nous enveloppe, lui et moi, les conjoints en passe d’être trompés, bafoués. Pierre me demande d’attendre ici, de ne pas bouger, puis repart par l’escalier. J’attends, j’écoute, je ne sais pas si je dois rire, pleurer, hurler, rester, m’enfuir. Je n’ose pas m’approcher de la porte fermée, derrière laquelle mon époux et la femme de Pierre……Même si j’en tremble d’envie, je n’ose pas, je ne bouge pas. Que dois-je faire ? L’ascenseur monte, la minuterie s’arrête. Quelqu’un rallume, mon cœur s’emballe, tressaute. Une femme de ménage passe, elle pousse un chariot, elle me regarde, hoche la tête. Immobile je la suis des yeux comme une bête effarouchée, apeurée. Puis au bout du couloir, d’un pas franc et décisif, Pierre marche jusqu’à la porte voisine de celle de nos conjoints, je lui emboîte le pas sans rien dire, sans rien comprendre. Pierre ferme le loquet, jette sur le lit ses affaires, file dans la salle de bain sans prendre le temps d’ouvrir les rideaux, d’allumer une lumière. Là, il allume une lampe et me traîne face au miroir. Je ne vois que son reflet et le mien, puis il éteint la lampe et me replace face au miroir. Au comble de mon étonnement, nos images s’effacent pour dévoiler, révéler, de l’autre côté du miroir, une toute autre image.





Je les vois, dans l’autre chambre, elle est assise sur le lit, de tout son long et magnifique corps, et lui, à genoux caresse ses cheveux, son front. Ils se parlent, mais la scène est presque muette, les mots, les sons se perdent dans l’épaisseur du verre. André ramène son visage vers lui, elle sourit timidement, se laisse embrasser. André se décolle d’elle, déboutonne un à un les petits boutons de nacre de son chemisier, Edwige le regarde, se laisse faire, se laisse découvrir, se laisse dénuder ses épaules. Mon mari fait glisser une à une les bretelles du caraco qu’elle porte pour corriger l’indécente transparence de son chemisier. Il caresse les épaules, presse doucement ses lèvres contres ses lèvres. Elle abdique et se laisse faire.




L’épouse de Pierre se débarrasse de ses habits, de ses remparts et s’allonge sur l’immense lit. André soupire, se penche vers sa maîtresse, caresse sa taille, ses hanches, son ventre. Edwige se tend pour recevoir le subtil touché, les langoureux baisers que lui inflige mon époux adultère. Mon mari ne résiste pas longtemps à l’appel de cette généreuse poitrine qui s’offre à lui. Il porte ses paumes sur cette poitrine bombée et impatiente, repousse les bretelles du soutien-gorge, fait sortir un sein. Le souffle raccourcit par l’excitation, il le presse et porte ses lèvres. Edwige soupire de plaisir, de bonheur. La pointe du sein blanc se rétracte et durcit entre les lèvres. La langue de mon homme en fait le tour. André aspire le téton comme un petit bonbon. La poitrine de la belle est lourde, lourde et douce dans les mains de son amant, sur sa langue. Sa langue, il la fait descendre lentement, elle prend un autre chemin, une autre direction. L’épouse se cambre, se creuse pour savourer cette langue qui la déguste, qui la dévore. Plus rien, ni personne ne semble pouvoir arrêter cette langue qui continue de descendre vers l’antre de la femme.





Alors qu’Edwige ouvre largement ses cuisses et gémit sous l’impulsion de l’exploration buccale de son amant, je suis absorbée par les manœuvres d’André sur le corps de la femme de Pierre. Tout ceci me trouble, me perturbe au plus profond de moi. La langue experte continue sa route, son chemin sur le corps frémissant de sa partenaire illégitime et s’arrête à la ceinture de la jupe. Cette dernière est fermée sagement par une boucle, il prend le lien en satin entre ses lèvres et tire dessus. La petite fermeture éclair entre ses dents, il l’abaisse avec le doux et délicat bruit d’un tissu que l’on déchire. La jupe ainsi fendue, bâille sur le bas ventre dénudé. André remonte et embrasse sensuellement Edwige en pressant ses doigts sur la culotte humide. Il suit les plis et y introduit l’étoffe …. La brune se contente de gémir, de savourer cette étreinte si particulière. Les doigts de mon mari forcent le tissu, le bouton dur du clitoris pointe fièrement, la mollesse tendre des chairs est sur le point de céder. Elle reste muette, elle le regarde faire. Son assaillant enfonce plus encore ses doigts à travers l’étoffe de soie, la douce se cambre. Elle veut, désire, sentir ces doigts sur elle, à même la peau. Elle est humide, trempée. André jubile de la voir, de la sentir se tordre, il aime sentir la chatte de son amante gonfler sous ses caresses, ses attouchements.




Mon homme adresse des cochonneries à Edwige, incandescente elle se tord sous l’effet des mots crus et obscènes de son amant dominateur. Il la relève, la fait asseoir sur le bord du lit et sort sa queue. Elle le regarde, la poitrine gonflée, soulevée par l’envie, prend le sexe entre ses deux mains, le caresse, décalotte le gland dodu et rose comme un fruit d’été, elle le dévore des yeux, penche la tête en avant pour le gouter, le déguster, mais André la prend par les cheveux pour l’en empêcher et force sa maîtresse à regarder encore sa chose. Les mains d’Edwige vont et viennent sur la colonne, elles semblent découvrir, mesurer la taille, la vigueur et la douceur de l’engin. Elle finit quand même, en gardant son regard plongé dans celui de son amant par pencher la tête vers la bête et tire la langue pour le gouter. Elle humecte le dessus du gland et lape doucement, remonte sa langue jusqu’à la minuscule fente. Ses lèvres humides viennent s’y coller. La bouche de la belle avale la queue toute entière. André se tient debout, entre ses jambes ouvertes, une main sur la tête de sa victime pour la guider, il s’enfonce en elle, au plus profond de son orifice. J’entends mon mari gémir sous les coups de langue de la salope, j’entends le son mou et humide que fait la queue qui cogne le fond de la gorge. J’entends la femme de mon collègue suffoquer, s’étouffer sous l’intrusion de l’épais glaive.




André allonge sa douce sur le lit, vient se mettre à califourchon sur elle. Il glisse sa trique entre les deux seins et donne des petits coups de reins comme s’il baisait un nouvel orifice. Edwige tire la langue, cherche à attraper le sexe, lui tend sa bouche. Elle veut lécher encore et encore, elle le réclame comme une petite garce qui se plaint de ne jamais en avoir assez. La jolie brune presse ses seins autour du phallus et garde maintenant toujours ses lèvres collées au bout. Elle sue, transpire l’envie et le désir. Le sexe de mon salaud de mari glisse de mieux en mieux, de plus en plus vite, il grossit encore. André se défait de cette emprise et plonge à nouveau dans la bouche offerte. Il cogne contre son palais, contre le fond de sa gorge




La belle Edwige perd de sa superbe, devient impatiente. Elle le supplie de la prendre, elle le réclame, elle repousse le peu de vêtements qui lui reste et s’offre impudiquement à André. Il la lève du lit, la plaque debout contre le miroir, tire un fauteuil vers lui et s’assoit. Ne gardant que ses escarpins, elle écarte ses jambes et vient s’asseoir, s’empaler sur le membre dressé. Dans le miroir, le couple fixe leurs corps emboités, fixe la queue qui apparaît et disparaît entre les cuisses laiteuses. Elle gémit, bouge, ondule ses seins ne cessent de se balancer à chaque secousse. Il lui dit qu’il aime la voir faire, qu’il aime son cul, qu’il aime reluquer sa chatte, qu’elle est bonne à baiser. André tient sa promise par les hanches, relève les jambes de sa catin sur les bords du fauteuil. Les cuisses écartées, les talons sur les accoudoirs, elle offre ainsi au miroir, le reflet de ses chairs roses et de sa fente lisse prendre au piège de sa chaleur le membre de mon époux dont on ne voit que les bourses. L’indécence de leur pose me rend folle. Folle d’envie, folle de jalousie. La garce, ses talons bien calés, monte et descend sur la queue. Elle fixe son orifice baveux remplit par ce glaive épais, regarde les rougeurs qui luisent autour de sa fente, admire l’épaisse bave blanche qui s’écoule et la facilité avec laquelle son amant la possède. Elle se regarde fondre autour de cette bite.




A présent debout, les deux mains d’André sont collées à la vitre et assène à Edwige des grands coups de boutoirs sous lesquels elle suffoque. Si proche des uns des autres, les propos de mon homme deviennent presque audibles. Il inflige à sa maîtresse un déferlement de propos vicieux et obscènes. Il lui dit que c’est une belle garce, une bonne salope, qu’il veut la voir jouir dans les bras d’un autre, qu’il veut l’enculer à quatre pattes comme une bonne chienne pendant qu’elle sucerait une autre queue. Les propos salaces de mon mari transcende la femme, elle ondule, gémit, éructe son plaisir d’être ainsi soumise, offerte. Il se retire, elle attend, les yeux mi-clos, cambrée, cuisses écartées. Elle entend juste la porte s’ouvrir et se refermer.




Quelques secondes après, André fait entrer un homme. Dans le miroir, Edwige regarde l’inconnu venir vers elle. A l’uniforme qu’il porte, il semble faire partie de personnel de l’établissement. L’homme s’approche, se défroque, se caresse machinalement d’une main, de l’autre soupèse comme une marchandise les attributs de la pauvre brune que son comparse lui offre et assène des petites claques sur les fesses de l’ingénue. Dépassée par les événements, surprise par la tournure de cette escapade, elle ne manifeste aucune résistance et laisse l’inconnu la tripoter. Debout face au miroir, l’homme lèche son gros index pris dans un anneau, en la regardant, il lui enfonce le tout entre ses fesses. Sans rechigner, la belle salope se cambre et laisse l’inconnu lui limer le cul de son puissant doigt. Sans ménagement, l’homme retire son doigt, pose la main sur la bouche d’Edwige et enfonce d’un coup sec et violent sa queue au fond du cul. Enculée jusqu’aux couilles, la belle hurle son plaisir. L’homme l’allonge sur le dos, à même le sol, plie ses jambes, les lèves en les écartant, dégage bien son cul pour pouvoir la reprendre. Il lui intime l’ordre de se toucher, de se caresser. Hypnotisée par cet homme, cet inconnu, Edwige écarte outrageusement ses cuisses, remonte vers sa fente trempée, caresse l’ourlet de peau rose couvert de sécrétions, lèche ses doigts et les enfonce dans son trou suintant.




Les deux bandits n’en pouvant plus de la voir se procurer, se donner du plaisir, fourrent à nouveau la belle. A tour de rôle, ils baisent la chatte, le cul et la bouche de la pauvre bourgeoise. Edwige qui gémit et halète, réclame sans cesse qu’on l’encule encore et encore, est aux portes de la jouissance, aux portes d’un violent orgasme destructeur. Les coups de bites sont sévères, puissants, les deux brutes défoncent copieusement les orifices de la charmante brune. Dans un souffle coupé de gémissements, d’une petite voix humide et enrouée sous l’effet pervers du plaisir, elle les réclame tous les deux en même temps. Elle provoque, rend fou ses assaillants sous ses injonctions, elle se transforme, elle si sage, si puritaine, en une bête assoiffée et avide de sexe bestial. André s’allonge sur le dos, l’incite à venir s’empaler. Edwige le chevauche, sa chatte avale entièrement la bite de mon conjoint, se penche an avant et écrase sa poitrine gonflée d’excitation contre le torse de son amant offrant ainsi sa croupe à l’inconnu. L’homme voyant ce cul si bien offert, ces fesses et ce trou qui l’attend, lui enfourne sa trique d’une puissante poussée. La douce pousse un long râle de satisfaction, écarquille les yeux sous les bienfaits de cette double pénétration diabolique. André lui ramone le vagin, l’homme lui défonce le cul. Edwige gémit, halète de plus en plus fort, elle ne se retient plus. Sa voix grimpe précipitamment dans les hauteurs vertigineuses, l’aiguillon du plaisir dégénère en un tourbillon violent de spasmes, elle souffle, bredouille des obscénités que même Pierre, son mari n’a jamais entendus dans la bouche de sa frêle épouse. Ils sentent monter la grande tempête qui veut éclater, la lame bouillante, la grande vague qui va les emporter. Au moment où l’homme se dégage de son fondement, André se vide au fond du vagin de son amante, il tapisse généreusement l’antre de la belle d’une copieuse éjaculation, il féconde le vagin de sa maîtresse. L’inconnu qui se masturbe frénétiquement, la tire par les cheveux, se libérant de la bite calée au fond de son vagin refluant le foutre, elle s’agenouille et pompe goulument l’inconnu qui dans un dernier cri rauque jouit fortement dans sa gorge et sur sa si sage petite gueule. Les deux malfrats quittent aussitôt la chambre, éteignent la lumière plongeant Edwige le visage couvert de sperme, le vagin dégoulinant de foutre dans le noir.




Je suis la première à quitter la salle de bain, à retourner dans la chambre et à m’asseoir sur le lit, chamboulée, perturbée et ironiquement excitée par le démoniaque accouplement bestial. Lorsque je lève la tête, Pierre est là dans l’encadrement de la porte avec une excitation difficilement dissimulable………Je regarde nerveusement, fiévreusement cet homme à qui j’ai toujours refusé, repoussé ses avances.




Fin……..
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Histoire de Laure98

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