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Théo et moi: une blonde pas comme les autres

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 10/05/2023

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THEO ET MOI :
UNE BLONDE PAS COMME LES AUTRES
Je venais de rentrer du boulot, la journée avait été interminable, j'avais posé mes affaires dans l'entrée de l'immeuble rénové dans lequel j'habite, un immeuble en L dont nous sommes trois à occuper la partie horizontale du L, quand j'ai vu apparaître Théo en compagnie d'une blonde à couper le souffle.
Théo et moi ça faisait neuf ans qu'on se connaissait. J'étais arrivé dans l'immeuble une année avant lui. J'habitais au troisième, lui au premier. On avait pas mal de points communs. Une année de différence, dans la quarantaine, on exercait des métiers différents, lui était cariste, moi formateur, mais on avait un point commun au niveau de notre vie personnelle. Célibataires tous les deux, mais sans avoir voulu que ce soit le cas, même si on disait le contraire, on allait de femme en femme en voulant certainement se stabiliser...Mais ça n'était jamais le cas...Peut-être parce que nous ramenions souvent des bombasses sans trop nous soucier de ce qu'elles avaient dans la tête...Les relations coupaient vite court, soient qu'elles ne recherchent qu'une relation d'un soir, soit parce que ça ne collait pas. Je sortais d'une relation de six mois avec une ravissante brune. Ca avait été au départ, on avait fini par une mésentente généralisée, qui nous avait amené à l'évidence : mieux valait se séparer.
Mais le plus étonnant, sans doute, dans le rapport que nous avions Théo et moi, on se voyait souvent, on faisait des apéros ensemble, c'était que souvent les filles qui arrivaient chez lui finissaient chez moi. Il n'en était d'ailleurs pas forcément conscient. C'était une sorte de loi des séries. Elles me croisaient et revenaient me voir...Il y avait celles qui, le lendemain matin, parce qu'il partait bosser très tôt, les laissant, voulaient visiter l'immeuble et tombaient sur moi...
L'inverse était d'ailleurs peut-être vrai.
Athlétique, Théo faisait beaucoup de sport, soigné, il n'avait pas de mal à ramasser des filles.
Et la blonde qui était devant moi était vraiment très désirable. Immense, encore grandie par des bottes à talons aiguilles, elle s'épanouissait dans une simple robe noire qui soulignait ses courbes. Une crinière blonde épaisse entourait un visage bien dessiné, même si sans doute trop maquillé.
Elle m'a souri. Féminine et sensuelle, elle avait tout pour elle.
--Salut Jim...Je te présente Tiphaine...Elle travaille dans ma boite.
--Bonne soirée.
--On y compte bien.
Ils sont passés devant moi, je rassemblais mes affaires. Théo était en premier. La blonde s'est retournée pour me jeter un regard. Je ne la laissais apparemment pas indifférent. La robe était courte, dévoilant des jambes bien dessinées, enveloppées de nylon.
Je n'étais absolument pas jaloux de Théo. D'autant plus que souvent ses copines finissaient chez moi. J'allais peut-être la revoir.
Je suis redescendu une heure et demi plus tard pour aller mettre ma poubelle dans le container de ville. Les murs étaient plutôt épais, mais les sons passaient facilement, je l'avais déjà constaté, d'autant que la cage d'escalier faisant chambre d'écho. En tout cas, vu les gémissements et les cris qu'elle poussait, il n'était pas difficile de comprendre ce qui se produisait...Une phrase a confirmé, au cas où j'aurais douté : 'Oh oui, tu me baises bien !!!'
Je n'allais pas mentir et me mentir, j'aurais bien aimé être à la place de Théo.
Mais ce serait peut-être le cas.
Je suis remonté la verge dure à la maison. Trop fatigé, je n'ai pas pris la peine ni le temps de me soulager comme j'aimais le faire, en laisant dériver mes pensées au grè de mes fantasmes.
C'est le lendemain matin que ça s'est enclenché.
J'avais des horaires irréguliers et je commençais à midi. La matinée pour moi.
Je buvais mon café quand je l'ai aperçue sur le parking privé de l'immeuble, où Théo l'avait faite se garer. . Elle avait changé sa robe noire pour une robe bleu électrique, aussi moulante, peut-être plus courte encore, les jambes toujours gainées de nylon, avec des bottes de velours assorties à la robe. Elle regardait d'un air navré une roue qui était manifestement à plat.
C'était l'occasion ou jamais. J'ai attrapé mes clefs et je suis descendu la rejoindre.
Quand je suis arrivé, elle avait sorti tout le matériel de son coffre. Le cric, la clef, et la roue de secours. Accroupie, elle venait d'enclencher le cric.
--Je crois qu'il vaut mieux que vous me laissiez faire. Vous avez une robe magnifique, inutile de la salir.
Elle m'a regardé, et répondu :
--Je sais me débrouiller. Mais je dis pas non.
Tout en restant accroupie, elle s'était retournée vers moi. Elle avait les jambes écartées, de telle sorte que je voyais parfaitement son entrejambes.
Le nylon était celui d'un collant, qui prenait ses jambes, toujours parfaites, et son ventre. Elle n'avait pas rajouté un slip sous le collant, comme le faisaient pas mal de filles, et comme il n'y avait pas de parement pour masquer son intimité, celle-ci était donnée à mon regard.
Là où j'aurais pu m'attendre à voir l'ouverture d'un sexe féminin, quel que soit son état, une fente juste ouverte dans sa chair, totalement close, ou avec des lèvres dépassant, il y avait tout à fait autre chose.
En l'occurence une queue, qui reposait sur une paire de couilles.
Ca m'a ramené quelque temps en arrière.
Il y avait deux an de cela, j'avais croisé une fille magnifique dans un bar, un soir. Pas tellement différente d'elle au final. On avait sympathisé, et elle m'avait proposé qu'on rentre ensemble, chez elle ou chez moi.
On était parti dans ma voiture. Calée à côté de moi, sur la place passager, elle m'avait dit :
--Je préfère te prévenir tout de suite...Je ne suis une fille qu'à 99 pour cent.
Je me suis demandé ce qu'elle voulait dire. J'ai eu la réponse quand elle s'est tournée vers moi. Comme la jeune femme à mes pieds, elle avait une robe très courte. Dessous, des bas stay-up accrochés à ses cuisses par une jarretière épaisse, et, comme pas mal de filles qui sortaient, elle n'avait pas de slip pour couvrir son intimité. A ceci près qu'elle n'avait pas vraiment un sexe de fille. A la place, je pouvais voir une queue bien dressée, dont la partie supérieure s'enfonçait sous le tissu et hors de ma vue.
--J'espère que ça ne te dérange pas ?
J'avais été très surpris, parce qu'hormis cette queue congestionnée, il n'y avait chez elle nulle trace de masculinité. Elle était même plus féminine que certaines femmes. Pour moi, un trans, c'était un mec qui essayait désespérément de ressembler à une femme. Pas une fille féminine jusqu'au bout des ongles, mais pourvue d'une queue au lieu d'une chatte.
--Une fille avec une queue, c'est un beau cadeau, je lui avais répondu.
Et pour lui prouver que je le pensais bien, j'avais tendu la main vers sa queue, et je m'étais mis à la caresser doucement. Elle était dure, et chaude. Elle avait remonté sa robe un peu plus haut, en se soulevant, pour dégager l'intégralité de sa queue. Une belle verge qui s'était encore épanouie au creux de ma main. Dans un mouvement de réciprocité, elle avait tendu la main vers moi et m'avait mis à nu. Excité, j'étais aussi dur qu'elle. On s'était caressés en riant, ayant elle comme moi envie de jouir, en partie parce qu'on était très excités, en partie parce que c'était une manière de marquer le début de notre relation. Il y avait eu et il y avait entre nous une entente immédiate, on en était tous deux conscients. Parfois la rapidité peut être une bonne chose. Elle avait commencé à gémir, moi aussi, et la semence avait jailli de nos queues, nous éclaboussant nous-même et notre partenaire.
On avait été chez moi. Elle avait caressé sa queue le long du trajet jusqu'à chez moi d'une main, tandis que de l'autre, elle frottait mon membre à nu. Arrivés devant chez moi, une grande maison avec quatre locataires, on avait camouflé nos membres gonflés, pour monter chez moi.
Il n'y avait pas eu de fioritures, pas de paroles inutiles non plus. On s'était embrassés longuement en caressant mutuellement nos queues, avant que je ne l'emmène sur mon lit. On avait basculé tête-bèche sur le flanc, notre bouche prenant la queue de l'autre, le poussant à l'orgasme et finissant en buvant son sperme. Bien qu'ayant joui deux fois, nos queues étaient restées raides.
--J'ai envie que tu me pénètres et que tu me fouilles longtemps avec ta queue.
Et au cas où j'aurais hésité, elle m'avait enveloppé d'un préervatif avant de venir s'empaler sur moi. J'avais longtemps gardé le souvenir de cette première pénétration, ma queue serrée dans sa muqueuse rectale, sensation ultime, et la vision de ce membre collé à son ventre, que chaque nouveau mouvement de va-et-vient semblait dilater encore plus, épaissir et allonger, de ce gland tellement gros qu'il semblait prêt à exploser, dégoulinant de liquide pré-sémentiel. Je devais me retenir pour ne pas jouir, tellement, j'étais excité. On se retenait tous le deux de jouir. Quand je n'avais plus été capable de me maitriser, et que j'avais balancé ma semence à grands traits contre ses chairs les plus intimes et les plus délicates, elle n'avait plus pu se retenir et craché tout son sperme en nous éclaboussant tous les deux. Un moment qui avait scellé une union assez étonnante. On s'était vus pendant six mois, dès qu'on avait un moment, dans une entente totale, sans jamais un nuage, et avec une envie mutuelle de l'autre et de moments de sexe.
Notre relation avait malheureusement pris fin quand elle avait du partir à l'étranger, engagée par des obligations professionnelles. Elle devait revenir...Mais je n'avais plus eu de nouvelles, pour des raisons que je comprenais mal...
J'avais eu d'autres relations depuis, mais rien que me séduise autant.
J'avais une théorie, peut-être totalement stupide, selon laquelle de la féminité avec une pointe de masculinité était ce qui avait nous avait permis de nous rapprocher.
Mais tous les filles que je croisais avaient une chatte entre les cuisses, et pas une queue.
Et voilà qu'au moment où je m'y attendais le moins...
J'ai changé sa roue avec dans l'axe de mon regard une paire de jambes magnifiques, gainées de nylon et de bottes. Elle s'était redressée, et me regardait faire. Elle 'est accroupie à nouveau une fois que j'ai eu fixé le dernier boulon pour juger du travail fait. M'offrant à nouveau une perspective de son intimité. Mais les choses avaient évolué. La vision qui m'était offerte était celle d'une queue en pleine érection. Une envie de sexe matinale ? Ou alors je l'inspirais ?
--Je vais ranger la roue et ce sera bon.
Je venais de la caler à la place de la roue de rechange, et de lui dire :
--Il faudra changer le pneu très vite.
Quand elle m'a répondu, à quelques milimètres de moi :
--Je sais me montrer très reconnaissante, quand on m'aide.
Elle me l'a montré sur le champ, sa main aux ongles longs et peints de bleu venant caresser ma queue.
--Tu bandes, dis donc...Je te fais de l'effet.
--Il n'y a rien que j'aime plus que les belles trans, je lui ai avoué. J'ai vécu six mois avec l'une d'entre elles. C'était l'amour de ma vie.
Son attitude a changé imperceptiblement. Comme une reconnaissance. Son geste était-il une manière de me le prouver ? En tout cas, elle a défait habilement mon pantalon et a mis ma queue à nu pour me masturber...
--Hmmm...Tu as une belle queue...Elle me fait envie...Tu veux qu'on passe un moment ensemble ?
--Je peux t'emmener chez moi...Après une nuit avec Théo, tu as encore envie de sexe ?
--Il faut savoir profiter à fond de tous les plaisirs. Ce n'est pas à 80 ans qu'on pourra le faire.
Elle ne m'a pas repoussé quand j'ai retroussé sa robe pour dévoiler sa queue, dont la tête, toute gonflée, dépassait du collant. Je suis venue l'agacer de la pulpe de mon index. Elle a gémi et un flot de liquide pré-séminal a jailli. Elle, elle était plutôt sur mes couilles, qu'elle était descendue chercher.J'ai gémi de plaisir.
On s'est rajustés pour monter chez moi. A peine la porte franchie, je me suis laissé tomber sur le canapé tout proche, je l'ai attirée à moi, soulevant sa robe et descendant son collant pour mettre sa queue à nu. Sans la moindre hésitation, j'ai plongé dessus de ma bouche, pour entamer une fellation. Elle a gémi.
--Dis-donc, tu suces bien, elle m'a fait remarquer.
J'avais commencé par tourner sur son gland de la langue, son goût me remplissant, avant de donner des coups de cette même langue le long de sa tige. Elle m'arrosait littéralement de son liquide pré-sécrétif qui coulait sur sa chair et dans ma bouche.
--Théo t'a sucé ?
--C'est moi qui l'ait sucé. Je lui ai révélé à qui il avait à faire quand il m'a proposé de passer la soirée avec lui. Ca ne lui a pas posé problème. Au contraire. Ahhh...Tu veux me faire jouir...
Je me suis redressé pour basculer sur un autre exercice que j'adorais pratiquer vec mon ancienne copine. J'ai remis ma queue à nu, et je l'ai rapprochée de la sienne, jusqu'à sentir sa chaleur et sa dureté contre moi. Enveloppant les deux queues au creux de ma main, je nous ai caressés...Avec la sensation unique que nos deux queues ne faisaient plus qu'une.
--Tu veux que je viennes en toi ?, elle m'a demandé.
Je n'avais jamais oublié la première fois où Gabrielle m'avait pénétré. Pas plus que les suivantes d'ailleurs. Ca avait été tellement fort que, à peine avait-elle commencé à glisser en moi, je m'étais joui dessus, puis encore une fois lorsque je l'avais sentie entièrement en moi. J'avais appris ce jour-là ce que c'était vraiment que la jouissance. Quelque chose qui m'avait beaucoup manqué quand nous nous étions séparés.
--Rien ne pourrait me faire plus plaisir.
C'était à ce moment précis, et alors que je me suis dit qu'on allait jouir tous les deux que Théo a fait son apparition.
--J'ai vu que Tiphaine n'était pas partie...Elle ne serait pas avec toi par...
Il s'était figé, considérant la situation.
J'avais oublié que Théo, s'il partait très tôt, revenait souvent sur le coup de 10 heures, jusqu'à 13 heures, certains jours.
Sans dire un mot, il s'est approché de nous, et a mis à nu une queue déjà agitée par des spasmes. Tiphaine a tendu la bouche vers lui, et alors que je m'activais toujours sur nos deux queues réunies, elle s'est mise à donner des coups de langue sur la queue qui s'est érigée en un temps record.
Ce n'était pas la première fois que Théo et moi nous partagions une partenaire. On n'en parlait jamais d'ailleurs. C'était un moment totalement décalé. La toute première fois, ca avait été quand j'avais entendu taper à ma porte un matin. Je m'étais trouvée face à une petite brune totalement nue, un bras autour des seins, une main devant la chatte.
--Pardon...Je suis bien embêtée...J'étais en bas dans l'appartement, j'allais m'habiller, je suis sortie pour récupérer mes chaussures que j'avais laissées juste devant, et...la porte s'est refermée derrière moi.
--Je vais vous dépanner.
En effet, on s'était donnés, Théo et moi, mutuellement, la clef de nos appartements. De la sorte s'il y avait un problème...
Elle avait paru vraiment soulagée. Il faut dire que la situation n'était pas évidente. D'autant que certains jours, Théo rentrait à 20 ou 21 heures...Si c'était un de ces jours-là...
Elle avait baissé sa garde, dévoilant totalement sa nudité pas vraiment cachée d'ailleurs, de deux petits seins bien ronds et haut perchés à une toison brune taillée court. On était redescendus ensemble, et j'avais débloqué sa porte. On aurait pu en rester là, mais elle m'avait dit :
--Rentrez cinq minutes, je vais vous verser un café, je viens d'en faire.
J'avais obserbé son derrière rond bouger devant moi alors qu'elle partait vers la cuisine.
--Je suis soulagée. Je vous dois un grand merci.
Elle avait versé une tasse. L'avait posée près de la sienne. Quand je m'étais avancé pour la récupérer, elle était venue s'interposer entre la table et moi, pour me frotter de ses fesses nues dans un mouvement circulaire.
--Je crois que je peux te dire merci. A ma façon.
Elle avait tendu les mains en arrière et elle m'avait défait. Ma queue à nu, elle a accentué son mouvement...C'était vraiment excitant. Aucune fille ne m'avait fait ça avant. Mais il est vrai que l'imagination n'était pas à portée de toutes.
La suite avait sans doute été plus classique. Elle s'était laissée glisser à genoux, et elle était venue prendre ma queue de sa langue et de sa bouche.
C'était le moment où Théo avait fait son apparition. Le retour de dix heures.
Il n'avait paru ni surpris ni choqué de nous trouver dans cette position.
--J'étais enfermée dehors à poil, a fait remarquer la brune. Il m'a dépanné.
--Et tu le remercies. Tu as raison.
--Si tu me donnais ta queue aussi ? Deux queues au lieu d'une, ce serait parfait.
Il avait semblé marquer un moment d'hésitation avant de se rapprocher. Me lâchant un instant, elle l'avait défait, mettant à nu une queue déjà bien roide. Elle avait désormais deux membres à disposition, et cela semblait la ravir. De la bouche, elle a été de l'une à l'autre, donnant des coups de langue sur deux membres à présent figés dans leur roideur. J'ai trouvé ce moment excitant. Et trouble. Il l'a été encore plus, quand, après avoir donné à chacun du plaisir, l'un de la bouche et l'autre de la main, avec un petit rire, elle a frotté nos queues l'une contre l'autre. Sensation de dureté et de chaleur. Ca avait l'air de plaire à Théo aussi, car nos deux queues se sont mises à couler simultanément comme des fontaines. Les gardant en contact, elle est venue agacer nos chairs de sa langue. Cette double caresse était irrésistible. On a joui en crachant des torrents de sperme, ce qui l'a faite rire.
Il y avait eu d'autres fois encore.
Et puis cette fois-ci, où Tiphaine a finalement entrouvert la bouche pour permettre à Théo d'y glisser une partie de son membre congestionné. Il l'a fait aller et venir, pendant que l'orgasme montait dans mon ventre et dans celui-ci de Tiphaine. C'est mon sperme qui est sorti le premier, arrosant la jeune femme de traits chauds, et entrainant son jaillissement. Nous nous sommes arrosés mutuellement. Ca devait être excitant à voir, car Théo a joui aussi, la prenant par surprise, son sperme jaillissant dans la bouche entrouverte, et coulant sur son menton et dans son cou.
Elle a tendu la main vers son petit sac à main, et y a péché une boite de préservatifs. Deux secondes plus tard elle faisait glisser sur ma queue un préservatif. Avant d'en tirer un deuxième, qu'elle ajustait sur la queue de Théo.
Dans le sexualité, il y a toujours, entre les partenaires, une part d'intuition assez importante. C'est comme ça que, deux secondes plus tard, Théo se calait sur le divan, la queue aussi roide que la mienne, et que Tiphaine venait se laisser glisser sur lui. Ca m'a terriblement excité de la voir ajuster sa queue sur sa muqueuse anale, puis de se laisser glisser dessus. Le membre viril a lentement disparu en elle, jusqu'à ce que seule la racine de sa queue et ses couilles soient apparentes. Elle a laché un trait de sperme unique, qui a atterri sur la robe déjà souillée. Elle pourrait en passer une autre en rentrant chez elle. Je suis venu par dessus, guidant la tige congestionnée vers mon anus. Ca faisait trop longtemps que je ne m'étais pas fait prendre. Le plaisir de cette pénétration, sentir la queue glisser lentement en moi...Quelque chose d'inéffable. Je trouvais ce plaisir auquel aucun autre ne pouvait se comparer unique.
Ce qui a été unique, aussi, ça a été la manière dont nous avons trouvé un rythme. Je me faisais aller et venir sur la queue de Tiphaine, puis je me stabilisais, et Théo se mettait à bouger, uniquement du bassin, faisant aller et venir sa queue dans l'anus de Tiphaine. Illusion ou réalité, j'avais la sensation étrange que sa verge ne se contentait pas uniquement de caresser les parois rectales de la jeune femme, mais ondes, vibrations ou je ne savais trop quoi, de caresser aussi mes chairs. Une sorte de réaction en chaine qui s'est aussi révélée vraie au moment de la jouissance, mais de manière décalée. Tiphaine a crié 'Je crois que je vais jouir !' et j'ai senti son sperme taper contre mes chairs intimes et délicates. Ca a déclenché ma jouissance, j'ai arrosé de sperme tout ce qui m'entourait. Théo s'est dégagé de l'anus de la jeune trans, il a vivement arraché le préservatif pour balancer son sperme sur nous.
On est restés quelques instants groggy avant de se dégager. Théo s'est rhabillé et il a disparu sans demander son reste.
--Bon, je crois que je vais changer de vêtements, s'est exclamée Tiphaine. Je suis couverte de sperme.
--J'espère que tu ne le regrettes pas ?
--Non, c'est bien comme ça.
Elle est venue se coller contre moi. Nos deux bites restaient obstinément dures. Pour épuiser notre envie, on s'est masturbés mutuellement en s'embrassant d'un baiser profond, nos langues se frottant. Jouissant une dernière fois, d'un orgasme tout aussi puissant, même si nous avions épuisé nos réserves de sperme.
--J'ai envie qu'on se revoie, elle m'a dit. C'était bon avec toi. Donne-moi ton téléphone portable.
Elle a enregistré ses coordonnées dans mes contacts avant de disparaître.
Avais-je retrouvé une partenaire trans comme je l'avais longtemps souhaité ? L'avenir seul le dirait.



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Histoire de JamesB

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