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Destin quand tu nous guides

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Lue : 3166 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/07/2017

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Ma femme et moi habitons cette métropole depuis à peine deux ans. Pourquoi, ce jour-là, ai-je eu envie d’aller visiter un passage commercial couvert moderne reprenant des codes stylistiques du XIX° ? Justement, ce jour-là, ma femme ne voulait pas venir et je suis parti seul…
La ville était calme ce jour-là. Je venais de descendre du tram et me dirigeais à pas tranquilles vers mon but via une large rue piétonne quand, au croisement d’une rue un peu moins large (mais pas une ruelle), j’ai entendu un « non » se voulant ferme mais avec une voix féminine apeurée. Curieux que je suis, je change de rue et aperçois deux garçons plutôt jeunes (16-17 ans) sur le trottoir, tournés vers le renfoncement d’une porte cochère d’un vieil hôtel particulier. Mon arrivée plutôt bruyante et mon regard que je sais très dur les a stoppés et, comme je continuais à avancer vers eux, ils sont partis rapidement en sens opposé. C’est à ce moment-là que je l’ai vue sortir du renfoncement en hésitant, en vérifiant qu’ils partaient. Elle, c’est une femme à qui je donnerais la trentaine, paraissant grande car élancée et bien proportionnée. Elle porte une jupe arrivant aux genoux, un chemisier et un pull en V avec une veste et des chaussures à talons mi hauts, le tout étant de saison pour un printemps gris. Elle se tourne vers moi et ses yeux d’un bleu pâle me happent. Elle me remercie et je n’arrive pas à lui répondre tellement son regard me captive. Le temps de reprendre mes esprits et je la vois sourire. Je lui explique pourquoi je suis venu et la raccompagne vers la plus grande artère. Elle me raconte que l’un des garçons avait un couteau et lui avait demandé son sac ; elle est persuadée que, sans mon arrivée, ils l’auraient attaquée. Je la rassure mais, vu son état fébrile, je l’invite à prendre une pose à la terrasse d’un café. Nous commandons deux chocolats chauds. Elle s’appelle Sylvie, est divorcée depuis peu et élève un fils de douze ans. Elle tremble encore quand nous nous levons et, au moment de nous quitter, me demande si j’accepte la raccompagner chez elle. Rien ne me pressant et ayant du plaisir à discuter avec elle, nous faisons chemin commun. Lorsqu’elle me s’accroche à mon bras pour cheminer à mes côtés, je ne peux m’empêcher de penser à Brassens (un petit coin de paradis…). Nous voici vite arrivés à la porte d’un vieil immeuble où elle loge ; cela va de soi qu’elle m’invite à prendre un thé. Elle a du mal à positionner sa clef tant elle tremble et j’ouvre à sa place. Son appartement est frais et sent le propre ; les couleurs sont gaies et les décors sobres mais bien mis en valeur. Je l’aide à défaire sa veste. Elle nous prépare un thé sans s’arrêter de parler de manière fébrile. Elle pose deux grandes tasses sur la table basse et nous nous asseyons sur le canapé, elle à gauche, moi à droite, pendant que le thé infuse. Ne pensant qu’à l’apaiser, j’ai posé ma main gauche sur son genou. Aussitôt elle se tait. Je pense l’avoir froissée et retire ma main en m’excusant et en lui expliquant mon geste. Elle sourit et me dit que ce geste lui a fait plaisir et que si elle s’est tue c’est parce que je lui ai fait prendre conscience de son énervement par mon geste calme. Je remets ma main sur son genou pendant qu’elle sert le thé et elle me sourit. Mais ma main n’est pas sage, elle ne l’a jamais été et ce qui n’était qu’un geste d’apaisement se transforme en caresse. Ma main remonte sur sa jambe et, sans pression de ma part, elle écarte légèrement les genoux m’ouvrant une voie vers la douceur de ses cuisses que j’atteins rapidement, la jupe plissant alors naturellement vers le haut. Sa tasse s’est figée à mi-chemin entre la table et ses lèvres. Nous ne nous quittons plus du regard, ses beaux yeux bleu pâle m’hypnotisant, ma main continuant son lent travail de plaisir. Elle arrête ma main en souriant, pose sa tasse et se lève. Elle me tend la main. Je la prends et la suit tandis qu’elle m’entraine vers sa chambre. Là, sereinement et en silence, elle se dévêt offrant à mon regard gourmand ses courbes sensuelles ; mon érection, contenue par un boxer, me fait mal. Mais, alors qu’elle s’allonge sur son lit, je ne prends pas encore le temps de me déshabiller. Je m’assois à côté d’elle et laisse mes mains découvrir son corps, s’aventurer par monts et par vaux tant et si bien que je la sens trembler de désir alors que je n’ai qu’à peine effleuré son volcan dégoulinant d’une lave gourmande. Je me penche vers son Mont de Vénus qu’elle m’offre en écartant les jambes et je vais boire à la fontaine de son plaisir. Son corps frémit sous mes coups de langue appuyés et, sans excès, venant de son tréfonds, je sens monter son orgasme que je vois éclater par des mouvements de hanche soutenus par de sourds gémissements.
C’est en la regardant droit dans les yeux, de vrais aimants vous dis-je, que je me déshabille. Je m’allonge à ses côtés et nous nous embrassons, nos mains empruntant les chemins du plaisir sur le corps de l’autre. Quand je la sens se tendre à nouveau, j’aventure mes doigts vers son sexe chaud, humide et attirant. Alors que je commence à masser sa vulve, elle arrête ma main et me murmure un « prends-moi maintenant » irrésistible. Je m’agenouille entre ses cuisses et fais remonter son bassin sur mes jambes jusqu’à ce que mon sexe effleure le sien car je ne veux pas m’allonger sur elle pour pouvoir la contempler. C’est sans forcer que je la pénètre. Elle soupire d’aise et me demande d’accélérer. J’obtempère jusqu’à devenir bestial en sentant mon plaisir monter. A peine l’avais-je sentie se raidir que je me suis lâché. Nous sommes restés immobiles, imbriqués l’un dans l’autre jusqu’à ce que la nature nous sépare.
Une fois habillés après une douche câline, nous nous sommes regardés, empruntés ne sachant que dire. Tout en me raccompagnant vers la sortie, elle s’est rapprochée de moi et m’a embrassé sur le coin des lèvres en me murmurant merci. Il en est ainsi des parenthèses : il faut savoir les refermer quand on les a ouvertes…
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