ACCUEIL > Divers > Récit : Deux chaudasses sur un pont partie 1

Deux chaudasses sur un pont partie 1

+5

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 02/08/2023

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

DEUX CHAUDASSES SUR UN PONT

partie 1

On était au début du mois de juin. Une belle journée qui annonçait les fortes chaleurs des deux mois cruciaux, juillet et août. Leonore et moi, on avait un sentiment de liberté qui était bien agréable. On avait fini tous nos examens. Qu'on ait nos BTS ou pas, et on espérait les avoir, la partie était jouée, et on pouvait profiter de ces journées en toute tranquillité.
Il était deux heures de l'après-midi, on était chez moi, Nous étions seules. Elle était arrivée en début d'après-midi.
On était inséparables. On avait vingt ans toutes les deux, et cela faisait huit ans qu'on se connaissait. Dès les premiers moments, les premiers regards échangés,on s'était reconnues. Pourtant, elle et moi, on ne ressemblait absolument pas physiquement. J'étais brune et longiligne, elle blonde et plutôt dodue. Mais il y avait quelque chose qui nous rapprochait. Parce que c'était elle, parce que c'était moi. On avait une manière de penser, une approche de la vie sans doute très proche.
Et puis un goût commun, très prononcé, pour le sexe. On avait compris très tôt, l'une et l'autre, séparément, mais on avait très vite partagé nos tendances, ce que le sexe pouvait représenter, un plaisir absolu, qui avait dix mille facettes. On avait eu envie d'explorer, d'en découvrir toujours plus, jamais rassasiées, repoussant les limites. Il n'y avait jamais deux fois pareilles, même sur un même acte, et cette évidence nous enivrait, elle nous donnait envie, toujours envie. Pour nous une journée sans sexe était une journée gâchée, perdue. Mais si par hasard on n'avait pas de partenaire, on savait qu'on pourrait toujours se retrouver et avoir du plaisir ensemble.
Et c'était bien ce qui se passait. On avait mis un peu de musique, et, allongées sur mon lit, on s'était dénudées. Elle, elle avait une robe, et pas de slip dessous. Ma mère était encore là, elle avait tourné sur elle-même, me donnant à voir son cul charnu et rebondi, coupé en deux par un sillon profond, et sa chatte, la fente qui tranchait la bosse de son sexe en deux, dont émergeaient deux copieux bouts de lèvre, et une toison qu'elle gardait, tout en la taillant dans un triangle impeccable Elle m'avait dit une fois 'J'aime aller contre les modes, avoir une chatte, et pouvoir montrer que je suis une vraie blonde. Trois bonnes raisons pour avoir une chatte.' Je ne l'aurais pas désapprouvée, moi qui n'aimais rien de plus que de balader mes doigts et ma bouche dans sa toison.
Elle avait retroussé sa robe. Moi, je portais, à son arrivée, un caleçon et une culotte et je les avais enlevés. Les jambes accrochées, comme un parmi de nombreux liens, on se caressait, le regard accroché à l'autre, à ses yeux, son visage, son corps, sa chatte...
C'était notre dernier jeu. On aurait pu se masturber mutuellement, se lécher mutuellement. On préférait se toucher en regardant l'autre se caresser, juste connectées par une jambe, un bras...
Je crois que ce qui nous plaisait à l'une comme à l'autre, c'était la même chose et c'était de cela dont on tirait notre plaisir : voir l'autre se métamorphoser. Que son sexe, son corps, son visage changent, en partant d'un point zéro. En fait ce n'était jamais zéro, c'était toujours un, parce qu'on était dans un état d'excitation permanent.
Il y avait bien sûr les gestes. Gestes d'une fille,d'une femme qui se donne du plaisir. Caresser ses zones érogènes, venir tourner sur son ventre, sans descendre jusqu'à sa chatte, dans un mouvement circulaire, remonter, dégager ses seins, relever une robe, un chandail, un T-shirt, dégrafer un soutien-gorge, ou en sortir ses seins, ou simplement les caresser, s'ils étaient nus...Venir, de la même main, ou en laissant une main sur une zone, et l'autre sur son sexe. Capturer les gestes d'une fille qui frotte son sexe. Un mouvement circulaire sur une large zone, ou alors de haut en bas, ou de bas en haut...Il y avait bien d'autres possibilités, imaginatives, surprenantes, en dehors de ces deux basiques...Travailler son clitoris, appuyer dessus, le pincer, s'il était assez gros...Les lèvres aussi, j'avais été assez surprise de voir que, quand elle se caressait, Leonore adorait se triturer les lèvres...Et puis bien sûr, les mouvement de pénétration, un doigt, deux doigts, voire plus, même si je ne l'avais jamais vue mettre sa main entière dedans, j'en rêvais, j'avais aussi envie de lui faire moi, mais j'avais peur de lui faire mal...C'était un rêve, obsessionnel, mais je trouvais bien de ne pas tout faire, sinon, il n'y avait plus de fantasmes, et de choses à faire, autant qu'à rêver...Avec des pénétrations variables...
Ce qui nous plaisait autant à l'une qu'à l'autre, c'était la métamorphose du sexe de l'autre. Il y avait parfois ce point zéro où il n'était qu'une simple fente, dont rien ne débordait, coupée dans ses chairs, mais le plus souvent, sans même qu'une quelconque excitation se soit amorcée, il y avait un bout de lèvre qui dépassait, voire les deux. Ce n'était jamais pareil, parce que le morceau de lèvre n'était jamais pareil, plus ou moins sorti, replié...Et puis après, l'excitation modifiait la vulve très vite, et la métamorphose était toujours ultra-troublante. L'ouverture du sexe, qui, sans aller jusqu'à la béance extrême, offrait assez rapidement son intérieur, plutôt rose chez moi, plutôt bistre chez elle, la manière dont le clitoris pouvait se décalotter, apparaître, et entrer dans un état d'érection qui se prolongeait, de manière vraiment surprenante pour elle comme pour moi. Mon clitoris, dans ce qui semblait être le maximum de son érection, était long et épais, mais il n'avait malheureusement rien à voir avec le sien, qui dépassait largement par la taille les micro-pénis que j'avais pu voir sur des clichés. Une queue, il n'y avait pas d'autre mot. J'aimais le sucer, ça me donnait l'impression d'avoir une queue dans la bouche, qu'elle était une sorte d'hermaphrodite, avec une chatte et une bite...
Et puis bien sûr, la cerise sur la gâteau, ce qu'on aimait aussi, c'étaient les jaillissements des liquides intimes...Ils étaient sans doute, plus que tout le reste, témoins de l'excitation d'une femme. Une fille qui n'était pas excitée ne mouillait pas.
L'une comme l'autre, on avait tendance à mouiller énormément. Souvent, alors même que d'autres phénomènes naturels n'étaient pas encore amorcés, il y avait déjà un jaillissement de mouille. Son sexe clos, et pchaff, il y avait un jaillissement de liquide, quelque chose qui durait, qui sortait d'elle, et qui venait couler à l'intérieur de sa cuisse, jusqu'au genou, et plus bas encore...Des liquides qui sortaient de manière continue, ou par traits...Quand le sexe était plus ouvert, on voyait bien comment le jus, qui changeait de nature, liquide ou plus épais, plus sirupeux, jusqu'à devenir quelque chose qui ressemblait à du sperme coulait le long des parois, venant saturer l'entrée de son sexe, en un trop-plein de liquide, ou jaillir en éjaculations...
Cet après-midi-là, on avait joui. Il y avait toujours une phase de caresses, et puis un moment où les orgasmes s’enchaînaient, secouant nos corps, nous faisant crier et éjaculer, arroser l'autre, jusqu'à nous laisser épuisées. Voir l'autre jouir nous faisait immanquablement, par contagion, jouir aussi.
Les jambes toujours accrochées, comme marque, importante, de notre attachement, très fort, l'une à l'autre, couvertes de nos jus intimes, ceux qui avaient coulé de nous, et ceux qui avaient arrosé l'autre, épuisées d'avoir trop joui.
--Tu as encore de l'énergie pour profiter de quelques queues ?
--En dehors de queues artificielles, et je pense à ta collection de godes, je ne vois pas de queues à l'horizon.
--C'est parce que tu ne sais pas regarder. Viens voir.
Elle s'est levée, et elle m'a entraînée à la fenêtre.
Elle et sa famille habitaient un magnifique pavillon, parmi d'autres beaux pavillons, tous semblables, mais tous différents, qui avaient du être construits il y avait une vingtaine d'années de cela et qui avaient vraiment du charme. De l'élégance et de la diversité.
Et au bout de ce quartier, il y avait un pont qui constituait une des entrées dans la ville.
Apparemment ce pont avait besoin d'une révision. Pas étonnant, le temps avait forcément une action sur toutes ses parties. Mieux valait éviter qu'il s'écroule sous des véhicules.
--Regarde...Ils sont là depuis deux semaines et encore pour un mois et demi. Une équipe masculine.
Elle m'a tendu un téléscope sorti de je ne savais où et j'ai pu juger sur pièces. Oui sur le pont, une demi-douzaine d'hommes s'affairaient. Il y en avait certains qui travaillaient, d'un côté, sur le tablier, tandis que d'autres, à l'opposé, refaisaient les trottoirs, semblant les élargir. Ils étaient relativement jeunes, et leurs corps, habitués à ce type de travaux, étaient secs et musclés.
--Ils doivent avoir de bonnes bites bien dures, j'ai dit, sentant que mon sexe, momentanément calmé, se ranimait. Il y a eu précisément un jet de mouille qui est sorti de moi et qui a coulé le long de ma cuisse.
--Et tu ne sais pas tout, tiens regarde cette vidéo que j'ai filmée il y a deux jours.
Elle avait pas mal d'appareils, elle était friande de techno, dont une caméra DV, qui faisait des images de bonne qualité. Elle avait basculé les images sur un drive, et j'ai pu profiter d'une scène qui a achevé de me mettre le feu au ventre. On voyait, dans un plan serré, deux filles arriver. Si je ne les avais pas connues, et ma copine aussi, on aurait tout de suite compris, vu leurs tenues, ce qu'elles étaient.
Cela faisait plusieurs semaines qu'on allait, elle et moi, discrètement, ou du moins on le croyait, tourner autour de la gare. Depuis en fait qu'on avait appris ce qu'on ne savait pas avant, que des filles y vendaient leurs charmes . Et effectivement on voyait une population changeante, quelques asiatiques, deux ou trois noires, des européennes qui attendaient le client, ou partaient avec lui, arborant des tenues supposées souligner leurs charmes.
On n'avait absolument rien vu, évidemment elles exerçaient leurs talents ailleurs, mais justement ne rien voir avait fait travailler nos imaginations perverties. On les imaginait dans des positions diverses, aux prises avec des queues dilatées.
Et en nous, la même envie, qui nous taraudait : nous aussi vendre nos charmes. Pas à la gare, évidemment, le terrain était occupé, mais ailleurs. Il y avait de la place dans la ville. On rêvait d'hommes qui auraient acheté nos charmes et dont les queues raides de désir et de frustration seraient venues nous remplir. N'avoir aucun rapport affectif, juste s'offrir, prendre une queue en nous, la sentir bouger, nous fouiller, puis cracher du sperme...Ca nous faisait terriblement fantasmer...
On n'avait pas encore passé le pas.
Les deux femmes sur la vidéo étaient déjà de l'autre côté. On a pu les distinguer un peu mieux au fur et à mesure. Elles étaient très blondes, slaves sans aucun doute, on aurait été tenté de le penser à voir leurs visages. Soeurs, cousines, ou rien de tout cela ? Elles étaient en tout cas magnifiques, aussi bien parce qu'elles avaient un visage bien dessiné que parce qu'elles avaient des corps sculpturaux, que leurs tenues, évidemment, mettaient en valeur. Une robe en lycra courte et collante pour une, avec des bottes de cuir noir qui lui arrivaient au genou et pour l'autre, une micro jupe avec un débardeur comme une seconde peau, et des cuissardes dont le rouge était assorti à la jupe et au débardeur.
Quand elles sont arrivées sur le pont, deux gars sont venus vers elles. On avait l'impression que ce n'était pas le premier contact, qu'ils se connaissaient déjà. L'une comme l'autre étaient d'évidence des courtisanes,ou alors les apparences étaient trompeuses, mais je ne les avais pas vues autour de la gare. Il était vrai qu'aujourd'hui, sites comme réseaux sociaux permettaient de vendre ses charmes, ou d'y avoir recours de manière beaucoup plus discrète.
Ca s'est passé assez vite. Les gars ont l'un comme l'autre sorti des billets. Il y a eu un moment assez comique où ils ont tendu le fric à l'une des filles, qui a compté, et elle a fait un mouvement négatif du doigt. L'un des gars a disparu du champ de vision. L'une des deux filles, celle qui ne tenait pas le fric, pensant sans doute que le deal allait être conclu, ou peut-être prête à engager la prestation même si la somme n'était pas totalement réunie, est venue passer sa main au niveau de la queue du gars à travers de son pantalon.
Mais le deal a pu être conclu, l'autre est arrivé avec des billets.
Ils sont partie sur la droite. Il y avait avant le pont, sur une zone d'herbe et d'arbres, une zone de vie qu'ils s'étaient momentanément crées, avec des algéco. Ils ne sont pourtant pas rentrés à l'intérieur. Il y avait deux palettes posées là, nues, l'une sur l'autre, et les filles se sont appuyées contre. Un plus un, l'équation était simple, les gars se sont approchés, et elles se sont mises en devoir de sortir leurs queues de leur pantalon. Deux queues déjà bien dures quand elles ont commencé à les caresser de leur langue et de leur bouche.
--Tu vois que ça vaut le coup qu'on aille les voir, m'a fait remarquer Leonore. Des gars loin de chez eux, de leur famille, de leurs copines. Ils doivent passer la journée la queue dure en pensant à la petite chatte ou la bouche dans laquelle ils vont s'enfoncer...On va passer un bon moment.
Et c'était vrai, des réalités économiques bien cyniques, que les patrons d'entreprise faisaient venir des travailleurs des pays de l'Est, qu'ils payaient plus que ceux-ci n'auraient gagné chez eux, mais bien moins que des travailleurs de l'Hexagone n'auraient été payés.
Leurs deux gars, à cause de la caresse savante et habile des deux filles avaient à présent des queues énormes...Je pensais qu'elles allaient les faire jouir comme ça, mais il n'en a rien été. Il fallait dire aussi que vu le tas de billets, et ce même s'il s'agissait de petites coupures, on pouvait penser qu'ils n'avaient pas négocié que de simples pipes, ou alors des pipes onéreuses. Et on a basculé sur le plus excitant. Les deux filles étaient ensemble, mais elles travaillaient aussi ensemble. Celle qui avait la mini rouge est tombée à genoux sur les palettes. Les tissus étaient courts, ils avaient déjà bien remonté pendant qu'elles suçaient les gars, révélant leurs sexes.
Voir une fille à quatre pattes, c'est toujours excitant. Y compris pour une autre fille, surtout sii elle est obsédée par le sexe. Comme Leonore et moi.
Sa copine à la robe en lycra avait tiré du même réticule dans lequel elle avait fourré les billets en vrac des préservatifs. C'était un spectacle original, excitant, troublant, que de la voir gainer successivement les deux verges de latex. Sur la vidéo, on voyait bien que les gars avaient les queues frémissantes d'excitation et d'impatience. Pendant que la fille en lycra en prenait un dans sa bouche, tout en massant ses couilles pour le faire patienter, l'autre gars a amené sa queue près de la vulve de l'autre catin, et est rentré en elle...
Voir la queue glisser en elle...Ca m'a mis des spasmes dans le ventre. Le gars a pris tout son temps, et on le voyait bien s'enfoncer en elle, jusqu'à ce qu'il soit quasiment entièrement dans sa vulve...Hmmm...C'était exactement ce dont j'avais envie...Une queue qui glisse en moi, me caresse bien à l'intérieur...
Le gars a pris son plaisir, allant et venant en elle, trouvant un rythme, qu'il a gardé. Sa partenaire a gardé la queue de l'autre homme dans sa main, le masturbant, et en même temps elle a consacré sa bouche aux deux sexes. C'était vraiment excitant. On voyait la professionnelle. Leonore et moi on avait fait pas mal de choses ensemble, avec des garçons ou des filles, mais jamais à ce niveau. Je me suis dit avec une pointe de jalousie qu'on avait encore des échelons à gravir.
Sa langue souple et habile est venue se balader sur l'anus de la fille, descendant ensuite sur ses lèvres, écartées par le sexe, puis glissant le long de la queue, et de la surface disponible. Qui se rétrécissait ou s'agrandissait, c'était selon.
Plusieurs fois aussi, la queue a glissé hors de la gaine de chair qui l'accueillait. Elle a récupéré la queue dans sa bouche, et a fait aller et venir celle-ci dessus avant de la refourrer dans la vulve.
J'envisageais plein de scénarii possiibles, de suites envisageables. Le type s'est dégagé, laissant la place à son pote dont la queue tremblait d'attente. Il est rentré dans la fille, sur un rythme différent, et il l'a fouillée sur un rythme différent.
Sa partenaire s'est calée sur les palettes, je ne sais pas si c'était prévu dans le scénario, dans une position assise,elle s'est basculée en arrière, offrant sa vulve au type qui s'est empressé de rentrer en elle.
--Je me suis branlée cent fois en regardant, c'est trop excitant.
Moi aussi ça m'excitait. Elle en était d'ailleurs bien consciente, me connaissant comme je la connaissais. Elle a glissé sa main entre mes cuisses, est venue effleurer ma chatte.
--Hé ben voilà, tu es trempée...Je vois que ça te met dans le même état que moi.
Les filles maîtrisaient bien la situation, car, après les avoir laissés prendre du plaisir dans leurs chairs, elles ont dégagé les queues de leur ventre, pour les ramener dans leurs bouches, après avoir ôté les préservatifs détrempés par leurs jus intimes.
--Les gars en ont pour leur argent, j'ai fait remarquer.
--Hé, c'est des professionnelles.
Elles ont encore baladé leurs bouches sur les queues que le séjour dans leurs vulves avaient dilatées à l'extrême, les faisant monstrueuses. De leurs mains habiles, elles ont délivré les hommes des tensions qui les habitaient. Celle qui était en rouge a esquissé un mouvement de masturbation classique, mais très vif, et inévitablement, le sperme a jailli, venant souiller son visage en de multiples endroits, ce qui l'a fait rire. Sa copine, elle, est partie sur autre chose. Tout en continuant de frôler l'homme de la bouche, elle a caressé ses couilles d'un geste enveloppant...Le gars s'est vidé saccade par saccade. Quand il a dégagé sa queue, elle a entrouvert la bouche, et laissé la semence, blanche, crémeuse, couler sur son menton, puis dans son décolleté, blanc sur le lycra.
--Ca me donne trop envie, j'ai dit. Et puis si tu arrêtais de toucher ma chatte ça irait mieux.
Elle a désigné le chantier d'un coup de tête.
--On y va ?
J'ai glissé la main entre ses cuisses. Elle était aussi excitée que moi, et sa mouille a inondé ma paume.
--On y va.
Elle a ouvert un tiroir et a pris une boite de préservatifs. Elle en avait un peu partout, et moi aussi, On en achetait constamment, pour avoir ce qu'il fallait le moment venu. Comme maintenant.
5 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Deux chaudasses sur un pont partie 1

Le 03/08/2023 - 11:37 par lounabelle
pas mal
Le 03/08/2023 - 10:52 par OlgaT
Très chaud en effet!

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :