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Deux chaudasses sur un pont partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/08/2023

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DEUX CHAUDASSES SUR UN PONT
partie 2
On a quitté la villa, suivant l'allée dallée, pour ensuite s'engager dans la ruelle asphaltée. On avait le cœur battant et la chatte humide. On avait envie de queues d'homme, et on se demandait comment aborder la situation...Et puis finalement...C'est venu tout seul. Une question d'habitude, mais aussi d'instinct sans doute. Les deux mêlés.
On a quitté la ruelle, et on a débouché à l'entrée du pont. Les hommes étaient concentrés sur leurs tâches, et ne nous ont pas prêté attention, au premier regard.
Leonore et moi on s'est calées pile là où le pont s'amorçait, pas loin de la zone verte où les palettes s'entassaient, il y en avait une de plus aujourd'hui.
On s'est laissées guider par nos instincts. Se calant de manière instinctive. La force de l'habitude. J'ai attrapé l'ourlet de sa robe, et je l'ai soulevé lentement, un œil sur elle, un œil sur eux. Sous la robe, elle n'avait pas de culotte, c'était souvent le cas, par contre elle avait toujours un soutien-gorge parce qu'elle avait des seins lourds, et elle était obsédée par le fait qu'ils allaient 'tomber prématurément'.
J'ai remonté très lentement le tissu.
Il y a eu un homme qui a remarqué, et tourné le regard vers nous. Il a arrêté ce qu'il faisait, il posait un rebord à la partie élargie, pour fixer son attention sur nous.
On a remarqué un effet de contagion. L'un après l'autre, les regards se sont posés sur nous.
Des regards lourds de désir, ceux de personnes à qui la chair exposée, et celle qui ne l'était pas encore, la mienne, faisait envie. Il y a des filles qui sont dégoûtées de sentir le regard des hommes sur elle, un regard qui colle à leurs formes, chaud, comme si des mains étaient sur leur peau et les caressaient. Pour Leonore et moi, au contraire, c'était un magnifique compliment que de sentir ces regards sur nous. Ca voulait dire que nous étions désirables, et pour nous, c'était le plus beau des compliments. Ca nous donnait chaud au ventre et ca nous faisait mouiller notre culotte...Si on en avait une...
Quand le tissu de la robe est arrivé à ses épaules, tissu que je maintenais, Leonore a pivoté pour leur montrer ses fesses pleines et cambrées.
J'ai tassé le tissu au niveau de ses épaules, et j'ai dégrafé son soutien-gorge. Ses seins ont jailli à l'air libre. Malgré ses inquiétudes, s'ils étaient pleins, ils étaient aussi, pour le moment, implacablement fermes.
On a improvisé, se laissant guider par l'harmonie qui existait entre nous et qui évitait les faux pas. On a d'abord sorti nos langues et on les a frottées l'une contre l'autre. J'ai imaginé sans mal une queue crachant son sperme dans un caleçon. On avait appris, notre part de féminité, à tirer les bonnes ficelles. Puis, je me suis penchée sur ses seins, et j'ai baladé cette même langue sur les aréoles avant de titiller un téton qui avait déjà pris de l'ampleur à cause de l'air, et qui en a pris encore plus. J'avais le ventre en feu, et j'étais entrain de tremper ma culotte et le caleçon que je portais.
J'ai attaqué le deuxième sein en même temps que je participais moi aussi, baissant précisément caleçon et culotte pour leur présenter mon cul, que ma position tendait vers eux, leur offrant le volume de ma croupe, le sillon la coupait en deux, mais aussi, niché plus bas, mon sexe, avec son dessin précis.
C'est Leonore qui a donné le signal d'un passage à une étape supérieure quand elle a dit ;
--Hé les gars, ca vous dirait de partager un moment de plaisir avec nous moyennant rétribution.
J'ai admiré son double coup de génie. Elle était coutumière du cela, révélant une brillance que j'étais loin d'égaler. D'abord, elle avait parlé en anglais. C'était évident que les hommes qui étaient là n'étaient pas des locaux. Ils n'auraient sans doute rien compris en français, mais l'anglais c'était bien un moyen de communication universel, même si tous ne devaient pas le parler. L'autre bonne idée c'était de parler rétribution. C'étaient des hommes qui devaient être habitués à des rapports tarifés, ils auraient été décontenancés qu'on ne veuille pas qu'ils nous donne de l'argent en l'échange de nos charmes. Et puis ça nous permettrait de mettre du beurre dans nos épinards. Nos familles n'étaient pas friquées et nous avions fait énormément de petits boulots pour payer nos études et au-delà, subvenir à nos besoins.
Le groupe s'est séparé en deux. Il y a eu ceux qui ont continué à nous mater, tout en travaillaient puis trois gars qui se sont approchés. Ce n'étaient pas en tout cas ceux qui avaient eu recours à des filles tarifées deux jours plus tôt. Des gars musculeux, bruns tous les trois, ce qui les différenciait surtout c'était leur âge. La vingtaine pour l'un, une dizaine d'années de plus pour le second, et encore dix ans de plus pour le troisième.
Celui qui avait la trentaine a dit :
--Je vais chercher du liquide, vous me direz si ça suffira pour nous trois.
--On prendra ce que vous nous donnerez a répondu Leonore.
Le gars est parti vers l'algéco, pendant que, incapable d'attendre que le deal ait été réellement conclu, Leonore s'est penchée vers le gars de gauche, et est partie prendre sa queue dans son pantalon. Elle était toujours nue, puisque la robe était figée à ses épaules, et ca me troublait de la voir ainsi à poil au milieu de la rue. J'aimais qu'on s'exhibe ainsi, alors même qu'il y avait forcément des gens dans les maisons alentour qui nous voyaient. On avait toujours été portées sur la provoc, elle et moi. C'était un plaisir supplémentaire de savoir que des vieilles, qui avaient renoncé aux plaisirs du sexe depuis longtemps, et n'en avaient certainement même jamais profité, seraient vertes de jalousie et nous saliraient en conséquence.
Elle a sorti du pantalon une queue qui n'avait rien à envier à celles que j'avais pu voir dans la vidéo. Une queue très longue, mais aussi bien charnue...L'idée que je puisse rentrer ça dans mon sexe et en tirer du plaisir m'a tordu le ventre d'impatience et d'envie. Bon, apparemment, Leonore était aussi intéressée que moi. J'ai bien senti, dans la manière qu'elle a eu de caresser la queue de la langue qu'elle se donnait au maximum, histoire d'être à la hauteur d'une queue d'aussi belles dimensions, mais aussi avec la volonté de faire ses preuves. On voulait faire aussi bien que les deux courtisanes qu'elle avait filmé.
Le gars s'est arrêté à ma hauteur, et m'a tendu une liasse de billets. 10, 20, 50.
--Ca devrait aller ?, il m'a demandé, un rien inquiet.
--On fera avec, j'ai répondu.
Je me suis fourré les billets dans le soutien-gorge et j'ai été chercher sa queue dans son pantalon.
Ca s'est mis en place en quelques secondes. Leonore et moi on s'est rapprochées, avec devant nous, trois queues bien dures, gorgées de sang, comme on en avait rêvé, à notre disposition. Ils étaient alignés devant nous, et c'était une forme de paradis. On s'en est donné à cœur joie, avec la volonté de profiter, mais aussi de montrer le savoir-faire accumulé au fil des années.
On a écrit de multiples scénarii autour de ces trois queues, et je crois que ça leur a bien plu. On n'était pas aussi fortes que les catins, mais on avait beaucoup d'imagination, et au final, ça compensait bien. On a commencé avec chacune une queue dans ou autour de la bouche, en même temps qu'on réunissait nos mains autour de la queue délaissée, pour la masturber. Et on a fait tourner. Il y a eu un autre temps fort, ça a été quand on est venues à deux sur une queue, caressant chacune l'une des deux restantes. Nos langues sa baladant, se fixant un périmètre, une sur les couilles, l'autre sur le gland, ou vice-versa, ou se rejoignant pour à la fois caresser la chair du gars et la langue de l'autre...C'était un de se ces moments intenses qui faisaient que, pour nous, la vie valait la peine d'être vécue. Je mouillais tellement que j'avais l'impression de me faire pipi dessus.
La donne a changé quand un autre gars est venu se joindre à nous, amenant lui aussi une poignée de billets qui sont partis dans mon décolleté. Ca faisait deux queues pour chacune. On a travaillé leurs verges dans un mouvement tournant, de telle sorte que chacune d'entre nous aurait vu les quatre queues.
On a échangé un regard, au bout d'un moment. Il était temps de passer à autre chose. Je crois bien que l'une comme l'autre, on avait une idée précise d'une potentielle suite.
Ils nous ont laissés faire pendant qu'on gainait leurs queues de capotes.
Leurs queues étaient bien mûres, dilatées au maximum, gorgées de sang. C'était le moment d'un profiter.
Les deux catins nous avaient montré, sinon la marche à suivre, du moins l'endroit où se poser. On s'est redressées et on a entraîné les hommes vers les palettes.
Finalement, on allait les surpasser. Mais il était vrai que le schéma était différent, avec deux hommes chacune.
Leonore a choisi d'emblée sa position. Elle s'est mise à quatre pattes, les parties intimes tendues, offertes. Elle était irrésistible. J'aurais voulu avoir une queue, non deux, pour venir la prendre, la fouiller, la sentir réagir, et agitée par des orgasmes. Les queues des hommes le feraient pour moi.
Je me suis collée tout près. Je voulais voir.
Il y a eu un premier type qui est venu sur elle, et qui a poussé son membre sur ses lèvres. C'est rentré comme dans du beurre.
Pour bien faire comprendre ses envies, mais ça se serait sans doute passé de toute façon, elle a jeté :
--Deux.
En rajoutant un geste. Là, les gars ne pouvaient pas ne pas comprendre...Il y en a un qui s'est approché et qui est venu appuyer son gland contre les plissements de la muqueuse de ma complice. Il a paru hésiter, mais quand il a commencé à appuyer, c'est rentré facilement. On aimait se faire prendre par le cul, Leonore et moi, et, quand on ne trouvait pas de queues pour nous satisfaire, on utilisait des godes. Le plaisir anal, c'était quelque chose d'intense, dont on n'avait pas envie de se passer.
Ils l'ont bien pénétrée tous les deux, jusqu'à la garde. Il y avait quelque chose d'extatique dans son expression. Et puis les deux queues ont vraiment pris vie, elles se sont mises à aller et venir en elle.
Je n'en pouvais plus. Il y avait une tension trop forte en moi, j'avais l'impression que j'allais exploser si je n'avais pas du plaisir, et si je ne me libérais pas par un orgasme. Je me suis posée différemment, sur le dos, projetant mon ventre vers eux, totalement offerte. Je m'étais calée différemment d'elle non pas pour me différencier, mais parce que j'aimais cette position, et aussi pour pouvoir bien regarder, les queues des hommes me fouillant, mais aussi ma copine se faisant prendre, et passant par toutes les stations du plaisir.
Ce n'était pas évident pour que deux hommes me pénètrent pourtant dans cette position. Mais quand il s'agit de s'accoupler, on trouve toujours la situation. Un des gars a glissé sur les palettes, en biais, de manière à ce que son ventre se trouve au niveau de mes fesses. J'ai senti son gland appuyer contre ma muqueuse anale. J'avais envie de lui hurler 'Oui, pénètre-moi maintenant !' tellement j'étais impatiente, mais c'est bien ce qu'il a fait. Il est rentré en moi de quelques centimètres, et j'ai failli jouir tellement c'était bon de sentir qu'il se calait dans mes muqueuses. Il a glissé en moi à un rythme tranquille, jusqu'à ce que, sinon totalement, du moins une bonne partie de sa queue soit en moi. Je me sentais remplie, extatique. C'était ça que je voulais.
Il s'est mis à bouger, doucement, me caressant comme j'aimais être caressée. Je me suis mise à gémir sans honte.
Le tableau de Leonore, qui elle aussi, s'abandonnait totalement aux deux queues qui la fouillaient n'était pas fait pour me calmer...Elle se cambrait et se tordait, alors que les deux queues bougeaient en elle, avec de la bave qui lui coulait à la commissure des lèvres, les yeux fixes.
Le deuxième gars est arrivé, avec sa queue dilatée de sang. Je lui ai été reconnaissante de ne pas me pénétrer immédiatement, pour une initiative que j'ai adorée. En haut de mon sexe, saillant, dressé, comme il ne saillait et n'était dressé que quand j'étais très excitée, mon clitoris tout gonflé avait des allures d'un mini-pénis, sans doute plus gros que certains mini-pénis. Il a appuyé la tête de sa queue contre et il s'est mis à le frotter.
Je voulais me retenir de jouir, mais j'en ai été bien incapable. Mon corps a été traversé par des décharges électriques e( j'ai craché des jets de mouille sur nos chairs. J'aurais eu cinquante orgasmes s'il avait continué. J'ai fini par interposer ma main entre son clitoris et ma queue, et je l'ai posée contre mes lèvres, pour le guider en moi. Il a glissé en moi jusqu'à ce que son gland vienne taper contre mon utérus.
J'avais fait pas mal de choses, mais je n'avais jamais encore jamais été pénétrée par deux queues en même temps. Leonore je ne savais pas, si aujourd'hui on était inséparables, on avait eu une vie sexuelle avant de se connaître. Il y avait eu bien sûr un autre moment quelques mois plus tôt, avec quatre gars aussi. Ca avait été très fort, mais différent. Le jeudi et le vendredi on sortait, Leonore et moi et on allait dans des boites, de manière très classique. Il y avait un complexe immense à la sortie de la ville avec bar, pistes de danse, comme autant de cubes reliés. On avait lié connaissance avec deux types, et ça avait très vite dévié sur du sexe, de notre initiative d'ailleurs parce qu'ils nous plaisaient. L'ambiance était propice sinon on n'aurait rien fait, mais deux tables plus loin, une femme et un homme se masturbaient mutuellement, tandis que deux filles, sur ma droite, sur un des canapés installés le long de la baie vitrée, se faisaient lécher par une femme qui allait de l'une à l'autre. On avait dégagé leurs queues pour leur prodiguer une bonne fellation comme on savait en faire Leonore et moi. Un des types qui visiblement connaissait mieux les lieux que nous m'avait dit :
--On peut aller dans une des salles derrière, on sera plus tranquilles.
On s'était retrouvés dans une salle, première d'un labyrinthe de salles en enfilade, où des couples de toutes sortes, ou plus, s'accouplaient et les choses s'étaient calées très rapidement, comme toujours quand on a envie de sexe. Leurs queues étaient belles et gorgées de sang, on avait de préservatifs dans nos sacs, des jupes courtes toutes les deux, faciles à rouler autour de la taille pour dégager nos sexes, pas de culotte pour ma pote, et pour moi un string qui avait atterri à ma cheville. On s'était empalées sur leurs deux queues, extatiques d'être remplies et frottées par leurs bites, qui venaient frotter nos chairs et taper contre nos utérus...
Et deux gars étaient arrivés vers nous, avec leurs queues dressées.
On n'allait pas dire non. On les avait pris dans nos bouches, dans un rythme bancal, pas accordé, mais qui avait procuré du plaisir à tous les partenaires. On avait fini comblées, épuisées d'avoir secouées par trop d'orgasmes et le gosier plein de sperme.
Et là, c'était différent.
Je voyais bien les différents plaisirs accumulés par cette double pénétration. Le fait que deux zones soient caressées au lieu d'une, deux zones avec des sensibilités différentes, et des plaisirs différents, mais aussi la perception aigue que j'avais de leurs deux queues en moi, qu'elles se frôlaient et se frottaient à travers de la fine peau qui séparait mon anus de mon vagin, je sentais leurs queues grossir, et je voyais bien que ça les excitait l'un comme l'autre qu'elles puissent ainsi être en contact sans l'être vraiment. Cette présence en moi était un excellent prétexte pour frotter leurs queues et en retirer du plaisir, ce qu'ils auraient eu envie de faire, mais n'auraient jamais accompli autrement.
Leonore était en plein trip, elle aussi, et je me sentais partir, totalement déconnectée de la réalité...Sans réelle transition, j'ai commencé à jouir, comme je jouissais rarement, un premier orgasme, et puis, à un rythme régulier ça a été crescendo. Ce qui a été crescendo aussi, ça a été les jaillissements de liquide, plus copieux, plus épais, qui ont trempés mes chairs, et les chairs de mes amants. Leonore n'avait pas encore joui, pas plus que ses deux partenaires...Mes deux derniers orgasmes, les plus forts, ont été, sans grande surprise, ceux que m'ont donné les jaillissements du sperme, contenu dans le latex, qui est venu cogner contre mes chairs. J'ai eu l'impression, trompeuse bien sûr, que leurs semences, se rejoignaient et se mêlaient. J'ai crie, en éjaculant par spasmes, avant de m'apaiser...Leonore, à ce moment, a été secouée par des orgasmes, décalés par rapport aux miens, comme souvent. Ce qui m'a plu c'est que l'un des gars a sorti de sa queue d'elle, a arraché le préservatif qui l'enveloppait, un seul mouvement sur sa queue, et la semence est venue arroser ses fesses...L'autre gars en a fait de même.
Il a fallu revenir à la réalité. On s'est rajustées, eux sont repartis au travail.
On est remontées en silence chez moi.
--Pfff, c'était bon, a soupiré Leonore. Je pensais pas que ça serait aussi bien. On a eu raison d'y aller.
--Leurs bites à deux, je vais les sentir toute la soirée.
Une fois dans la maison, elle a plongé la main dans mon soutien-gorge pour sortir les billets.
--J'ai commencé à économiser pour me payer une voiture. Je vais rajouter ma part.
C'est alors que j'ai tendu la main vers elle.
--Regarde ce que j'ai ramené. Un bonus.
J'avais récupéré les deux préservatifs qui couvraient les queues de mes amants d'un instant. Ils étaient remplis de sperme. Elle en a attrapé un, j'ai gardé l'autre, et on a laissé leur contenu couler dans notre bouche, comme les berlingots de lait sucré dont on se régalait dans notre enfance.




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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Deux chaudasses sur un pont partie 2

Le 03/08/2023 - 10:55 par OlgaT
Une suite torride, dans la continuité de la première partie!

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