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Devenir une star ou une salope 3

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Lue : 1401 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 31/05/2013

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Star du web à tout prix, bizutage.

Louise dort, elle doit recevoir Serge ce matin à 8h 30 pour la signature de son contrat. Hier pressée par le temps, pour rejoindre son poste de travail, elle a reporté cette signature à ce matin. J’aurais bien aimé lire le contenu de cet accord. Le report m’a mis hors-jeu, intentionnellement ou par inadvertance ? J’ai le sentiment que Serge espère me tenir à l’écart. Il s’est réjoui de ce retard de la signature, son accord immédiat pour une deuxième séance m’a alerté. J’ai sottement introduit le loup dans la bergerie et il va croquer ma brebis au calme et en mon absence. Hier Louise a trop cherché mon approbation et il ne doit pas être mécontent de m’avoir éliminé de la transaction. Certes au prétexte de faire un casting il a su soumettre Louise à une série incroyable de rapports sexuels. Je suis tombé dans un piège habilement monté. Jamais je ne l’aurais cru capable d’emporter aussi vite et aussi complètement sa victoire sur la fidélité de ma femme.

A Serge j’avais proposé de devenir l’amant de Louise afin d’écarter d’elle de supposés prétendants. J’étais persuadé que Louise lui résisterait longtemps, peut-être toujours, mais aurait l’esprit occupé par sa cour et oublierait les autres jolis cœurs qui tournaient autour d’elle. Or l’habileté de Serge avait consisté à me laisser ignorer leur relation ancienne lorsque je lui avais présenté la photo de Louise, puis à jouer du passé pour se rappeler au bon souvenir de ma compagne et enfin à lui proposer un emploi apparemment plaisant et bien rémunéré. Au départ Louise y avait vu un moyen d’accélérer la construction de notre maison. Elle s’était prêtée de bonne grâce aux exigences sexuelles de son examinateur dans l‘espoir de faire rapidement et facilement fortune. Je n‘avais pas su réagir et empêcher le pire, non par appât du gain mais paralysé par la spontanéité de Louise à accepter les conditions imposées. Que peut-on opposer à une tornade ?

Le malin Serge l’avait déjà persuadée de se mettre presque nue quand je m’étais montré au salon. Encore vêtue de son soutien-gorge et de son string, Louise était conquise. Cela prouve la force de persuasion de Serge et le désir puissant de Louise d’embrasser cette carrière lucrative. Le projet avait entraîné l’adhésion immédiate de Louise. Mon opposition frontale l’aurait momentanément freinée mais pour combien de temps. Je risquais de la pousser à agir en cachette : ils avaient d’ailleurs évoqué la possibilité de me raconter une histoire d’heures de ménage. J’avais donc laissé faire et même poussé à la roue, allant jusqu’à tenir les mains d’une Louise possédée en levrette par Serge. Baisée devant moi, elle se sentait lavée de tout soupçon de tromperie : elle geignait de plaisir et s’innocentait en serrant mes doigts et en me laissant lire dans ses yeux chavirés la montée de l’orgasme. Je n’avais pas voulu m’opposer au projet qui me déplaisait fortement parce que je sentais la volonté de Louise de s’accomplir. Louise en avait conclu que j’y étais favorable. Elle interprétait ainsi ma pensée, considérait ma présence comme un accord. Il y avait sur le sujet un malentendu profond. Mes remarques d’avant coucher étaient passées au-dessus de sa tête. J’étais soudain devenu l’ingrat incapable d’apprécier l’effort déployé par ma compagne pour hâter la construction de notre nid et notre mariage. Elle semblait encore y croire lorsque Serge l’avait ramenée du travail.

Mon accueil à son retour du travail en berline, ma remarque à propos d’un bisou hors casting et quelques mises en garde n’avaient pas eu raison de son enthousiasme. Le coucher avait été catastrophique. Ce matin la sonnerie du réveil avait provoqué mon lever. Avait-elle voulu ignorer l’alarme habituelle pour éviter un affrontement ou un nouvel accrochage avec moi, elle dormait ou faisait semblant de dormir et c’était une première dans notre vie de couple. Ou le casting poussé auquel l’avait soumis Serge l’avait-il tellement fatiguée ? Son absence au petit déjeuner m’avait chagriné. Je décide de renverser la tendance.


Je sors ma voiture, vais la placer hors de vue et reviens discrètement dans mon bureau fermé à clé. Serge est ponctuel. A 8h30 la sonnette de la porte retentit. L’homme ne peut pas envisager un échec. Il insiste.

- Oh! La, la. Un instant, j’arrive. Pieds nus, Louise court, ne ferme pas la porte du WC pour son pipi matinal, se précipite sur le bidet, revient à la porte de la salle de bain, crie :
- J’arrive, patientez.

Enfin, en hâte elle fait entrer le visiteur. Je reconnais la voix de Serge.

-Tu es encore en chemise de nuit à cette heure !

-Je ne travaille pas ce matin, je suis d’après-midi. Serge ne m’a pas réveillée. C’est bizarre, chaque matin, je lui prépare son petit déjeuner. Il s’est couché pas content et réveillé sans m‘appeler, cela va mal.

Elle aussi relève ce comportement nouveau. Elle enchaîne :


-D’abord il m’a soupçonnée de le tromper avec toi parce que tu m’as ramenée hier soir et parce que je t’ai donné un bisou « non professionnel ».

- Ha, ha, ha. Pourtant il nous a vus copuler hier sur le canapé. Le brave garçon t’aidait à soutenir mes assauts. Plus tu jouissais plus ses yeux brillaient de larmes de joie. J’en étais gêné pour lui. Pour de l’argent que tu gagnerais sur le web, il foulait aux pieds son amour propre. Et ensuite il t’a fait une crise pour une broutille ? Ha, l’idiot, il est ridicule et pitoyable. Il devrait assumer sans rechigner toutes tes actions destinées à lui venir en aide.

- Ensuite, il ne veut pas que je mette ma santé en danger. Il me voit déjà fatiguée, harassée, croulant sous la tâche. Je m’imposerais de trop lourds sacrifices pour l’achat de notre demeure, il préfère y renoncer plutôt que de me voir payer « ce prix monstrueux »

- Ah! Quel con. . Il te l’a interdit ?

- Non, mais ça lui déplaît tellement qu’il a refusé de me faire l’amour hier soir.

- Encore plus con ! Mais ce n’est qu’un instant de déprime. Lorsqu’il verra tomber la monnaie il se remettra bien vite. Ne t’inquiète pas, tu m’as mis en appétit, et je suis prêt à te prendre sur le champ. Enlève-moi tout de suite cette chemise et je vais te donner ta ration vitale de sperme.

- Non, ce matin tu viens pour la signature des contrats. Il a beau ronchonner, j’aime mon Serge. Je ne lui ferai pas de cornes. Ce que nous, toi et moi, avons fait hier était professionnel, ce que je ferai dans les studios le sera également. Ca ne compte pas comme de coucher avec un amant, ce n’est pas tromper, il n‘y a pas de sentiment, pas d‘amour, juste une gymnastique, des pénétrations mécaniques.

- Hum, ajoute « sans plaisir » si tu le peux.

- Si une nuit, au studio tu viens jouer un rôle avec moi, ça entrera dans cette catégorie, ce sera devant des internautes, un spectacle. Faire l’amour, ici, avec toi, serait une infidélité. Et il n’en est pas question.

Louise est donc sincère, elle considère agir en professionnelle et non par amour d’un autre homme ou par recherche du plaisir sexuel reçu pendant ses accouplements devant caméras. Est-elle naïve à ce point ? Serge essaie de la retourner contre moi :

-Mais il t’a délaissée, il n’a pas voulu te faire l’amour ! Tu devrais être furieuse.

- Au contraire, après tes tests ici et ceux que j’ai passés dans le studio, je n’aurais pas pu vraiment le recevoir en moi. Son refus a été une chance pour moi. Tes professionnels m’ont tuée.

Cette fois je tombe des nues. Elle est allée au studio subir d’autres tests ? Selon leur échange, il s’est passé des choses étranges. La situation est plus avancée et plus grave que je ne le pensais. Ce que Serge confirme :

- Quoi, tu lui as raconté ta soirée ? Je t’avais recommandé le silence. Sait-il qu’au lieu d’aller travailler au magasin tu es venue au studio ?

- Il n’aurait pas supporté la nouvelle. Je ne lui ai rien raconté.

- Ouf, j’ai craint le pire. Si tu tiens à ce travail, ne brusque pas Claude. Laisse son esprit s’acclimater peu à peu. Il est conservateur mais capable d’évolution, il l’a prouvé hier pendant ton casting ! Est-il parti, en es-tu sure ?

La clenche de mon bureau s’abaisse.

- Son bureau est fermé, parce qu’il y traite des affaires confidentielles de son entreprise. Attends. ..Sa voiture n’est plus au garage ni devant la maison. Nous sommes seuls. Montons pour signer.

-Surtout ne te fais pas de souci. Je connais Claude depuis le collège. Il est ennuyé de te voir gagner beaucoup d’argent grâce à l’intervention d’un ancien copain. Il s’en remettra

Ils gravissent l’escalier. Louise proteste contre une tentative d’attouchement.

- Laisse mon cul tranquille. Tire ta main.
- Quoi, tu n’as pas de culotte ?
- As-tu un stylo, ce sera plus utile pour la signature des contrats.

- Après t’avoir déposée, je suis retourné au studio. Tu as fait forte impression là-bas, sur la direction et sur les hommes de base. Jamais je n’avais reçu autant de compliments à propos d’une candidate. Il va falloir me raconter par le détail cette réception.

-Justement, tu devais m’accompagner et pfuitt…, monsieur a disparu. Pour savoir tu n’avais qu’à rester.

- Je sais, mais j’ai été appelé pour une urgence. Allez, monte et allons au salon. Grâce à mon départ j’ai plusieurs bonnes nouvelles à t’annoncer.

Derrière ma porte entrouverte je tends l’oreille car il s’est passé des choses inattendues et la suite promet des surprises.

- Des bonnes nouvelles pour moi ?

- Ecoute et tu me remercieras. Ton arrivée et tes activités au studio ont été filmées. Après découpage et montage nos techniciens vont en faire un dvd qui paraîtra sur le web si tu nous en donnes l’autorisation écrite et je te remets aujourd’hui une prime exceptionnelle de mille euros à ce titre. Signe cette autorisation et vois ces billets. Tu les déposeras sur ton compte en banque à ouvrir ce matin.

- Mille euros déjà ! Donne, je signe et je t’embrasse. Tu es un amour.

- Ecoute ceci encore. Une de nos meilleures hôtesses a été remarquée par un site concurrent et néanmoins amis. On lui offre là-bas une situation meilleure. J’ai négocié le rachat de son contrat, les autres nous versent une forte indemnité. La fille, George, nous quitte aujourd’hui. J’ai trois ou quatre candidates pour la remplacer, mais compte tenu de ta conduite parfaite au studio, j’ai obtenu à titre tout à fait exceptionnel de te faire embaucher en priorité : si tu le veux, tu peux commencer ton travail cet après-midi.

- C’est merveilleux. Mais le magasin…

- A toi de savoir ce que tu veux. Cet après-midi tu vas donner ta démission au magasin et tu commences chez nous aussitôt. Tu vas t’y plaire et cela changera ta vie.

- Oui, mais Claude, je dois lui en parler.

- Il n’est pas là, tu es majeure et capable de décider. Alors tu signes ces contrats ?
- Sans les avoir lus ?
- Ne me fais-tu pas confiance ? Tu peux signer les yeux fermés. Voilà, c’est bien, un exemplaire pour toi, un pour moi.
- Que vais-je mettre pour cette première ?
- Rien de particulier. Tu arrives en employée, tu es nouvelle, tu as tout à découvrir : les internautes vont adorer ta simplicité de débutante. Tu feras un tabac.

Voilà le programme si je comprends bien : ouverture d’un compte en banque séparé avec dépôt de mille euros, démission du travail et début de vedettariat dans la foulée : elle a signé sans me consulter et passe aux petits problèmes de tenue. Serge peut être content du bon tour qu’il me joue. Louise relance:

- Mais toi, tu ne signes pas ?
- Tu as signé, il manque ma signature, en effet.

- Dépêche-toi de signer.

- Il est de tradition, dans la profession, de signer après avoir obtenu des candidates un cadeau en nature. Refuses-tu toujours de faire l’amour avec moi, ici, ce matin ?

- C’est du chantage ?

- Si tu ne veux pas tenir compte de nos usages, libre à toi. Rappelle-moi quand tu seras décidée. Zut, je m‘énerve. Pour toi, je vais faire une dernière exception; mais il me reste une vérification à réaliser avant de conclure. Je t’ai dit la satisfaction générale du staff et des membres de notre site. Ils ont toutefois relevé un tout petit point à revoir. Nous allons mettre le doigt dessus à deux si tu consens à me narrer ta visite du studio. Et nous corrigerons le détail retenu par les responsables. Je t’écoute.


- Tu m’as remise entre les mains d’un dirigeant fort aimable, un certain Gérard. Il m’a proposé une visite des lieux. J’ai aperçu deux ou trois filles en tenue légère occupées à pianoter sur leur clavier ou à sourire en se trémoussant. J’ai dit à mon guide que cela me paraissait assez facile. Nous sommes entrés dans une salle assez grande, une sorte de salle de sport meublée d’agrès variés où des sportifs s’entraînaient. Notre arrivée a mis fin à leurs exercices. Mon accompagnateur leur a adressé un geste, ils se sont approchés et je me suis retrouvée au centre d’un cercle d’une douzaine d’athlètes musclés. Petits ou grands, tous beaux et virils.

- Tu as l’œil en matière d’hommes et tu as su apprécier. C’est un bon point déjà.

- Gérard m’a présentée en annonçant mon embauche prochaine. Il m’a alors appris une des coutumes du studio à respecter par les nouvelles arrivantes. Je devais saluer chacun des participants d’une façon originale. Chacun devait en premier être embrassé sur la bouche, pouvait me toucher où il le souhaitait entre les pieds et les cheveux et je devais alors sortir de son vêtement son sexe, le caresser et l’embrasser.

- Les vaches, ils ont voulu te bizuter. C’est une sorte d’initiation pour observer les réactions des nouvelles. Si j’avais été présent ils n’auraient pas osé te faire subir ces brimades légères et amusantes. T’ont-ils découragée ou dégoûtée du métier ?

- Non ! Tout d’abord j’ai un peu senti le sang me monter au visage. Puis j’ai pensé que je verrais certainement pire et enfin pour ne pas gâcher mes chances j’ai pris le taureau par les cornes et je me suis dirigée vers le plus grand, un magnifique noir vêtu d’un pagne en peau de léopard. A ce moment j’ai regardé les autres en tournant sur moi : ils portaient tous un pagne !

- C’est une des tenues de scène préférée des internautes. Le plus grand : c’est Momo ! Je reconnais ton goût pour les vrais hommes. Raconte.

- Mon choix lui plaît. Un large sourire lui fend le visage. Il gonfle ses pectoraux bodybuildés, fait saillir ses biceps impressionnants, écarte ses jambes pour mettre en évidence ses cuisses sculptées dans le bronze et me tend ses bras de sportif aux proportions hors du commun. J’entends autour de moi un murmure de oh et de ah à la fois admiratifs et déçus, puis un grand éclat de rire. Le dénommé Momo me soulève, mes pieds quittent le sol, ma bouche atterrit sur la sienne. Pendant de longues secondes il m’embrasse, sa langue force mes lèvres, envahit ma bouche. Il m’inonde de sa salive poivrée.

- Ce baiser professionnel a dû te donner des frissons.

- Et comment ! Mon pantalon quitte ma taille, quelqu’un a profité de mon étonnement et de ce que je suis absorbée par ce baiser pour me débarrasser de mon vêtement. Une des mains qui me portent glisse sous mes fesses et je sens un doigt pénétrer sous ma culotte contre mon sexe. Si tu m’avais avertie de ton intention de me présenter au lieu de m’emmener au boulot et si j’avais su ce qui m’attendait je me serais habillée différemment.

- Personne ne t’a trouvée mal vêtue. Alors ?

- Ce doigt me fait mouiller, mais le costaud me pose au sol. En passant je sens contre mon corps sous le pagne un sexe tendu. Je ne cherche pas longtemps pour sortir de son abri une bite phénoménale, longue, épaisse, un truc épouvantable. Dans mes rêves les plus érotiques je n’ai jamais imaginé un membre viril de pareilles dimensions. Ma mine stupéfaite déclenche un fou rire général. Je caresse l’énorme queue, je dépose dessus un baiser rapide, j’ouvre la bouche pour savoir si je pourrais l’accueillir mais Gérard me rappelle à la réalité.

- Mademoiselle, il en faut pour tout le monde. Passez au suivant dans le sens des aiguilles d’une montre.

-- Je fais le tour des douze hommes en m‘arrêtant devant chacun pour réaliser mes obligations: baiser sur la bouche, partage des salives, émotions à caractère sexuel et attouchements orientés. Au quatrième je suis nue. On m’embrasse, on tâte mes seins, mes fesses, mes jambes, mon ventre. Ma vulve est la partie la plus touchée, certains y fourrent un ou deux doigts. Je réagis mal lorsqu’un doigt tente de s’immiscer entre mes fesses et me griffe maladroitement les contours du trou du cul.

- Voilà précisément ce qui a été souligné, qu’il va falloir corriger.

- Ce n’est que cela ? Parce que je suis loin de t’avoir tout raconté….

- Raconte donc.

Moi, le compagnon prétendument aimé, que vais-je encore entendre ?

A SUIVRE
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Histoire de Veilleur

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