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Devenir une star ou une salope 4

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Lue : 1633 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 31/05/2013

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Star à l’essai. Sodomie. L'épreuve du gourdin sexuel.


J’ai fait le tour du cercle d‘hommes en érection. Je me suis appliquée à honorer leurs lèvres et leurs verges : Je bous, ces contacts m‘ont bouleversée, mis le feu au con. Les garçons me félicitent et applaudissent. Ils m’adoptent.

Plébiscitée je m’apprête à les quitter pour aller à mon travail de caissière. Mais tu n’es pas là pour me transporter

- Tu pourrais utiliser ce temps pour approfondir ta relation avec l’un d’eux, prétend Gérard.

Ton absence me semble calculée, tu m‘as piégée.

- Que dirais-tu d’un bon moment de découverte avec Momo. C’est ton premier choix et c’est assurément le meilleur. Baptisée par lui, tu seras l’inspiratrice de tous les autres. Ils voudront te convaincre de leur supériorité. Ça te promet des instants formidables et l’assurance d’en avoir toujours un à ta disposition quand un client voudra assister à l’union d’un homme et d’une fille. C’est un privilège rare d’avoir toujours un mâle à ta disposition quelle que soit l’heure. Il n’y a que douze gars pour 60 filles. Mieux vaut être en bon termes avec eux. Viens dans un salon spécial. Momo te suivra.

- J’attends ce « premier choix. Momo entre, ne parle pas. Il utilise son index pour m’ordonner d’approcher, de ramper jusqu’à ses pieds. Je me mets à quatre pattes sur un signe. Dans le mouvement mes deux seins s’évadent et leur chute en avant est suivie de l’atterrissage de deux épaisses boules de ouate que j‘utilise en attendant les implants qui mettront ma poitrine en valeur. J’ai suivi un conseil de Gérard en me rhabillant. Momo adore les fortes poitrines, paraît-il. Il sourit à la vue du subterfuge et me commande d’exécuter un demi-tour. Il veut une vue arrière de mes deux fesses en mouvement. Il passe un doigt insistant sur le tissu de mon cache-sexe et suit le dessin suggestif de ma fente. Il tousse, agite son index.

J’arrive aux pieds de l’homme, je lève les yeux. Du doigt il m’ordonne de me lever. Je grimpe le long des jambes sculpturales, ma tête effleure la peau de bête, mon buste suit, soulève un coin du voile au passage. La lente reptation m’amène le nez dans ses pectoraux.

Momo me saisit aux aisselles et, peau contre peau, me fait glisser contre lui, m’élève et me tend à bout de bras, sans effort. En face de son visage il a arrêté le mini string. Il plante ses dents dans la dentelle, tire vers le bas le tissu et, en un demi-tour surprenant, offre à la caméra que je découvre sur l‘armoire, mon sexe nu, aux lèvres charnues, ferme et encore fermé. Mes cuisses restent barrées par la mince bande du string.

Comme je suis montée, je redescends, dos collé au paquet de muscles, parties intimes et seins exposés sans mystère. Momo glorieux me fait effectuer un nouveau demi-tour. Quand nos deux têtes se croisent, il stoppe le glissement. Nous sommes yeux dans les yeux. J encercle de mes deux bras le cou de taureau. Nos deux bouches se happent. Les grosses lèvres noires enveloppent et font disparaître mes lèvres enflées en un baiser brutal et passionné qui n’en finit plus. Il bave sa salive dans ma bouche. La descente reprend enfin. Les pieds au sol, je reçois sur les épaules une poussée impérative qui m’agenouille. Les grandes battoires noires font sauter le pagne. Alors jaillit sous mon nez retroussé ce sexe énorme, de plus de vingt centimètres, dont l’extrémité en fer de lance émoussé est portée au bout d’un rouleau aplati, large et de bonne épaisseur. Je te l’ai déjà décrit.

Serge interrompt le récit :

- Habituellement Momo est plus expéditif. Il attrape la nana et la pénètre. Tu lui plais, il est transformé en ta présence. Pourvu qu’il ne tombe pas amoureux de toi. Tu en feras ce que tu veux. Mais attention, vos relations doivent demeurer professionnelles. Même si tu éprouves des sentiments pour lui, tu ne dois pas le prendre comme amant : le règlement intérieur interdit et tout manquement fait l’objet du renvoi de la fille.

Ouf, Louise n’aura que des relations sexuelles professionnelles. C’est une maigre consolation pour moi.

- La fille seulement est punie, ce n‘est pas juste ? !

- Oui car, si je recrute facilement de charmantes femmes, les hommes de la trempe de Momo ou des autres sont plus difficiles à dénicher. Or le spectateur le plus mal doté par la nature s’identifie au héros et s’imagine à la place de Momo lorsqu’il défonce un vagin. On ne renvoie pas un phénomène comme lui. Tu ne dois pas t’enflammer pour nos hommes. Ne m’oublie pas si tu as besoin d’un ami amoureux, je ne fais pas partie des interdits.

- Quand seras-tu sérieux ? Bon, je continue. Cette fois ce sexe majuscule me menace. C’est la surprise. Je bondis en arrière devant ce trigonocéphale dangereux. Instinctivement j’y porte les mains pour le détourner et m’en protéger. Inutile tentative, la barre est solide, oscille de bas en haut autour d’un axe tourné vers le plafond. D’étonnement et de frayeur j‘écarquille les yeux. Je me demande si je n’ai pas présumé de mes forces. Une main me prend le menton, l’homme d’un rapide mouvement de langue m’intime l’ordre de lécher l’apparition terrifiante désignée du doigt. Ma langue attaque à la racine, lèche la base, mouille le scrotum. Pour me diriger vers la tête du nœud, j’abandonne la position, je m’accroupis, genoux ouverts après m’être délivrée lentement de la contrainte de la culotte.

D’une main je rabats le manche de chair, de l’autre je vérifie l’humidité de mon vagin. Quand j’ai couvert de salive tout le tronc, pour aborder le gland violacé je me redresse, me penche et tends mon derrière en direction de l‘armoire. Le technicien qui nous filme (voilà la source du dvd que tu me demandes d’autoriser pour mille euros) doit se rincer l’œil à la vue de mes grandes lèvres en train de se séparer légèrement, car dans cette position tout le galbe du sexe doit apparaître au grand jour: il a une vue plongeante sur le renflement fendu de mon abricot dépourvu de poils, rasé par toi. Trop occupée à entamer l’épais trigone, j’y porte les lèvres, les tends au maximum, pas certaine de pouvoir tailler la pipe réclamée du doigt et imposée par la main pesant sur mon crâne. Je ne cherche pas à dissimuler ce qu’on ne montre pas habituellement. J’attaque avec détermination la fellation attendue.

Le gland passe entre mes mâchoires forcées. Ça mérite un temps d’arrêt. Mes cheveux servent de rênes. Momo s’en sert pour faire avancer ou reculer ma bouche envahie. Je sens couler ma salive de mes lèvres au menton. Momo plus impatient m’empoigne à la taille et me fait décrire un demi-tour autour de cet axe. Il me maintient ainsi : devant ses grosses lèvres charnues, il a mon sexe; ma bouche retrouve l’énorme bite à sucer. Lui debout, moi plaquée tête en bas et pieds en l’air, nous nous lançons dans un époustouflant soixante-neuf vertical. Momo bouffe ma chatte, il dévore comme un goinfre, y enfonce sa langue toute rose, la promène en tous sens, me met en transes. Sa tête est prise entre mes deux jambes appuyées à ses épaules. De la main gauche je m’accroche au pieu, nuque rejetée en arrière pour me mettre en bonne position à l’extrémité de l’épée dressée vers moi. Je suce et j’avale le brandon. Je ne chôme pas, chevelure dénouée et tombante remuée par un va et vient inlassable.

-Tu ne vas pas entrer dans tous les détails, abrège s’il te plaît.

- Me voici allongée de dos sur les longs poils d’une peau de bête. Momo tient fermement mes chevilles, les éloigne l’une de l’autre, les place sur ses épaules. Sa droite dirige le pénis en fer de lance vers sa cible. Des deux mains je tire vers l’extérieur l’obstacle de mes grandes lèvres. Appuyé sur son bras droit l’homme vient au contact, secoue son membre à la recherche de mon orifice et avec des précautions étonnantes pénètre lentement mon sexe soumis. Tout lentement mais sans escale il va me visiter le plus profondément possible. Cette progression réveille mes parois sensibles et élastiques. Tu viens de les quitter une heure plus tôt, mon sexe en garde un souvenir cuisant. Je hurlerais, l‘avancée du gland énorme m‘écartèle, j’ai l’impression de m’ouvrir en deux sous la poussée, mon ventre va exploser.
Pourtant il me pénètre, centimètre après centimètre. Il heurte l’entrée de mon utérus et cesse de bouger. Mes craintes s’envolent, je souris au visage penché sur le mien.

Momo m’écrase de tout son poids et entreprend de se retirer un peu, pour mieux atteindre l’utérus au retour. Il amplifie le recul et engage le ballet ancestral de l’union des sexes : il monte ses fesses et redescend, remonte, redescend, cogne, remonte, sort la tête de serpent, en élargit mon entrée béante en lui imposant une rotation lente et méthodique, excite au passage mon clitoris que tu avais fêté plus tôt. Il sait d’expérience que ce canal se prête à l’introduction de son chibre démesuré. Pleine de bonne volonté je sais surmonter mes craintes et je me livre complaisamment à l’intrusion répétée. Je commence à en tirer le bénéfice, surtout quand Momo m’enflamme car il emballe l’allure et m’impose une cadence folle. Je crie, m’essouffle, me cabre pour mieux recevoir, j’enfonce mes ongles dans les flancs de l’étalon fougueux pour lui arracher un orgasme qui me submerge. Mais il est puissant et d’un dernier coup de rein se retire. A genoux devant l’autel, il envoie de puissants jets de sperme sur mon ventre brûlant. Jamais de ma vie je n’ai connu une jouissance aussi forte.

- Pourtant avec moi tu as joui très fort avant de le rejoindre.

- Cela n’a rien de comparable, excuse-moi de le dire. Son machin équivaut à trois fois le tien ou celui de Claude.
- Et tu y as pris goût, je suppose. Tu auras la chance de recourir à lui pour te faire défoncer.

- Après quelques minutes de repos, Momo se tourne sur le dos et je dois m’empaler sur l’essieu dressé vers le plafond. Malgré une douleur bien naturelle après l’intromission de son dard majestueux, un peu trop gros pour un vagin normal, je me pose avec mille précautions sur son gland. A quatre mains nous ouvrons le vestibule de mon vagin et je descends lentement le long de cette hampe exceptionnelle. Je ne sais plus combien de fois j’ai connu la petite mort à califourchon sur ce gourdin. Mais ton insatiable champion exige un passage en levrette.

Je sors de l’orgasme suivant et cette fois je prends peur. Momo m’enfonce un doigt entre les fesses, élargit mon sphincter anal et me chatouille l’ampoule. Il va vouloir m’enculer. Or je suis vierge de ce côté. A plusieurs reprises j’ai repoussé les tentatives de Claude, je lui ai fait comprendre que c’était une pratique sale, contre nature, qu’il en sortirait couvert d’excréments et j’ai réussi à le dissuader de me prendre par derrière. Voilà maintenant clairement exprimée l’intention de Momo de me sodomiser. Mais comment refuser aujourd’hui, jour d’examen ? Je serre les fesses, il envoie un deuxième doigt. Je me décontracte. Momo relève mes fesses, les écarte à deux mains et je sens sur mon anus une poussée nouvelle, puissante. Ca n’entre pas. Les doigts reprennent possession de mon cul. Il monte à trois. Soudain il s’arrête puis me met sous les yeux des doigts tachés de sang.

Il se relève, me relève galamment et m’allonge de dos sur une banquette. Il va à la porte, revient suivi de la troupe des professionnels. Ils arrivent queue en main. Momo m’enfourche, un pied de chaque côté de mon corps, me présente ses fesses poilues et soulève mes pieds à la verticale. Il m’offre à ses compagnons selon un code précis : je sens entrer une bite qui me donne quelques coups, une autre lui succède, puis une autre. Le dos de Momo me cache celui qui me tringle ensuite. A tour de rôle ils me possèdent rapidement. Par sa variété et par la succession ininterrompue des frottements et des secousses ce nouvel exercice collectif m’envoie encore au septième ciel. Finalement je gis épuisée, jambes pendantes. Je suis réveillée par une sensation étrange, j’ouvre les yeux et je vois deux rangées de sexes en train de déverser sur mon corps, sur mes paupières, sur mon nez et ma bouche, sur mes seins, sur mon ventre et sur mon mont de vénus rasé des jets de liquide blanchâtre. Entre mes deux pieds rapprochés un dernier homme se masturbe et crache son foutre.

- Ton récit reprend ceux des acteurs qui t’ont ainsi baptisée. Alors es-tu prête à recommencer ? Ne fais pas cette tête, c’était une fête d’accueil. Tu n’auras pas toutes les nuits autant d’amants.

- Je ne serais pas assez endurante. Mais l’accueil chaleureux m’a plu.

- Tu as remarqué ta faiblesse : tu ne t’es pas laissé sodomiser.

Et pourquoi ma femme aurait-elle accordé à ces inconnus ce qu’elle m’a toujours refusé ? C’est la seule bonne nouvelle de ces dernières vingt heures.

Serge m’enlève bien vite cette raison de me réjouir.

- Résumons. Tu choisis la complète, celle qui te rapportera le plus d’argent. Tu as réfléchi. Tu fais le bon choix. Des filles aussi décidées que toi peuvent se faire de trois à quatre mille par mois. Le jour où tu lui présenteras tes économies, ton jaloux te sautera au cou. . Ne laisse pas traîner tes contrats si tu ne veux pas d’embrouilles avec ton cocu professionnel. Ça c’est la carte du studio, avec l’adresse du site internet. Elle porte un code. Claude pourra suivre sur son PC tes prestations. Avec ce code, pendant huit jours il aura un accès gratuit à tous nos studios.

- Quoi ? Il pourra me voir, tout voir ? Ca me gêne un peu.

- Tu as honte de ton emploi ? Alors ne le prends pas. Ton compagnon a le droit de savoir à quelles activités tu te livres pour construire votre nid d’amour. Que décides-tu ?

- Dans le fond, il t’a vu en train de m’enfiler hier. Je ne peux pas faire pire. Je lui donnerai ta carte.

- Ceci c’est ma carte personnelle: le jour où tu as des questions, ou si tu as envie de faire l’amour avec quelqu’un qui t’aime et qui respecte ta liberté, appelle-moi.

- Et comment serai-je payée?

- Tu es bien une femme, vénale ! Tu ne penses qu’à la paie Chaque jeudi je t’amènerai l’enveloppe du salaire gagné la semaine précédente : pour échapper au fisc tu recevras du liquide. Cela te convient-il ? Tu as remarqué que pendant les trois mois à l’essai, chaque partie peut rompre le contrat unilatéralement à tout moment. Ensuite l’engagement est de six mois avec un préavis de trois mois. C’est pour assurer une certaine stabilité du personnel. En cas de rupture abusive prématurée tu devras une indemnité égale à deux mois de salaire moyen la première année et à quatre mois à partir de la deuxième année. Le licenciement pour manquement aux obligations définies dans chaque contrat ne donne lieu à aucune indemnité. Voilà, tu sais l’essentiel.

- Dépêche-toi de signer. Je brûle de commencer

-. Refuses-tu toujours de faire l’amour avec moi, ici, ce matin ? C’est bien. Mais je dois m’assurer que tu admets et sais pratiquer la sodomie. Pour accomplir ma mission il faut donc que nous allions dans ton lit et que je fasse le nécessaire.

- Tu veux m’enculer ? Tu te moques de moi.

- Si tu ne veux pas tenir compte de nos usages, libre à toi. Rappelle-moi quand tu seras décidée.

J’entends le bruit des chaises. Serge simule un départ

- Tu sais, c’est purement professionnel. Réfléchis vite.

- Vu sous cet angle, si c’est professionnel, je m’incline. Mais ne me déchire pas l’anus, j’en aurai besoin au studio.

- Alors, allons dans ton lit. J’ai une petite heure à te consacrer sur mon temps de travail. Je prendrai mon temps, j’agirai en douceur. Rassure-toi, comme tu l’as constaté, je ne suis pas monté ni comme un mulet ni comme Momo.

-Puisqu’il le faut, viens.

Quelle soumission. Je n’en reviens pas. Elle s’exécute sans mot dire. Elle doit être vexée de devoir plier, mais elle s’est juré d’aller jusqu’au bout quoi qu’il lui en coûte. Je veux voir ça.
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Histoire de Veilleur

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