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Devenir une star ou une salope 6

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Lue : 1133 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 06/06/2013

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Louise ne suit pas Serge, n’obéit pas comme une soumise à son ordre sec et bref. Mon cœur bondit, j’ouvre mes bras pour la recevoir et la conserver contre moi. Elle hésite, ne vient pas vers moi et soudain se plie en deux puis se redresse pour crier à pleins poumons :

- Stop, vous deux. Ici tout de suite !

Après cette subite révolte, bien surprenante chez une femme à la voix habituellement douce, sa colère roule entre des sanglots :

- Pour qui me prenez-vous ? Et qui êtes-vous donc pour me traiter comme ça ? Je ne suis pas une chienne qu’on siffle, je ne me coucherai pas à vos pieds. Mais… mais…
Sa voix s’étrangle, elle efface une larme d’un revers de main, reprend son souffle et nous lance:
- Vous avez intérêt à m’écouter. Approchez, asseyez-vous sur le canapé. Oui Serge, toi aussi.

Saisis par son changement d’attitude nous obéissons. Elle reste debout et nous fait face.

- Vous êtes deux beaux salauds. J’ai entendu votre conversation. S’il n’est pas beau d’écouter aux portes, parfois c’est instructif et profitable. Serge, reste assis, ton départ serait une énorme erreur pour toi et ta si brillante carrière. Ce que j’ai à dire est de la plus haute importance. Quant à toi, Claude, tu risques d’être fort déçu de ne pas avoir accepté de m’échanger contre sa blonde et jeune polonaise.

- J’ai déjà reçu ma dose de déception hier et aujourd’hui. Comment pourrais-tu me décevoir davantage ?

- Oui, je sais, vous avez tous deux de moi une image fort négative. Ce viandard me considère comme une poupée juste bonne à livrer aux charognards du web, avant de me vendre à un autre marchand de femmes. Il m’a troussée pour son plaisir hier et ce matin, il m’a abaissée, il m’a enculée comme une putain avant de m’accorder la signature d’un contrat plein de pièges. Mais tu l’as laissé me salir.

Serge se tourne vers moi :
- Quels pièges ? Tu as essayé de retenir cette nymphomane, cette roulure toujours prête à écarter les cuisses pour jouir ? Si j’avais su. Rendez service…
- De quoi te plains-tu ? Tu as outrepassé les termes de notre contrat. Tenter de séduire n’est pas sauter, ni sodomiser grâce à des subterfuges.
- Je ne l’ai pas violée, elle a accepté de me tendre les fesses. J’ai droit à un diplôme de premier enculeur de cette belle pouliche. Tu râles parce que je t’ai battu de vitesse. Apprends à dresser les femmes, cocu.

Louise rouge de colère et de honte hoche la tête et reprend :

- Toi, Claude tu as su me montrer ces pièges, merci pour ça au moins. Je soupçonnais leur existence, j’avais des doutes sur la durée de l’activité offerte. Je ne suis pas complètement idiote. Mais tu ne t’es pas demandé pourquoi je me soumettais à ses exigences dégradantes, parce que depuis quelque temps tu doutais de mon amour et tu fondais tes doutes sur des bases trompeuses.
- Je sais maintenant parce que tu m’as enfin expliqué que tu participais à des pots avec tes collègues.

Serge ricane:
- Avec dégustation de sperme ? Car tu aimes ça, cochonne, tu l’as largement prouvé hier et si Claude en veut la preuve je lui fournirai gratuitement le DVD de tes exploits de fellatrice avec mes hommes. J’en ai vu des extraits, ils sont édifiants. Tu as signé et touché ta prime. Nous te ferons de la publicité et t’enverrons des clients pour t’abreuver de foutre.
- Insulte-moi. Deux fois tu m’as promis le mariage, tu es un être méprisable et je te rendrai ta publicité, dent pour dent. Assis, je n’ai pas fini. Le meilleur arrive. Vous m’avez voulue vicieuse, pourrie, prête à tout pour jouir et pour amasser de l’argent. Pourquoi donc ai-je plongé sur l’offre de Serge ? Lucre et luxure : l’association de ces deux mots vous satisfait. Vous n’êtes que deux pauvres hommes, simplistes et misogynes.
- Ho ! Ho ! Je ne vais pas supporter longtemps tes injures, clame Serge. Quelle autre explication aurais-tu ?
- Le désespoir, un désespoir de plus en plus grand.
- Du désespoir ? Tu rigoles, souffle le recruteur. Explique-moi ça. Tu avais un copain, tu vivais avec lui, gentiment, sans doute avec des écarts bien cachés, tu avais un travail : je suis apparu, je t’ai tentée et tu as baissé culotte. J’ai reconnu immédiatement la femelle en chaleur, la mal baisée qui en réclame. Je n’ai pas vu la « désespérée ». Momo et les autres non plus, crois-moi ! Comment peut-on être désespérée avec un cul comme le tien ? Fais-moi rire.

Je suis cette joute verbale sans comprendre. Que veut-elle dire ?

- Tu as dit à Claude il y a quelques minutes : « Elle se démerdera comme les autres paumées ». Si tu as des œillères qui te font prendre toutes les femmes pour des salopes ou des pompes à foutre, bonnes à baiser à sodomiser et à balancer sur le trottoir, tu as aussi un instinct aiguisé pour repérer « les paumées ». Tu te dis envoyé du ciel pour secourir, tu es le diable prêt à enfoncer et à écrabouiller les faibles. Tu te nourris de la misère des autres.
- Quel charabia, quel tas de conneries. Ta seule misère est sexuelle ! Baise et ça ira. Renonce à tes élucubrations. Pour la dernière fois, j’oublie tes divagations, viens, suis-moi et tu auras tout ce dont tu as besoin, du sexe et du fric.
- C’est tout ce que tu as à m’offrir. Par désespoir, Eh! Oui, par désespoir, j’étais sur le point d’accepter l’avilissement proposé. J’ai entendu ton appréciation : « Louise veut tellement ce travail, elle veut nos hommes, elle veut des combinaisons avec deux ou trois mâles à la fois…. J’emmène ta nymphomane, elle loge chez moi et va éteindre son feu au cul avec mes pompiers du site. » Tu m’as aussi appelée « tête brûlée ». Je te plains.

Serge rit très fort, d’un rire forcé.
- Au mois sais-tu désormais ce que je pense de toi, pauvre fille. Alors, ce gros désespoir, si tu es si désespérée, tu racontes.

- Il y a huit jours j’ai été licenciée …

Cette fois je réagis.
- Licenciée ? Mais tu allais régulièrement au travail jusqu’à hier !

Serge rajoute:
- Hier tu insistais pour que je te dépose devant ton magasin.
- Mais tu m’as emmenée au studio. Comme personne ne m’attendait j’ai subi. Oui, j’ai perdu mon emploi. Je n’ai pas osé en parler à Claude, alors j’ai fait comme si je travaillais et j’espérais trouver une autre place avant d’en faire part.

Je ne peux pas laisser passer:
- Tu as eu peur de m’en parler. Mais pourquoi ? Le magasin marche bien, il n’est pas question de licenciement économique. Pourquoi t’aurait-on licenciée ? Tu as volé quelque chose, dis ?
- Non, je ne suis pas une voleuse. Je savais que tu voudrais savoir pourquoi.
- C’est normal, non ? S’il s’agit d’un licenciement abusif, il faut les attaquer en justice, aller au prud’homme. Dis-moi pourquoi, allez :

- Maintenant ça n’a plus d’importance. Mais pour ne pas te décevoir, je me suis jetée sur la première proposition venue. L’arrivée de Serge m’a semblé providentielle, j’aurais fait n’importe quoi pour n’avoir pas à t’avouer certaines choses.

Serge se marre en douce, espère peut-être ne pas avoir perdu sa recrue. Je dis :
- Tu as fait n’importe quoi en effet. Ce n’est pas par vice que tu as si bien réussi ton casting ? Qu’est-ce qui peut bien être pire que ta conduite avec lui et ses zouaves pour que tu aies eu peur de me le dire C‘est si grave que ça ?

Louise pleure, se renferme. Cette fois Serge se lève :

- Vous me faites perdre mon temps avec vos histoires à la mords-moi le nœud. Je retourne au boulot.

L’attaque délie la langue de Louise :
- Non, reste, c’est important. Voilà, j’ai été mise à la porte parce que j’ai été surprise en train de faire l’amour dans la réserve.
- Eh! Bien, Claude tu avais vu juste. Baiser, c’est-ce qu’elle fait le mieux cette gourde. Tes soupçons étaient fondés. Elle a besoin de se faire défoncer continuellement. En principe, sauf sur notre site un peu spécialisé, on ne va pas au boulot pour se faire sauter. Louise, si. Et après la transpiration Louise se rend au bistrot pour se refaire une santé avant de te rejoindre malheureux cocu. Reconnais-le, ma chère, ta place est chez nous.

Je ne suis pas loin d’approuver. J’ai les jambes coupées, je suis sans voix, incapable de prononcer un mot et que dirais-je tant je suis k.o? Louise, surprise dans la réserve en posture… et je n’en savais rien. Louise avait une double vie. Serge s’amuse:
- Evidemment le motif de ton licenciement ne pouvait pas plaire à Claude. Salope va. Dans la réserve, c’est ingénieux. On pourrait en faire un bon film de cul, si tu veux. Je monte à deux mille euros pour toi.

Et tu continues avec ton amant ? Il te tronche bien ? Est-il meilleur que Momo ? Il a une belle grosse queue ? Je pourrais lui offrir une place.
- Non, c’est fini avec ce type. Ce n’était pas mon amant. Attends, j’explique. Pardon Claude.

Que veut-elle se faire pardonner ? Sa trahison au travail avec un inconnu, son silence sur le sujet, son licenciement, le mensonge de ses faux départs au magasin ou ses rapports amoureux révoltants avec Serge et sa troupe de phénomènes, sa crédulité et son acceptation du mariage avec Serge ? J’en ai lourd sur le cœur. « Des papillons voltigeaient autour d’elle », je n’aurais pas cru qu’ils butinaient sa fleur dans une réserve de grande surface. Pourquoi ? Pourquoi ?
- Pourquoi, Louise ?
- Bon, ou tu acceptes de tourner un film ou je pars. Vos histoires de cocus commencent à m’ennuyer si elles ne débouchent pas sur du concret, si elles ne paient pas.

Louise insiste :
- Tu devrais pourtant entendre la suite, crois-moi. Ta santé est en danger, la tienne, celle de Momo et des filles qu’il honore et celle de ceux qui couchent avec ces pauvres victimes.
- Et pourquoi donc ? Non, tu es contagieuse, une m.s.t? Mais tu es une pourrie. Tu nous as refilé ta maladie. C’est quoi ?
- J’attends les résultats des tests passés il y a trois jours. La prise de sang …
- Merde alors. Tu ne pouvais pas le dire avant. On aurait pris des précautions, porté des préservatifs. Tu as saigné quand Momo a voulu te sodomiser. Ce n’est pas le sida au moins ?
- Je n’en sais rien.
- Comment est-ce arrivé ?
- Ne me coupe pas la parole et tu sauras.
- Vas-y. raconte nom d’un chien !
- Il y a environ six mois …

Serge est nerveux, interrompt le récit
- Et tu as attendu six mois pour la prise de sang ?
- Doucement, au début je ne savais pas
- Comme aujourd’hui, tu ne sais toujours pas. Ce n’est pas possible, il fallait que je tombe sur une malade. Alors, vite. Moi, je veux savoir, je veux me faire soigner. Je vais me faire foutre à la porte si tu es poivrée. Tu m’as pourri tout le site peut-être. C’est quoi ?
- Il y a six mois donc…
- Ca va, j’ai compris, avance.

Serge est gravement affecté. Je ne suis guère plus rassuré, je me tais pour apprendre la suite.

- Quand il y a peu de clients, les caissières doivent donner un coup de main en réserve, remplir les rayons, se rendre utiles. Ce jour-là je travaillais donc avec un jeune stagiaire dans le rayon literie. Nous déballions des draps et des couvertures.
- On s’en fout. Tu ne vas pas remonter au déluge. Au fait, vite au fait. Je sens des démangeaisons à la queue. Et toi Claude ?
- Comme nous ne voulons pas d’enfant tout de suite…
- Compris, le cocu sort couvert. Et moi je … continue la salope.

- Mon jeune stagiaire se met à pleurer. Je suis émue. Je l’interroge : sa copine l’a plaqué ce matin là. J’essaie de le consoler, je le prends gentiment dans les bras
- Et voilà, tout est bon, quand on est insatisfaite. Les préservatifs de Claude t’irritent le vagin, tu cherches une crème adoucissante, le petit a ça entre les jambes et tu le violes sur un matelas sous plastique.
- Obsédé ! Enfin le gamin reste contre moi, secoué de sanglots. Je tente de le calmer. Je le rassure sur son pouvoir de séduction avec des phrases banales, comme
« Tu es jeune, bien fait, il ne manque pas de filles, tu trouveras … etc… »

Il se calme, me sourit, veut savoir si je suis sincère et me surprend en me serrant contre lui. Puis il m’embrasse sur la joue, dans le cou. Je lui dis qu’il est fou, que ça ne se fait pas, qu’il doit arrêter. Je parle de plus en plus fort pour le repousser. Il m’embrasse sur la bouche, je laisse faire, je pense qu’il va s’arrêter. A ce moment le chef du service de sécurité du magasin s’écrie :
- Ho, vous deux, vous croyez qu’on vous paie pour ça ?

Le stagiaire me lâche et déclare :
- C’n’est pas moi, monsieur, c’est elle.

Le gardien le renvoie
- Allez, j’ai compris, file avant d’être fichu à la porte.

Le jeune déguerpit et le chef me tient un bras
- Louise, tu devrais avoir honte. Tu viens dans la réserve débaucher les petits jeunes. C’est une faute grave. Si je te signale, tu seras licenciée. Que faire, hein ?
- Mais c’est lui qui m’a embrassée, monsieur Antoine. Il pleurait, je l’ai consolé et tout à coup il s’est emballé. Je vous assure qu’il n’y a rien eu
- C’est-ce qu’on dit lorsqu’on est coupable. Ne me dis pas que ce morveux est assez fort pour te forcer… J’ai vu ce que j’ai vu. Si tu persistes à mentir, je monte de ce pas à la direction
- Oh! Non, monsieur Antoine, j’ai besoin de mon travail.
- Vraiment ? Hum… Si tu es gentille avec moi, je pourrai fermer les yeux. Que dirais-tu d’une petite gâterie. Viens, je connais un coin tranquille.

- Il ne m’a pas laissé le choix. Son coin était protégé des regards. J’ai dû enlever ma culotte, m’accroupir devant sa verge raide surgie de sa braguette, me branler d’une main pour le plaisir de ses yeux puis le sucer et le masturber entre pouce et index.
-Tourne ta langue autour de mon gland. Je suis propre, je dois sentir bon, je sors de la douche. Prends une couille dans ta bouche… Lèche les côtés de ma queue…Sous le gland, c’est meilleur. Maintenant avale le morceau.

- Ce jour-là je m’étais fait des couettes. Il en a attrapé une dans chaque main et a tiré ma tête vers son ventre. Le gland a ouvert la voie à sa bite. Par bonheur son machin n’était pas trop long et il n’est pas resté au fond de ma bouche. Ma tête allait et venait régulièrement, j’ai eu quelques spasmes lors du contact de son nœud et de ma gorge. Antoine était pressé, il est parti dans ma bouche en trois ou quatre jets. Au fur et à mesure j’ai avalé son éjaculat. Déjà il se remballait.
- Louise tu es douée. Il faudra qu’on se revoie. Je te ferai signe.

J’interviens
- Tu aurais dû me raconter ça immédiatement. Tu n’as rien dit. Il a recommencé ?
- Dès le lendemain.
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Histoire de Veilleur

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