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Devenir une star ou une salope 7

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Lue : 2283 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 08/06/2013

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Le lendemain Antoine me fait convoquer et m’annonce, l'œil égrillard:
- La direction te détache provisoirement en réserve.
Ça sent la magouille. Comment a-t-il obtenu pour moi ce changement de poste ? On me l’avait refusé ?

Le responsable de la réserve, Martin, m’accueille :
- Ah, te voilà. Tu as fait jouer le piston ? Je peux savoir qui te protège ?
- Je ne vois pas ce que tu veux dire.
- Si tu travailles bien tu évolueras. Tu vas à la literie, tu formeras le stagiaire. Tu connais Xavier ? Pour commencer vous me rangez proprement les oreillers.

Xavier, le traître qui m’a accusée de l’avoir embrassé a intérêt à filer droit. Il est tout gêné, mais il m’accompagne. Je l’avertis :
- Si tu me touches, je crie au viol. N’essaie plus de m’embrasser, morveux

Antoine arrive:
-Alors les amoureux, contents de travailler ensemble ? J’ai réfléchis et il me semble avoir commis une erreur hier. Les explications de Louise m’ont paru crédibles. Pourriez-vous reprendre la pose dans laquelle je vous ai trouvés.

Xavier renâcle :
- Monsieur, puisque c’est elle
- Je jugerai moi-même. Tu préfères être mis à la porte ? Je ne te demande rien d’extraordinaire, cela devrait te plaire : vous vous mettez debout ici et vous vous embrassez. Louise ne pue pas du bec. La corvée n’est pas pénible. Tu n’aimes pas les filles, gamin ?

Je trouve trop fort cette façon de me livrer au baiser de ce cochon de menteur :
- Mais Antoine ça ne mène à rien, comment verras-tu qui a embrassé en premier de lui ou de moi ?
- Toi aussi Louise ? Votre sort va vite être réglé !
- Bon, si tu y tiens, Xavier viens dans mes bras… Ne recule pas la tête ou nous n’en finirons jamais.

Il continue à mentir :
- Non, attrape ma bouche comme hier.

Antoine se fâche
- Si à trois vous ne faites pas votre bouche à bouche, un, deux…

Je me penche sur le jeune faux jeton. Il bascule légèrement et pendant que son tronc recule son ventre pousse en avant et sur le mien je sens nettement la dureté de son sexe. Le coquin bande et me le fait sentir. Antoine n’est pas content.
-Vous vous foutez de moi ? C’est quoi ce petit bécot rapide ? Recommencez, un vrai baiser d’amoureux. Louise tu n’es plus pucelle, montre à ce puceau comment on s’embrasse.

Pour me débarrasser de la corvée, je prends la tête du garçon dans mes mains et je lui applique ma bouche sur les lèvres. Il s’amuse à ouvrir un large bec, pousse sa langue, force mes lèvres. J’ai comme un éblouissement. Je me retire et tourne mon visage vers Antoine pour savoir s’il est enfin satisfait. Il examine un appareil photo.
- Tu as raison Louise, on ne peut pas déterminer qui a provoqué ou commencé. Mais on voit que vous vous léchez le museau. C’est assez. Oh! Regarde dans quel état tu as mis ce malheureux gamin, il est rouge de confusion. Ah ! Et là… Mon Dieu, quelle bosse !

Xavier porte ses deux mains devant sa braguette, baisse les yeux, honteux de laisser paraître la violence de son érection
- Dis mon gaillard, n’aurais-tu pas dérobé quelque objet que tu cacherais dans ton pantalon. Ca expliquerait le coulage déploré par Martin. Cette fois j’ai un voleur, je te tiens. Ouvre ce pantalon et montre ce que tu caches.
- Pas devant elle.
- Mais si, Louise sera mon témoin. Veux-tu que je t’aide à déballer la marchandise ?
- Ça vient.

Xavier tout penaud fait sauter le bouton de ceinture et baisse le zip de sa braguette. Le gardien heureux de coincer enfin un voleur s’empresse d’exiger :
- Tire ton slip sur le côté. Montre-nous l’objet.

Xavier se contorsionne et sort difficilement le corps du délit, une belle verge dont il pourrait être fier en d’autres circonstances. Le chef ouvre de grands yeux, cherche une excuse et m’accuse :

-Tu l’as chauffé à blanc. Un baiser et le pauvre brûle. Tu ne peux pas le laisser souffrir. Aide-le.
- Comment ? Que dois-je faire encore. Il a su ouvrir la cage à son oiseau, il est assez grand pour l’enfermer tout seul. Ce n’est plus un bébé et je ne suis pas sa mère.
- Tu as allumé l’incendie en l’embrassant. Maintenant éteins le feu. Ramène-le à des proportions normales.
- Mais il n’a pas besoin de moi. Il a deux mains et dix doigts. Il saura se débrouiller avec sa zigounette.
- Comme tu voudras, dit Antoine et il brandit l’écran sous mes yeux : avec ça tu ne t’en tireras plus. Ne fais pas ta mauvaise tête, nous gagnerons du temps si tu le prends en main et si tu le branles.

Un rictus déforme la face du démon de dix-huit ans, il attend, bite au vent l’aide de mes mains. Et le chef de la sécurité me fait signe d’y aller. A la rigueur, plutôt le masturber que d’être obligée de le sucer ou de baiser avec lui. Je me tiens sur sa gauche et j’entreprends de le presser entre deux doigts. Il raidit de plus en plus dans ma main en mouvement et ne tarde pas à envoyer la poudre aux oiseaux.
Je le complimente
- Bravo, Xavier, tu es rapide. Je te remercie d’avoir eu pitié de mon poignet. Rhabille-toi, on a du travail.

Voilà comment cela a commencé. Pendant une semaine j’ai entassé, rangé, déplacé, classé des fournitures. Confus, Xavier, se faisait petit, apparemment il avait été humilié de s’être fait branler devant témoin. Un jour Martin l’a appelé, quelqu’un le réclamait. Xavier est revenu ’une demi-heure plus tard. Il était pâle, bouleversé. Je lui en voulais toujours, mais sa mine triste m’a alertée.

- Ca ne va pas ? D’où viens-tu ?
- Antoine m’as soumis à un interrogatoire. Il veut savoir comment ça marche entre nous deux, si tu continues à vouloir m’embrasser, si j’ai aimé tes caresses sur mon sexe, si tu ne m’avais pas fait mal, si j’aimerais recommencer ou si je serais prêt à témoigner contre toi le cas échéant.
- Que lui as-tu répondu ?
- Ben, tu sais que j’ai besoin de terminer mon stage.
- Ah! Bon. Il prépare quelque chose. C’est tout ?
- Non. J’ai dû lui montrer mon pénis. Il a cherché des traces de ta supposée brutalité, l’a tourné, retourné, soulevé, serré, secoué et ensuite il m’a engueulé parce que j’ai craché mon sperme sur le sol de son bureau. J’ai nettoyé le parterre. J’étais penché en avant, j’ai senti un doigt entre mes fesses
- Tu as un joli cul. Tu sens mon doigt? Tu aimes ça ? Reviens me voir mardi. Rejoins Louise.
- Tu t’es laissé faire? Pourquoi ?
- Sur son bureau, en évidence il y avait une photo de toi en train de branler ma bite. Si j’avais refusé, qu’aurait-il fait ?

De fil en aiguille, au cours des semaines suivantes Antoine a entraîné le jeune homme influençable à des jeux entre hommes. Xavier m’en a parlé une ou deux fois. Par la suite il est devenu taciturne. Pourtant il m’a adressé une mise en garde :
- Tu devrais réclamer ta mutation à la caisse ou démissionner. Antoine devient bizarre. Il est malade.

Je me sentais dans mon bon droit. Je suis restée au service de Martin qui m’appréciait, me laissait entrevoir une promotion.

- Ah ! Vous êtes là tous les deux. Ça tombe bien.

Antoine reparaît après des jours et des jours.
- Xavier se plaint de toi Louise, il prétend que tu le harcèles sexuellement. Je n’en crois pas un mot.

La tête baissée, le garçon fuit mon regard.
- Notre ami déborde d’imagination. En réalité il n’a jamais eu de véritable relation sexuelle avec une femme. Il te désire à force de te côtoyer, c’est une situation banale. Il voudrait te posséder, n’a pas le courage de te le demander. Louise tu devrais avoir pitié de lui et lui apprendre à faire l’amour.
- Il n’en est absolument pas question. Tu ne vas pas recommencer ton chantage.
- C’était une suggestion. Comme tu voudras. Il est des petits services qu’on peut se rendre gratuitement entre collègues, ton refus est un signe d’égoïsme. Dommage que tu sois réactionnaire, vieux jeu.

Je cherche une réplique diplomatique, Antoine passe son chemin. Xavier me regarde par en-dessous.
- Alors, tu vas te plaindre de moi. Tu as envie de moi ? C’est quoi cette histoire ?
- Antoine a surtout envie de nous voir faire l’amour.

Trois jours plus tard, le service de garde, à l’heure de sortie fouille mon sac à main et déniche une bague en or qui a disparu du rayon bijouterie. Je ne sais pas qui l’y a glissée. Le gardien me conduit chez Antoine. Les stores de son bureau sont baissés. Il fermera les yeux sur mon larcin si…
Ce soir-là j’ai droit à la totale. A quatre pattes sous son bureau je lui taille une plume. Il est assis dans son fauteuil, reçoit la visite de Xavier et, pendant que je lui suce le gland, une main sur le crâne, il lui promet de nous unir bientôt. Je me serais engagée à l’initier. Libérée une minute je l’entends tourner la clé. Il punit la voleuse : il baisse son pantalon, se replace dans son fauteuil et je dois m’asseoir à califourchon. Le porc éjacule en moi puis me fait signer un procès-verbal de vol qu’il n’utilisera qu’en cas de récidive.

Serge se moque:
-A ton âge, céder à un chantage aussi ridicule. Tu ne veux pas l’admettre, mais cela t’a plu. Il est plus agréable de faire l’amour que de travailler. Alors après Antoine, tu t ‘es chargée de l’éducation de ton stagiaire, je suppose. Toujours en cachette de Claude, pour te faire ramoner au boulot.

- J’aurais voulu t’y voir. Antoine avait les photos, le rapport du vigile. C’était sa parole de gardien assermenté contre la mienne et je n’avais rien de bon à attendre de Xavier dont le témoignage orienté serait du plus mauvais effet. Un soir dans le bureau d’Antoine, en sa présence, j’ai accordé mes faveurs à Xavier. De la fellation à la pénétration ses dix-huit ans ont tout appris.

-Et où nous mènes-tu avec ton histoire ?

- J’ai constaté que Xavier pratiquait la sodomie active et passive avec Antoine. Ils m’ont associée à leurs orgies. L’un se courbait sur le bureau, je guidais l’autre vers son petit. Je devais photographier leurs ébats homosexuels. Arriva ce qui devait arriver : ils préférèrent mon derrière à mon vagin. Serge tu te fais des illusions, tu n’as pas été le premier à me sodomiser. J’ai servi en sandwich. Ils m’ont à intervalles réguliers utilisée comme défouloir, comme déversoir, comme sac à foutre. Enfin, il y a un mois, Xavier s’est inquiété. Antoine s’absentait régulièrement en congé maladie. Il s’est mis à utiliser des préservatifs, a demandé à Xavier de se méfier de moi parce qu’il me soupçonnait de leur avoir refilé une maladie sexuelle. Xavier a pris peur, m’a dénoncée à la direction, Antoine a sorti mon dossier de vol et des photos de Xavier accouplé avec moi, celle de notre baiser dans la réserve. Il y a huit jours nous avons été virés pour faute grave. Voilà. Xavier était en fin de stage. Antoine est hospitalisé, il serait séropositif. Rejetée de tout bord, je n’ai plus qu’à me jeter à l’eau, pour ne pas souffrir de cette terrible maladie et pour ne pas la transmettre à l’enfant dont je suis enceinte.

- Et quand je t’ai offert un travail, tu as fait l’innocente. Tu as fait des manières quand on a voulu te prendre par derrière, tu as joué à la pucelle. Quelle simulatrice. Bon, j’en sais assez. Je me fais dépister, je dois reporter mon voyage, mes recrutements. Que va dire mon patron ? Je n’ose pas imaginer la suite. Mais quelle conne, quelle conne ! Et elle est enceinte, tu entends : de qui, je te le demande ? De toi Claude ou des deux autres? Fous- la à la porte

Louise ne le retient plus. Il part en claquant la porte. Louise se tourne vers moi et explose de rire. Aussitôt elle reprend un air grave.

- Claude, tu ne voudras plus de moi après ces vingt-quatre heures. J’ai été stupide. Serge m’a fait délirer. Je suis nulle. Avant de partir, je te dois un aveu. J’ai voulu me venger de Serge après avoir entendu votre conversation. Serge s’est payé ma tête, m’a promis le mariage pour m’asservir, me traiter comme une marchandise, m’échanger contre une polonaise. Sache ceci : Antoine n’existe pas, je ne connais aucun Xavier, je travaille toujours comme caissière. J’aurai du mal à me faire pardonner mes absences, ma chef est stricte. J’espère la faire rire en lui racontant comment j’ai effrayé le séducteur et sans doute jeté le désordre sur son site avec l’horrible histoire de Louise, d’Antoine et du stagiaire. Je te regretterai. Mes valises sont prêtes…

- Reste. Je n’ai pas tout compris. Tu vas reprendre toute cette histoire, démêler le vrai du faux. Ensuite nous reprendrons une vie normale : tu es un sacré phénomène. Comment as-tu pu inventer cette histoire. J’y ai cru. Et Serge, oh, le malheureux ! C’est bien fait pour lui. Oh! ho, ho ho ! Mais comme je suis soulagé…Tu restes, j‘ai besoin de toi, je t‘aime ! Fais-moi rire, farceuse, mais reste, range tes affaires. De plus, ton enfant a besoin d'un père.

- Quel enfant? Oh! Tu as cru ? Non je ne suis pas enceinte, c'était pour enjoliver mon récit devant Serge. Ne compte pas sur les autres pour me faire ton enfant.

- Et si on se mariait ?

- A une condition, pas de sodomie, c’est répugnant.

- Je ne suis pas Serge. Dis, tu ne raconteras pas ça à ta chef. Elle se moquerait de moi.

- Bon, on a eu chaud, hi, hi, hi..Sur internet nous trouverons la recette pour passer commande d'un bébé!

Fou-rire. Les nerfs se détendent.
FIN
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Histoire de Veilleur

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Commentaires du récit : Devenir une star ou une salope 7

Le 27/10/2013 - 04:12 par polpolp
Que dire de cette série, la seule que je n'avais pas lu... L'histoire est intéressante comme toujours mais la fin m'a énormément décu et tranche completement des fins habituel ou il y a multiple rebondissement, Louise raconte un mensonge plus vrai que nature agis comme la pire des salopes mais elle est pardonner quand même... c'est humainement impossible car si l'ont en crois son mensonge, elle est toujours caissière donc pourquoi elle a fait sa, surtout que juste avant elle voulait se marier a L'autre, d'habitude il y'a une logique dans les sentiments mais la pas du tout et sa laisse un gout amer et c'est dommage...

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