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la crampe

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 18/08/2023

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LA CRAMPE

--Je vais prendre une douche et je veux que tu viennes avec moi s'il m'arrive quelque chose. Si je tombe et que je me blesse encore plus. Et que tu me mettes du gel après. Mais avant tout il faut que tu m'aides à me déshabiller. Je vais pas y arriver toute seule.
Il faut sans doute que je revienne en arrière pour que vous compreniez mieux la situation.
Je suis un passionné de sport. J'adore ça. Je ne suis pourtant pas, et je n'ai jamais été dans les rêves impossibles d'exploits physiques, quels qu'ils soient. Je voulais simplement me sentir mieux et bien, à la fois physiquement et moralement. C'est déjà beaucoup.
Je me partage entre deux clubs où je pratique que qu'on appelait au départ le crossfit, et qui a pris énormément d'appellations au fil du temps, modifié par Machin ou Truc. Le principe de base reste le même. On fait de l'exercice ensemble pour se muscler et brûler des calories.
Il y a beaucoup de filles, et peu d'hommes. L'occasion de profiter jusqu'à n'en plus pouvoir d'anatomies féminines. Les tenues sportives actuelles sont très révélatrices et elles soulignent de manière très précise ce qui fait la particularité et le charme d'une fille.
Autant de propositions, de possibilités qui laissent clairement penser que l'anatomie féminine se décline de bien des façons mais que toutes sont troublantes.
Je dois dire que je me rinçais bien l' oeil, comme on dit. Et ca me suffisait. On était là pour faire du sport, pas pour entamer des romances. J'étais de plus parfaitement conscient que, si une relation se développait entre deux personnes, elle risquait d'être éphémère, mais également d'avoir de fâcheuses conséquences. Créer, c'était sûr, des tensions entre de bonnes copines, mais aussi entre groupes parce qu'il y avait des clans. Autant garder une bonne ambiance.
Mais il y a un monde de différence entre principes et réalité, et les circonstances ont voulu qu'il en soit autrement.
On était quasiment à la fin du cours quand l'une des filles qui était juste devant moi s'est effondrée au sol en poussant un glapissement. Glapissement qui s'est prolongé.
Notre coach a coupé la musique, et tout le monde s'est figé.
A la manière qu'elle avait de se tenir la cuisse, j'ai compris ce qui se passait. Le muscle, trop sollicité, avait secrété de l'acide lactique.
Elle a crié :
--J'ai mal!
J'ai été le seul à m'approcher. C'était peut-être aussi bien, d'ailleurs. Ainsi il y avait un espace autour d'elle, dégagé pour éviter qu'elle ne se sente oppressée, et que je puisse agir.
J'ai attrapé sa jambe, je l'ai d'abord tendue, puis j'ai exercé une pression en sens contraire. Je n'étais pas médecin, il se trouvait simplement qu'il m'arrivait souvent d'avoir des crampes dans ma jeunesse, et ma mère utilisait toujours cette méthode, qui me soulageait. Appuyer en sens contraire.
Je me suis rendu compte que tout le monde s'était mis autour de nous en arc-de-cercle, et observait. Il y avait une sorte de suspense. Allais-je être capable de soulager cette crampe qui resterait dans les annales ? J'avais intérêt à être bon.
--Ne te crispe pas, je lui ai conseillé.
Et puis, je ne sais pas comment, il s'est passé quelque chose. La tension a paru se libérer de son corps. Elle a eu un petit sourire.
--Ca va mieux, elle a dit.
Le cours était fini. Il aurait été terminé de toute façon, puisqu'on était arrivés à l'heure ou on bouclait. Il y a eu une salve d'applaudissements dont je n'avais pas compris sur le moment qu'ils étaient pour moi.
J'ai aidé la jeune femme à se relever.
Elle était toujours sur ma gauche, et on n'avait jamais vraiment discuté. Elle était brune, dans la trentaine. Pas très grande, avec des formes pleines, et un visage qui ne manquait pas de charme.
Je l'avais vue pas mal de dos, évidemment, puisqu'elle était devant moi, mais peu de face.
--Essaie de poser la jambe sur le sol, je lui ai proposé.
Je l'ai lâchée. Elle a voulu poser le pied. Elle s'est appuyée. D'évidence, c'était trop douloureux pour que sa jambe puisse supporter son corps, et lui permette d'avancer.
--Je vais te ramener chez toi, j'ai proposé. Appuie-toi sur moi.
On est sortis de la salle. C'était le moment ou, après le sport, tout le monde rentrait chez lui pour la soupe. Elle avait sa jambe douloureuse légèrement levée, et elle avançait sur une jambe, et en s'appuyant sur moi. Je faisais office de béquille. Je savais par expérience qu'après la crampe, il y avait le soulagement, une douleur sourde, et que le muscle restait tétanisé un moment, incapable de fonctionner.
--On va prendre ta voiture, j'ai suggéré. Je te ramène, et après je reviendrai à pied. De toute façon, tu ne dois pas être très loin, j'ai suggéré, espérant que c'était bien le cas, qu'elle était au cœur du village et pas dans les collines.
--Non, non, je suis quelques rues plus loin. Ma voiture, c'est la verte. J'ai du gel a la maison, pour les douleurs, les courbatures musculaires, je devrais l'avoir toujours avec moi.
--Ca sera pour la prochaine fois.
On y était presque.
C'est en approchant du véhicule que je me suis réellement rendu compte du poids de son corps contre moi, contre mon flanc, de la chaleur de son corps, qui peu à peu m'envahissait, et qu'un de ses seins appuyait sur moi, plein et délicat. Je me suis rendu compte aussi qu'elle ne me laissait pas indifférent, et que ma queue était aux trois-quarts érigée. Heureusement, j'avais un T shirt long qui devait masquer plus ou moins ce qu'une tenue de sport aussi révélatrice que celle des filles soulignait sans aucun doute.
--Tu as les clefs ?
Elle l'a sortie de la poche du blouson que j'avais récupéré avec son sac de sport, et elle a débloqué les portes avant de me la tendre.
Je l'ai laissée se caler à la place du mort. Elle m'a lâché, a pris appui sur le toit de la voiture, puis s'est laissée glisser à l'intérieur du véhicule. J'ai contourné la bagnole, après avoir glissé ses affaires et les miennes à l'arrière, et j'ai pris le volant.
Je me suis tourné vers elle. Elle m'a souri, pour la première fois depuis l'incident, pour la première fois sans doute depuis qu'on se connaissait. On ne s'était jamais vraiment parlé. Fréquenter le même club de sport n'implique pas qu'on ait des relations sociales.
--Même si tu es juste à côté, il faut que tu m'expliques précisément où tu habites.
Elle a eu le mérite de la clarté dans son explication. J'ai mis le contact, fait demi-tour, et on a quitté le parking pour que je la ramène chez elle.
Ca avait pas mal construit ces dernières années, des lotissements, des maisons individuelles. Je me suis réengagé sur la départementale, j'ai tourné deux croisements plus loin sur la droite.
Pendant le trajet, court, et c'était un bon réflexe, elle a massé sa cuisse, un massage qui aurait été plus efficace, sans aucun doute, si elle avait eu un produit quelqu'il soit. Mais on allait être très vite chez elle.
Elle habitait une belle maison, blanche, carrée, à un étage, avec du terrain autour, et des arbres qui grandissaient paisiblement. Elle a cru bon de préciser, alors que je ralentissais, et que je m'efforçais de me garer aussi près que possible de l'entrée pour éviter les trop grands déplacements :
--J'ai vécu ici avec mon mari jusqu'à il y a deux ans. Il était et est toujours architecte. J'ai 39 ans, et il s'est rendu compte un jour que j'étais trop vieille pour lui. Quelques mois après qu'il soit parti, en me laissant la maison,qui paradoxalement ne l'intéressait pas, alors même que c'était lui qui l'avait dessinée. Il estimait sans doute qu'elle manifestait que c'était une œuvre de ses débuts, trop indigne de lui. Il s'est installé avec une jeune femme de 19 ans qui avait la chatte plus fraîche, plus humide et plus élastique que la mienne.
Il y avait une amertume plus qu'évidente dans ses propos.
--Il prévoyait son départ depuis un certain temps ce salaud, car il avait commencé à faire construire une nouvelle maison, plus conforme à ce qu'il estimait être sa vision actuelle et l'expression de son talent immense, enfin arrivé à maturité.
J'ai coupé le contact et je suis descendu de voiture pour l'accompagner jusque chez elle. J'avais un dessin assez flou de ce qui allait se passer dans les minutes qui allaient suivre. Elle a ouvert la portière, s'est redressée, et elle a eu le mauvais réflexe de s'appuyer sur sa jambe blessée...Qui ne l'a pas soutenue...Elle est partie en avant, arrivant directement dans mes bras. Plus que quand elle s'appuyait sur mon flanc, j'ai senti le poids de son corps, de son ventre et de ses seins, sa chaleur...Par réflexe, j'ai reculé le bas-ventre pour qu'elle ne perçoive pas cette érection qui s'était un rien assoupie dans la voiture, mais qui, à son contact, venait de retrouver une pleine vigueur.
-Pff...Je ne pensais pas qu'une crampe ça pouvait faire aussi mal. Pendant et après. Même si la douleur n'est pas la même.
Appuyée sur moi, mais cette fois de l'autre côté, son sac à main sur l'épaule, elle m'a laissé l'amener jusqu'à la porte. Elle a farfouillé dans son sac pour récupérer la clef de la maison, glisser celle-ci dans le pène et débloquer la porte.
Une belle maison à l'intérieur. Le living, sur la gauche nous tendait les bras. J'ai eu le réflexe de l'amener vers le canapé. Elle ne s'y est pas opposée, et s'y est laissée glisser.
Elle a désigné une petite pharmacie accrochée au mur.
--Regarde, le gel est là. Tu veux me l'attraper, s'il te plaît ?
Je suis parti récupérer le tube dans la petite armoire. En revenant, j'ai regardé la date. Il n'était pas périmé.
--Je vais te mettre du gel.
La phrase sortie de ma bouche, je me suis demandé pourquoi j'avais dit ça. Elle pouvait très bien se mettre du gel toute seule. Je me suis d'ailleurs dit qu'elle allait me répondre :
--Ben écoute, le gel, je peux m'en mettre toute seule. Tu peux partir. Et merci de m'avoir raccompagnée.
Je ne m'attendais vraiment pas à sa réponse.
--Je vais prendre une douche et je veux que tu viennes avec moi s'il m'arrive quelque chose. Si je tombe et que je me blesse encore plus. Et que tu me mettes du gel après. Mais avant tout il faut que tu m'aides à me déshabiller. Je vais pas y arriver toute seule.
J'ai du avoir une expression surprise, car elle ajouté :
--Si tu mets le produit d'abord, et que je prends une douche quand tu seras parti, ça n'aura aucun effet.
Je me suis penché sur elle, je l'ai soulevée en la prenant sous les aisselles, et je l'ai amenée jusqu'à la salle de bains. Le couloir, deuxième porte à gauche, elle m'a précisé.
Dans mon esprit je la laissais dans la salle de bains, elle passait sous la douche, j'attendais à l'extérieur, puis, habillée, elle m'appelait et je lui mettais du gel.
--Déshabille-moi. Je vais pas y arriver toute seule.
Elle a bien vu que j'hésitais, et elle a rajouté :
--Tu as bien déjà vu une fille à poil, non ?
C'était un argument imparable. Et qui a fait sauter mes dernières réserves. Avoir devant vous une jolie fille qui vous propose de la déshabiller, il faudrait être idiot pour dire non. Je me suis approché d'elle, les mains un peu tremblantes. Elle ne pouvait pas ne pas le remarquer, mais si elle a souri, ce n'était pas pour se moquer de moi mais plutôt parce que ça lui plaisait que je la déshabille. Je me suis demandé si elle en avait envie depuis longtemps, ou si c'était plus récent. Qu'importait...Ce qui comptait, c'était ce qu'on faisait maintenant. Que j'attrape le zip de sa veste et que je le descende vers le bas. Les pans se sont écartés d'eux-mêmes. Dessous, elle n'avait pas de T-shirt, mais un soutien-gorge rouge, assorti àla veste et au pantalon. Elle avait une poitrine plus importante que je n'aurais pu le penser, qui tendait bien le soutien-gorge, avec une partie en dentelle, et une autre transparente qui laissait voir un bout d'aréole rose, et de téton.
Effectivement, elle empestait la sueur. Mais je ne devais pas valoir mieux.
La veste a fini sur le sol. Elle avait un sourire immense sur le visage. J'ai glissé mes mains dans la ceinture du pantalon, effleurant au passage sa chair souple et chaude. Ma queue était raide et douloureuse de désir. Je me suis demandé dans quoi on s'engageait. Le sourire qu'elle avait sur le visage semblait dire que ce n'était que du bon.
J'ai, me courbant, amené le pantalon à ses chevilles. J'avais pile sous les yeux, son slip. Il était assorti au soutien-gorge. Son intérêt, c'était que sa face était transparente, et donnait à voir ce que j'allais de toute façon voir en intégralité d'ici quelques secondes, une partie de son sexe. A savoir une toison châtain, et une partie de ses lèvres, qui s'écrasaient contre le tissu.
Elle a dégagé un pied, puis, de l'autre, envoyé le pantalon rejoindre le haut.
--Il faut aussi que tu m'enlèves mes sous-vêtements, je ne vais pas prendre une douche avec !
Avait-elle senti une réticence ? C'était vrai que quand elle serait totalement nue...On basculerait vraiment sur autre chose. Ce qui n'était pas le cas pour l'instant. Elle aurait pu très bien me dire' OK, je vais me débrouiller toue seule, je t'appelle pour que tu me mettes le gel...' Il était vrai que tout était biaisé depuis le départ, puisqu'elle n'avait pas besoin de moi pour mettre le gel.
Une chose était sûre, plus rien ne me retenait. Restant face à elle, j'ai mis mes bras autour d'elle pour venir dégrafer le soutien-gorge. Nous étions vraiment tout proches l'un de l'autre, à quelques millimètres. Sans que cela me surprenne, elle est venue embrasser mes lèvres, un baiser bref mais qu'elle a fini en me mordillant la lèvre supérieure.
J'ai légèrement reculé et j'ai fait glisser le soutien-gorge encore accroché à ses seins. Ils se sont révélés, haut, pleins, dressés vers moi comme une offrande, pointant, avec des tétons que le froid, ou peut-être l'excitation, a fait s'ériger sous mes yeux.
Il restait le slip, et elle voulait sans doute que je l'enlève aussi. Si j'avais encore des hésitations quelques instants plus tôt, mettre ses seins à nu les avait dissoutes. Je me suis penché, et j'ai descendu le slip, dévoilant son sexe, dont les lèvres, compressées, se sont épanouies sous mes yeux, en même temps qu'un filet de sécrétion vaginale sortait d'elle, coulait en bas de son sexe, et venait glisser sur la face intérieure de sa cuisse.
Tout a fini dans le panier à linge.
--Je te laisse aller sous la douche ?
--Je vais te déshabiller, et tu vas y venir avec moi.
C'était vraiment curieux ce moment, ce basculement, alors qu'on se voyait depuis trois ans et qu'on n'avait jamais vraiment posé notre regard sur l'autre.
--J'ai envie de commencer par là, qu'est-ce que tu en penses ?
Elle a resserré sa main autour de ma queue.
--Je te fais de l'effet. Ou alors on est dans la phrase de Mae West ?
La chaleur de sa main a traversé les tissus et elle est remontée dans mon corps.
--Je ne la connais pas, j'ai avoué. Je suis inculte.
--C'est une star des années 30, une grande blonde plantureuse, elle a dit en descendant mon jogging et mon caleçon.
Elle a eu un petit rire en voyant ma queue...
-Hmmm, elle est belle, longue et dure. Ca fait trop longtemps que j'ai pas vu une queue.
--Et alors, Mae West ?, j'ai demandé pendant qu'elle me masturbait, faisant aller et venir sa main sur ma queue très lentement.
--Dans un film de gangsters, c'était à la mode à l'époque, elle danse avec un type louche, et elle lui dit, soit vous avez une arme dans votre poche, soit vous êtes très amoureux de moi.
--Bon, tu as vu que ce n'était pas une arme.
Je n'avais pas fait l'amour avec une fille depuis plusieurs semaines, et sa caresse me donnait énormément de plaisir Se branler, c'était bien, mais la main d'une fille sur soi, c'est autre chose. Je me dilatais nettement, et du liquide pré-sécrétif coulait sur moi et sur ma main. Finalement c'était bien qu'on se soit trouvés, on était aussi frustrés l'un que l'autre.
Il y avait en tout cas ceci de positif que l'excitation et le plaisir qu'elle ressentait gommaient la douleur. Ca ne serait peut-être pas nécessaire au final, quand elle serait gavée d'endorphines, de mettre du gel.
--Viens on va sous la douche.
Elle s'est malgré tout accrochée à moi, et à ma queue, pour glisser dans le bac à douche. Il était suffisamment large pour qu'il soit confortable. Elle a ouvert les deux robinets, pour arriver à du tiède.
Dans un creux, près des robinets, il y avait un pain de savon avec dessus marqué LAVANDE, ça a dégagé une bonne odeur, naturelle ou chimique, de lavande et des gants de toilette. Elle a mouillé le gant, avant de frotter le savon contre.
--Je vais bien te nettoyer partout, et tu feras pareil pour moi.
Je n'ai pas oublié ce moment. Se laver soi et se faire laver par quelqu'un d'autre, c'était une expérience radicalement différente. C'était une caresse, mais une caresse différente, une caresse améliorée, avec l'épaisseur douce du tissu, du gant, du tissu éponge, avec la suavité du parfum, c'était chaud, doux, incomparable, mais au-delà, elle caressait bien. Si je ne m'en étais pas déjà rendu compte, j'ai pu réaliser très clairement que le corps entier était une zone érogène, Je me suis laissé aller, c'était bon sous l'eau tiède, elle a bien sûr insisté sur des zones de plaisir plus marquées. Je la regardais, avec cette incrédulité qui était la mienne, et qui a persisté jusqu'au bout. On se voyait depuis plusieurs mois trois fois par semaine, sans que rien ne se soit jamais passé entre nous, on ne se parlait même pas, et puis tout d'un coup, il y avait ce basculement.
--Et si tu me savonnais, toi aussi ?
J'ai attrapé le second gant, posé sur la vasque, et je l'ai enduit de savon. Ma queue était dressée contre mon ventre, témoignage de mon désir pour ce corps nu, qui m'était offert et que je pouvais reluquer autant que je le voulais, sous tous les angles...Elle a posé sa main dessus, avec envie et elle l'a caressé avec autant d'envie. Elle ne voulait pas me faire jouir, simplement, elle retrouvait un contact avec ce qu'elle n'avait pas vu, touché, pris en elle depuis longtemps, une queue.
Le gant bien enduit de savon, je suis venu tourner sur son ventre, dans un mouvement circulaire. C'était peu, mais c'était déjà beaucoup. Elle a fermé les yeux et a gémi de plaisir.
--Ah, c'est bon d'être caressée... Ca fait trop longtemps qu'un homme n'a pas mis ses mains sur moi. Bah, je te dirai que mon mari ne me caressait jamais...Lui, ce qui l'intéressait, c'était que je lui suce la queue. Jouir comme ça c'était le Nirvana pour lui.Je n'étais plus qu'une bouche pour lui à la fin. Tout ce qu'il attendait de moi c'était que je lui fasse une pipe. Il sortait sa queue, il la baladait devant mon visage...Un jour, je lui ai dit : 'Et si tu te faisais sucer par quelqu'un d'autre ? Tu ne t'occupes même pas de me donner du plaisir.' Je ne sais pas s'il fait pareil avec sa nouvelle copine...Je passais mon temps à me branler pour me soulager...Remarque, je fais pareil depuis qu'il est parti...J'y prends du plaisir, mais...Tu crois que je pourrais faire quelque chose avec ta queue ?
Je l'ai savonnée et caressée en même temps. Elle ronronnait de plaisir. Pour moi c'était une expérience radicalement nouvelle. Bien sûr, j'avais déjà caressé une fille des mains, de la bouche, mais c'était la première fois que je le faisais à travers l'épaisseur d'un gant. Ca donnait de nouvelles textures, de nouvelles sensations. Je suis venu partout, sur des zones dites érogènes, et d'autres qui l'étaient sans doute un peu moins, elle s'était laissée aller, profitant de la caresse, du moment, du plaisir. Savonnant ses fesses cambrées, tendues vers moi, rebondies, charnues, coupées en deux par un sillon profond, je me suis dit que j'avais vu ses fesses bouger devant moi, mises en valeur par des pantalons, des shorts, qui les cambraient, les moulaient, les remodelaient, mais qu'au grand jamais je n'avais imaginé qu'elles seraient un jour nues devant moi, et que je les caresserais avec un gant. J'ai fait glisser le gant dans le sillon, je suis venu sur cette zone intime...Elle m'a encouragé.
--Mmm, c'est bon continue...Tu me donnes du plaisir...
J'ai glissé lentement dans le sillon en aller et retour, m'arrêtant sur les plissements de son anus que j'ai frottés doucement.
--Le plaisir efface la douleur...J'ai plus mal du tout maintenant.
Elle a rajouté :
--Pour que j'aille encore mieux, que je sois plus détendue et que j'aie plus mal du tout, je voudrais que tu viennes dedans et pas que tu restes en surface...Tu crois que c'est possible ?
Ses consignes n'étaient pas forcément très claires. Elles l'ont été plus quand, elle était toujours de dos, son visage tourné vers moi, avec un éclat particulier dans le regard, elle est venue chercher ma queue, et elle a posé mon gland en haut de son sillon, et, s'en servant comme d'un objet de plaisir, comme elle utilisait sans doute les godes avec lesquels elle se donnait du plaisir depuis longtemps, selon ses dires, elle a baladé la tête de mon sexe dans son sillon jusqu'à ce qu'elle l'appuie contre sa muqueuse anale. Je n'ai pas compris immédiatement, je pensais qu'elle voulait que je glisse plus bas, mais elle a esquissé un mouvement qui a fait que je me suis retrouvé de quelques centimètres en elle.
--J'aime jouir par le cul. C'est comme ça que j'ai commencé, quand j'étais ado, j'étais folle d'un gars qui voulait à tout prix me baiser. J'en avais envie aussi, mais j'avais trop peur d'être enceinte. Alors j'ai trouvé cette solution. Il a été un peu surpris, mais au final bien enchanté de me prendre par le cul. Là, c'était sûr que, même si la capote se déchirait, et la pilule ne marchait pas, je risquais pas d'être enceinte. On a été ensemble pendant deux ans, et même si on a essayé pas mal de choses ensemble, il ne m'a jamais prise uniquement que par le cul. C'était un plaisir fort pour lui, mais pour moi aussi. Quand on s'est malheureusement séparés, il devait partir loin et que j'ai été avec d'autres gars, j'ai trouvé ça hyper fade de me faire baiser par la chatte...J'y prenais moins de plaisir.
Ca faisait longtemps que je n'avais pas sodomisé une fille. Elle a donné un coup de cul en arrière, et moi un coup de ventre en avant, et je me suis retrouvé emmanché dans son rectum, gainé par sa muqueuse. Elle a lâché un feulement de satisfaction.
--Ah ca me fait du bien...Ca me ramène à ma jeunesse. Tu sais que mon mari ne voulait pas m'enculer...Selon lui, c'était pas normal. Aimer que les pipes, c'est pas normal non plus...Ah je veux que tu me baises longtemps, que je te sente bien en moi...
Je n'aurais pas imaginé que la soirée puisse se dérouler comme ça. Je m'étais vu rentrant chez moi après l'avoir déposée. Pas la queue enveloppée par sa muqueuse rectale, par la douceur et la chaleur de ses chairs les plus intimes, son corps collé contre le mien, sous la tiédeur de l'eau, dans un moment de plaisir.
--C'est tellement bon ce que tu me fais...Ca fait trop de temps que je vis sans avoir du plaisir avec un homme, sans une queue...
Je me suis rendu compte qu'elle avait amené une main sur son sexe, et qu'elle se masturbait dans un mouvement vif, pour avoir un plaisir décuplé.
--Je suis entrain de jouir.
Elle s'est tendue, en criant. Je pensais qu'elle n'aurait qu'un seul orgasme, mais elle a été secouée par une série de spasmes, lâchant des cris et des gémissements. Ça ruisselait entre ses cuisses, et ce n'était pas l'eau qui coulait du pommeau...Elle a tendu les mains en arrière, accrochant mes hanches, et, alors que c'était moi qui donnait le rythme jusqu'à présent, ça a été elle qui a pris les commandes, se faisant aller et venir sur ma bite, de plus en plus dure et épaisse, J'ai compris que l'orgasme approchait...Et je n'ai même pas cherché à le retenir, jouissant en me libérant de mon sperme en elle, chaque jaillissement contre ses muqueuses la faisant crier et se tordre...J'avais l'impression que je ne m'étais pas vidé depuis six mois, et que je n'allais jamais cesser d'éjaculer. C'était en partie vrai, car je n'avais pas eu de partenaires, me masturbant, la tête prise dans des fantasmes. En retrouver une impliquait un jaillissement abondant de sperme, comme si avoir de nouveau un corps féminin à disposition faisait jaillir de mois des réserves de foutre que j'aurais gardées pour l'occasion. Ce qui était faux, bien sûr.
Une fois que je me suis dégagé, elle m'a dit :
--Tu m'as mis du sperme dans le ventre pour toute la semaine. Ca va couler de mon cul petit à petit dans les jours à venir. Je me caresserai en pensant à ta queue en moi. Ca m'a trop fait plaisir de retrouver une bite. Si ça pouvait ne pas être une fois unique...
On est passés sous le jet pour rincer tout le savon, et on est sortis. On s'est essuyés mutuellement.
--Viens, il faut que tu me passes la pommade.
--Tu as encore mal ?
--La douleur peut se réveiller.
Elle n'en croyait bien sûr pas un mot. C'était devenu un jeu. Mais un jeu auquel j'étais prêt à jouer.
Elle a passé un peignoir, et m'en a tendu un autre. Il était un rien plus grand, et je me suis demandé si c'était celui de son mari. Elle a attrapé le tube de crème et m'a entraîné dans la chambre. Elle s'est laissée tomber sur le lit, le peignoir s'ouvrant sur sa nudité, et elle a tendu la jambe. Je me suis enduit les mains de crème, et je l'ai appliquée sur sa cuisse, qu'elle a légèrement levée, tout en me demandant si elle avait encore mal, ou si au final, ce n'était pas totalement inutile. Ca permettrait peut-être d'éviter que la douleur ne revienne.
Ce qui était intéressant par contre, c'était qu'elle avait les jambes ouvertes en compas, et que je pouvais parfaitement voir son intimité. Quand j'ai commencé à appliquer la crème, une coulure de sperme est sortie de son anus, que je voyais encore entrouvert sur une muqueuse aussi rose que celle que son sexe, très ouvert d'excitation. Des muqueuses roses et humides, son utérus tout au fond, un gland clitoridien qui pointait, portant la marque de l'excitation, tout comme ses lèvres qui, étirées hors d'elle formaient un gros paquet de chair. Sans doute parce qu'était ravivée une matrice, dans tous les sens du terme, trop laissée en jachère, elle a amené son index et son majeur réunis au niveau de son gland clitoridien, et elle s'est mise à se caresser dans un mouvement circulaire. Ca devait être le point d'apex de son plaisir, parce qu'elle a vite eu le souffle court, et elle s'est mise à gémir...Ses liquides intimes ont ruisselé, de plus en plus abondants, coulant d'elle sur ses chairs et le couvre-lit.
--Ta queue est encore disponible, elle a demandé, alors que je m'efforçais de bien faire pénétrer la crème.
Je n'ai pas eu à répondre, car elle s'est rendue compte d'elle-même que j'étais dur, très dur même, emporté par son excitation qui était devenue commune.
--Tu peux pas me laisser comme ça, je suis en feu. J'ai besoin que tu viennes dans mon ventre et que tu me fasses jouir pour me calmer. Cette fois dans ma chatte.
Et comme pour me rappeler que précédemment, ma queue était ailleurs, une autre coulure de sperme a maculé sa chair.
--Tu es bien dur...Exactement ce qu'il me faut. Regarde, quand tu auras fini, dans mon sac à main il y a une boite de capotes. C'était une forme de vœu pieu, l'espoir que je trouve un partenaire qui tardait à se matérialiser. Ca a été toi.
La crème parfaitement appliquée, j'ai rebouché le tube, je me suis essuyé les mains sur une serviette que j'avais récupérée, et j'ai été fouiller dans son sac à mains pendant qu'elle continuait de se masturber. Je me suis gainé de latex et je suis revenu jusqu'à elle. Elle souriait comme je ne l'avais jamais vue sourire, le visage littéralement éclairé. Elle a projeté son ventre vers moi, se faisant glisser sur le lit pour rendre la manœuvre plus facile, et j'ai fait glisser ma queue en elle, me sentant immédiatement happé par la gaine souple de son vagin. On a regardé tous les deux, fascinés, la queue glisser en elle jusqu'à ce qu'elle soit totalement avalée par ses muqueuses.
Je crois que j'avais rarement vu, comme d'ailleurs sous la douche, quelqu'un prendre autant de plaisir, de manière aussi intense et aussi totale. Elle a totalement perdu le contrôle, s'abandonnant. Je ne pensais pas, je dois bien l'avouer, prendre un plaisir aussi intense, surtout que j'avais déjà joui. Je l'ai fouillée longtemps, m’efforçant de ne pas jouir sur le champ. Elle a plané, jusqu'au moment où elle s'est mise à jouir, enchaînant plusieurs orgasmes, crachant ses liquides intimes et nous arrosant tous les deux. Elle a expulsé ma queue de son ventre, je n'avais pas encore joui, a arraché la capote, a dirigé ma queue vers son ventre, a fait un aller-retour sur ma queue me faisant cracher ma semence et l'arroser de traits blancs comme de la crème. Elle a souri et a entrepris d'étaler mon sperme sur son ventre.
J'ai regardé l'heure. Il était près de minuit. J'ai commencé à m'habiller.
--Déjà minuit. Je n'ai pas vu le temps passer. Il faut que je rentre.
--Quand on ne voit pas le temps passer, c'est bon signe. C'était bien non ?
--Je n'aurais jamais imaginé que ça puisse être comme ça.
--Le prochain cours c'est jeudi, elle m'a dit en se redressant, et attachant le peignoir autour de sa taille. Mais demain soir, tu pourrais peut-être venir voir si ma blessure va mieux ?
On était à la porte.
--Je reviens demain soir te mettre de la crème, si ça ne va pas mieux.
On s'est embrassés longuement avant que je ne m'éloigne dans la nuit.








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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : la crampe

Le 19/08/2023 - 05:55 par JamesB
Les fins ouvertes, c'est bien aussi...
Le 18/08/2023 - 23:20 par OlgaT
Très belle histoire! Une suite?

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