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Dog walking

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Lue : 818 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 02/03/2022

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Ca s'est joué en quelques instants. Comme tout ce qui casse la routine. J'ai entendu une femme crier.
-Non! Noon! Viens ici! Et toi aussi!
Je me suis demandé ce qui se passait.
Chaque jour, en début d'après-midi, je venais me balader ici. Ici, c'était un immense parc municipal qui existait depuis très longtemps, mais qui avait été aménagé de manière plus moderne récemment, pistes refaites, plantes réparties sur des zones stériles, arbres élagués, un skate park et un terrain de fitness... Bref, tout pour passer un moment agréable hors du milieu urbain.
Je suis graphiste professionnel. Je passe mes journées sur ma tablette, et, pour me détendre, je viens me balader ici. Ca me fait du bien, ce contact avec la nature, même si certains diraient qu'elle est frelatée, en plein milieu urbain. Ce qui n'est pas mon cas. Un arbre reste un arbre, et en plus il absorbe du CO2, donc il purifie la ville.
Ca s''est fait tout seul. J'en ai été le premier surpris. Deux labradors qui arrivaient vers moi. Deux fugitifs. C'était facile de le comprendre parce qu'ils traînaient derrière eux leurs laisses. C'était un dispositif avec un enrouleur, une bonne longueur de fil rétractable, et deux blocs avec au bout une poignée.
Je me suis baissé. Sans doute que me voir les a légèrement ralentis. J'ai attrapé leurs deux laisses et je les ai tenues fermement. Ils ont été coupés net dans leur élan.
Elle a été là très rapidement. Et je me suis dit que j'avais été bien inspiré de rattraper les deux chiens.
Elle est arrivée en courant. A ralenti en me voyant, et en se rendant compte que j'avais dans la main les laisses des deux chiens. Comprenant immédiatement la situation, elle a poussé un soupir de soulagement.
J'ai eu le temps, alors qu'elle s'approchait de moi de prendre les premières mesures de sa silhouette. Avec une opinion plus que favorable. Elle était grande, vraiment grande, un bon mètre quatre-vingt-cinq, et fine. Blonde, une masse de cheveux blonds que, par commodité, elle avait attaché sur sa tête, en un empilement tenu avec quelques épingles. Pour promener les chiens, elle était vêtu de manière pratique. Un sweat-shirt ouvert sur un crop top mauve, un short en jean et des sneakers. Des jambes longues, fines, bien dessinées, un short moulant, c'était un peu le lot des shorts en jean, qui dessinait nettement ses hanches, son pubis, mais aussi le renflement de son sexe, en soulignant la masse de celui-ci et rentrant dans la fente qui le coupait en deux.
Elle a été tout près de moi. Elle avait un visage allongé, avec des pommettes hautes, des yeux bleus et un sourire éblouissant.
--Ah, merci de les avoir rattrapés...Je crois qu'ils préparaient ça depuis un moment. Je me suis baissée pour les caresser...J'ai posé la laisse...Ils se sont enfuis...Les labradors, il paraît que c'est les chiens les plus intelligents...Je m'en rends compte.
Je lui ai tendu les deux laisses. Elle les a récupérées. Qu'elle soit plus près de moi m'a permis de profiter de quelques détails, qui faisaient que son corps était un corps de femme et qui m'ont troublé. Le crop top était bien adapté à ce mois de mai où des chaleurs douces commençaient à s'installer. Il permettait de voir la large surface d'un ventre plat, mais le plus intéressant n'était pas tant dans le révélé que dans le caché. Si elle était fine, elle avait une poitrine plutôt lourde, qui tendait le crop top, et j'ai su, en quelques secondes, le temps qu'elle se baisse pour attraper les deux laisses, puis qu'elle se redresse, qu'ils étaient, sous le tissu, libres, dans leur manière de bouger. Un mouvement, souple. Au-delà, il y avait un pointement de téton qui disait aussi pas mal de choses.
--Vous me sauvez la mise, elle m'a dit. S'ils m'avaient échappé, j'aurais été mal...Vous m'accompagnez un peu ?...Au cas où ils s'échappent à nouveau. Ca me rassurera.
J'aurais essayé de l'aborder, je n'aurais pas fait mieux.
On est partis ensemble dans le parc. Les deux chiens semblaient calmés, et au bout d'une laisse suffisamment longue pour qu'ils aient toutes leurs aises, ils gambadaient devant nous.
--Je suis promeneuse de chien.
J'ai été un peu surpris.
--Je ne savais pas que c'était un métier.
--Moi non plus. Je fais ça depuis quatre ans. Avant j'étais secrétaire médicale, et puis j'ai eu envie de changer d'existence.
--Et vous gagnez bien votre vie ?
--Ca marche mieux que je ne le croyais. En fait, tout a commencé de manière très banale. J'avais un voisin qui était cloué dans un fauteuil roulant. Je m'entendais bien avec lui. Il avait trois labradors qui avaient besoin d'activité. Il m'a demandé si je pouvais les sortir pour lui. J'ai dit oui et je me suis mis à les balader. Il m'a proposé de me rémunérer. Au début, je ne voulais pas, et puis je me suis dit que comme j'y passais quand même du temps...Et un jour il m'a proposé : tu devrais t'inscrire comme baladeuse de chien. Ca se fait dans d'autres pays. Il y a des besoins. Je n'y croyais pas trop...J'ai passé une petite annonce, et j'ai été surpris par l'afflux de demandes. Ca me plaisait énormément de faire ça. J'ai fondé une petite société. Et je suis débordée de travail. Je balade des chiens, mais je réalise plein de services annexes. Je les garde, je les emmène toiletter.
On a fini par se poser sur un banc. Les deux chiens se sont mis dans l'herbe et se sont roulés.
--Je fais attention avec eux, parce qu'ils ont tendance à fuguer...Mais avec une laisse ultra-longue... Il y en a que je peux laisser totalement en liberté...
On s'était calés dans une zone du parc tranquille, face à un lac artificiel. Elle s'est tournée vers moi, et elle m'a dit avec un sourire :
-Je voudrais vous remercier.
--Vous savez c'est surtout le hasard, j'ai répondu. J'étais là, point à la ligne. Et j'ai eu un bon réflexe. C'est tout.
Mais elle était bien décidée à me remercier. Et elle me l'a prouvé dans les secondes qui ont suivi. Elle a glissé les deux blocs à son poignet de manière à avoir les mains libres, et ses mains sont venues naturellement sur mon pantalon. J'ai été un peu surpris. Je ne pensais pas qu'elle me remercierait comme ça. Elle m'a défait ce qu'il fallait, et m'a mis à nu. Trouvant une queue semi-érigée.
--Tu n'étais pas obligée...
--J'aime le sexe. Et tu m'a fait envie. C'est quand même sympa d'être remercié comme ça, non?
Je n'allais pas dire le contraire. Elle m'a masturbé tout doucement. Les chiens étaient en pleine volupté, se roulant dans l'herbe, inconscients de ce qui se passait. Ma queue se gorgeait de sang, prenant du volume et de la longueur.
Elle s'est penchée sur moi, et elle a donné un coup de langue le long de ma tige. Je n'ai pas pu m'empêcher de gémir. J'avais oublié ce que c'est que d'être caressé par la bouche d'une femme. Pas de petite copine ces derniers temps.
Si elle savait s'occuper d'animaux, elle savait aussi faire une fellation. Elle a baladé sa langue le long de mon sexe, roide, avant de venir mordiller mon gland. Mes liquides pré-sementiels se sont mis à couler comme une fontaine. Elle les a lapés un moment avant de descendre sur mes couilles, en redressant ma tige. J'aimais, comme pas mal d'hommes, sans aucun doute, qu'on me caresse par là, et j'étais souvent déçu que des filles n'aient pas cette initiative, celle d'une caresse que je n'osais réclamer. C'était une zone hyper-sensible, une zone de plaisir. Elle, elle l'avait compris, et elle a tourné dessus de la langue, me plongeant dans un Nirvana qu'elle prolongeait en faisant doucement aller et venir ma main sur ma queue.
Quand elle a senti que j'allais jouir, elle a fait quelque chose qui m'a encore plus surpris. Elle a approché son visage de ma queue. Mon sperme est sorti, saccade après saccade. Il s'est éparpillé sur son visage. Elle avait les yeux clos, et mon sperme venait s'écraser au petit bonheur la chance sur ses joues, son front, son cou, dans ses cheveux. Ce jour-là, j'ai eu une éjaculation particulièrement copieuse, parce que je n'avais pas fait l'amour, pas même avec moi-même, depuis pas mal de temps. Elle s'est retrouvée maculée. Elle a rouvert les yeux, quand la tornade des jets de sperme s'est enfin calmée.
--C'était bien comme ça, elle a dit.
Les chiens revenaient vers nous. Ils avaient sans doute envie de rentrer. Elle a recueilli la semence blanche et épaisse, et elle l'a avalée, dans un mouvement que j'ai trouvé infiniment troublant. Quand elle avait surgi dans le chemin, à la recherche des animaux, je n'avais pas pensé qu'elle puisse être aussi sensuelle, et portée sur le sexe.
Elle a fini en se passant un bout d'essuie-tout sur le visage. Elle avait, en bandoulière, un sac qui contenait tout ce qu'il fallait pour accompagner un chien en vadrouille, y compris de quoi ramasser des déjections.
Elle s'est redressée.
--Bon, je vais vous laisser là. Merci pour votre aide. Et à bientôt.
Je l'ai regardée s'éloigner. Elle m'offrait la seule partie de son anatomie qui m'était restée inconnue, une croupe charnue qui tendait son short.
C'est quand elle a été partie que je me suis rendu compte qu'elle avait laissé derrière elle quelque chose. J'ai ramassé l'objet. C'était un jouet pour chien, un os en plastique. Je l'ai ramassé, j'ai été tenté de courir après elle, puis je me suis ravisé. Elle avait déjà disparu du parc.
La vie est ainsi faite que parfois, même très brièvement, vous croisez quelqu'un qui vous plaît, vous vous dites qu'il y avait pas mal d'options, de possibilités, et vous avez du mal à tirer un trait sur cette personne.
C'est bien ce qui m'est arrivé. Je suis rentré chez moi. Et j'ai eu du mal à l'oublier. Elle avait énormément de charme, et j'avais aimé son côté déluré. Je me disais qu'on pourrait s'entendre...Au moins pour passer de bons moments ensemble.
J'ai été très surpris, en consultant l'annuaire. J'ignorais totalement que cette activité, dont je n'avais jamais entendu parler avant de connaître cette jeune femme qui ne m'avait même pas dit son nom était si prospère. Il fallait dire qu'avec 4 millions de chiens dans le pays...Dans la ville, qui certes était vaste, il y avait une quinzaine de promeneurs de chien. Certains, parce que cela faisait plus classe aussi, se baptisaient 'dog walkers', mais ça ne changeait rien à l'affaire.
Comme j'avais vraiment envie de la revoir, je me suis dit que j'allais faire le tour des sièges sociaux de ces groupes. Les noms des responsables ne m'aidaient pas. Que des filles !!!
Une démarche que j'imaginais simple, et qui s'est vite imposée comme compliquée. Un magasin fermé...Un autre tenu par une femme d'âge mûr qui n'avait rien de gracieux. J'avais l'os en plastique dans ma main, comme signe d'une potentielle reconnaissance. Un autre tenu par une fille dans ses âges, mais qui, petite et brune n'avait pas grand chose à voir avec elle...
J'ai fait les quinze échoppes. Elle n'était nulle part.
Je me suis résigné. Tant pis. Ellle me plaisait pourtant énormément. Et j'avais le sentiment que c'était quand même réciproque.
J'ai repris courage une semaine plus tard. Je ne pouvais pas l'oublier.
J'ai fait de nouveau le tour des 'dog walkers'.
Au 14eme, j'ai eu une surprise que je n'espérais plus.
C'était le début de la soirée. La journée se terminait.
Une vitrine avec écrit dessus 'Nous prenons soin de votre chien.' et des services énumérés...Un grand local clair et meublé simplement. J'étais déjà venu.
Une silhouette, de dos, devant une étagère.
J'ai aussitôt su que c'était elle.
Elle portait une longue robe noire, tendue sur ses fesses rebondies, avec ses éternels baskets de promeneuse de chien. Ses cheveux blonds, libres, soyeux et captant la lumière coulaient sur ses épaules.
J'ai poussé la porte. Elle ne m'a pas entendue, concentrée pour chercher un bouquin.
--Bonjour madame, je vous ramène un objet que vous avez perdu et qui pourrait vous être utile.
Elle s'est retourné, surprise. Elle m'a reconnu, et un immense sourire a éclairé son visage. Je me suis demandé si elle était heureuse de retrouver l'os ou moi, mais j'ai eu vite la réponse.
--Je ne pensais pas te revoir, et je m'en voulais de ne pas t'avoir demandé ton numéro.
--J'ai fait tous les locaux des promeneurs et je ne t'ai pas trouvée.
--En fait, on est deux. Tu as du voir ma collègue, une petite brune.
Tout s'expliquait.
Elle s'est approchée.
--J'avais tellement envie de te revoir. Tu me plais trop. Je me suis caressée cent fois en pensant à toi, à ton sourire, à ta queue.
Elle s'est écrasée contre moi. J'ai senti le poids de ses seins, la chaleur de son ventre contre moi. Sa bouche, souple et agile, est venue chercher la mienne, et sa langue a glissé à ma rencontre.
--Viens, j'ai envie. Maintenant.
Elle m'a attrapé par la main, et elle m'a entrainé vers une arrière-pièce, un local où du matériel s'entassait.
--Merci d'avoir ramené l'os, je ne sais pas ce que j'aurais fait sinon.
En passant près du bureau, elle a attrapé quelque chose dans un tiroir. J'ai compris ce que c'était dans le local, dont elle a fermé la porte derrière nous. Un préservatif dont elle a dépiauté l'emballage. En même temps qu'elle venait à nouveau chercher ma bouche, elle a mi ma queue à nu, et elle l'a fait glisser le long de ma queue. J'étais tout dur, d'un désir trop longtemps contenu.
--J'aime trop le sexe...Tu vas me dire que c'est mal, elle m'a dit, en même temps qu'elle me tournait le dos, se penchait sur un carton, après avoir attrapé l'ourlet de sa robe, et soulevé celle-ci, me permettant de retrouver ses jambes parfaites. Elle portait une grande culotte blanche. Une fois la robe roulée à sa taille, elle a descendu le slip, m'offrant ses parties les plus intimes, dans une position qui projetait vers moi sa croupe pleine, l'ouvrait pour me laisser voir ses plissements anaux, et entre ses cuisses, le gonflement de sa vulve dont sortaient ses lèvres, et dont commençaient à suinter ses sécrétions les plus intimes.
--Viens dans mon ventre...Je veux juste que, quand tu sentiras que tu vas jouir, tu sois sur mon visage. C'est un plaisir dont je n'arrive pas à me lasser.
Je me suis approché, réalisant que j'étais habité par une envie aussi forte que la sienne. J'ai promené mon gland dilaté sur le charnu de sa croupe, la faisant gémir. Des gémissements qui se sont poursuivis et amplifiés quand je suis venu caresser ses lèvres. J'ai senti qu'elle coulait sur moi. Je me suis glissé en elle, la pénétrant lentement, jusqu'à ce que mon gland vienne taper contre son utérus. Elle a lâché un long soupir.
-J'en ai envie depuis deux semaines. Et je voudrais que ce ne soit pas une fois unique.
--Ca peut s'arranger.
Je me suis mis à bouger en elle. Sensation exquise de son sexe autour du mien comme du velours.
--Caresse-moi bien à l'intérieur avec ta queue. Que c'est bon...
Le plaisir était d'autant plus voluptueux qu'on l'avait attendu pendant quinze jours...Je l'ai caressée comme elle le souhaitait, jusqu'au moment où elle m'a dit:
--Je suis entrain de...
Le mot c'était sans doute jouir, mais elle ne l'a jamais prononcé, emportée par le plaisir. J'ai senti que j'allais exploser. Je me suis dégagé, arrachant le préservatif, bien qu'encore en pleine jouissance, elle a basculé à genoux, et mon sperme, comme la première fois, est venu maculer son visage et ses cheveux.
Après la tempête, il y a eu le calme.
--J'ai fini. Viens, on va chez moi. J'ai encore envie. Je ne suis pas rassasiée. En fait il me faudra quelques années pour être totalement rassasiée, je crois.
--C'est une belle perspective, j'ai dit, et on a fermé le magasin ensemble.
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Histoire de JamesB

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