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Pneus, sexe et cheveux flamboyants

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Lue : 678 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 04/03/2022

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J'ai pensé, à ce moment précis, que dans la vie, il y avait toujours une sorte de balance, qui équilibrait le laid et le beau, le pénible et le paradisiaque, les moments de souffrance et ceux de grâce.
Il faut sans doute, pour que vous compreniez bien, que je remonte quelques minutes plus tôt... Et même un tout petit peu plus loin.
Je suis agent-chef dans un établissement scolaire. C'est moi qui gère tout le personnel, les hommes et les femmes de ménage, le personnel de cuisine...J'ai de quoi faire. Le matin, j'arrive très tôt, je démarre ma journée à six heures. J'habite en pleine campagne, et il me faut trois-quarts d'heure pour rejoindre ce grand bourg où j'officie.
Habituellement le trajet se passe bien. Pas ce matin-là, en tout cas. Il devait y avoir quelque chose sur la route. J'ai senti, illusion ou réalité, que quelque chose déchirait le pneu, et juste après que celui-ci se dégonflait.
J'ai eu la chance extraordinaire, sur cette petite route de campagne, déserte de toute habitation, qu'il y ait cent mètres plus loin, un espace nu, en fait une amorce vers un chemin de terre, qui pouvait permettre de se garer.
Le temps de faire ces cent mètres, j'ai bien compris que le pneu se dégonflait et qu'il était largement temps de s'arrêter.
Le jour commençait à se lever, et c'est entre chien et loup que je suis descendu de voiture pour constater les dégâts.
Il y avait un superbe morceau de métal, on aurait dit un bout de rétroviseur cassé, enfoncé dans le pneu qui avait perdu de sa superbe.
Je me suis demandé quoi faire. J'avais une bombe anti-crevaison, mais je ne voyais pas comment l'utiliser. La déchirure était d'évidence trop large et trop profonde, et la bombe n'y pourrait rien.
J'ai jeté un coup d' oeil à ma montre.
Je ne serais pas à mon travail à l'heure.
Je n'avais qu'une solution. Changer le pneu.
Dans la vie, on se dit toujours que certaines choses n'arriveront JAMAIS.
Comme une crevaison.
Pourquoi n'avais-je pas pris le moment, quand j'avais acheté la voiture, ou plus tard, de chercher si j'avais de quoi remplacer une roue, où elle se trouvait, s'il y avait un cric, un démonte-pneu ?
Dans une semi-obscurité, j'étais mal barré.
J'ai connu un grand moment de découragement.
La suite s'est passée très vite. Deux phares dans le semi-jour. Une voiture qui passe...Qui ralentit. Qui revient en arrière et se gare juste derrière moi. Une porte qui claque.
Et cette première vision, dans la lueur de ses phares. Deux jambes magnifiques, largement dévoilées, comme une vision du Paradis, alors que j'étais en Enfer. Je garderai en moi cette première image, forte, deux jambes longues mais pleines, gainées par du nylon, visibles, parce qu'elle portait une robe en lainage courte, qui, s'arrêtant juste en haut de son pubis, faisait la part belle à ses jambes, jusqu'au dessous du genou, où des bottes d'un cuir travaillé, couleur marron glacé, prenaient le relais. Les phares les éclairaient par derrière, ne me permettant pas de voir plus, car trop bas, laissant dans l'ombre le reste de sa personne. J'ai juste distingué une silhouette fine, ainsi qu'une chevelure épaisse. Mais les choses ont changé dans les minutes qui ont suivi, quand elle s'est déplacée. Même si je n'ai jamais vraiment vu son visage le temps où elle est restée avec moi.
--Vous avez crevé?
J'ai désigné du doigt la roue endommagée.
--Ah! Effectivement, une belle déchirure...Bah, c'est pas étonnant. Avec tout ce qu'il y a sur le macadam...Les gens jettent de tout par les fenêtres... Et puis il y a toujours des accidents...Un pneu, ça reste fragile...Vous voulez de l'aide? Je suis experte en changement de pneu...J'ai crevé plusieurs fois, et je sais parfaitement comment faire.
J'ai toujours été exempt de fierté masculine. Je voyais bien les choses...La dernière fois que j'avais changé un pneu c'était...Il y avait pas mal de temps...Sur un autre modèle. Elle me proposait son aide, d'évidence experte. Alors, je ne voyais pas de raison à dire non.
--Il doit y avoir tout ce qu'il faut dans le coffre.
Elle s'est approchée de celui-ci et elle l'a ouvert.
--Oui, sans doute sous ce couvercle de protection. Bon, je vais enlever ma robe, je n'ai pas envie de la salir. Pour ce que j'ai en dessous, si je me tache, j'aurai toujours une solution de rechange.
Elle a reculé jusqu'à sa voiture ; Les phares m'aveuglaient, et je ne pouvais toujours pas voir son visage, mais par contre sa silhouette était elle parfaitement éclairée. De telle sorte que j'ai bien pu profiter de son strip-tease. Elle a simplement attrapé l'ourlet de la robe, et elle l'a remontée le long de son corps. Heureusement que je me fondais avec l'obscurité, car j'ai du avoir une expression parfaitement stupide à la regarder.
Son corps était vraiment bien dessiné, au-delà de ces jambes faites au moule, dont j'avais déjà pu profiter. J'ai vu un collant dont le début ou la fin étaient accrochés au niveau de son nombril, un ventre plat, une poitrine lourde, enveloppée dans un soutien-gorge noir, et aussi qu'elle ne portait pas de slip sous le collant. Une toison rousse, que la lumière faisait flamboyante, et en dessous, un sexe clos, simple fente dessinée dans sa chair.
Une image qui allait tourner longtemps dans ma tête.
Tout comme celle de sa croupe, haute et ronde, coupée en deux par un sillon profond, dont j'ai pu profiter alors qu'elle allait jusqu'à la place passager pour déposer la robe.
Elle est revenue vers la voiture, très proche de la nudité, la lumière des phrases me donnant à la voir sous différents angles.
Avec des gestes décidés, elle a soulevé le couvercle qui donnait accès au fond du coffre.
Tout était là. Cric, démonte pneu et pneu lui-même.
Je me suis écarté pour la laisser-faire. Elle n'avait pas besoin de moi, et je ne lui serais d'aucune utilité. Elle s'est d'ailleurs mise à agir avec énergie et économie de gestes. Impressionnant.
En retrait, j'ai assisté au spectacle sans doute le plus troublant de ma vie. Je me suis rappelé de pas mal de choses, des remarques et des visions comme un écrin à ce que je vivais. Ce que m'avait dit quelqu'un un jour que le suggéré, le semi-caché, parce qu'il ne donnait pas tout à voir et laissait de la place à l'imagination, était aussi sinon plus troublant que ce qui était entièrement révélé. Et les spectacles du Crazy Horse Saloon, qui masquaient la nudité sous les jeux d'ombre.
Et c'est bien ce qui s'est passé. J'ai pu voir son corps seulement partiellement, certaines parties visibles, d'autres dans l'ombre de la nuit,, jamais les mêmes. Debout, accroupie, assise, de face, de profil, de dos, elle ne me donnait qu'une partie d'elle-même. Autant d'images troublantes qui magnifiaient sa nudité. C'était mieux que si j'avais tout vu, une nudité intégrale et absolue.
Les meilleures choses ont une fin, et elle a fini par caler la roue abîmée à la place de l'autre. Elle a remis la protection en place, après avoir rangé les outils. Elle avait trouvé une paire de gants dans le coffre. Elle les a ôtés et s'est tournée vers moi.
-Et voilà.
--Je ne sais pas comment vous dire merci.
--Pas la peine. 10 minutes, le temps pour vous aider, ce n'est pas grand chose.
Elle est repartie vers sa voiture. Je pensais qu'elle allait repasser sa robe. Elle ne s'était apparemment pas salie. Elle a récupéré quelque chose dans le véhicule, un flacon, et elle s'en est enduit les mains.
A ma grande surprise, elle est revenue vers moi.
--Vous allez faire quelque chose en échange. Donnant, donnant. J'ai envie que vous me caressiez le sexe. Ce matin, je me suis réveillée, j'avais le sexe tout poisseux. J'ai fait des rêves érotiques. J'ai rêvé que des hommes me proposaient des queues bien dures. Je n'ai pas eu le temps de me caresser et j'ai le ventre en feu.
Assez curieusement, je n'ai même pas été surpris par sa demande. J'avais souvent remarqué, dans ma relation avec des femmes que le désir pouvait surgir comme ça, sans transition, et même en début d'une relation. Je me suis plutôt demandé comment la satisfaire. Elle était pile devant moi, sa silhouette enveloppée de lumière et cependant en partie dans l'ombre. Je distinguais plus que je ne voyais son ventre, mais ça n'en était que plus excitant.
Je suis venu sur elle de mes doigts. Sans descendre le collant. J'ai posé mes mains sur ses hanches. J'aimais bien, quand je caressais une femme, la sensation du nylon sous mes doigts, douce et électrique à la fois. J'ai descendu mes mains le long de ses hanches, puis j'ai glissé sur son ventre. Je n'avais rien répondu mais moi aussi, j'avais souvent le matin des envies de sexe qui restaient inassouvies. Ca n'irait sans doute pas très loin, mais pouvoir caresser une jolie femme comme elle, c'était un cadeau inespéré du ciel.
Je suis venu sur sa toison, toujours des doigts. Si elle en avait limité l'étendue, celle-ci avait toute son épaisseur, et je sentais, sous le nylon un renflement souple, épais et doux. J'ai tourné dessus, pris dans le plaisir du moment, le contexte, l'incident totalement oublié. J'ai senti qu'elle aussi basculait de l'autre côté, que, plus calme, elle était prise par le plaisir du moment. Je suis descendu sur la pente de son pubis, jusqu'à arriver à l'ouverture de son sexe. Etait-il dans cet état depuis son réveil, ou bien avait-il pris ces dimensions en quelques minutes ? Sans doute un peu des deux. La première sensation que j'ai eue a été celle d'humidité, quelque chose de liquide qui coulait d'elle et venait mouiller le collant, la seconde celle d'une béance. Son sexe était ouvert, d'une ouverture qui s'est accrue dans les secondes et les minutes qui ont suivi, et, en même temps, je pouvais sentir le relief de ses lèvres contre mes doigts, relief qui s'est modifié, qui est devenu plus marqué. Je l'ai caressée...Une caresse sans doute imparfaite, mais elle s'est mise à gémir.
--C'est bon comme ça, continue, tu te débrouilles bien, tu me donnes du plaisir.
Je n'avais pas vraiment le sentiment que c'était le cas, mais je me suis dit que ça valait quand même le coup de continuer quelques minutes. Je l'ai caressée, avec au bout des doigts la sensation d'un sexe qui évoluait de seconde en seconde, qui se dilatait d'excitation et qui secrétait de plus en plus de liquide. Le nylon du collant était à présent trempé sur une superficie plus grande. J'avais le sentiment qu'à frotter contre sa chair, le nylon participait à son plaisir.
--Et si tu baissais mon collant ? Un contact de peau à peau...
Je ne savais pas trop jusqu'où on pouvait aller. Et combien de temps on avait. Moi je partais toujours en avance, donc j'avais le temps. Mais elle ? Et puis il y avait le fait qu'on était sur un parking, le long d'une route départementale. Mais, au final, c'était tout sauf un problème. Plusieurs voitures sont passées, leurs phares nous ont effleuré, mais je ne suis même pas sûr que leurs conducteurs nous ont vu.
J'ai eu un double mouvement. Celui de descendre son collant. Il y a des gestes troublants, faits par les autres ou par soi. Ca a sans aucun doute été le cas de ce mouvement que j'ai initié en remontant sur ses hanches, et en venant accrocher le bord du collant là où elle l'avait posé le matin en se préparant. Je l'ai descendu doucement. Sa toison a jailli à l'air libre. Quelques millimètres de plus et une odeur vraiment forte, poivrée, enivrante, un parfum, mais un parfum de femme, intime, est monté à mes narines, celle des sécrétions vaginales qui coulaient d'elle et trempaient le nylon avec de plus en plus d'abondance.
Dans un même temps, parce qu'il y avait en moi une tension extrême, et dans le désir de me soulager, dans un geste que j'ai voulu discret mais qui ne l'a sans doute pas été, je me suis défait pour mettre à nu ma queue dilatée de désir et j'ai commencé à me caresser. J'étais dans l'ombre plus qu'elle, mais sans doute que mon geste était sans équivoque.
J'ai arrêté la descente du collant à mi-cuisses. L'idée d'avoir sa nudité tout près de moi me donnait le frisson. J'ai lâché ma verge et j'ai passé mes doigts dans le buisson roux qui me fascinait. L'épaisseur de ses poils, leur douceur...On peut se perdre dans une forêt...J'avais envie de me perdre dans sa toison...
Pourtant, je ne suis pas revenu sur son sexe avec ses doigts, mais avec ma bouche. Je crois même qu'elle a été surprise, qu'elle s'attendait simplement à ce que je continue de la caresser avec mes doigts. Ma bouche a plongé sur elle, pour l'explorer autrement, en même temps que je venais empoigner ses fesses à pleines mains, autant pour mieux me rapprocher de son intimité que pour prendre la mesure de leurs formes. Elles étaient allongées, fermes et dures.
Je suis venu poser ma langue sur ses lèvres. Un premier contact,
Au bout de ma langue, j'ai trouvél'épaisseur de ses lèvres, à présent bien dégagées, en même temps que le goût amer de ses sécrétions vaginales qui ont glissé dans ma gorge. J'ai senti, plus que vu, sa main descendre sur son sexe, et, pendant que je tournais sur ses lèvres, son index est venu au niveau de son clitoris, dissimulé sous sa calotte, et elle l'a caressé. Dans l'obscurité, il m'aurait été difficile de savoir s'il réagissait, mais, quand je suis venu moi aussi sur cette zone, et qu'elle a écarté son doigt pour me laisser y accéder, Son clitoris était fin et long, et il réagissait sans surprises aux caresses qu'on pouvait lui prodiguer. Elle a gémi, s'est cambrée, en précisant:
--Je crois que je vais jouir.
Son corps a été secoué de frissons, puis de spasmes, son sexe a ruisselé plus. Abondamment. Je me suis rendu compte que j'étais entrain de jouir moi aussi. Une vague qui me submergeait, et que je n'ai pas cherché à maîtriser, qui s'est concrétisée sous la forme de plusieurs jets de sperme qui sont partis dans les airs. Comme j'étais juste devant elle, il m'a semblé que de la semence venait maculer le nylon du collant. Une manière de la marquer.
On n'avait plus rien à faire ensemble. Plus rien à se dire non plus. Elle s'est éloignée de moi et elle a passé sa robe. La parenthèse était finie. Elle avait été exceptionnelle.
Il y a des moments dans la vie qui laissent beaucoup de nostalgie, et de regrets. J'ai pensé toute la journée à cette fille magnifique, qui savait changer un pneu. On croise des personnes différentes, qui nous impressionnent. C'était bien le cas ici. J'aurais bien aimé la revoir. En me disant que peut-être dans la pénombre du petit matin, dans un moment exceptionnel, elle avait pris un relief particulier, et qu'elle aurait été beaucoup plus fade dans la journée. Que j'aurais été déçu si on s'était revu.
Je passais chaque matin et chaque soir devant le bout de terrain nu qui m'avait servi de parking improvisé. J'espérais, de manière très chimérique qu'elle pourrait être là, à m'attendre. Ce n'était évidemment pas le cas. La vie n'est pas un conte de fées.
Un mois, puis encore un autre mois sont passés. Je ne l'oubliais pas, comme on n'oublie pas un bon souvenir. Avec des rêves d'autres moments, qui auraient pu être et qui ne seraient jamais.
Et puis, il y a eu cet après-midi, pas comme les autres.
J'étais aux ateliers avec Jean, on cherchait des pièces pour réparer une machine quand j'ai entendu une voix derrière moi.
--Messieurs, je vous présente Claire F... Elle vient donner des cours de physique pour remplacer notre collègue en longue maladie...
C'était le chef d'établissement. On s'est retournés pour saluer la personne qui venait d'arriver chez nous.
Et je suis resté totalement figé. Elle aussi d'ailleurs, elle a été surprise. Même si elle a su le masquer, plus que moi en tout cas.
Nous nous étions déjà rencontrés.
Ou alors j'étais tellement obsédé par elle que j'avais des hallucinations. Et je greffais sur le corps et le visage d'une autre ceux de la jeune femme qui m'avait dépanné un matin de pneu déchiré.
Non, c'était bien elle.
J'avais au moins la réponse à une de mes interrogations. Non, en plein jour, elle n'était pas hideuse. Finalement, le regard que j'avais posé sur elle était le bon ce matin là, malgré l'obscurité.
J'ai retrouvé ce que j'avais cherché pendant deux mois. Sa crinière rousse, son visage allongé, impeccablement dessiné, avec un regard intense, ses formes que sa tenue, pourtant très simple soulignait, une veste noire sur une chemise parme, et un caleçon très collant qui marquait des courbes que je connaissais déjà et pourtant pas assez.
On a fait comme si c'était la première fois qu'on se rencontrait. D'ailleurs, notre rencontre autour d'un pneu appartenait à un autre monde, un monde de semi-obscurité, où l'irréel, le fantasme, le peu sûr avaient leur part..
Je l'ai regardée s'éloigner, en me disant que la vie était étrange.
Il s'est passé quelques jours avant qu'on ne se revoie de nouveau. Je suis très souvent dans la zone, dans l'atelier, où du matériel est entreposé. Et je l'ai vue arriver vers moi. Elle était en tailleur. Un simple tailleur gris, une veste avec dessous, comme toujours, une tâche de couleur, en l’occurrence un débardeur rouge vif, tendu par des seins bien galbés, une jupe fendue sur le côté, du nylon gainant ses jambes et des cuissardes rouges, en cuir, assorties au débardeur, que j'ai trouvé extraordinairement érotiques. Il était vrai qu'elle avait une telle sensualité innée que même enveloppée par une couverture, elle aurait été sexy.
Elle s'est approchée.
--Je n'ai pas osé le croire, quand j'ai vu que c'était toi, vendredi. J'avais...J'avais envie de te revoir depuis cette rencontre, dont j'avais gardé de très bons souvenirs. Je n'ai pas arrêté d'y penser,
J'ai été surpris de constater que nos pensées, nos émotions s'étaient rejointes.
--J'ai...(Elle qui m'avait paru si sûre d'elle à notre première rencontre semblait soudain plus timide...) aimé ce moment de sexe, et j'ai très envie d'en connaître d'autre...Ca a tourné en boucle dans ma tête pendant deux mois...
Ce qui m'a poussé à agir, ça a été de comprendre que mon envie et la sienne se rejoignaient.
--Tu as un moment ?, je lui ai demandé.
--J'ai un moment, oui.
--Viens avec moi.
Je savais où je l'emmenais. Au bout du couloir, il y avait un vaste hangar où le magasinier entreposait du matériel très divers. Le magasinier était absent aujourd'hui, et seules deux personnes avaient les clefs. Lui et moi.
J'ai refermé derrière nous.
C'était un local immense, avec des étagères sur lesquelles était disposé du matériel, du sol au plafond, avec des îlots ça et là,des tables qui permettaient de mettre des objets, de les examiner, les réparer...On est arrivé sur un de ces îlots, en sachant qu'on aurait un moment de tranquillité.
Elle s'est laissée glisser sur un tabouret.
--J'ai des bas,mais pas de slip....Tu veux voir ?
Je n'allais pas dire non. Elle s'est légèrement soulevée, et elle a roulé sa jupe à la taille pour m'offrir l'intégralité de ses jambes, ainsi que son ventre, effectivement nu. J'ai pu voir au grand jour ce qui avait été partagé entre ombre et lumière l'autre fois. Ce triangle bien fourni, épais mais soigneusement limité de poils roux, et juste en dessous, sa fente dont émergeaient ses lèvres, fente luisante parce que déjà mouillée. Vision fascinante d'un ventre que je n'avais pas pensé revoir et qu'elle m'offrait à nouveau. Elle a glissé ses deux index en elle et elle s'est ouverte me laissant voir un intérieur tout rose.
-Cette fois tu ne jouiras pas tout seul comme l'autre jour. Tu pourras me demander ce que tu voudras, je te le donnerai. Mes muqueuses te sont offertes. Mais j'ai déjà envie que tu viennes en moi. J'ai ce regret depuis l'autre jour. Je me suis caressée cent fois en y pensant. Tu as bien su me caresser sur le parking, avec tes doigts et ta bouche, et je me suis dit que j'étais passée à côté d'un amant talentueux. Ca m'a rongée. C'est heureux que je te retrouve sur ma route.
Elle a glissé sa main dans son débardeur, sous son soutien-gorge, pour récupérer un préservatif emballé dont elle a déchiré l'emballage. Elle m'a gainé du latex et je me suis avancé jusqu'à elle, Elle tenait ma queue, comme si elle avait tenu un instrument, et elle a baladé mon gland dilaté sur elle. Elle a commencé par ce qui me fascinait le plus, elle l'avait bien compris, la partie la plus flamboyante de son intimité, que j'avais caressée à la fois à travers puis sous le nylon. J'ai eu la sensation de la douceur de sa toison, un peu comme si elle avait baladé ma queue sur une moquette soyeuse. Elle avait un sourire qui flottait sur le visage, comme si elle était enfin satisfaite, et heureuse, après avoir attendu si longtemps. Mais c'était certain, ma queue n'aurait pas non plus été si dure si je n'avais pas patienté si longtemps en rêvant d'elle.
Elle est descendue sur ses aines. Même si ma queue ne touchait pas son sexe directement, celui-ci s'ouvrait de plus en plus, et coulait avec une belle abondance.
Elle a fini par venir poser mon gland pile contre ses lèvres, et, maîtrisant toujours ma queue, elle l'a faite bouger dans un mouvement de haut en bas,
--Je te dirai quand je veux que tu rentres dans ma chatte, mais pas encore...Je veux que tu me caresses à l'extérieur avant de me caresser à l'intérieur.
On était totalement isolés ici, dans ce hangar. On avait tout le temps pour nous, le temps de voir le plaisir s'étendre autour de nous et sur nous. Ce temps qui a permis d'amener mon gland contre son clitoris, qui pointait fermement hors de la chair qui le recouvrait jusqu'à présent. Elle s'est caressée avec mon gland, gémissant, jusqu'à poser son gland contre ses lèvres, en me précisant :
--Je veux que tu rentres très lentement, pas centimètre par centimètre, mais millimètre par millimètre.
Je lui ai donné ce qu'elle réclamait. Mais c'était un plaisir à double face. Je l'ai pénétrée ainsi en sentant l'infinie délicatesse de sa muqueuse vaginale frotter contre moi, jusqu'à être totalement en elle. Elle a posé ma main contre la base de ma queue, pour me faire comprendre qu'elle voulait me garder comme ça. J'ai commencé à reculer, jusqu'à quasiment sortir, puis je me suis mis à bouger en elle. Je l'ai caressée comme cela un moment, la voyant se tordre voluptueusement de plaisir, jusqu'à ce qu'elle me fasse sortir de sa vulve.
--Dis-moi où tu veux jouir, elle m'a dit.
--Là où j'aurais aimé jouir, si j'en avais eu l'occasion, la première fois.
Elle a bien compris. Elle s'est penchée sur ma queue,a arraché le préservatif et a fait glisser sa bouche sur moi, m'avalant en me faisant glisser dans sa gorge, sa bouche venant se poser contre mon pubis. C'était la première fois qu'une fille me prenait ainsi en gorge profonde, et c'était une sensation voluptueuse que d'être ainsi totalement dans la bouche d'une femme...Elle a bougé sur moi, me faisant ressortir, puis revenir, créant l'illusion merveilleuse que j'allais au fond d'elle, que je la pénétrais plus que je n'avais jamais pénétré une femme...Il y a eu un mouvement ultime où j'ai compris, quelques secondes avant d'exploser que j'allais jouir. J'étais au fond de sa gorge, je voyais clairement que ce n'était pas un accident, qu'elle m'avait amené dans cette position pour que j'y explose, et elle y prenait autant de plaisir que moi. Jet après jet, mon sperme a coulé en elle.
Après que je me sois dégagé en pensant qu'elle avait encore du sperme dans la gorge et qu'il allait glisser en elle, mes yeux ont glissé sur son visage et son sourire radieux disant à quel point ça lui avait plu. Elle a regardé sa montre.
--Aie...J'ai cours dans cinq minutes...Tu vois finalement, on a été bons, sans regarder la montre...
On est sortis après que j'aie jeté un coup d' oeil à l'extérieur. Je n'avais pas envie de me griller.
--Bon...Voilà...On est enfin arrivés à nos fins...On a accompli nos fantasmes...On a été jusqu'au bout...
-Oh non...
Elle m'a regardé.
--Pendant ces deux mois, j'ai écrit des centaines de fantasmes dans mon imagination...Et j'ai envie de les réaliser tous. Alors, il va falloir qu'on se revoie.
Fort de cette certitude, je l'ai regardée s'éloigner.
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