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Du répit pour des aidants Phil 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 12/11/2024

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DU REPIT POUR DES AIDANTS (2)PHIL
PARTIE 2
Ca faisait deux mois que je fréquentais l'hôtel-restaurant. J'étais devenu un habitué. On y mangeait bien, je pouvais considérer que le patron était un ami, et il y avait May...
C'était un mardi, je m'en souviens parfaitement. J'arrivais, et une fille, une asiate, thai, sans aucun doute, est sortie de l'arrière-salle.
J'avais tendance à penser que les Thais se ressemblaient toutes. Petites, avec des formes plutôt menues.
Je me trompais.
Même si, je m'en suis rendu compte plus tard, je ne me trompais pas vraiment, ni totalement.
La fille qui s'est présentée devant moi était magnifique. Plus que May? Non, elles avaient chacune leur style. Ce qu'elles avaient vraiment de commun, c'était ce sourire, immédiat, qui était tout sauf du mensonge et de la tromperie, une manière de dire bonjour et d'aller vers vous, quelle que soit la manière d'aller vers vous. Un sourire plein de chaleur qui illuminait leur visage.
Anong était immense. Pieds nus, elle devait approcher du mètre quatre-vingt-dix. Ce jour, elle portait un tailleur mauve, veste ouverte sur un crop top qui laissait son ventre à nu, jupe ultra-courte qui dévoilait des jambes dessinées de manière exquise, prises par du nylon noir, et des cuissardes de cuir mauves avec des talons aiguille, qui la hissaient et la cambraient. Elle avait deux seins lourds qui tendaient le tissu du crop top, et la manière dont les tétons ledit tissu tout autant que leur mouvement quand elle a bougé disait clairement qu'elle ne portait pas de soutien-gorge...J'imaginais sans mal qu'il en allait même d'un slip. Elle était éblouissante, dans un style différent de May. Son visage était triangulaire, avec des pommettes hautes, et une bouche bien charnue.
Deux facettes différentes des filles thai. Chacune son style, mais l'évidence d'un désir fort pour l'une comme pour l'autre.
Il y avait pourtant des éléments qui m'échappaient. Mais cela, je ne l'ai su que plus tard.
J'ai senti en tout cas, le désir affluer en moi. Envie d'Anong, avec une pointe de culpabilité. Ce que j'ai pensé ensuite était typiquement masculin. Que l'une ne prendrait pas ombrage que je puisse aller avec l'autre. Une situation idéale, aller alternativement avec l'une, ou avec l'autre.
Je n'imaginais pourtant pas avoir les deux en même temps, alors même que cette situation hantait les pornos que je matais.
Comme tous les hommes je pensais avec ma queue. Une queue bien dure qui avait envie de fouiller les chairs d'Anong de quelque manière que ce soit.
Elle parlait en tout cas un bien meilleur français que sa copine.
— Bonjour, je m'appelle Anong. Je viens d'arriver de Thailande. Tu dois être Jean? May m'a beaucoup parlé de toi. Tu lui plais énormément. Viens, je vais t'installer.
Je venais juste de me caler à la table quand elle m'a dit :
— Je sais que tu tiens beaucoup à May et elle aussi tient beaucoup à toi, mais je peux te donner du plaisir moi aussi, si ça t'intéresse.
Et pour me le prouver, elle a remonté son crop top, me laissant voir une paire de seins magnifiques, dont l'ovale parfait disait clairement qu'ils n'étaient pas naturels. Mais peu importe, le résultat était bluffant. Deux seins pleins, dont les tétons, sous l'effet du froid de la pièce, se sont mis à durcir et à s'allonger. Par instinct, par réflexe, j'ai plongé dessus de la bouche, mais elle ne m'en a pas empêché, au contraire, elle a eu un sourire de contentement, pendant que j'englobais ses tétons et les frottais de la langue, l'un après l'autre, sentant qu'ils s'épaississaient bien au contact de ma caresse. Quand elle s'est redressée pour partir en cuisine, ils étaient longs et durs. Quand elle est revenue, dix minutes après, elle a de nouveau soulevé le tissu, non pas pour une caresse, mais pour me montrer que les tétons n'avaient pas faibli. Dans une séquence séduction pour laquelle elle ne déparait pas May, elle a glissé une main sous un sein, l'a remonté vers le haut, et penché le visage pour bouffer elle-même un de ses tétons. Quelque chose qui m'a mis dans tous mes états. Elle est passé à l'autre. Une bonne manière de les maintenir dans leur fermeté.
Elle me les a fait bouffer à nouveau quand elle est venue enlever mon assiette.
C'est après le dessert qu'elle m'a attrapé par la main et entraîné dans l'une des pièces qui entouraient la salle à manger où étaient stockés matériel, provisions. Elle est venue poser ses mains sur mon pantalon, déformé par une érection.
— C'est rassurant, je vois que je te fais envie autant que May.
— Vous ne vous ressemblez pas, mais vous êtes aussi magnifiques l'une que l'autre.
Elle a tiré ma queue de mon pantalon. Depuis que je connaissais May, ma queue avait retrouvé une nouvelle vigueur, longue et dure rapidement et facilement. La fonction créé l'organe, je revivais, et ma queue revivait.
— Tu as vraiment une belle queue...Je sais que May en a bien profité, moi aussi j'ai envie d'en profiter...
Elle s'est mise à me couvrir de coups de langue...Mon gland, lubrifié par les liquides qui coulaient de mon méat, ma tige, mes couilles...Elle ne négligeait aucune partie, pour un plaisir intense.
Je pensais qu'elle voulait me faire jouir avec, ou dans sa bouche, mais elle est revenue à ses seins pour une cravate de notaire, pratique à laquelle aucune femme ne s'était adonnée sur moi. Il faut un début à tout, et c'était bien que ce soit avec l'une de ces deux filles faites pour le sexe.
Elle a ouvert ses seins, les a poussés vers ma queue, puis les a laissés se refermer. Ma queue a disparu, avalée. Son sourire disait son plaisir, sa joie de ce moment de sexe. Elle tenait ses seins, et elle a exercé sur moi une caresse qui m'a mis dans tous mes états, me massant dans un léger mouvement de haut en bas, et de bas en haut...Une sensation nouvelle. Etre niché au milieu de cette paire de seins, c'était différent d'être dans une bouche ou dans une chatte...Une douceur extrême, en tout cas.
Dans un deuxième temps, elle a ouvert sa poitrine. Je n'ai pas été surpris de me trouver encore plus dilaté, énorme. Elle s'est repositionnée, laissant cette fois dépasser mon gland, aussi épais que le reste de mon membre, et refermant à nouveau ses seins sur moi, comme si elle ne voulait pas laisser partir ma queue. Elle s'est penchée sur moi, et elle s'est mise à tourner sur mon gland, avec une langue habile, glissant dans mon méat. Sa caresse lubrifiée par le flot de liquide qui sortait de moi. Me sentir enveloppé par ses seins et en même temps caressé par cette langue diabolique...Un plaisir que j'ai tenté de maintenir aussi longtemps que possible. Je m'efforçais de la repousser, mais il est arrivé un moment où la jouissance a été inéluctable. Un point de brûlure qui s'est élargi. Elle l'a senti. Le premier jet de sperme est parti en travers de sa joue. Toujours souriante, elle a laissé ma semence maculer son visage et ses cheveux. Je n'en finissais pas de jouir, une éjaculation copieuse, qui a arrosé son visage en tous sens. Comme May, elle a ramassé mon sperme du bout des doigts pour s'en nourrir.
C'est le lendemain que j'ai vu les deux filles ensemble pour la première fois. Chacune avait son charme propre, et si j'avais du choisir entre l'une et l'autre, j'en aurais sans aucun doute été incapable. Et puis la question ne se posait pas vraiment, j'en ai eu la certitude dans les minutes qui ont suivi. En effet, juste après que j'aie commandé, elles se sont penchées toutes les deux sur ma queue, et se sont mises à la caresser de leurs langues habiles. Comme m'a dit May:
— Toi avoir deux fois plus de plaisir maintenant.
Même si ça n'était pas aussi simple, en fait. Car si elles étaient présentes ensemble, c'était l'une ou l'autre, après ce moment, qui me donnait du plaisir.
Ce jour-là, par contre, alors qu'elles s'escrimaient sur ma queue, j'avais bien remarqué qu'elles étaient très complices, et la manière dont leurs langues se rejoignaient pour se frotter mutuellement voulait dire beaucoup de choses. C'est ça qui m'a fait jouir, mais aussi mon envie de voir leurs visages arrosés, maculés de sperme. C'est bien d'ailleurs ce qui s'est passé, et les voir se bouffer mutuellement la semence sur le visage m'a redonné aussitôt un désir très fort, et une queue en pleine érection. Mais il a fallu que j'attende la fin du repas pour que May vienne s'empaler sur moi, se tordre de plaisir, et me donner un orgasme puissant qui m'a momentanément délivré.
Je me doutais bien que les deux filles avaient des relations entre elles. J'en ai eu la certitude un après-midi où j'étais revenu, affamé de sexe. Je suis monté à l'étage, comme toujours, à la recherche de l'une, voire de l'autre. Elles aimaient utiliser les chambres, en variant. Il suffisait de chercher.
Ironiquement, ce jour-là, j'ai failli surprendre la vérité, et ce qu'il m'a été donné à voir a été une partie de la vérité. Il fallait savoir lire différemment.
Elles étaient calées dans une chambre pour avoir du plaisir ensemble. Porte entrouverte. Désir de s'exhiber, que quelqu'un les rejoigne ? Plutôt le fait de vivre sa sexualité librement, au bon moment, comme elles voulaient, quand elles voulaient. Comme en Thailande...Sans se soucier du regard des autres...
May était debout devant un lit. Des bottes de cuir noires avec des talons aiguille, de dix centimètres qui la cambraient bien, une robe rouge très collante. Assise devant elle sur le lit, les mains glissées sous la robe, lui pétrissant le cul, il y avait Anong, en partie seulement visible. Elle aussi bottée, bottes en daim violettes avec des talons aiguille, caleçon noir hyper-collant, j'avais pu le constater quand elle m'avait servi.
Mais il n'y avait pas qu'elles. Posé sur le lit, un gode blanc, long et épais, déjà accroché à un harnachement, dont je voyais le socle et les lanières. Je n'avais pas de mal à imaginer la suite, même si je ne savais pas qui allait sodomiser qui. Peut-être l'une après l'autre.
Il y a eu une ligne. Il aurait pu y en avoir d'autres. Anong a attrapé l'ourlet de la robe de May et l'a soulevée, dévoilant un corps impeccable dont je savais que je ne me lasserais jamais. Un cul bien rond, un dos lisse. Elle s'est soulevée pour faire passer la robe par dessus de ses épaules. Puis elle a attaché le gode à ses hanches.
Quand ça a été fixé à la taille de May, apparemment stable, Anong a basculé sur le lit, pour s'offrir à elle, descendant le caleçon. Elle m'était partiellement masquée par May, même si je pouvais voir ses jambes gainées par des bas stay-up et son cul plein que sa position ouvrait. Pas la zone de son sexe...
May est venue sur elle et j'ai vu le pénis artificiel s'enfoncer dans sa muqueuse anale...Elle a poussé une sorte de cri difficilement qualifiable, du plaisir en tout cas. May s'est mise à la fouiller, changeant de rythme. Les gémissements et les cris d'Anong disaient son plaisir.
Je n'ai pas pu résister et j'ai pénétré dans la chambre. Sans savoir ce qui m'attendait. J'avais envie de me rejoindre à elles, et de prendre May pendant qu'elle fouillait Anong.
Le nœud de l'affaire, c'est le cas de le dire, ça a été le moment où au lieu de pénétrer May, j'ai eu envie de venir sur Anong. Pourquoi, je n'en sais rien ? Ou peut-être si, parce que je connaissais bien le corps de May et moins celui d'Anong qui venait d'arriver.
Je me voyais glissant devant elle, pour qu'elle me prenne dans sa bouche ou dans sa vulve.
J'avais tout faux.
Sa bouche, c'était possible. Certainement pas sa chatte.
Parce qu'elle n'en avait pas.
Collée contre son ventre, il y avait une queue aussi charnue que longue, en pleine érection, dégoulinant de liquide pré-sécrétif.
Assez ironiquement, je n'ai pas été surpris tant que cela.
Dans mes pérégrinations solitaires dans le monde du porno, j'avais découvert celui des trans, un univers qui m'avait fasciné, avec cet extraordinaire paradoxe, qui n'en était pas un au final, que des filles qui n'avaient pas une once de masculinité puissent avoir une queue.
Paradoxe qui m'avait fasciné, fait rêver, fantasmer. Je savais qu'il y avait certaines régions où il y avait des filles avec des verges, le Brésil, la Thailande...Dans ce cas on parlait de ladyboys...J'avais même pensé quand j'avais vu May pour la première fois, qu'elle pouvait être un ladyboy. Mais elle avait une chatte bien fendue entre les cuisses. Du coup, je n'avais même pas pensé qu'Anong, elle, puisse avoir une quéquette.
Et pour une quéquette, c'en était une.
Elle a sans doute été surprise, ou pas, de ce que j'ai fait. Plonger sur sa queue sans la moindre hésitation. Une queue en pleine érection, gorgée de sang, d'excitation, longue et très dure, que j'ai enveloppée de ma bouche, pour une caresse toute en plénitude, allant et venant sur le membre. J'imaginais sans mal, vu la fascination, que peu auraient admise, qu'avaient les hommes pour les trans, il suffisait de voir certaines vidéos, que pas mal d'hommes, déjà lui avaient sucé la queue, mais elle avait été sans doute surprise que moi, qui découvrais qu'elle était un trans, je puisse lui sauter dessus aussi facilement. Son liquide pré-séminal remplissait ma bouche, amer, il coulait avec de plus en plus d'abondance, et je me suis dit qu'elle allait jouir très vite, ce que me disait aussi sa queue, qui, bien que déjà énorme gonflait encore dans ma bouche. Le plaisir d'être fouillée par le gode de May et d'avoir en plus ma bouche autour d'elle...Il y a eu un premier jet de semence qui a rempli ma bouche, et que j'ai laissé couler dans ma gorge, suivi par plein d'autres...
Je n'oublierai pas les moments qui ont suivi.
J'ai bu son sperme jusqu'à la dernière goutte, et, comme je m'y attendais, elle n'a même pas débandé.
Après...On était trois, et on s'est combinés ensemble pour avoir du plaisir, le maximum de plaisir. May a dégagé le pessaire accroché à ses hanches, et a glissé jusqu'à nous, avec cette fausse queue qui semblait faire partie d'elle, obscène et excitante à la fois, dressée pour l'éternité. Le harnachement laissait l'ouverture de son sexe accessible. Elle s'est calée près de moi et a caressé la verge d'Anong d'une langue habile, caresse dans laquelle je l'ai rejointe. Anong venait de jouir, mais son érection se maintenait et son visage disait sa félicité à être ainsi caressée. Sa queue était épaisse et frémissante. On lui a dévoré la queue avant de basculer sur autre chose. May s'est basculée, s'offrant clairement. Et on pouvait la prendre à deux. J'étais fasciné par l'ouverture de son sexe, entourée par du cuir...Je l'ai attirée à moi, après m'être gainé d'un de ces préservatifs qui ne me quittaient plus jamais et faite descendre sur ma queue qui était gorgée de sang, énorme à cause de l'excitation que me procurait la situation. Je craignais que l'attirail qui enserrait sa vulve ne m'empêche de bien me caler en elle, mais ça n'a pas été le cas, et j'ai retrouvé cette chatte chaude et élastique qui comptait tant pour moi. C'était certain, je ne risquais pas de rentrer dans la chatte d'Anong...Anong qui venait de se caler derrière May et qui l'a sodomisée, comme elle devait souvent le faire...Fouillée par deux queues, May s'est laissée aller au plaisir. Le plaisir était aussi pour nous, à la fois parce qu'on était caressés par la muqueuse de May, mais aussi parce qu'à travers la chair qui séparait son vagin de son anus, la queue d'Anong frottait la mienne, et c'était délicieux.
Anong est sortie de May, a changé de préservatif, le sien était souillé, et on a interverti nos positions. Cela faisait très longtemps que je n'avais plus sodomisé une fille. Le plaisir d'une gaine plus serrée autour de soi...Et de retrouver la queue d'Anong, qui fouillait May avec vigueur. Il y a eu un point de non-retour, et c'est sans aucun doute la jouissance d'Anong, j'ai senti le sperme venir cogner contre les parois de la vulve de May, qui a déclenché ma jouissance à moi.
Anong s'est éclipsée, nous laissant seuls, May et moi. A trois, c'était bien, mais j'avais le sentiment qu'il existait entre May et moi quelque chose de fort qui n'existerait jamais entre Anong et moi. Même si nous nous retrouverions encore à trois.
On s'est regardés. May était encore équipée du gode. Je voyais bien ce qu'elle me proposait, de manière mutique. Elle en avait envie, et j'en avais envie aussi.
C'était plutôt ironique que ce soit elle qui me sodomise, avec une queue artificielle, et pas Anong. Mais sans doute aussi que c'était une manière de préparer le moment où Anong me prendrait.
Je me suis laissé aller en arrière. May est venue au dessus de moi, et elle a glissé en moi. Je craignais d'avoir mal, mais je n'ai rien ressenti d'autre que du plaisir quand elle a appuyé sur ma muqueuse anale, et est rentrée en moi. Le plaisir a immédiatement été...Très fort...Je ne pensais que ça puisse être...Aussi bon...Le contrecoup de cette explosion, ça a été que ma queue a sérieusement dégonflé...May, tout en me fouillant, est venue me masturber. J'ai retrouvé de la vigueur, ironiquement une vigueur qui ne m'a plus quitté, dans un degré que je ne connaissais pas en temps habituel. J'étais énorme.
Surtout, au bout de quelques minutes, j'ai senti que j'allais jouir. J'ai voulu me retenir, mais May m'a dit :
— Laisse-toi aller, tu jouiras plusieurs fois, je te le garantis.
May connaissait plus sur le plaisir que je n'en connaîtrais jamais...De toute façon, je ne maîtrisais plus ma jouissance. Elle a enveloppé ma queue de sa paume et j'ai craché ma semence dedans, qu'elle a lapé ensuite. Un plaisir tellement fort!!! J'ai à peine débandé, elle a continué à me fouiller, et j'ai joui à nouveau. Je suis allé jusqu'au bout de mes forces.
Anong m'a prise deux jours plus tard, pendant que je fouillais la chatte de May de la langue, avant de la pénétrer et de la fouiller pendant qu'Anong me fouillait moi. On fonctionnait en totale harmonie, May, Anong et moi.
La caractéristique essentielle du bonheur, c'est sa fugacité. D'ailleurs je savais bien au fond de moi que ça ne durerait pas éternellement.
Le plaisir avec May, le plaisir avec Anong, le plaisir avec May et Anong...
Je suis arrivé un lundi matin et l'établissement était fermé. Avec un mot collé sur la partie vitrée de la porte.
Fermeture définitive de l'établissement. Merci aux clients récents ou plus anciens. Il est temps de tourner la page et de partir pour des cieux plus cléments.
Il ne m'en avait plus reparlé ces derniers temps. C'était sans aucun doute la preuve qu'il était dans la phase finale de préparatifs. Quand on agit, on ne parle pas.
Je n'étais pas surpris. Il en parlait trop souvent...J'avais toujours pensé que ca allait se produire dans les mois qui suivaient. Mais j'espérais aussi, sans doute trop naivement, que May et Anong, ou les deux, resteraient un peu dans le coin.
Une période intense et heureuse de ma vie prenait fin.
Assez curieusement, je n'étais pas affligé. J'avais vécu une période exceptionnelle, j'étais heureux d'avoir eu cette chance. Et je garderais ces souvenirs en moi.
Il s'est passé un bon paquet de mois avant que je n'aie une surprise à laquelle je ne m'attendais vraiment pas. On a frappé à la porte. J'ai été ouvrir. Mon père était mort trois semaines plus tôt.
Je pensais que c'était ma voisine. J'ai été ouvrir.
En face de moi, il y avait May.
Je n'en ai pas cru mes yeux. Un instant, j'ai même pensé que c'était une hallucination. Créé à la fois par le manque et les souvenirs qui me hantaient. Elle l'a compris et m'a dit:
— C'est bien moi!
Une robe noire collante et courte, des cuissardes...Ca ressemblait bien à la May qu'il connaissait. Ca lui a ressemblé encore plus quand elle a attrapé l'ourlet de sa robe et l'a soulevé lentement, me dévoilant ce corps qui m'avait inspiré tant de désir...Et m'en inspirait encore tout autant...Un écho au tout début de notre relation, mais aussi à d'autres moments, tout au long de ces semaines, où elle s'était dévoilée de la sorte...
— Je suis revenue pour toi.
— Tu restes longtemps.
— Je me plais bien ici, en Europe. Le contraire de Marc et d'Anong. Je suis là depuis une semaine en fait.
— Ton Français s'est amélioré, je lui ai fait remarquer, pendant qu'elle laissait sa robe redescendre.
— J'ai appris le Français. J'ai un travail. Je suis serveuse. Et je me suis inscrite à des cours à distance pour devenir manager. Je veux tenir un magasin.
— Comment tu as trouvé mon adresse ?
— Je t'avais suivi une fois. Je voulais savoir où tu habitais.
Je l'ai faite rentrer. Elle a posé sa main sur mon pantalon. M'a trouvé en pleine érection. Je retrouvais mon désir pour elle, d'autant plus fort qu'il n'avait pas eu d'exutoire pendant ces mois de vide.
— Et Marc et Among ?
— Elle l'a enculé tellement de fois qu'il s'est amouraché d'elle. Il l'a épousée. Il nous baisait toutes les deux, bien sûr, mais sa passion c'était elle.
Elle a glissé à genoux et elle est venue lécher ma queue comme elle seule savait le faire. Je me suis senti béni des Dieux de retrouver ces sensations, ce plaisir, uniques, que je n'avais plus pensé pouvoir retrouver.
La joie de la retrouver, je n'ai pas tenu très longtemps. Elle avait déjà refermé sa bouche sur ma queue pour accueillir ma semence...J'avais tellement envie d'elle et j'avais été tellement frustré que, même en jouissant plusieurs fois, je savais que je resterais dur pour qu'on puisse continuer nos ébats. Deux minutes plus tard, j'étais allongé sur le lit et elle s'empalait sur ma queue, sa chatte d'abord puis ensuite son anus.
--Tu peux venir t'installer chez moi. Tu auras moins de frais.
--Je vis chez une copine, thai comme moi. Mais je ne partirai pas de sitôt de la France, je compte m'installer. Et te revoir régulièrement.
La grisaille s'effaçait, remplaçée par un ciel bleu où le soleil pointait.
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Histoire de JamesB

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