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Du répit pour les aidants: Sara partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 09/10/2024

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DU REPIT POUR LES AIDANTS:
SARA
partie 1
J'ai eu du mal à le croire. Avec l'enfer que je vis au quotidien, s'occuper de quelqu'un de gravement malade, mais le faire parce que j'ai un sens aigu du devoir... Avoir enfin 15 jours de répit. De liberté. Totale. Faire ce que je veux, ce qui me plaît. Dans une tranquillité morale que je n'ai pas connue depuis des années...Et ce grâce à une association.
Quelqu'un m'a remplacé auprès de ma mère pendant cette période.
J'avais longtemps hésité. J'ai eu tort.
J'avais bien vu dans le journal cet article concernant une association créé par des aidants eux-mêmes, qui, pour ne plus vivre une souffrance permanente et pouvoir avoir un peu de liberté, proposaient, sans frais, une rotation. Avec l'obligation de faire un dossier. Le mien avait été accepté.
Je m'étais réservé une petite villa en bord de mer, dans le Sud. D'autant plus facile qu'on était en avril. C'était bien de prendre des vacances en décalé. Je descendais de la région parisienne. Un trajet assez long. Mais je prenais le temps. Regarder autour de moi, profiter de ce que je voyais, de la nature, du soleil sur son visage...Des plaisirs simples qui s'étaient effacés face à l'enfer.
C'est dans les toilettes, mixtes, de l'hôtel-restaurant où je m'étais arrêté, pour manger, que ma sexualité qui était plus qu'assoupie, quasiment morte, s'est réveillée. Je ne m'y attendais pas du tout. Cela faisait quatre ans que le sexe était totalement sorti de ma vie.
Une petite ville du centre de la France. Elle n'avait pas évolué d'un pouce depuis les années 60. Et ne bougerait jamais, sauf si un ouragan passait dessus et qu'il fallait la reconstruire.
L'hôtel-restaurant était une bâtisse cossue, qui devait dater des années 30, mais avait été entretenue. Des meubles épais, comme on n'en fait plus. Ce n'était pas de l' Ikéa. Et une impression de permanence dans le temps, avec un passé encore présent, dont les lieux avaient la mémoire. Les périodes glorieuses du 20ème comme les plus sombres. Du personnel que j'imaginais là depuis toujours, figé dans l'éternité.
La cuisine était classique, mais vraiment bonne. D'ailleurs c'était un signe que la salle à manger soit pleine.
A la fin du repas, après l’île flottante, j'ai demandé où étaient les toilettes. La serveuse a désigné un escalier. 'A l'étage.'
Un escalier, aussi rugueux que le mobilier, qui montait puis partait à angle droit. A l'étage, il y avait un large couloir et plusieurs portes, des chambres, mais certaines sans numéro, closes. Difficile de ne pas se demander sur quoi elles ouvraient. La seule certitude qu'on pouvait avoir, c'était que l'une d'entre elles, juste en haut de l'escalier, et en face de celui-ci, indiquait 'TOILETTES'.
J'ai poussé la porte. Commencé par une inspection des lieux. Mixtes apparemment. En tout cas des lieux très propres, c'était toujours mon premier critère. Sur la droite des lavabos, au fond des cabines, sur la gauche des urinoirs. Signe que le bâtiment datait de pas mal de temps.
Mon regard était partie de la droite pour arriver sur la gauche.
Parce que j'avais poussé la porte doucement, il ne m'a pas entendu.
Il était positionné au-dessus de l'urinoir, et il se vidait la vessie, la tête ailleurs. Sa queue aussi visible que le jet d'urine qui en sortait.
Il bandait à moitié. Il avait vraiment une belle queue, et ça m'a donné un frisson, autant de la voir que de penser qu'elle n'était qu'à...combien...40 pour cent de son érection totale. Une queue...Je n'en avais plus vu depuis tellement longtemps...Je n'avais même pas pensé, tout ce temps, que je pourrais avoir du plaisir, comme j'avais pu en avoir dans le passé, avant que les catastrophes me tombent sur la gueule. J'avais trente-six ans aujourd'hui, cela faisait six ans que le sexe avait déserté ma vie. J'étais, on le disait en tout cas, une jolie femme, et j'avais eu pas mal de partenaires, garçons et filles. Peut-être que j'avais, après tout, dépassé mon quota, et que le Destin avait estimé que je devais m'en passer un moment.
En tout cas, la vision de cette queue m'a rendue folle.
Il fallait que je l'aie. Tout de suite et maintenant. Sans attendre. C'était quelque chose de totalement irrationnel. J'aurais du l'ignorer, aller droit sur une cabine, m'y enfermer, vider ma vessie et repartir.
Au lieu de cela, je me suis approché de lui. Il n'a été conscient de ma présence qu'au dernier moment. Je lui ai souri et je lui ai dit:
— Je pense que je peux vous aider à pisser. Ca vous dit ?
Je n'ai même pas attendu de réponse, à vrai dire. Ma main est venue envelopper sa queue. Le jet d'urine continuait de sortir, abondant.
Tenir une queue. C'était peu, mais c'était déjà beaucoup. Le gars s'est laissé faire. Il fallait dire aussi qu'en quelques secondes, il avait pris la juste mesure de la situation. J'avais pas mal de charme, et qu'une jolie fille surgisse comme ça de nulle part et vienne vous proposer de vous tenir la queue...
L'urine continuait de sortir, dans un jet continu, mais sa queue, qui avait déjà un rien gonflé, est-ce qu'il avait envie, parce qu'il pensait à une femme, a pris du volume au creux de ma main. Je me contentais de le tenir, sans le caresser. Quand le jet de pipi est arrivé à sa fin, je l'ai masturbé doucement. Surprise de mon audace, et puis pas tant que ça au final. Il y avait eu d'autres temps où je l'avais aussi été, audacieuse, il y avait eu d'autres temps où j'avais aimé le sexe, où j'avais eu du plaisir. C'était loin mais je me retrouvais. J'avais deux semaines pour me retrouver, avant de replonger dans l'enfer.
C'est toujours un plaisir pour une fille que de masturber la queue d'un homme, de voir ce qu'elle donne érigée, d'avoir une bonne surprise, une petite queue peut devenir énorme. Il s'est allongé, étiré dans ma main...Il a poussé un petit grognement qui pouvait dire beaucoup de choses...De la joie, du plaisir...Mon plaisir à moi, ça a été de voir sa queue s'ériger, venir se caler dans une position qui disait qu'elle était prête à l'emploi, le gland décalotté pointant vers le ciel.
J'étais habitée par le démon. J'aurais dit plus simplement que je retrouvais le monde de la sexualité, et ça me donnait clairement des idées. Je lui ai dit:
— Moi aussi, je vais pisser. Tu as déjà vu une fille pisser?
J'ai un avantage. Je suis grande. Pieds nus, je fais un mètre quatre vingt-cinq. Ce jour-là, j'avais des escarpins, de six ou sept centimètres. Donc j'étais pile au niveau de l'urinoir. J'ai défait le bouton qui tenait ma jupe à ma taille. Elle a glissé sur le sol. J'ai descendu ma culotte. Il a jeté un coup d' oeil intéressé à ma chatte. Ça faisait longtemps qu'un homme n'avait plus posé les yeux dessus. J'ai fait un peu de mise en scène, avec la claire volonté de l'exciter encore plus. J'avais tout fait d'une main, l'autre tenait toujours sa queue, que je sentais agitée de spasmes à la vision de ma chatte.
J'ai glissé deux doigts en moi. Mes muqueuses étaient toutes mouillées, je l'ai senti en me pénétrant. Je ruisselais même. Si j'avais du rattraper toute la mouille qui n'avait pas coulé de moi ces derniers mois, il y aurait eu un flot de plusieurs litres, un véritable Niagara, qui aurait coulé le long de mes jambes.
Je me suis ouverte, lui laissant voir une partie de mon intérieur. Il ne s'attendait pas à ça, quand il était monté se vider la vessie. Une fille qui le masturberait et qui lui montrerait son intérieur.
Il a vu aussi mon urètre. Et le premier jet de pipi, mal calibré, mal visé, long, qui est passé par dessus l'urinoir pour atterrir sur le carrelage. Le soir la femme de ménage pesterait contre les connards de clients qui souillaient les lieux. Il fallait dire que je n'étais pas en face, mais de biais. Pourtant, j'ai bien calibré les jaillissements suivants. Je n'avais pas imaginé pisser comme cela, mais bien classiquement. Il y avait quelque chose de très surréaliste dans ce moment, mais c'était ça la vie. Le sexe surgissait au moment où on ne l'attendait pas.
— Tu as des capotes sur toi?, je lui ai demandé.
Il a eu un sourire suffisant qui me l'a rendu un peu moins sympathique. Mais après tout, ce n'était pas ce que j'attendais de lui, qu'il soit sympathique.
— Toujours.
Je finissais ma miction. Il a sorti un préservatif emballé de plastique de sa poche.
— Laisse-moi le mettre sur ta queue, j'ai crié.
J'avais manqué de tout, et maintenant je voulais tout.
Un dernier jet de pipi, sans doute quelques gouttes accrochées à mon urètre, j'ai déchiré l'emballage d'alu. La rondelle de latex était gluante. Je l'ai faite glisser le long de sa queue. Il me faudrait, je m'en rendais bien compte, un bon moment avant d'être rassasiée. Au bout de quinze jours, sans doute, si je trouvais des partenaires...
Quand sa queue a été bien encapotée, je me suis laissée aller contre le mur, en ouvrant ma jambe et la collant au mur. Ainsi, il pouvait venir contre moi et me pénétrer, sans doute sans aller jusqu'au fond.
Ca faisait...Trop longtemps...Une éternité qu'une queue n'était pas rentrée en moi...Il ne s'en est sans doute même pas rendu compte, concentré sur sa jouissance comme pas mal d'hommes, mais je me suis mise à pleurer silencieusement, de joie. Les larmes ont dévalé mon visage. Sentir son gros gland appuyer contre mes lèvres, rentrer à l'intérieur, me remplir, puis me caresser, en frottant contre mes muqueuses. Il prenait du plaisir, mais le sien était sans doute sans commune mesure avec le mien, le plaisir d'une fille qui n'avait pas fait l'amour depuis très longtemps, qui n'avait même pas pris du plaisir seule, tant elle était obnubilée par la tragédie qu'elle vivait. Il ne s'en était d'ailleurs pas rendu compte, mais quand il avait commencé à glisser en moi, j'avais joui. Un orgasme, ce n'était pas forcément des cris, des hurlements. Et j'avais joui plusieurs fois encore pendant qu'il me fouillait. Sans qu'il y ait forcément un crescendo. Mais ça avait bien été le jaillissement du sperme dans le préservatif, tapant contre mes parois internes qui m'avait donné mon orgasme le plus puissant, et j'avais éjaculé autour de sa queue...
Je m'étais laissée aller contre le mur, fermant les yeux.
Quand je les avais rouverts, il avait disparu.
Un bon début de vacances.
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Histoire de JamesB

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