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Du répit pour les aidants: Sara partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 26/10/2024

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DU REPIT POUR DES AIDANTS:SARA
PARTIE 2
Je suis arrivée en fin d'après-midi à l'hôtel. Parfois, des photos promo sont mensongères. Là, ce n'était clairement pas le cas. Un hôtel-restaurant simple, blanc, tout en longueur, dans un endroit protégé, avec la plage et la mer juste à côté. Je me suis présentée à la réception, et je me suis ensuite calée dans ma chambre. Grande et lumineuse.
Je suis partie me promener dans les environs. Des sentiers qui cheminaient au sein d'une végétation méditerranéenne. Des arbres qui embaumaient. J'étais à mille lieux de mon cadre habituel.
C'était bien d'être hors saison, mais je n'étais pas la seule. Je venais de me caler dans une grande à salle à manger quand je les ai vus arriver. Ils étaient jeunes, la vingtaine, et ils avaient apparemment très envie l'un de l'autre. La fille portait une robe noire simple, collante, et pas grand chose en dessous. Je m'en suis rendue compte parce qu'ils ne m'avaient d'abord pas repérée, j'étais dans l'ombre, et, en rentrant dans la salle à manger, le garçon avait soulevé la robe de sa copine, en lui mettant la main aux fesses. J'ai nettement vu qu'elle n'avait pas de slip, le ventre nu. J'avais bien eu le temps d'apercevoir une toison brune, en harmonie avec ses cheveux, et le dessin de son sexe, une fente coupant ses chairs en deux, dont sortait un bout de lèvre. Et puis, la robe était redescendue. Il restait pas mal à regarder malgré tout. Une silhouette séduisante, des seins sans soutien-gorge qui tendaient le tissu de sa robe, des jambes magnifiques, dévoilées par une robe courte. Mais aussi un très joli visage. Et le gars était beau lui aussi, grand, blond.
Ils m'ont fait envie autant l'un que l'autre. J'aimais le sexe avec garçons et filles. Un passé, encore une fois, très lointain. Mais qui remontait.
Ils m'ont bien vue, finalement, mais ça ne les a pas dérangés au final. Comme tous les amants, ils étaient dans leur relation, même avec des gens autour d'eux. Mains sous la table...Elle massait sa queue dans son pantalon, j'ai même pensé un moment qu'elle allait la sortir et le masturber...Lui avait moins de scrupule, et il avait glissé la main entre ses cuisses pour la masturber. Elle avait ouvert les cuisses, et son expression, je les voyais de profil, disait son plaisir. Je me suis demandée comment il la caressait. La pulpe de ses doigts sur ses lèvres, sur son gland clitoridien, ou glissés dans son sexe? Un peu plus, je crois que je serais venue me caler à genoux près de la table pour regarder...J'en aurais été capable...Pendant qu'il la caressait, j'aurais aimé sortir sa queue de son pantalon, elle devait être au moins à moitié roide, et je l'aurais prise dans ma bouche, mais j'aurais bien été aussi remplacer la main du gars...J'aimais lécher des chattes...
Après le dîner, je me suis calée dans une grande salle dont la baie vitrée donnait sur la mer. La nuit était tombée, mais l'une des vitres était entrouverte, et on entendait le va-et-vient de l'eau qui venait s'échouer sur la plage. Quelque chose de doux qui m'a apaisé. J'avais un livre avec moi, j'ai pu pour une fois lire tranquillement.
Je me suis assoupie. Il était près de minuit quand je me suis réveillée. Il était temps que je regagne ma chambre.
Je me suis toujours demandée par la suite si j'avais vécu le moment qui avait suivi ou si je l'avais rêvé, avant ou après avoir regagné ma chambre.
Sans avoir aucune certitude.
J'ai avancé dans le couloir. Il était sombre, sauf pour une tâche de lumière qui marquait la moquette, provenant d'une chambre à gauche.
Ils avaient laissé la porte entrouverte. Un appel, une hâte à faire l'amour qui faisait qu'ils croyaient avoir fermé la porte mais ça n'avait pas été le cas ?
J'ai regardé. J'aurais peut-être du avancer sans regarder. Une curiosité bien humaine, je ne me suis pas fait de reproches. Ils étaient tous les deux sur le lit. Lui allongé, elle sur lui. Je ne voyais pas tout, mais la manière qu'elle avait de monter et descendre sur lui disait clairement qu'elle se faisait monter et descendre sur sa queue. Et qu'elle y prenait un plaisir très fort. Elle avait les yeux clos et elle gémissait. Entièrement nue, elle avait un corps magnifique, une poitrine lourde mais ferme, qu'elle malaxait en bougeant sur lui. Elle lui tournait le dos. Etait-ce pour lui permettre de malaxer ses fesses ? C'était en tout cas ce qu'il faisait.
J'aurais du passer et partir.
Ce que d'autres auraient fait, après avoir maté un peu.
Mais il y avait trop de frustrations et d'envies en moi.
Je me suis glissée dans la pièce et approchée d'eux.
Ils ne se sont pas rendus compte de ma présence immédiatement, mais, quand ils s'en sont rendus compte, ils n'ont pas poussé de glapissement, pas crié.
J'ai pensé que peut-être, ils avaient laissé la porte ouverte intentionnellement.
Une manière de me hameçonner. Qui avait bien marché.
J'ai pris la bouche de la fille. Nos langues se sont accrochées et caressées avant que je ne descende sur ses seins pour envelopper un téton. Ils étaient déjà longs et bien durs. Un délice dans ma bouche, un délice supplémentaire que de les sentir d'allonger encore. En même temps, j'ai laissé ma main glisser sur son ventre. J'ai tourné, dans un mouvement circulaire autour de son nombril, avant de descendre encore plus bas. Un morceau de toison, et, plus bas encore, l'ouverture d'un sexe, écartelé, rempli par une queue qui allait et venait en elle. La pulpe de mes doigts s'est imprégnée de tous les détails. Le poids de ses lèvres toutes gonflées contre mes doigts, les liquides qui coulaient d'elle, et autour de la queue, la queue qui allait et venait, frottait la pulpe de ma main comme elle frottait son intérieur, la tension de son corps, le plaisir qu'elle avait.
Ce qui a changé la donne, ça a été que le gars a retiré sa queue du vagin de sa compagne pour la sodomiser. J'ai bien compris que ce n'était pas la première fois qu'ils agissaient ainsi. Un parcours qui passait par la chatte de la fille, pour finir par son anus. C'est d'ailleurs elle qui s'est soulevée pour faire sortir la queue d'elle, et qui l'a amenée contre sa muqueuse anale pour se laisser descendre dessus. Une muqueuse qui avait l'habitude des queues, vu la facilité avec laquelle le membre viril a pénétré en elle, pour disparaître quasi totalement dans son rectum.Son visage et la manière dont son corps s'est tendu ont dit clairement son plaisir.
Mon visage était à quelques centimètres de sa chatte. L'occasion de la voir de plus près. L'excitation, le plaisir, la queue en elle avaient fait leur travail. Son sexe était béant sur son intérieur, des muqueuses toutes roses, et ses liquides coulaient, étonnants d'abondance. Son gland clitoridien pointait, aussi gros qu'obscène et ses lèvres s'allongeaient, bien épaisses. Sa cyprine arrosait ses aines, ses cuisses, celles de son amant...C'était trop tentant pour moi. J'ai fourré ma main sous mon caleçon et dans ma culotte pour me masturber, trouvant sans surprise un sexe qui était resté amorphe trop longtemps, presque aussi dilaté d'excitation, et sans doute aussi ruisselant, et je me suis mise à me frotter, tendue d'excitation, pour apaiser mes tensions et me donner du plaisir. En même temps, désespérément attirée par cette chatte, que je l'avais bien compris, la fille m'offrait, en tout cas je l'ai parfaitement compris quand elle a fiché deux doigts en elle pour se faire plus béante, avec le double désir de lui donner du plaisir et en même temps de boire les liquides qui coulaient d'elle. Ma langue est venue sur elle, souple et habile. Ça faisait...Tellement longtemps que je n'avais plus léché une chatte...Je revenais loin en arrière. Jetant un coup d' oeil en même temps à la queue qui allait et venait en elle et la fouillait. J'ai dégagé mon caleçon et ma culotte en me contorsionnant, pour me retrouver jambes et ventre nu, et pouvoir accéder à mon sexe plus facilement.
Elle était en plein plaisir, les yeux mi-clos, mais elle a trouvé la force de souffler, d'une voix agonisante:
— Si tu veux, il viendra dans ta chatte ou dans ton cul...Il mettra un préservatif, comme ça tu ne risqueras rien. Ca te dit?
Je n'ai pas répondu, mais elle a bien compris que ma réponse était tout sauf négative. Je regardais du coin de l'oeil la verge, énorme, bouger dans son conduit rectal, aller et venir, et c'était bien vrai que j'avais envie de cette queue, même si je me régalais de lécher cette chatte qu'elle m'offrait clairement.
Surexcitée, je me frottais le gland clitoridien, à présent tout épais. Je retrouvais des gestes dont je n'avais plus l'habitude. Je retrouvais, le sexe, la vie...Pour quinze jours.
Il y a eu un moment où j'ai senti qu'elle approchait de la jouissance. Elle s'est tendue, et il y a eu quelque chose qui disait clairement que l'extase se posait sur ses épaules, quand elle a dit:
— Je suis entrain de jouir.
Son corps me l'a confirmé quelques instants plus tard. Elle a été secoué par des spasmes, et tout en lâchant de petits gémissements, elle a craché des jets d'un liquide poisseux qui m'a arrosée. J'en ai pris sur le visage, dans les cheveux, sur le corps...
Elle a tourné la tête vers son mari, qui continuait, collé à elle, de bouger dans sa muqueuse anale. Elle lui a soufflé quelque chose. 'Baise-là?' C'était le plus plausible...J'ai vu la queue sortir de la muqueuse anale, longue, épaisse, plus épaisse que quand il l'avait rentrée. L'idée que j'allais la prendre dans mon ventre a déclenché un long frisson en moi. Je mouillais comme si j'avais gardé des litres de liquide en moi et que je m'en libérais maintenant.
Ça s'est passé comme elle l'avait laissé entendre. Le gars a glissé en arrière et il est parti farfouiller dans une sacoche pour trouver des préservatifs. La fille s'est laissée glisser sur moi, venant prendre ma bouche pour la fouiller de la langue. La mienne a réagi et elle est venue au contact de la sienne. Elle s'est retournée vers son mari, a attrapé le préservatif emballé qu'il avait dans les mains, a déchiré l'emballage, avant de coller le latex contre ses dents. Je me suis demandée ce qu'elle voulait faire, avant de comprendre qu'elle avait l'intention de lui ajuster le préservatif d'une manière particulière. Elle a avancé sa bouche vers la queue dilatée et fait glisser le latex dessus, avalant totalement la queue, allant jusqu'à la gorge profonde pour un beau résultat au final, quand elle a reculé, le latex était totalement calé sur la verge, jusqu'à la racine. L'idée que j'allais prendre ce beau sexe, gorgé de sang dans mon ventre, me mettait dans tous mes états. J'avais des spasmes dans la chatte. Je me suis demandée si je serais rassasiée au bout de quinze jours.
— Viens, on a le temps. On va la caresser ensemble...Qu'est-ce que tu en dis ?
Pas besoin de me le proposer deux fois. Nos deux langues sont venues tourner autour du membre que nous offrait son mari. Il y avait de l'envie et de la gourmandise dans sa caresse comme dans la mienne. La seule différence sans doute, et j'en étais bien consciente, c'était qu'en moi se rajoutait une immense frustration. Qui faisait sans doute que j'aurais moins habile, qu'elle, mais cette frustration me guidait pour ainsi dire donner le meilleur de moi-même. Je voyais bien la différence entre elle et moi. Le sexe, c'était son quotidien, et elle avait une expérience que je n'avais pas, ou que j'avais eue mais perdue. Mais cette envie intense de rattraper le temps perdu me faisait l'égaler dans mes actes, et ce même s'il n'y avait aucune compétition entre nous.
Ma langue, comme la sienne, glissait sur la chair encapotée. Je suis, la première, descendue sur ses couilles, pour les caresser de la langue, pour les mordiller doucement pendant qu'elle lui frottait le gland de la langue. Même à travers le latex, il avait toutes les sensations. Et apparemment il aimait aussi beaucoup qu'on lui caresse les couilles.
J'ai eu peur qu'il jouisse, et je suis venue glisser à quatre pattes. Je voulais qu'il vienne sur moi, qu'il me prenne. J'en crevais d'envie. J'aimais, comme toutes les filles sans doute, me faire prendre en levrette. Sentir une queue glisser en moi et me fouiller, avec la sensation qu'à chaque mouvement, elle rentrait plus profond, forant ma chair et me donnant du plaisir. J'aimais aussi le côté bestial de la chose.
Il y avait différents axes d'approche, il est venu au-dessus de moi, il a glissé sa queue dans mon vagin et il s'est mis à me fouiller, en variant les rythmes, rapidement, plus lentement...Je me suis totalement dissoute dans le plaisir. J'ai perdu petit à petit la perception de ce qui m'entourait, le lieu, le temps, tout cela n'avait plus vraiment de sens. Il y avait juste cette queue qui me fouillait, et la jolie fille qui me rendait la monnaie de ma pièce, me mettant dans tous mes états. Sa bouche courait sur ma peau, venait chercher la mienne, partait à l'assaut de mes seins, venait tourner sur nos sexes.
C'est quand elle a glissé de ma vulve à mon anus que j'ai compris ce qui m'attendait. C'était certain, je n'avais pas l'habitude de me faire sodomiser, comme elle. Plus, en tout cas. Sa langue est venue caresser les plissements de ma muqueuse anale, et j'ai senti que je m'ouvrais, en plus d'éprouver du plaisir. Il a posé son gland tout dilaté, énorme, contre ma muqueuse. Je me suis dit un instant que ça n'allait pas rentrer. Ca faisait trop longtemps que je n'avais pas été prise par là. Mais, à ma grande surprise, quand il est rentré en moi, je n'ai même pas eu mal. Au contraire, le plaisir a été immédiat. Je me suis souvenue que j'aimais me faire prendre par le cul. Il a glissé en moi, et ça a été vraiment très bon...J'ai eu quelque chose qui s'apparentait, sans aucun doute, à un orgasme.
Sans que j'en sois vraiment surprise, son épouse est venue à l'assaut de mon sexe. La nature a horreur du vide, et le plaisir n'en serait que plus grand. Elle a glissé un doigt, puis encore un, et un troisième, dans mon sexe. Sans problème. Il faut dire que j'étais tellement béante...Elle s'est mise à me masturber.
Deux caresses qui se superposaient. C'était un plaisir intense que d'être ainsi fouillée. Surtout que, je j'en suis vite rendue compte, sa main et la queue de son mari étaient vraiment proches, la paroi séparant mon vagin de mon anus était vraiment très fine.
Ca a été le basculement vers un moment que je n'aurais même pas imaginé. Je me suis dit, plus tard, en y repensant, que tout ce qui s'était passé, durant ces quinze jours, avait été tellement fort, intense, je n'aurais même pas imaginé la veille de partir, que tout cela se produirait, Que ce serait aussi original, aussi intense. Une compensation, peut-être, pour autant de moments de souffrance.
C'est elle qui, après avoir caressé les parois de mon vagin pour me donner du plaisir, en déclenchant des ruissellements, est venue empoigner la queue de son mari à travers la paroi fine et s'est mise à le masturber. Ça n'avait sans doute rien à voir avec une masturbation plus classique, s'il avait été hors de mon anus, mais c'était cent fois plus efficace. En effet, il était à la fois caressé par la main qui l'enveloppait et par ma chair.
Et moi, je ne perdais rien, Au contraire. J'avais droit à une double caresse, celle de la queue en moi, qui bougeait au gré de la caresse de la femme et celle de la main qui la masturbait, qui me caressait également...Nos jouissances ont été très proches, J'ai été secouée par un chapelet d'orgasmes, éjaculant autour de la main calée dans mon vagin, et mes orgasmes ont pris un nouveau tour quand la verge a commencé à remplir le préservatif de sperme, crachant jet après jet de semence. Je n'ai pas pu m'empêcher de crier mon bonheur, mes orgasmes rebondissant à chaque nouveau jaillissement de semence.


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Histoire de JamesB

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