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Du répit pour les aidants: Sara partie 3
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DU REPIT POUR DES AIDANTS: SARA
PARTIE 3
Je n'oublierai pas les jours qui ont suivi. Je ne tiens d'ailleurs pas à les oublier. Depuis que je suis revenue, dans la difficulté de ma tâche, je me réserve du temps pour me masturber, et je me caresse en repensant à des détails accumulés dans ma mémoire, qui sont si forts, si excitants, que je jouis généralement très rapidement.
Chris, Andréa et moi nous sommes devenus inséparables. Nous savions pertinemment que notre relation ne perdurerait pas aux vacances, mais ce n'était pas ce que nous cherchions. Nous avions une vie différente, je ne connaissais pas la leur, et je ne tenais pas à la connaître, mais ils voulaient, comme moi, profiter de quelques jours de cassure, d'oubli, et de sexe.
Ca a été d'ailleurs curieux, ou peut-être pas tant que ça, notre trait d'union, ça a été et ça n'a été que le sexe. On a très peu discuté, sauf en mangeant ensemble...Ce qui nous rapprochait, ce qui tissait un lien très fort entre nous, c'était le plaisir qu'on avait ensemble. On se retrouvait dans une même approche...Quelque chose de fort, d'intense, d'inventif, que je ne pensais pas avoir en moi, qui sans doute n'aurait pas eu d'existence s'il n'y avait pas eu en moi ces années de frustration.
Tous les trois ensemble, ou elle et moi, ou moi et lui...
C'est un après-midi, on était calés dans une crique qui nous coupait totalement du monde, Andréa et moi, qu'elle m'a proposé, redressant la tête alors qu'elle me fouillait la chatte de sa langue depuis un bon moment, l'enfonçant aussi loin que possible dans mon vagin, dans un mélange simplement d'une langue très longue, et d'habileté:
— Ca te dit qu'on aille faire un tour dans une boite spéciale?
— Comment tu la connais?, je lui ai demandé, d'une voix brumeuse, parce que j'avais un énorme plaisir, non seulement parce que j'aimais les cunnis, quelque chose que j'avais oublié, là aussi, mais aussi parce qu'elle se débrouillait vraiment bien.
— On regarde toujours les possibilités avant de venir dans un coin, sur des sites spécialisés.
Je me demandais vraiment à quoi m'attendre, puisqu'elle n'en a pas dit plus...En même temps...J'étais prête à tout. J'avais une faim en moi qui n'était pas apaisée. Pour le moment, j'étais insatiable. .
— Finis-moi d'abord.
En maillot quand nous étions arrivées sur la crique, nous avions toutes les deux enlevé nos culottes tout en gardant nos soutien-gorges. J'aurais été incapable de dire pourquoi. Mais ça me troublait de la voir le ventre nu, mais les seins masqués. Elle s'était mise à me lécher, en donnant tout ce qu'elle avait, ce n'était pas un cunni de convenance, et en se masturbant en même temps. Je me suis penchée pour attraper ses hanches, et elle a compris ce que je voulais. Elle a pivoté, et nous nous sommes calées dans un 69 impeccable. Exactement ce que je voulais. Devant mes yeux, sa croupe bien charnue, pleine, ouverte sur les plissements de son anus, et sa vulve, béante sur son intérieur rose, et dégoulinante d'excitation.
Sa chatte, elle s'en était déjà occupée. Pas son anus. Je savais où je voulais me poser, et c'est ce que j'ai fait pendant qu'elle me suçait le gland clitoridien, me procurant des sensations très fortes. Je suis venue poser la pointe de ma langue contre sa muqueuse anale, un goût amer m'a envahie alors que je parcourais les plissements offerts. Les frémissements de son corps me disaient que ce que je lui faisais lui plaisait, mais son habileté à bouffer mon gland clitoridien me procurait un plaisir équivalent. Petit à petit, sa muqueuse anale s'est dilatée, me laissant pénétrer au cœur d'elle, dans une muqueuse souple qui avait autant envie et besoin de caresses que sa vulve...Je me suis glissé en elle, en allant aussi loin que je le pouvais, sans avoir cependant son expérience, mais mais j'ai bien senti que je lui procurais quand même du plaisir. La meilleure preuve en tout cas, c'était l'abondance de jaillissement de la cyprine qui coulait sur moi et me trempait. J'ai glissé deux doigts sans sa vulve, tout en continuant à lécher sa muqueuse anale. Mon mouvement faisait que sa cyprine sortait en une bruine qui arrosait nos chairs. Elle s'est mise à jouir, secouée par des spasmes. Mes doigts accrochés en elle, elle a éjaculé, crachant des jets copieux de liquide intime. Moi je n'avais pas encore joui. Elle a agi à l'inverse de moi, enfonçant un doigt dans mon anus et me fouillant, puis un deuxième, tout en continuant de me sucer le gland clitoridien. Ma jouissance était inévitable.
On est repassées à l'hôtel pour mettre une tenue convenable, indispensable pour aller en ville. Sans s'être concertées, on a passé l'une comme l'autre une robe courte. En arrivant dans ma chambre, elle l'a soulevée, m'offrant son anatomie. Pas de slip, juste un soutien-gorge, cette fois qui n'était pas de maillot de bain. J'aurais bien pris qu'on se donne encore du plaisir mutuellement. Mais sa promesse m'alléchait. Je savais que, jusqu'au bout, jusqu'au dernier jour, soit je retrouverais des plaisirs passés mais enfouis, soit je découvrirais ce que je n'avais pas encore conçu jusque là.
Je me demandais si on allait marcher ou prendre la voiture. Elle a opté pour la deuxième solution. Sans doute que l'objectif était assez loin.
Elle allait démarrer quand je lui ai dit:
— Regarde!
Je me suis mis de biais, soulevée légèrement. Moi aussi j'étais cul nu. J'ai planté deux index en moi, et je me suis ouverte autant que je le pouvais, pour lui laisser voir mon intérieur. On s'est figées toutes les deux dans ce moment, elle dans le plaisir de me mater, moi dans celui de lui dévoiler mon intimité d'une manière absolue.
J'ai baissé ma robe et elle a démarré.
On a roulé un moment. Je connaissais mal la ville, mais je l'avais un peu explorée, j'avais aussi regardé des cartes et remarqué qu'autour du centre, s'articulaient de multiples banlieues qui dataient sans doute du temps où il n'y avait pas de schéma de développement urbain maîtrisé. On avait glissé sur plusieurs rond-points pour suivre une interminable avenue sans cohérence. Des maisons, des commerces...Elle s'était finalement garée le long de ladite avenue. On était devant une laverie, je me suis demandée si c'était notre adresse de destination, si la laverie cachait quelque chose, mais elle m'a amené jusqu'au bâtiment en face, une grande bâtisse blanche et allongée, sur deux étages, qui n'était marquée par aucun signe distinctif. Pas de panneau, pas de pancarte. Et pourtant, le bâtiment était parfaitement entretenu. Et le battant d'une double porte vitrée ouverte.
Un hall qui se prolongeait tout le long du bâtiment, et un escalier qui allait vers les étages. On a croisé deux types qui descendaient, la vingtaine à peine. Ils nous ont souri. Andréa m'a soufflé:
— Viens, on monte.
Je la suivais, sans trop bien savoir où on allait. Je sentais bien qu'il se passait quelque chose de particulier dans ce bâtiment. Sans quoi elle ne m'aurait pas amenée ici.
Elle avait un pas d'avance sur moi, et ses hanches ondulaient naturellement. Je suis venue coller une main sur ses fesses, sous sa robe. Elle s'est retournée, m'a souri.
— Patience. Tu vas bientôt avoir tout ce dont tu peux rêver. Et au-delà.
On s'est retrouvées à l'étage. Une enfilade de portes blanches. Je me demandais bien ce que cet endroit, si neutre, si impersonnel, pouvait bien cacher. Elle savait où elle allait, en tout cas. Elle a avancé en comptant les portes, en a ouvert une, et on s'est retrouvées dans un local neutre, impersonnel, sans mobilier.
Sauf pour les trous découpés dans les cloisons.
J'ai été vraiment intriguée. Il y en avait des deux côtés.
Elle m'a souri. Une touche de fierté, à l'idée de partager quelque chose qu'elle aimait?
Elle a eu un geste très simple. Elle a cogné de son index replié contre le pourtour de l'un des trous, puis contre le pourtour d'un autre. Dans les secondes qui ont suivi, deux queues ont fait leur apparition. Il y en avait une qui était en pleine érection, l'autre était semi-érigé.
— Je t'explique...De l'autre côté de la cloison, il y a des hommes qui viennent...Ils ont envie de sexe. Et ne savent pas forcément qui il y a de l'autre côté. Ca peut être un garçon...Ou une fille...Ils veulent du plaisir, et toi tu en a forcément envie aussi, de ce plaisir que tu peux donner comme tu veux. Tu peux branler la queue, tu peux la lécher, la mettre dans ta bouche, tu peux aussi la prendre dans ton vagin ou ton anus, mais c'est bien d'y ajuster une capote. C'est un plaisir très fort, parce qu'il est détaché de tout ce qui est nécessaire habituellement, avant d'avoir du plaisir. Rencontrer quelqu'un, discuter avec lui, tisser des liens avant d'en arriver ou tu veux. Là, tu vas droit au but. Du plaisir, simplement du plaisir, avec quelqu'un que tu ne connais même pas, dont tu ne vois même pas le corps, juste la partie susceptible de provoquer du plaisir. Après, je te précise aussi, tu peux avoir des surprises, il y a aussi des filles qui viennent proposer leur chatte, j'adore jouer avec...
— Et si je veux moi aussi proposer ma chatte ?
— Les cabines sont réparties selon un rythme binaire. Celui qui donne, celui qui reçoit. Il faut que tu changes. C'est bon pour toi?
— Parfait, j'ai dit en me laissant glisser à genoux, pour me retrouver face à l'énorme queue qui dodelinait devant moi, agitée par des spasmes d'envie d'être prise en main par une fille, frémissant d'anticipation. J'ai calé mes doigts autour de la verge énorme, avant de venir balader ma langue dessus. L'heure n'était plus à la discussion mais à l'action. D'ailleurs Andréa, que j'observais du coin de l' oeil, et que je n'ai cessé d'observer dans les minutes qui ont suivi, était elle aussi passée à l'action, prenant la queue semi-érigée au creux de sa main, et la masturbant doucement.
Assez ironiquement, elle avait gonflé très rapidement, et s'était révélée encore plus longue et plus épaisse que celle sur laquelle je baladais ma langue. Je me suis rendue compte très rapidement, que cette expérience m'excitait énormément, toute nouvelle, je n'avais jamais entendu parler de ce qu'on appelait, je devais le découvrir par la suite, des glory holes, mon corps en tout cas réagissait en conséquence. J'avais le ventre en feu, je me sentais béante, et béant de plus en plus, et je ruisselais.
Si j'ai bien appris une chose, durant ce moment de plaisir dont j'ai vite cessé de mesurer la durée, long, court, c'est qu'on ne pouvait rien prévoir. Je pensais que la queue, dilatée, que j'avais prise dans ma bouche allait tenir longtemps, mais, à ma grande surprise, et alors que je l'avais faite glisser dans ma gorge, le sperme a commencé à jaillir et couler. Je me suis enivrée de son goût, comme de ceux des spermes qui ont suivi. Il devait avoir les couilles bien pleines, car il n'a pas fini de se vider en moi, mais ça m'a plu. J'avais toujours adoré boire du sperme. J'aimais la substance, le goût, toujours semblable mais toujours différent. J'avais pensé une fois que je pourrais en voire des litres. Ça a été le cas ce jour-là.
J'ai bien léché son gland, toujours calé en moi, pour ne pas laisser perdre son foutre, ouvert la bouche. Une autre queue a fait son apparition. Une taille différente, très épaisse. Je l'ai caressée de la main, jetant un coup d'oeil à Andréa. Sa queue à elle durait. On a échangé un regard. Elle a soulevé sa robe, se tournant légèrement, pour me montrer l'état de son sexe, que j'ai pris comme un miroir du mien. Il était dilaté, son gland clitoridien était en pleine érection, et coulait d'abondance. D'instinct j'ai tendu la main vers elle. Et elle en a fait autant pour moi. On s'est caressées, tout le temps qu'on a passé sur les queues avec nos bouches, avant d'évoluer vers autre chose, se fouillant mutuellement. C'était bon, délicieux, un complément au plaisir de bouffer toutes ces queues que d'avoir les chairs intimes de sa partenaire au bout des doigts, de caresser son intimité, sentir ses muqueuses au bout de ses doigts, percevoir les signes de ce plaisir non-stop.
Et puis il y a eu un basculement, elle était sur une queue, moi sur une autre, elle s'est redressée et elle m'a dit:
— Viens m'aider à me caler.
Par le trou, dépassait une belle queue en pleine érection. Andréa venait de récupérer dans le petit réticule qui l'accompagnait une boite de préservatifs, elle en avait pour nous deux j'imaginais, elle était déjà entrain de caler le préservatif sur la verge, en faisant descendre le latex jusqu'à la racine. Elle s'est retournée, penchée en avant. J'avais l'impression d'être une mère maquerelle quand j'ai attrapé la queue, et que je l'ai posée sur ses lèvres. Elle n'avait pas besoin de moi, c'était juste une manière de marquer la complicité entre nous, de resserrer ce lien qui ne durerait que quinze jours, mais j'aimais ce moment. Tout en tenant la queue d'une main, de l'autre, j'ai appuyé sur ses hanches, et je l'ai faite reculer. La verge a glissé en elle, la remplissant quasi totalement. C'est moi aussi qui ait initié le mouvement qu'elle aurait amorcé naturellement sans cela, mais ça me plaisait de jouer ce rôle. Elle a continué après ce mouvement toute seule, allant et venant sur le membre viril. Je l'avais lâchée. Fascinée, j'ai regardé la queue disparaître au sein de ses chairs excitées, puis réapparaître à nouveau. Sa mouille s'est déposée peu à peu sur le latex, et la queue déjà très rigide a encore pris du volume. Pliée en deux, Andréa prenait plaisir à cette caresse différente.
J'avais envie de faire comme elle, j'ai attrapé une capote, et j'ai aussi gainé la queue que j'avais commencée à la bouche. Deux secondes plus tard, je tendais mes fesses vers l'arrière, et, pliée en deux, je faisais rentrer moi aussi une verge dans mon sexe...
On s'est regardées Andréa et moi, complices comme jamais. J'ai attrapé sa main pour que le plaisir soit encore plus fort entre nous, qu'il soit encore plus partagé. Quand on a senti que notre partenaire allait jouir, on s'est baissées, revenant à notre position première, on a ôté le préservatif pour venir chercher le sperme qui allait jaillir.
Le sperme, on en avait plein bouche et plein le ventre, mais aussi le visage couvert. Et ça nous plaisait autant à l'une qu'à l'autre. On avait envie de se repaître de sperme, et quel endroit meilleur que celui-là
On a encore pris des queues dans nos ventres.
Jusqu'à ce que la source commence à se tarir. On avait eu des queues non-stop depuis qu'on était arrivées...J'aurais été bien incapable de dire combien de temps ça avait duré... Une heure, plusieurs heures?
Et puis quelque chose de magique et différent s'est produit. Devant le trou d'Andréa et le mien, deux petites chattes ont fait leur apparition.
Chaque chatte est unique. Celle qu'Andréa avait sous les yeux était volumineuse, bombée, avec un triangle pubien blond, et une lèvre unique qui sortait de sa vulve, longue, alors que la mienne était beaucoup plus menue, imberbe, et sans lèvres sorties. Les deux filles avaient sans doute attendu que tous les garçons soient sortis pour venir.
Ça faisait du bien de passer de queues, on en avait vu et eu pléthore, à des chattes. Une approche autre. Je suis venue coller mon visage au rond, la fille venait de plaquer son visage contre. J'ai lancé un premier coup de langue, que j'ai fait durer, recueillant dans ma langue un premier jet de cyprine, amer et sucré à la fois. Elle a gémi, et je me suis mise en devoir de la caresser du mieux que je pouvais, ma tâche facilitée par son excitation, de coup de langue en coup de langue, son sexe s'est ouvert, libérant ses lèvres, qui se sont épanouies sous ma bouche, que j'ai pu laper et mordiller, le premier jaillissement de sécrétions intimes est devenu un écoulement continu et de plus en plus abondant qui m'a abreuvé. Je suis revenue chercher mon sexe, dilaté pour me donner du plaisir en même temps que je lui en donnais en elle. J'ai poussé ma langue en elle quand elle a été suffisamment ouverte, frottant ses parois intimes pour lui donner du plaisir, mais à en juger par ses contorsions contre la paroi et ses cris, je ne devais pas être mauvaise.
La partenaire d'Andréa était en plein trip aussi.
Elles se sont éclipsées, et nous sommes restées seules. On s'est redressées, regardées. On avait envie de finir ensemble. Elle s'est approchée de moi, et elle est venue me fourrer sa langue dans sa bouche, frottant la mienne avec ardeur, en même temps qu'elle glissait ses doigts dans ma vulve. Ma langue a répondu avec ardeur, et je lui ai fourré les doigts dans le vagin. Notre dernier orgasme, on l'a eu ensemble.
PARTIE 3
Je n'oublierai pas les jours qui ont suivi. Je ne tiens d'ailleurs pas à les oublier. Depuis que je suis revenue, dans la difficulté de ma tâche, je me réserve du temps pour me masturber, et je me caresse en repensant à des détails accumulés dans ma mémoire, qui sont si forts, si excitants, que je jouis généralement très rapidement.
Chris, Andréa et moi nous sommes devenus inséparables. Nous savions pertinemment que notre relation ne perdurerait pas aux vacances, mais ce n'était pas ce que nous cherchions. Nous avions une vie différente, je ne connaissais pas la leur, et je ne tenais pas à la connaître, mais ils voulaient, comme moi, profiter de quelques jours de cassure, d'oubli, et de sexe.
Ca a été d'ailleurs curieux, ou peut-être pas tant que ça, notre trait d'union, ça a été et ça n'a été que le sexe. On a très peu discuté, sauf en mangeant ensemble...Ce qui nous rapprochait, ce qui tissait un lien très fort entre nous, c'était le plaisir qu'on avait ensemble. On se retrouvait dans une même approche...Quelque chose de fort, d'intense, d'inventif, que je ne pensais pas avoir en moi, qui sans doute n'aurait pas eu d'existence s'il n'y avait pas eu en moi ces années de frustration.
Tous les trois ensemble, ou elle et moi, ou moi et lui...
C'est un après-midi, on était calés dans une crique qui nous coupait totalement du monde, Andréa et moi, qu'elle m'a proposé, redressant la tête alors qu'elle me fouillait la chatte de sa langue depuis un bon moment, l'enfonçant aussi loin que possible dans mon vagin, dans un mélange simplement d'une langue très longue, et d'habileté:
— Ca te dit qu'on aille faire un tour dans une boite spéciale?
— Comment tu la connais?, je lui ai demandé, d'une voix brumeuse, parce que j'avais un énorme plaisir, non seulement parce que j'aimais les cunnis, quelque chose que j'avais oublié, là aussi, mais aussi parce qu'elle se débrouillait vraiment bien.
— On regarde toujours les possibilités avant de venir dans un coin, sur des sites spécialisés.
Je me demandais vraiment à quoi m'attendre, puisqu'elle n'en a pas dit plus...En même temps...J'étais prête à tout. J'avais une faim en moi qui n'était pas apaisée. Pour le moment, j'étais insatiable. .
— Finis-moi d'abord.
En maillot quand nous étions arrivées sur la crique, nous avions toutes les deux enlevé nos culottes tout en gardant nos soutien-gorges. J'aurais été incapable de dire pourquoi. Mais ça me troublait de la voir le ventre nu, mais les seins masqués. Elle s'était mise à me lécher, en donnant tout ce qu'elle avait, ce n'était pas un cunni de convenance, et en se masturbant en même temps. Je me suis penchée pour attraper ses hanches, et elle a compris ce que je voulais. Elle a pivoté, et nous nous sommes calées dans un 69 impeccable. Exactement ce que je voulais. Devant mes yeux, sa croupe bien charnue, pleine, ouverte sur les plissements de son anus, et sa vulve, béante sur son intérieur rose, et dégoulinante d'excitation.
Sa chatte, elle s'en était déjà occupée. Pas son anus. Je savais où je voulais me poser, et c'est ce que j'ai fait pendant qu'elle me suçait le gland clitoridien, me procurant des sensations très fortes. Je suis venue poser la pointe de ma langue contre sa muqueuse anale, un goût amer m'a envahie alors que je parcourais les plissements offerts. Les frémissements de son corps me disaient que ce que je lui faisais lui plaisait, mais son habileté à bouffer mon gland clitoridien me procurait un plaisir équivalent. Petit à petit, sa muqueuse anale s'est dilatée, me laissant pénétrer au cœur d'elle, dans une muqueuse souple qui avait autant envie et besoin de caresses que sa vulve...Je me suis glissé en elle, en allant aussi loin que je le pouvais, sans avoir cependant son expérience, mais mais j'ai bien senti que je lui procurais quand même du plaisir. La meilleure preuve en tout cas, c'était l'abondance de jaillissement de la cyprine qui coulait sur moi et me trempait. J'ai glissé deux doigts sans sa vulve, tout en continuant à lécher sa muqueuse anale. Mon mouvement faisait que sa cyprine sortait en une bruine qui arrosait nos chairs. Elle s'est mise à jouir, secouée par des spasmes. Mes doigts accrochés en elle, elle a éjaculé, crachant des jets copieux de liquide intime. Moi je n'avais pas encore joui. Elle a agi à l'inverse de moi, enfonçant un doigt dans mon anus et me fouillant, puis un deuxième, tout en continuant de me sucer le gland clitoridien. Ma jouissance était inévitable.
On est repassées à l'hôtel pour mettre une tenue convenable, indispensable pour aller en ville. Sans s'être concertées, on a passé l'une comme l'autre une robe courte. En arrivant dans ma chambre, elle l'a soulevée, m'offrant son anatomie. Pas de slip, juste un soutien-gorge, cette fois qui n'était pas de maillot de bain. J'aurais bien pris qu'on se donne encore du plaisir mutuellement. Mais sa promesse m'alléchait. Je savais que, jusqu'au bout, jusqu'au dernier jour, soit je retrouverais des plaisirs passés mais enfouis, soit je découvrirais ce que je n'avais pas encore conçu jusque là.
Je me demandais si on allait marcher ou prendre la voiture. Elle a opté pour la deuxième solution. Sans doute que l'objectif était assez loin.
Elle allait démarrer quand je lui ai dit:
— Regarde!
Je me suis mis de biais, soulevée légèrement. Moi aussi j'étais cul nu. J'ai planté deux index en moi, et je me suis ouverte autant que je le pouvais, pour lui laisser voir mon intérieur. On s'est figées toutes les deux dans ce moment, elle dans le plaisir de me mater, moi dans celui de lui dévoiler mon intimité d'une manière absolue.
J'ai baissé ma robe et elle a démarré.
On a roulé un moment. Je connaissais mal la ville, mais je l'avais un peu explorée, j'avais aussi regardé des cartes et remarqué qu'autour du centre, s'articulaient de multiples banlieues qui dataient sans doute du temps où il n'y avait pas de schéma de développement urbain maîtrisé. On avait glissé sur plusieurs rond-points pour suivre une interminable avenue sans cohérence. Des maisons, des commerces...Elle s'était finalement garée le long de ladite avenue. On était devant une laverie, je me suis demandée si c'était notre adresse de destination, si la laverie cachait quelque chose, mais elle m'a amené jusqu'au bâtiment en face, une grande bâtisse blanche et allongée, sur deux étages, qui n'était marquée par aucun signe distinctif. Pas de panneau, pas de pancarte. Et pourtant, le bâtiment était parfaitement entretenu. Et le battant d'une double porte vitrée ouverte.
Un hall qui se prolongeait tout le long du bâtiment, et un escalier qui allait vers les étages. On a croisé deux types qui descendaient, la vingtaine à peine. Ils nous ont souri. Andréa m'a soufflé:
— Viens, on monte.
Je la suivais, sans trop bien savoir où on allait. Je sentais bien qu'il se passait quelque chose de particulier dans ce bâtiment. Sans quoi elle ne m'aurait pas amenée ici.
Elle avait un pas d'avance sur moi, et ses hanches ondulaient naturellement. Je suis venue coller une main sur ses fesses, sous sa robe. Elle s'est retournée, m'a souri.
— Patience. Tu vas bientôt avoir tout ce dont tu peux rêver. Et au-delà.
On s'est retrouvées à l'étage. Une enfilade de portes blanches. Je me demandais bien ce que cet endroit, si neutre, si impersonnel, pouvait bien cacher. Elle savait où elle allait, en tout cas. Elle a avancé en comptant les portes, en a ouvert une, et on s'est retrouvées dans un local neutre, impersonnel, sans mobilier.
Sauf pour les trous découpés dans les cloisons.
J'ai été vraiment intriguée. Il y en avait des deux côtés.
Elle m'a souri. Une touche de fierté, à l'idée de partager quelque chose qu'elle aimait?
Elle a eu un geste très simple. Elle a cogné de son index replié contre le pourtour de l'un des trous, puis contre le pourtour d'un autre. Dans les secondes qui ont suivi, deux queues ont fait leur apparition. Il y en avait une qui était en pleine érection, l'autre était semi-érigé.
— Je t'explique...De l'autre côté de la cloison, il y a des hommes qui viennent...Ils ont envie de sexe. Et ne savent pas forcément qui il y a de l'autre côté. Ca peut être un garçon...Ou une fille...Ils veulent du plaisir, et toi tu en a forcément envie aussi, de ce plaisir que tu peux donner comme tu veux. Tu peux branler la queue, tu peux la lécher, la mettre dans ta bouche, tu peux aussi la prendre dans ton vagin ou ton anus, mais c'est bien d'y ajuster une capote. C'est un plaisir très fort, parce qu'il est détaché de tout ce qui est nécessaire habituellement, avant d'avoir du plaisir. Rencontrer quelqu'un, discuter avec lui, tisser des liens avant d'en arriver ou tu veux. Là, tu vas droit au but. Du plaisir, simplement du plaisir, avec quelqu'un que tu ne connais même pas, dont tu ne vois même pas le corps, juste la partie susceptible de provoquer du plaisir. Après, je te précise aussi, tu peux avoir des surprises, il y a aussi des filles qui viennent proposer leur chatte, j'adore jouer avec...
— Et si je veux moi aussi proposer ma chatte ?
— Les cabines sont réparties selon un rythme binaire. Celui qui donne, celui qui reçoit. Il faut que tu changes. C'est bon pour toi?
— Parfait, j'ai dit en me laissant glisser à genoux, pour me retrouver face à l'énorme queue qui dodelinait devant moi, agitée par des spasmes d'envie d'être prise en main par une fille, frémissant d'anticipation. J'ai calé mes doigts autour de la verge énorme, avant de venir balader ma langue dessus. L'heure n'était plus à la discussion mais à l'action. D'ailleurs Andréa, que j'observais du coin de l' oeil, et que je n'ai cessé d'observer dans les minutes qui ont suivi, était elle aussi passée à l'action, prenant la queue semi-érigée au creux de sa main, et la masturbant doucement.
Assez ironiquement, elle avait gonflé très rapidement, et s'était révélée encore plus longue et plus épaisse que celle sur laquelle je baladais ma langue. Je me suis rendue compte très rapidement, que cette expérience m'excitait énormément, toute nouvelle, je n'avais jamais entendu parler de ce qu'on appelait, je devais le découvrir par la suite, des glory holes, mon corps en tout cas réagissait en conséquence. J'avais le ventre en feu, je me sentais béante, et béant de plus en plus, et je ruisselais.
Si j'ai bien appris une chose, durant ce moment de plaisir dont j'ai vite cessé de mesurer la durée, long, court, c'est qu'on ne pouvait rien prévoir. Je pensais que la queue, dilatée, que j'avais prise dans ma bouche allait tenir longtemps, mais, à ma grande surprise, et alors que je l'avais faite glisser dans ma gorge, le sperme a commencé à jaillir et couler. Je me suis enivrée de son goût, comme de ceux des spermes qui ont suivi. Il devait avoir les couilles bien pleines, car il n'a pas fini de se vider en moi, mais ça m'a plu. J'avais toujours adoré boire du sperme. J'aimais la substance, le goût, toujours semblable mais toujours différent. J'avais pensé une fois que je pourrais en voire des litres. Ça a été le cas ce jour-là.
J'ai bien léché son gland, toujours calé en moi, pour ne pas laisser perdre son foutre, ouvert la bouche. Une autre queue a fait son apparition. Une taille différente, très épaisse. Je l'ai caressée de la main, jetant un coup d'oeil à Andréa. Sa queue à elle durait. On a échangé un regard. Elle a soulevé sa robe, se tournant légèrement, pour me montrer l'état de son sexe, que j'ai pris comme un miroir du mien. Il était dilaté, son gland clitoridien était en pleine érection, et coulait d'abondance. D'instinct j'ai tendu la main vers elle. Et elle en a fait autant pour moi. On s'est caressées, tout le temps qu'on a passé sur les queues avec nos bouches, avant d'évoluer vers autre chose, se fouillant mutuellement. C'était bon, délicieux, un complément au plaisir de bouffer toutes ces queues que d'avoir les chairs intimes de sa partenaire au bout des doigts, de caresser son intimité, sentir ses muqueuses au bout de ses doigts, percevoir les signes de ce plaisir non-stop.
Et puis il y a eu un basculement, elle était sur une queue, moi sur une autre, elle s'est redressée et elle m'a dit:
— Viens m'aider à me caler.
Par le trou, dépassait une belle queue en pleine érection. Andréa venait de récupérer dans le petit réticule qui l'accompagnait une boite de préservatifs, elle en avait pour nous deux j'imaginais, elle était déjà entrain de caler le préservatif sur la verge, en faisant descendre le latex jusqu'à la racine. Elle s'est retournée, penchée en avant. J'avais l'impression d'être une mère maquerelle quand j'ai attrapé la queue, et que je l'ai posée sur ses lèvres. Elle n'avait pas besoin de moi, c'était juste une manière de marquer la complicité entre nous, de resserrer ce lien qui ne durerait que quinze jours, mais j'aimais ce moment. Tout en tenant la queue d'une main, de l'autre, j'ai appuyé sur ses hanches, et je l'ai faite reculer. La verge a glissé en elle, la remplissant quasi totalement. C'est moi aussi qui ait initié le mouvement qu'elle aurait amorcé naturellement sans cela, mais ça me plaisait de jouer ce rôle. Elle a continué après ce mouvement toute seule, allant et venant sur le membre viril. Je l'avais lâchée. Fascinée, j'ai regardé la queue disparaître au sein de ses chairs excitées, puis réapparaître à nouveau. Sa mouille s'est déposée peu à peu sur le latex, et la queue déjà très rigide a encore pris du volume. Pliée en deux, Andréa prenait plaisir à cette caresse différente.
J'avais envie de faire comme elle, j'ai attrapé une capote, et j'ai aussi gainé la queue que j'avais commencée à la bouche. Deux secondes plus tard, je tendais mes fesses vers l'arrière, et, pliée en deux, je faisais rentrer moi aussi une verge dans mon sexe...
On s'est regardées Andréa et moi, complices comme jamais. J'ai attrapé sa main pour que le plaisir soit encore plus fort entre nous, qu'il soit encore plus partagé. Quand on a senti que notre partenaire allait jouir, on s'est baissées, revenant à notre position première, on a ôté le préservatif pour venir chercher le sperme qui allait jaillir.
Le sperme, on en avait plein bouche et plein le ventre, mais aussi le visage couvert. Et ça nous plaisait autant à l'une qu'à l'autre. On avait envie de se repaître de sperme, et quel endroit meilleur que celui-là
On a encore pris des queues dans nos ventres.
Jusqu'à ce que la source commence à se tarir. On avait eu des queues non-stop depuis qu'on était arrivées...J'aurais été bien incapable de dire combien de temps ça avait duré... Une heure, plusieurs heures?
Et puis quelque chose de magique et différent s'est produit. Devant le trou d'Andréa et le mien, deux petites chattes ont fait leur apparition.
Chaque chatte est unique. Celle qu'Andréa avait sous les yeux était volumineuse, bombée, avec un triangle pubien blond, et une lèvre unique qui sortait de sa vulve, longue, alors que la mienne était beaucoup plus menue, imberbe, et sans lèvres sorties. Les deux filles avaient sans doute attendu que tous les garçons soient sortis pour venir.
Ça faisait du bien de passer de queues, on en avait vu et eu pléthore, à des chattes. Une approche autre. Je suis venue coller mon visage au rond, la fille venait de plaquer son visage contre. J'ai lancé un premier coup de langue, que j'ai fait durer, recueillant dans ma langue un premier jet de cyprine, amer et sucré à la fois. Elle a gémi, et je me suis mise en devoir de la caresser du mieux que je pouvais, ma tâche facilitée par son excitation, de coup de langue en coup de langue, son sexe s'est ouvert, libérant ses lèvres, qui se sont épanouies sous ma bouche, que j'ai pu laper et mordiller, le premier jaillissement de sécrétions intimes est devenu un écoulement continu et de plus en plus abondant qui m'a abreuvé. Je suis revenue chercher mon sexe, dilaté pour me donner du plaisir en même temps que je lui en donnais en elle. J'ai poussé ma langue en elle quand elle a été suffisamment ouverte, frottant ses parois intimes pour lui donner du plaisir, mais à en juger par ses contorsions contre la paroi et ses cris, je ne devais pas être mauvaise.
La partenaire d'Andréa était en plein trip aussi.
Elles se sont éclipsées, et nous sommes restées seules. On s'est redressées, regardées. On avait envie de finir ensemble. Elle s'est approchée de moi, et elle est venue me fourrer sa langue dans sa bouche, frottant la mienne avec ardeur, en même temps qu'elle glissait ses doigts dans ma vulve. Ma langue a répondu avec ardeur, et je lui ai fourré les doigts dans le vagin. Notre dernier orgasme, on l'a eu ensemble.
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Commentaires du récit : Du répit pour les aidants: Sara partie 3
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