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Du répit pour les aidants: Sara partie 4

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 26/10/2024

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DU REPIT POUR DES AIDANTS : SARA
PARTIE 4
Les meilleures choses ont une fin.
Des vacances comme cela, je ne risquais pas de les oublier. J'avais imaginé, en partant ? quelque chose de très classique. Certainement pas que ce soit...Aussi sexuel et aussi bien.
Je pourrais y repenser quand j'allais retrouver cette vie, difficile qui était la mienne.
On avait un point commun, on aurait aimé que ça continue encore. Même si on était bien conscients que ces quinze jours de plaisir n'avaient de valeur que parce que ils ne s'éternisaient pas.
On n'avait pas décidé de finir sur un apex, le samedi après-midi. (Ils devaient partir le soir, moi le dimanche matin...) On savait juste que c'est le dernier moment. Et on voulait le penser ensemble.
Après le repas, c'est Andréa qui ma soufflé l'idée. On pouvait la mettre en place immédiatement parce qu'on avait tout ce qui fallait.
Elle et moi, une semaine avant, on se baladait ensemble dans la ville, et on était tombées sur un de ces magasins qu'on aurait appelé autrefois sex-shop mais qui aussi avait acquis d'autres appellations plus élégantes aujourd'hui, comme par exemple 'magasin pour le couple'. On n'avait évidemment pas pu s'empêcher de faire quelques emplettes. L'une d'entre elles avait trouvé son usage quelques minutes plus tard, lorsque de retour à l'hôtel, son mec n'était pas là, elle s'était équipée d'un gode-ceinture. Rien que la regarder l'ajuster, j'avais été en feu. Une grosse queue de plastique rouge. Elle m'avait prise comme un chien prend une chienne. Caleçon et culotte sur le sol, je m'étais mise à quatre pattes sur le lit, et elle m'avait fouillée, me faisant jouir dès les premières secondes, épuisant les orgasmes jusqu'à ce que je n'en puisse plus.
Un plaisir très fort, ce peut être de sortir des rôles que la nature nous a donnés.
On était calés devant des cocktails dans une grande véranda, seuls. C'était la morte saison et on était, depuis deux jours, les seuls clients.
On a vite glissé vers nos envies.
Tout semblait improvisé. Pour Chris en tout cas. Andréa et moi on s'était concertées sur nos envies. Une très forte complicité s'était développée entre nous au fil des jours.
J'ai tendu la main vers son pantalon de survêtement. Trouvé, à travers le tissu, un sexe qui s'est érigé vitesse grand V, dur, ferme, comme Andréa et moi on l'aimait. Je l'ai masturbé à travers le tissu, puis dégagé pour qu'il puisse s'épanouir pleinement. Je suis venue balader ma langue dessus. Andréa ne partageait pas mon plaisir. Elle était déjà dans l'épisode suivant. Elle s'est posée derrière moi. J'ai glissé la main sous sa jupe, histoire de voir comment ça se présentait dessous. J'ai tout trouvé, mais elle aurait pu en faire autant pour moi et trouver presque la même chose. Une ceinture entourant sa taille, et un ensemble de lanières qui venaient soutenir un socle dans lequel on passait, selon son désir, un gode. On en avait pris un coffret. Il y avait des couleurs, des formes différentes. De quoi varier. Là, elle avait opté pour un gode rose du plus mauvais goût simple, rose et long. Moi j'avais opté pour un jouet tout à fait différent. Un jouet dernier cri. Particulier. Je l'avais déjà essayé deux fois sur Andréa et je n'avais plus envie, plus jamais d'utiliser un gode ceinture, tellement c'était bien. Mieux.Il y avait deux parties, et aucune ceinture ni aucun harnachement. Une queue artificielle, longue et charnue, et un bloc qu'on glissait dans son vagin. La vendeuse m'avait assuré que c'était un jouet sexuel qui dépassait tout ce qui avait pu exister avant. Il y avait des progrès pour tout, y compris pour les godes. Différences de conception, de matériaux. La sexe bénéficiait aussi de l'innovation. J'étais tentée, bien sûr, mais c'était Andréa qui m'avait convaincu en me disant: ' Il paraît que c'est le top. Tu me le prêteras!' Je l'avais essayé seule. J'avais examiné l'objet sous tous ses angles. Il me troublait, indéniablement rien qu'à le regarder, comme tous les godes, à vrai dire. C'était une queue symbolique, un objet, mais qui renvoyait très fort à une vraie queue. Et même s'il n'était pas chaud, s'il ne crachait pas de sperme, le pouvoir de l'imagination faisait que, dans les muqueuses d'une fille, il était susceptible de donner du plaisir comme une vraie queue. J'ai baladé ma langue dessus, j'ai fait bouger ma bouche dessus, et ça m'a fait tout chaud.
Et puis j'avais fait rentrer la partie qui était censée le stabiliser pour le sentir dans mon vagin. Ca m'avait remplie, et en même temps, j'avais senti que ça s'ajustait parfaitement. Je me retrouvais avec une queue qui sortait du vagin, et plus qu'avec le harnachement du gode-ceinture, j'avais l'impression qu'une queue m'était poussée. D'autant que je sentais la base en moi.
Il y avait deux axes essentiels quand une fille mettait un gode autour de sa taille pour baiser quelqu'un d'autre, femme ou homme. Le plaisir de la pénétration, qui ne lui était pas donné autrement, les sensations remontaient même à travers le plastique, et celui, purement conceptuel de penser qu'on pénétrait quelqu'un, qu'on le fouillait, le second c'était l'effet boomerang. Chaque mouvement, le plus infime soit-il, avait un effet en retour très fort. A savoir qui avait le plus de plaisir. Un plaisir en tout cas dans lequel les représentations étaient très importantes.
Je me suis allongée. Je n'avais pas de partenaire, mais ça n'était pas vraiment un problème. Je voulais le tester. J'ai pris la queue au creux de ma main, et je me suis mise à me masturber, comme je l'aurais fait si j'avais été un garçon...En même temps...J'étais devenue un gars. Et ça c'était énormément troublant. Plus en tout cas qu'avec le gode ceinture, avec lequel j'avais toujours plus de distance. Là, je n'en avais pas trop...
Ca a très vite été...Bien au-delà de ce que j'avais pu imaginer. Quand un gode était ajusté sur une ceinture, il frottait les lèvres, le gland clitoridien. Là, le socle était dedans et ça faisait toute la différence. Ca frottait PARTOUT, et c'était cent fois plus fort et meilleur qu'une queue d'homme qui allait et venait, et appuyait sur les muqueuses, ultra-sensibles, de manière inégale. Le moindre mouvement, le moindre effleurement me donnait du plaisir. Alors évidemment, en branlant le pénis artificiel, je me suis très vite mise à jouir. J'ai eu le premier orgasme au bout de quelques secondes, et il a été vraiment bon. Pas question, dans ces conditions que je m'arrête...Je voulais jouir, et continuer à jouir. J'ai effectivement enchaîné une floppée d'orgasmes, en éjaculant sur le dernier, autour du socle, et sur mes chairs, et je me suis écroulée, vidée de toutes mes forces.
Andréa a dézippé sa jupe, qui a glissé le long de ses jambes. Des bas stay-up, et cet harnachement, avec le gode dressé, obscène, d'autant plus obscène qu'il était artificiel. Il reposait contre son intimité, mais haut, en laissant voir une bonne partie de ses lèvres. Elle l'a approché, en souriant, de la bouche de son mari, et la manière qu'il a eu d'avaler le pénis artificiel m'a fait clairement comprendre qu'ils étaient déjà passés par là, qu'Andréa se harnachait régulièrement avec une queue de plastique, et qu'ils avaient du plaisir de la sorte. Je venais pour ainsi dire me greffer sur leur jeu, mais ça me plaisait bien. Je savais que bientôt, tout ce qui existait entre nous, cette réelle complicité, allait disparaître.
Quand Andréa avait soulevé sa jupe, la queue de Chris, que je caressais toujours, avait été agitée de spasmes, et elle avait encore pris du volume, alors même que ma caresse l'avait déjà bien durcie.
— Sara a une surprise pour toi, lui avait dit Andréa en reculant.
J'avais fait passer ma robe par dessus mes épaules, et j'étais apparue avec le gode planté dans ma chatte. Andréa connaissait déjà l'appareillage, pas Chris qui avait jeté un coup d'oeil surpris à cette queue d'un autre type, qui n'avait pas besoin de harnachement.
Andréa l'avait fait basculer en arrière, mais il n'avait rien tenté pour l'en empêcher. Son anus offert, sa queue dilatée par ma caresse, l'excitation et l'envie, je crois bien que je ne l'avais jamais vu aussi grosse, et elle se dilatait encore devant moi. Andréa avait jeté, formulant clairement sans doute ce que je ressentais :
— Il n'y a rien qu'il aime plus que de se faire enculer.
Mais je ne valais sans doute pas mieux. Ce moment me mettait en transes, autant parce que c'était la première fois que je sodomisais un homme que parce que le gode me procurait déjà beaucoup de plaisir, et au moindre mouvement. Je me sentais ruisseler autour de lui.
C'est venu très vite. Andréa regardait. Elle voulait tous les détails. Elle voulait voir la queue glisser en lui, et bouger, elle voulait le voir réagir. Le plaisir se nourrit de tous les petits détails.
J'ai posé la tête du gode sur ses plissements anaux. Je me suis dit qu'il aurait fallu peut-être un lubrifiant. Comme si elle lisait en moi, et c'était certainement le cas, Andréa m'a dit :
— Tu peux l'enculer directement. Il a l'habitude, tu ne lui feras pas mal,
qui voulait tout dire.
Alors j'ai appuyé. J'ai senti les muqueuses s'ouvrir, et que je glissais en lui. Ce n'était pas de la chair mais l'objet me convoyait toutes les sensations. Je suis rentré aussi loin que je pouvais, et il a poussé un long gémissement de plaisir. Sa queue bougeait dans tous les sens. Je ne sais pas s'il a joui, mais il a lâché un jet de sperme, unique, qui est venu poisser son torse.
Je suis resté en lui, immobile, pour lui donner le temps de bien sentir ma queue dans son ventre...Mais aussi pour faire une pause salutaire pour moi. J'étais déjà, dans le mouvement, au bord de l'orgasme.
Andréa s'est penchée sur lui, et elle a caressé sa queue dilatée avec sa langue et sa bouche, léchant sa chair, son gland, ses couilles, avant de le prendre dans sa bouche. En même temps, comme je l'avais fait quand j'étais tout seul, elle masturbait le gode pour avoir du plaisir.
La queue de plastique accrochée à moi allait et venait en lui, rentrant et sortant. Il était pris entre deux feux. Le plaisir que lui donnait Andréa en le suçant, et celui que je lui donnais en le sodomisant.
Andréa a cassé ce premier tableau en approchant le gode de sa bouche. Il est venu l'envelopper et, avide, il a fait aller et venir sa bouche dessus, comme elle l'avait fait pour lui. Moi j'étais toujours sur son cul. Il a attrapé sa queue dilatée, et il l'a masturbée, s'efforçant de ne pas aller trop vite, pour ne pas jouir tout de suite.
J'ai été la première à jouir. Sans doute parce que ce gode nouvelle génération était très efficace. J'ai été surprise de sentir l'orgasme monter, je pensais que j'avais encore du temps. J'ai été moins surprise qu'au premier orgasme succède un deuxième, puis un troisième comme ca avait été le cas quand j'avais branlé le gode. J'ai joui jusqu'à être à bout de souffle, et j'ai senti une sorte de jalousie chez Andréa. Parce que ça me déplaisait qu'elle ne jouisse pas, je suis sorti de son mari, et je l'ai contournée. Elle a compris où je voulais en venir, et elle m'a dit :
— Oui, viens !
Je suis venu me caler derrière elle, et j'ai appuyé le gland contre ses plis anaux. Tout comme son mari, elle avait un anus dont la souplesse disait clairement qu'elle s'était déjà faite, et qu'elle se faisait régulièrement prendre par le cul. J'ai glissé en elle. Je n'avais pas atteint tout mon potentiel que déjà elle avait un premier orgasme. Je l'ai fouillée, donnant une autre dimension à la CARESSE sur un sexe artificiel qui ne la conduisait au plaisir que si je me rajoutais...Elle a enchaîné les orgasmes, éjaculant de grands jets de liquide sur les derniers.
Elle et moi, on a partagé la queue de son mari, en étant pleinement conscients que c'étaient là nos derniers moments. On l'a littéralement bouffée, se la partageant de la bouche, de la langue, celles-ci se rejoignant pour s'agacer, langue contre langue, mordillement délicats sur les lèvres. On finissait bien, je ne crois pas l'avoir jamais vu avec une queue aussi dilatée. On aurait dit qu'il n'allait jamais jouir, dilaté à l'extrême. Pourtant, enfin, à un moment, le sperme a enfin jailli, comme une libération, il a d'ailleurs crié, et nous nous sommes habilement partagées la semence, faisant passer sa queue de l'une à l'autre, pour boire ce sperme qui n'en finissait pas de sortir. On a fini avec de la semence partout, sur le visage, dans la bouche, dans la gorge...
On s'est nettoyées mutuellement. Une langue, vive, avide, qui bouffe tout le sperme.
Il était temps de se séparer.
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Histoire de JamesB

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