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Du répit pour les aidants: Sara partie 5

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 26/10/2024

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DU REPIT POUR DES AIDANTS:SARA
PARTIE 5
Je suis rentrée et j'ai repris ma vie d'aidante, avec, dans la tête, ces quinze jours. Des moments très forts, dont, dans les moments difficiles, j'aimais à me rappeler, avec tous les détails, c'étaient les détails qui étaient importants.
Mais il n'y avait pas que les souvenirs. Ce que j'ai vécu m'a amené à une réelle prise de conscience. Je ne voulais pas reprendre une vie de sacrifice absolu, en attendant une année un éventuel congé, une année de tension, de souffrance, de stress sans qu'il y ait jamais un moment de répit. Je me suis rendue compte que, si je le voulais vraiment, je pouvais casser cette routine démoralisante. Me ménager des moments qui seraient, en version courte, l'équivalent de ce que j'avais vécu sur une période plus longue. Il y avait des moyens. Il y a toujours des moyens quand on en a envie.
Sans doute à commencer par Corinne. C'était ma voisine, elle avait trois ans de plus que moi, elle était comptable. Grande, blonde, une vraie blonde, ça c'était une certitude, parce qu'elle avait une fâcheuse tendance à ne pas porter de culotte, elle avait une frange, un regard de myope, et des formes plus que généreuse qui attiraient la main. Ou la bouche. En plus elle adorait s'habiller sexy. Difficile d'ignorer ses charmes. Je sentais bien que je lui plaisais, on se croisait, sans doute plus souvent qu'on ne l'aurait du, et on discutait souvent. Son regard était sans ambiguïté. Elle m'attirait, mais je me défendais d'aller vers elle, comme j'en avais envie, parce que j'estimais que ma mission, c'était 7 jours sur 7, 24 heures sur 24.
J'ai croisé Corinne juste après midi. J'étais descendu à la supérette en bas, en face de chez moi, pour aller chercher une plaque de beurre et des œufs. Je laissais ma mère en prenant des risques quand j'agissais de la sorte. Je l'avais retrouvée une fois à poil dans l'escalier. Je me faisais livrer, mais parfois je prenais un risque de dix minutes, quitte à gagner...Ou perdre.
Je savais qu'elle ne travaillait que le matin. Elle arrivait devant son appartement et j'ai profité de sa silhouette quelques instants, sentant que mon sexe se mouillait de désir. Elle portait un pantalon kaki très moulant, avec un T-shirt assorti, et la manière dont ses fesses bougeaient sous le tissu disait clairement qu'elles étaient nues. Un string, ou elle était totalement cul nu ? J'aurais voulu baisser son pantalon pour vérifier, prendre ses fesses à pleines mains, et les caresser. Les ouvrir, venir faire glisser ma langue dans sa raie, titiller sa muqueuse anale, glisser plus bas et dans sa moule...Des fantasmes qui n'étaient pas nouveaux.
Est-ce qu'elle a senti simplement ma présence ou bien mon regard plein de désir sur ses fesses ? Elle s'est retournée. M'a souri. J'adorais son regard de myope, corrigé, selon l'occasion par montures ou lentilles. Elle avait une bouche pulpeuse. Ses seins gonflaient le tissu de son T-shirt, et malgré son soutien-gorge, ils se dessinaient nettement. Tétons tendus. J'ai senti que je mouillais ma culotte.
— Alors, ça s'est bien passé ces vacances ?
— Ca m'a changé la vie.
— Ca se voit. Tu es rayonnante.
— J'ai décidé de prendre la vie différemment.
— Si tu as pris cette décision, alors tu accepteras enfin mon invitation pour un goûter. Je suis là tout l'après-midi.
— Je vais venir te voir. En milieu d'après-midi.
— Formidable.
Ma mère faisait une longue sieste l'après-midi. Elle ne se réveillait généralement pas, à cause de la flopée de médicaments qu'elle était obligée de prendre. Je me donnais une marge.
J'ai été frapper à la porte de Corinne sur le coup de 15 heures. Elle s'était changée. Séductrice comme jamais. Une simple robe noire très moulante, qui s’arrêtait péniblement en dessous de son minou, des cuissardes noires, avec des bas stay-up qui en dépassaient. Elle s'était maquillée. Si j'avais été un garçon, ma queue aurait été gorgée de sang, j'étais une fille et mon sexe s'est ouvert et mis à couler.
Ca a été immédiat. On aurait pu respecter les convenances, quelques paroles, elle m'aurait fait rentrer...Au lieu de cela, elle est venue se coller à moi. J'ai senti ses formes, sa chaleur...Elle a pris mes fesses à pleines mains, et elle est venue chercher ma bouche, que je lui ai donnée. Nos langues se sont caressés mutuellement avec d'autant plus d'intensité qu'on avait envie depuis longtemps. J'ai glissé mes mains sous sa robe et empoigné ses fesses nues. Elle n'avait pas de culotte et glisser un doigt dans sa raie m'a fait découvrir qu'elle n'avait pas un string non plus. Elle était comme je l'aimais...Cul nu.
Elle s'est détachée de moi pour reculer.
— Viens, on va pas rester là...Si monsieur Raymond passe...
On a ri toutes les deux. Monsieur Raymond c'était un homme acariâtre, d'un âge certain, qui ne disait bonjour à personne et jetait un regard haineux tout le monde.
— Il nous traiterait de gouines, j'ai dit en fermant la porte derrière nous.
— Et il aurait bien raison.
Il y avait effectivement de quoi faire un bon goûter sur une table basse, mais on au final, un goûter pouvait prendre bien des formes, et ça a été bien mieux qu'elle bascule en arrière sur le divan, et qu'elle écarte les cuisses, pour me donner à voir, de manière plus détaillée qu'à l'accoutumée, son sexe. J'en connaissais évidemment déjà le dessin vu qu'elle mettait rarement une culotte. Une fente qui déchirait sa chair en deux, dont sortaient deux bouts de lèvre copieux, et qui, sous mon regard, se sont mis à gonfler et s'allonger, se gorgeant de sang. Sa fente, encore totalement close, s'est entrouverte, ses muqueuses intimes, toutes roses, apparaissant. J'ai plongé sur elle. J'en avais envie depuis longtemps, elle aussi, j'avais été trop stupide de me brider. Ma langue est partie en travers de sa fente, elle a poussé un gémissement et lâché un grand jet de mouille qui m'a rempli la bouche. J'ai donné le meilleur de moi-même pour lui donner du plaisir avec ma langue. Mais, avec ces quinze jours avec Andréa et Chris, j'étais passée à un niveau supérieur. Elle m'a inondé la bouche de mouille, et son sexe s'est développé, son capuchon révélant un gland clitoridien imposant, en harmonie avec le reste de son corps.
— Attends, on va se mettre tête-bêche.
On s'est déplacées, maladroitement sans doute, mais le résultat était là. Elle est venue dévorer ma chatte pendant que moi je bouffais la sienne. On s'est faites jouir mutuellement. Et on a basculé ensuite sur d'autres positions. Chatte contre chatte, à se frotter et à encore jouir. J'avais mis une alarme. Je suis repartie chez moi trempée de ses liquides intimes, mais ma mère, dans son monde, n'a rien remarqué, ni senti.
On va parfois chercher très loin ce qu'on a tout près. On s'est revues le lendemain Corinne et moi, mais aussi tous les après-midi qui ont suivi. J'allais chez elle, ou elle venait chez moi. J'ai bien compris qu'on avait envie l'une de l'autre depuis longtemps. Est-ce que c'était cela qui faisait que les moments de plaisir entre elle et moi étaient aussi intenses, aussi forts ? Corinne était une partenaire parfaite, et cela me donnait moins de regret de ces vacances qui m'avaient pourtant marquée, et dont les images tournaient dans ma tête.
Une après-midi, on était calées l'une en face de l'autre sur le divan, jambes écartées et accrochées, on avait recouvert nos mains de lubrifiant, et on avait introduit nos mains dans la vulve de l'autre, et on la caressait à l'intérieur. Ses parois souples et douces, ses replis et ses creux...Du plaisir à l'état pur, autant pour celui qui caressait que pour celui qui recevait la caresse. On dégoulinait sur et autour de cette main qui nous fouillait.
C'est après, heureusement, on avait mis un tissu sur le divan pour éviter de le tremper, qu'elle m'a dit:
— Si tu as envie de te prendre une soirée pour aller te balader, je peux te remplacer.
Ma mère l'avait déjà aperçue plusieurs fois. On avait vite arrêté nos jeux sexuels. Assez ironiquement, elle la confondait avec moi. De la sorte...Difficile de ne pas profiter de cette proposition. D'autant qu'il y avait une envie qui trottait en moi depuis longtemps.
Ca a été une semaine et demi plus tard, un jeudi soir, que j'ai traversé la ville à pied, pour me rendre au parc. J'avais laissé dans l'appartement Corinne qui veillait sur ma mère. J'avais la soirée.
J'étais enveloppée dans un imperméable. Corinne, posée dans un fauteuil s'était levée, elle avait défait la ceinture qui tenait l'imper à ma taille, l'avait ouverte. Dessous, j'étais entièrement nue, avec juste des bas stay-up et des cuissardes.
— Tu vas te faire baiser ?
— Je vais au parc.
— La prochaine fois, on trouvera une solution, j'irai avec toi.
Tout le monde connaissait le parc. Il y avait des réseaux qui l'évoquaient, avec des photos à l'appui, il était difficile de l'ignorer. Chaque soir de la semaine, des gens se retrouvaient au parc, des gens de tout sexe et de tout âge, pour avoir du plaisir ensemble.
J'avais envie, moi aussi, d'y trouver mon plaisir, pour un moment.
La ville, comme toute ville moyenne, bénéficiait de plusieurs parcs d'origine, de développement et de tailles diverses. Celui où tout se passait était un grand parc qui bénéficiait d'une végétation fournie, d'arbres centenaires à des buissons, de nombreux bancs mais aussi des alcôves très diverses qui faisaient que les plus timides pouvaient s'isoler. Pour les autres, ce n'était pas vraiment la peine, à ce que j'avais pu voir, ils n'avaient aucune pudeur, et ils en auraient eu, ils n'auraient pu faire ce qu'ils venaient faire: chercher un partenaire.
Avant mon break, je n'aurais pas eu l'idée, alors même que je connaissais l'existence du parc, de prendre un moment de plaisir.
Mais les choses avaient changé.
J'étais toute excitée de m'y rendre. Plus j'avançais, et plus mon ventre était chaud, et mon sexe humide. Les photos que j'avais pu voir étaient ultra-explicites. J'étais un peu comme un gamin qui pendant des années s'est arrêté devant une pâtisserie avec une vitrine où les gâteaux exposés sont tous plus beaux les uns que les autres, à qui on propose enfin de rentrer et manger tout ce qu'il veut.
De jour, le parc était un espace paisible, bien entretenu, avec de multiples entrées.
De nuit, c'était à peu près pareil, à ceci près, je m'en suis vite rendu compte, qu'il était rempli de partenaires qui se cherchaient ou étaient déjà en plein acte.
Je me suis glissé à l'intérieur par une porte sur le côté gauche. A deux mètres de cette entrée, il y avait un banc et déjà un couple. C'était le début de la soirée, et la nuit tombait doucement, compensée par les lueurs des lampadaires et éclairages divers de la rue, et du parc, on voyait les couples en partie, mais le mélange de lumière et d'ombre permettait d'imaginer, de fantasmer plutôt ce qu'on ne voyait pas. Là, je voyais bien la silhouette de la fille, son dos, le gars était dans l'ombre. Une longue, très longue chevelure blonde, qui arrivait jusqu'à ses fesses nues, le tissu d'une robe roulé à la taille, des bottes noires et luisantes qui montaient jusqu'à ses genoux, des bas stay-up, et une verge qui allait et venait, bien charnue, et bien longue aussi, dans sa vulve. Ca m'a donné envie, immédiatement. J'avais bien compris qu'ici, au parc, on se rassemblait librement, et on n'hésitait pas à rejoindre un couple si on avait envie. Et moi, j'avais déjà très envie. Je me suis approchée, et j'ai dégagé la queue du vagin de la fille. Le latex était saturé des sécrétions de la fille, disant clairement le plaisir qu'elle avait. J'ai enveloppé la queue de ma bouche, la prenant en gorge profonde sans la moindre hésitation. Le gars, d'abord surpris, a poussé un petit gémissement de se retrouver dans ma cavité buccale. Une chatte, une bouche, ce n'était pas la même chose. J'ai bougé sur lui, et pour que la fille ne se sente pas abandonnée, j'ai fourré un doigt, puis deux, puis un troisième en elle. Elle était béante d'excitation. Elle a gémi, elle aussi, alors que je venais caresser ses muqueuses les plus intimes, ruisselant sur ma main comme elle avait ruisselé sur sa queue. J'ai finalement remis la queue dans la vulve, j'avais envie d'aller ailleurs, de picorer partout, avant de peut-être partir sur quelque chose de plus sérieux. En avançant dans le parc, j'ai léché la mouille de la fille, qui avait tartiné ma main...Elle avait un goût de miel.
Cette soirée était apparemment faste. Il y avait des couples partout. Le long des allées centrales, dans les alcoves. Mais aussi des personnes comme moi qui arrivaient, prenaient du plaisir à regarder ou cherchaient un ou une partenaire. Même simplement regarder me mettait déjà dans tous mes états. J'avais envie de m'arrêter à chaque instant, et c'est bien ce que j'ai fait, insatiable, et incapable de maîtriser mes envies. Un peu plus loin, une fille bouffait la queue d'un type installé sur un banc, qui lui même avait le sexe d'un homme posé près de lui dans la bouche. Je me suis approchée, et je suis venue partager la queue avec la fille, qui ne s'en est pas offusquée, au contraire. Deux langues sur une queue, et alternativement une bouche, puis une autre bouche. Le gars ne s'attendait sans doute pas à cette double caresse. Il a commencé à jouir dans ma bouche, crachant un long jet de sperme dont le goût et la saveur m'ont ravi. On a fait tourner sa queue, la fille et moi et on a fini la bouche pleine de sperme. En me redressant, je me suis rendu compte que le gars qu'il suçait avait lui aussi commencé à jouir, remplissant à l'identique la bouche de son partenaire de semence.
J'ai continué, laissant la semence qui m'emplissait encore la bouche couler dans ma gorge.
C'est plus loin que j'ai vu une scène que j'ai trouvé, sinon hyper-excitante, plus excitante que les autres, qui m'a figée, fascinée, et dans laquelle j'ai eu envie de m'inclure.
Elles étaient trois. Trois qui s'étaient calées à genoux sur un banc, et elles avaient retroussé robe ou jupe. On voyait leurs crinières, châtain, roux, blond, pas leur visage, sauf quand elles se retournaient pour regarder comment ça se passait, encourager, pousser un cri qui disait leur satisfaction...Elles étaient différentes, mais avaient pour point commun d'offrir au regard et aux queues des deux hommes qui tournaient derrière elles leurs croupes charnues, bien pleines, bien fendues, ouvertes, dans cette position, sur leurs muqueuses anales, et leurs vulves, gonflées, ouvertes et dégoulinantes.
Les deux gars qui tournaient sur elles, encapotés, c'était la règle ici, avaient la queue dilatée d'excitation et ils se succédaient pour rentrer dans leurs anus, les fouillant, les faisant gémir, crier. Les trois filles avaient leur jouissance en commun, mais aussi le fait qu'elles se masturbaient de manière compulsive, en frottant leurs vulves ou faisant aller et venir leurs doigts en elle. C'était ça que je voulais. Un plaisir aussi fort. J'ai fait glisser mon imper, et je suis venue me caler sur le banc. Il restait de la place. Je me suis trouvé à côté de la blonde, une fille dans mes ages avec un très joli visage. Elle s'est tournée vers moi, m'a souri, et dit:
— Tu as bien fait de nous rejoindre...Si tu savais le plaisir qu'on a. On est trois copines, et on vient ici régulièrement pour avoir du plaisir, et oublier nos vies mornes. Ca nous est devenu totalement indispensable...Et c'est toujours différent.
Elle a fermé les yeux, et gémi longuement, parce que l'un des types venait de s'approcher d'elle, et de pousser sa queue en elle...Les deux hommes tournaient, mais ils ne se succédaient pas sur les filles, c'était aléatoire. Sans doute parce que je venais d'arriver, l'autre gars est venu derrière moi. J'ai senti son gland appuyer sur ma muqueuse anale. Il a marqué une seconde d'hésitation. Il pensait que je n'étais pas prête? Je lui ai presque crié:
— Encule-moi.
Comme ça au moins il savait ce que je voulais. Il s'est exécuté sans hésitation, faisant glisser sa queue en moi. Ca a été tellement bon, en partie à cause de la situation, de l'ambiance, que j'ai joui quasiment sur le champ, criant mon orgasme. Il a glissé au fond de moi, et il s'est mis à me fouiller. C'était exactement ce que je voulais. Ce qui m'avait manqué pendant toutes ces années, alors que j'aurais pu avoir quelque chose qui m'aurait fait oublier mon malheur. Je ne voulais pas rattraper le temps perdu, juste partir sur une autre voie.
Comme les filles qui m'accompagnaient, j'ai amené ma main contre mon sexe, et je me suis masturbée, frottant mon gland clitoridien qui s'est décalotté, durci et allongé.
Il m'a fait jouir deux fois, j'ai hurlé en éjaculant, avant qu'il ne glisse hors de moi. Frustrée de le sentir me quitter, je me suis masturbée fébrilement, surexcitée. C'était terrible cette cassure. J'ai jeté un coup d' oeil en arrière. Un troisième gars venait d'arriver. Trois queues, on était quatre. Est-ce que je lui faisais envie? Mon cul lui faisait envie? Il y a des questions qui n'ont pas forcément de réponse...Il a glissé en moi, et me sentir de nouveau remplie m'a procuré un plaisir immense...J'ai joui à nouveau, me trempant les cuisses...Il m'a fouillée. Je percevais qu'il ne tiendrait pas longtemps.
Des gémissements à côté ont attiré mon attention. Le gars qui était dans le rectum de la blonde s'était dégagé, queue dilatée à l'extrême. Il a ôté son préservatif et un simple aller-retour de sa main sur sa queue a suffi pour que son sperme jaillisse et vienne poisser les fesses de la fille, à grands traits blancs et crémeux.
Le gars qui était en moi a poussé un gémissement, et il a commencé à jouir lui aussi. J'ai joui moi aussi. J'adorais sentir la semence sortir et venir taper contre mes muqueuses. Ça avait toujours été un plaisir très fort, comme pour toute fille, je l'imaginais. A chaque jet, j'ai joui, mon corps tressautant.
Le gars s'est retiré rapidement. J'en ai profité pour venir me caler devant le cul de la blonde. J'ai léché le sperme jusqu'à ce qu'il n'en reste plus la moindre trace, en même temps que je fourrais deux doigts dans sa vulve dilatée, elle, elle se frottait le gland clitoridien, allant et venant au milieu d'une muqueuse détrempée. Elle a joui et éjaculé.
Il y a eu d'autres hommes qui sont venus nous sodomiser. La nuit s'était installée, plus épaisse, plus profonde, nous enveloppant, nous faisant oublier la vie diurne, pour ce moment uniquement consacré au plaisir. Il y a eu encore des queues, et quand il n'y en a plus eu, nous nous sommes données du plaisir toutes les quatre entre nous, moi avec la jolie blonde. Souple, elle m'a fait m'installer sur le banc, et s'est glissée sur moi de manière à m'offrir ses parties intimes, pendant qu'elle fouillait ma vulve.
Les dernières jouissances partagées, on s'est séparées. Le parc était quasiment vide. J'étais heureuse et apaisée.
Je suis repartie chez moi. Ma vie avait pris un nouvel équilibre. Je me sentais mieux.


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Histoire de JamesB

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