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Elle jouit

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Lue : 1528 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/12/2013

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Un simple souffle s’échappe de ses lèvres à peine entrouvertes. Les pupilles dilatées pourraient faire croire qu’elle est sous stupéfiants. Ses mains serrent un morceau de drap. Étalée sans pudeur sur le divan, elle ouvre ses cuisses à la tête de son mari. Oui, celui qui la baise depuis longtemps, avec qui elle a connu successivement les premières vraies envie, les premiers orgasmes.

Au tout début, elle ne voulait pas qu’il lui fasse l’amour : ses premières expériences avaient toutes été des échecs, pour elle, en tout cas. Elle l’a rencontré simplement au cours d’une petite fête entre amis. Il était souriant, il plaisantait facilement. Son visage franc l’a conquise. Ce n’est que bien plus tard qu’ils se sont embrassés la première fois, et encore parce qu’elle le voulait. Elle sentait bien qu’il bandait de plus en plus quand leurs lèvres se rejoignaient pour un baiser profond. Est arrivé l’instant où sentir une queue contre son ventre l’excitait.

Un jour dans un bistro, ils prenaient un café, elle s’installait contre lui, bien serrée. C’est elle qui au risque de passer pour une fille dévoyée a eu envie de lui toucher la pine. Elle passait sa main sur le tissu du pantalon. Lui comprenait qu’enfin il avait une chance avec cette fille décrite comme froide, difficile à contenter. Sa main se posait directement sur l’emplacement de la chatte. Il n’en fallait pas plus pour exciter notre couple. Il leur fallait attendre le soir pour aller chez elle.

C’est sur son lit qu’elle s’est offerte complètement. Elle avait envie de lui. Il avait envie d’elle. Ils étaient nus, elle l’attendait dans son sexe. Il y a bien été, longtemps après. De la bouche, ses lèvres sont passées doucement sur le cou, les épaules. Les seins n’ont pas été épargnés.

Elle commençait à s’impatienter. Elle devait encore patienter : sa tâche était loin d’être terminée. Pas un seul pouce de sa peau n’était épargné. Sa langue passait partout sur elle en laissant parfois des traces de salive.

Elle était dans un état de surexcitation impossible. Si elle avait été seule, elle se serait masturbée. Ses doigts remplacent facilement la bouche. Ils la caressent doucement, comme une chatte. Elle ferme les yeux, savoure ce qu’il lui fait si bien. Pour lui ce n’est pas assez. Il lui demande de se mettre sur le ventre. Il a toute la colonne vertébrale pour masser, caresser. Le diable a du se cacher dans ses fesses : il les caresse tellement qu’elle ne voudrait pas qu’il arrête.

Elle sent sur ses fesses, le visage de son futur amant. Il l’embrasse come on fait à un bébé. Le pli entre les cuisses et le fessier est l’objet de nombreux bisous. Elle ne craint qu’une chose, qu’il lui mette la langue entre ses globes : elle a horreur de la suite, de la langue sur son cul ou surtout pas dedans.

Elle se tourne sur le dos. Lui laisse sa tête entre les jambes : il la regarde. Elle comprend ce qu’il veut, qu’elle commence à désirer aussi. La bouche est sur le pubis, il l’y embrasse sur la pilosité pour glisser entre les cuisses. L’endroit où il va est très, très mouillé. Elle va mourir de désir, sans oser demander : ils ne se connaissent pas assez. Il aboutit enfin sur le clitoris. Elle sursaute de bonheur quand il lui donne les premiers frissons. Le besoin est tel qu’elle passe ses jambes sur les épaules pour mieux le sentir.

Elle sent son visage entre ses cuisses, le menton sur son vagin, deux doigts qui cherche l’impossible plus bas. Elle se laisse toucher vers l’anus. Elle se laisse même caresser cet endroit qu’elle a toujours refusé. La révélation vient quand il entre un seul petit doigt dans le cul qui s’ouvre seul. Être léchée, masturbée de l’anus : voilà un programme jouissif inédit.

Il l’envoie au paradis, enfin le sien parce que lui bande toujours sur le drap. Sa queue le gêne posée inutile comme elle est. Et elle qui l’a à peine aperçue cette queue.

Elle jouit bien, mais il lui manque quelque chose : une queue.

Il vient sur elle, s’installe pour ne pas peser. Il se tient sur les avants bras. Elle sent bien la bite contre ses cuisses. Elle se tend, il se tend : ils se baisent. L’introduction est fatale : elle est prise dans le tourbillon du plaisir. Leurs pubis se tamponnent. Leurs bouches sont rivées par leurs langues. Elle sent qu’elle va partir vers la petite mort. Il jouit dans son ventre, elle jouit autour de la queue qui éjacule.

Première baise, premiers succès. Ils n’arrêteront plus. Ils iront de plus en plus fort, elle surtout avec des demandes impératives. Il lui a appris a à supporter la sodomie, puis à l’aimer. Elle ne conçoit plus l’amour sans finir par se faire enculer.

Un jour, en se promenant, ils sont passés devant un sexe shop. Elle a voulu voir comment c’était à l’intérieur : des hommes seuls qui reluquent des revues, des choses innommables. Elle regarde d’autre article qu’elle fait acheter. La soirée fut chaude, très chaude.

Si les jours précédant elle était satisfaite de finir avec une pine dans le cul, maintenant il en faut d’avantage. Dès le matin, elle prend sa douche, se caresse en se lavant, jouit, met des boule de geisha au fond de son sexe : elle les enfonce bien avec deux doigts. Dans le sac elle met son masturbateur de clitoris, un machin vibrant qui remplace avantageuse les mouvements des doigts : elle s’en sert dans les toilettes du bureau si elle est avec quelqu’un, sinon directement sur sa chaise.

Le surfin est un double gode : un côté cul, l’autre côté con. Elle peut ainsi se faire jouir en double pénétration, son rêve. Quand elle se branle ainsi, elle le fait avec son mari : il a droit à se faire lécher et sucer : elle aime le sperme chaud quand il jaillit dans sa bouche, sur sa langue.

C’est elle qui a demandé à être sucée, léchée, aspirée. Et lui est à ses pieds, la bouche ouverte, la langue dans la con mouillé de sa femme. Il lui donne le maximum de plaisir. Il aime la faire jouir ainsi : il voit tous les détails de l’orgasme : le vagin qui se ferme, qui s’ouvre. Même le cul participe involontairement.

Il lui donne le plus de plaisir possible : il sait qu’ensuite elle le sucera.
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Histoire de fabrissa

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