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One shot

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Lue : 1133 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/12/2013

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Ma voisine est bien gentille : elle me demande de prendre dans la voiture sa fille pour aller dans le midi. J’y vais, pas de problème, mais je ne connais pas du tout sa demoiselle : brune, blonde, rousse, chauve ? Après tout j’aurais quelqu’un avec qui bavarder en route.

Première surprise le lendemain, elle est grande, brune, bien roulée. J’oubliais aux yeux verts : un tableau. Je pensais échanger des pensées, c’est elle qui parle. J’écoute patiemment jusqu’au premier arrêt pipi dans une station-service. Nous nous séparons un instant. Je le regarde quand elle revient vers la voiture : c’est un modèle de fille de magazine, en plus opulent. Elle me fait envie. Je me vois l’embrassant, la caressant, lui faisant l’amour pendant qu’elle crie grâce. J’en arrive presque à bander.

Midi arrivant, je sors du serpent payant pour trouver un restaurant digne de ce nom. Nous trouvons ce que nous cherchons, elle comme moi. Je la regarde enfin en face, elle est un modèle de beauté, de sensualité faite femme. Je me garde bien de le lui dire, même si le lui bafouiller pourrait plaire. Les gens autour de nous regardent, les femmes avec un air de jalousie, les hommes avec envie. Elle semble ne pas remarquer les regards qui l’inspectent.

Nous reprenons la route, sans problème, sauf que je le regarde avec une envie pas cachée.
- Je m’appelle Gégé. Et toi ?

Qu’elle donne son nom, quelle me tutoie comme ça, bizarre.
- Et moi c’est Yves. Tu es belle comme un cœur.
- Tu voudrais me sauter, non ?

Je préfère me taire : c’est vrai que j’aimerais la sauter comme elle dit.
- Parce que si tu veux, je suis d’accord.

Drôle d’époque où c’est la fille qui propose à l’homme de tirer un coup. Mais là je suis preneur. Je ne dis rien je fille à la prochaine sortie : c’est bien le diable si je ne trouve pas un petit hôtel pour nous satisfaire. Il est juste à la sortie de l’autoroute. Oh pas un palace, un baisodrome tout au plus.

La fille à l’entrée tend la clé d’une chambre en souriant. Elle sait ce que nous allons faire. Pourquoi ne pas l’inviter ? Non, dit Gégé.

Tant pis. Nous entrons dans une belle chambre pleine de soleil. Gégé entre la première, je ferme la porte : en me retournant je la vois déjà en train d’enlever son t-shirt. Waouh ! Qu’elle paire de miche. Le jean suit le même chemin : elle est nue en deux minutes alors que je ne lui ai même pas baiser la bouche.

Gégé est presque sur moi, touche ma bite par-dessus le tissu du pantalon. Elle fait plus que la toucher, elle la sort pour la regarder, la trouver belle (belle une queue ?). Je la trouve normale. Par contre elle fait tout pour m’exciter à mort. Son pubis est orné d’un ticket de métro qui fait bien ressortir sa chatte. Il laisse plus que visible le début de sa fente.

Elle prend la queue à pleine main, prend ma main pour que je passe sur son sexe, son clitoris en particulier. Elle est mouillée plus que la normale. Ses jambes s’écartent pour laisser le passage. Ma main passe un peu partout avant d’aller la masturber. Elle se laisse faire, se laisse aller assez vite vers un orgasme. Je sens ses crispations de jouissance. Elle n’a pas lâché ma queue, sans y faire autre chose que la tenir. J’aimerais qu’elle me branle.

Elle se penche un peu, prend la pine dans sa bouche. Ses mains passent sur mes couilles, les massent, les pressent un peu. Mais sa langue fait un travail de démolition en léchant le corps de la bite, le gland où elle semble experte pour trouver les deux ou trois endroits les plus sensibles. Je me tends vers sa bouche dans l’espoir d’y jouir.

Je suis déçu quand elle se redresse. Elle m’entraine vers le lit. Elle s’y assoie, ouvre ses jambes m’offrant son sexe en entier. Elle me tente trop. Je suis à ses pieds, ma tête se faufile entre les jambes : elle me laissa arriver à son endroit secret. Premières impressions : son odeur de femme en chaleur, deuxième impression son gout ambré, safrané.

Je prends tout son sexe dans la bouche. L’expression bouffer une chatte est vraie : je lui mange tout. Elle soulève ses reins, se donne à ma bouche. Ma langue passe partout, sur son vagin pour commencer puis, c’est normal son clitoris qui n’attendait que moi. Je l’aspire doucement, je le rejette pour le reprendre encore.

Elle gémit, elle aime ce que je lui fais. Elle aime tellement qu’elle jouit trop vite. Ma langue va à la recherche de son petit trou. Là, elle me l’offre comme cadeau. Il est tout mignon sous ma langue, il s’ouvre à peine quand je mets la mets en entier sur elle.
- Oui, entre la !

Je n’ai pas à forcer pour entrer. Je la sodomise en partie Elle jouit encore.

Je me relève, la queue trop bandée. J’y ai presque mal. Je me prépare à la baiser comme elle est. Pas question ainsi, elle veut ses aises.

Elle s’installe au milieu du lit, la tête légèrement surélevée par l’oreiller. Je viens à ses côtés : nous nous embrassons longuement profondément. Nos langues ne se lassent pas de l’autre. Elle me fait aller sur elle. Je suis entre ses jambes, la queue bien orientée. Je me baisse pendant qu’elle me caresse les fesses. J’ai envie d’elle. Je pose ma queue sur son entrée. Elle appui sur les fesses, j’entre dans son ventre. Elle est sacrément douce. Son con s’ouvre devant le gland. Je suis au fond d’elle. Le miracle de la baise arrive quand ensemble nous prenons le même rythme. Elle reste yeux fermés, bouche ouverte et jouit je crois deux fois encore.

Elle me fait sortir d’elle alors que j’étais sur le point de jouir.

Gégé se tourne sur le ventre pour présenter ses fesses. Elle les écarte pour me montrer sa raie. Evidemment elle demande que j’aille dans son espace protégé.

J’allais la satisfaire quand elle passe deux doigts sur son anus avec de la salive. Ça me servira de lubrification. Je n’ai pas envie de la défoncer : j’entre prudemment la bite. Je sens un autre plaisir intense dans son cul. Pour elle ce doit être pareil. Elle jouit autour du mandrin. Je lui donne ma ration de semence avec une satisfaction indescriptible.
- C’était bon, merci.

Elle aurait pu faire mieux en remerciements ?
Je l’ai laissé à sa destination : nous ne nous sommes jamais revus.
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Histoire de baiserjouir

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