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En faisant mon marché

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 10/05/2022

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C'était une belle journée de fin d'été, j'avais congé toute la semaine et m'étais décidée d'aller me promener sur un marché hebdomadaire situé à une vingtaine de kilomètres de chez moi.
Alors que j'étais occupée à regarder des foulards à une échoppe, j'ai entendu un "Mmm" murmuré dans mon dos en même temps que j'ai senti quelque-chose me frôler les fesses.
Le temps que je réagisse et me retourne... personne juste derrière moi.
J'ai repris ma déambulation et quelques instants plus tard la même chose s'est produite.
Cette fois je fus plus vive à me retourner et j'ai vu l'auteur de ce geste et de ce borborygme, c'était un petit homme rondouillard d'une bonne soixantaine d'années.
Sans aucune agressivité (il m'arrive fréquemment de me faire toucher) je me suis adressée à lui en ces termes:
- "C'était déjà vous la première fois ?".
Il m'a regardée tout en restant muet.
- "Ce n'est pas grave, je veux juste savoir".
Il n'a toujours pas répondu mais m'a fait un "oui" de la tête.
Je devinais un peu de panique chez lui, il devait craindre que je fasse un scandale.
- "Ne vous tracassez pas, je ne vais pas crier ni ameuter les gens, j'aimerai simplement discuter avec vous" lui ai-je dit.
- "Si vous êtes d'accord, suivez-moi et allons parler un peu plus loin".
C'est toujours sans rien dire qu'il m'a accompagnée, malheureusement il n'y avait pas d'endroits proches pour entamer la conversation que je souhaitais avec discrétion.
Finalement nous sommes arrivés à ma voiture et j'ai mis dans le coffre les quelques achats que j'avais fait avant de l'inviter à s'asseoir côté convoyeur. Il était tout penaud, comme un enfant qu'on aurait surpris en train de voler un bonbon.
Je lui ai demandé: "Vous venez souvent sur le marché pour toucher les fesses des femmes?".
- "Non" a-t-il répondu.
- "Non, vous ne venez pas souvent sur le marché ou non vous n'avez pas l'habitude de toucher les fesses des femmes ?".
- "Je viens chaque semaine sur le marché, mais c'est rare quand j'ose toucher une femme".
- "Et pourquoi m'avez-vous touchée ?".
- "Je vous suivais depuis un petit moment, j'admirais vos jambes. Puis il y a eu ce vent qui a soulevé votre jupe, ce fut comme un appel irrésistible pour moi".
- "Ah, vous aimez vous rincer l'oeil avec des femmes".
- "Oui et non, j'ai des goûts particuliers, j'aime les femmes jeunes et minces avec de belles jambes... comme vous".
- "Vous êtes marié ?".
- "Veuf".
- "Désolée".
- "Donc vous regardez les jeunes femmes et parfois les touchez puis rentrez chez vous où vous êtes seul ?".
- "Ben oui, c'est déjà un petit plaisir pour un homme de mon âge".
J'ai regardé autour de nous et, comme c'était calme, ai remonté ma jupe jusqu'à la taille en lui disant: " Vous m'avez fait un beau compliment en me disant que vous admiriez mes jambes, voici un petit cadeau de remerciement".
Je ne dirai pas que sa langue pendait, mais je l'ai vu rougir.
Il a bien regardé puis, posant une main sur ma cuisse, m'a demandé: "Je peux?".
La question venait un peu tard puisqu'il avait déjà agi, donc j'ai dit oui.
Qu'est-ce que c'était excitant que cet homme timide me caresse l'entrecuisse du bout des doigts, je l'entendais ahaner de plaisir.
J'ai entendu du bruit et ai regardé par la vitre, du monde se rapprochait et j'ai rabaissé ma jupe. Il fut déçu et me demanda si il était allé trop loin.
- "Non, mais des gens arrivaient, l'endroit n'est pas assez tranquille".
- "Vous connaissez un lieu plus discret non loin d'ici ?".
- "Euh, non, pas vraiment".
Mais j'étais trop excitée à ce moment-là, pas question que on se sépare ainsi !
- " On pourrait peut-être aller chez vous puisque vous êtes seul ?".
Je le voyais hésiter, quelque-chose le dérangeait.
- "Soyez rassuré, je suis honnête, je ne demande pas d'argent et ne vous embêterai pas par la suite, vous n'entendrez plus parler de moi quand je serai partie".
- "Ce n'est pas ça, c'est juste que parfois... je n'y arrive pas, si vous me comprenez".
J'étais un peu déçue par ce qu'il venait de m'avouer, mais bon, peut-être qu'il pourrait malgré tout me donner un peu de plaisir.
- "On verra bien, mais au moins vous aurez le bonheur de profiter de mon corps à votre aise".
- "Vous vous mettrez nue ?".
- "Non, c'est vous qui me déshabillerez".
- "Je vais vous indiquer le chemin, ce n'est pas loin d'ici" me dit-il tout enjoué.
Le trajet jusqu'à chez lui ne prit que 5 petites minutes, minutes pendant lesquelles il n'a cessé de me gratouiller ma petite culotte à un endroit bien précis.
Dans sa maison tout semblait dater de son mariage, il faisait très propre mais tout était très "ancien".
Dans la conversation j'ai appris qu'il s'était marié en 1972 à l'âge de 22 ans, j'ai vite calculé qu'il avait donc dépassé la septantaine et il ne le paraissait pas vraiment.
Vous le décrire plus ou moins: 1m75, entre 90 et 95 kgs, bedonnant, cheveux gris, sexe au repos +- 12 cm.
Il m'a proposé à boire, j'ai juste pris un verre d'eau que j'ai directement avalé avant de lui dire que j'aimerai lui laver moi-même son sexe avant qu'il ne me déshabille. Nous sommes allés dans sa salle de bain, il s'est dévêtu et je lui ai savonné l'objet qui a pris un peu de volume à ce moment-là.
J'ai vite compris qu'il ne ferait pas grand mal avec ça, mais j'ai néanmoins espéré ressentir du plaisir.
Quand j'ai eu terminé il m'a demandé si je voulais me laver également, je lui ai répondu que je voulais d'abord qu'il me déshabille lentement puis que ce soit lui qui me lave, il en fut ravi.
Il m'a emmenée dans la chambre et m'a d'abord ôté ma blouse, puis mon soutien-gorge, puis ma jupe, ensuite ma petite-culotte, à chaque étape il marquait un temps d'arrêt et me contemplait longuement.
Il a voulu me pénétrer avec un doigt, mais je lui ai rappelé qu'il devait d'abord me laver. Alors nous sommes retournés nus dans la salle de bain.
Il a voulu, et a, laver ma poitrine et ma chatte avec beaucoup de délicatesse, dans le même temps je regardais en direction de son sexe que j'ai vu se redresser et durcir. Mon petit coquin allait-il être suffisamment en forme pour s'amuser un minimum avec moi ? Je n'ai pu m'empêcher de saisir son membre et de le branler quelque peu.
Quand je fus essuyée nous sommes retournés dans sa chambre, je me suis allongée et lui s'est assis pour me caresser.
Moi: " Avez-vous des désirs particuliers ? Aimez-vous certaines choses que vous pratiquiez avec votre femme et que vous souhaitez revivre ?
Lui: "J'aimais vraiment quand elle me suçait, elle avait une telle façon de faire qu'aucune autre femme ne m'a donné autant de plaisir".
Moi: "Je ferai de mon mieux, vous n'aurez qu'à me guider si vous le voulez".
Lui: "Merci. Et vous ?".
Moi: " Je n'ai pas de tabou, j'accepte tout ce que les hommes veulent. J'aime beaucoup être sodomisée si le partenaire s'y prend bien et j'avale". Mais je vous demanderai de vous protéger lors des pénétrations, excepté dans ma bouche".
Lui: "Ma femme n'a jamais accepté que je la sodomise, mais elle aussi avalait mon sperme".
Me disant qu'il risquait de ne pas être vaillant très longtemps je lui ai dit qu'il serait bien que nous commencions par ce qu'il m'encule. Je lui ai moi-même mis un préservatif, ce qui lui a provoqué une forte érection, puis me suis agenouillée jambes écartées sur le lit.
Néophyte, il a voulu y aller d'un seul coup, mais ça n'est pas entré. Je lui ai dit que ce serait bien qu'il me lubrifie la rosace avec sa langue et y dépose beaucoup de salive. Il l'a fait puis a réessayé, cette fois ça a marché.
Sa queue n'était ni longue ni grosse, mais je la sentais aller et venir en moi et c'était agréable.
Mais alors que je ne m'y attendais pas du tout, sa main droite s'est abattue sur ma fesse avec force. J'ai été saisie, le coup était assez violent et, même si ça ne me déplait pas, j'apprécie qu'on y aille crescendo. Je n'ai rien dit, craignant qu'il n'aie peur et débande, donc j'ai eu droit à de nombreuses claques sur chaque fesse, claques qui m'ont laissées le cul rouge pendant 2 jours !
A suivre

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Histoire de lucrece

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