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Parking des rives 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 25/04/2022

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PARKING DES RIVES
PARTIE 2
Si le parking des Rives était l'endroit où je prenais du plaisir, c'était aussi celui où je me garais.
Six heures du matin. Le jour n'était pas encore levé, et les lampadaires donnaient encore de la clarté quand je suis descendu de chez moi pour aller rejoindre mon véhicule. Je faisais de la maintenance dans une entreprise située à dix kilomètres de là.
Il était six heures trois quand je l'ai aperçue.
Cela faisait six mois maintenant qu'on se croisait. Sans se dire un mot.
J'avais accumulé pas mal de données sur elle au fil de ces matins où nous nous croisions.
Elle était brune, des cheveux épais et longs, grande, avec un corps tout en formes dont je pouvais profiter quand je la croisais, mis en valeur par ses tenues très diverses. Elle était apparemment coquette, je ne l'avais jamais vue habillée deux fois pareil. Des jeans et des pantalons moulants, des blousons ou des vestes ouverts sur des débardeurs et des bustiers qui soulignaient une poitrine généreuse, des jupes courtes, des shorts, du cuir et du vinyle et apparemment une passion sans bornes pour les bottes, de tous matériaux et de toutes couleurs...Quand on se croisait, je respirais souvent un parfum qui, s'il n'était pas le même, lui allait en tout cas toujours bien...Sensuel comme elle...
Le matin, le parking me semblait juste revenir à sa fonction première, celle d'accueillir des véhicules, ceux des gens qui avaient passé la nuit par ici et y étaient garés, ou ceux des personnes qui venaient déjà travailler.
On a souvent des idées préconçues. J'avais le sentiment que le sexe, c'était plutôt pour la journée, et le soir. Et plus précisément, qu'il y avait une sorte de montée en puissance, qui aurait démarré en début d'après-midi et aurait pris sa pleine dimension en soirée.
Je n'avais jamais pensé qu'il puisse y avoir des rapprochements sitôt, à l'heure où tout le monde partait travailler, pas vraiment réveillé, et où le sexe passait d'évidence au second plan.
Je n'avais pas pensé non plus que, si elle me plaisait, je pouvais aussi plaire à la jeune femme que je croisais tous les matins.
Les deux tendances se sont emmêlées ce matin-là.
Je suis arrivé sur le premier parking sur la gauche. Je m'étais parqué la la veille.
Elle avait une Citroën blanche, qui glissait sans bruit, électrique, sur la route.
Elle arrivait dans un cadran compris entre six heures et six heures quinze. Je la croisais parfois plus haut. Je la voyais aussi arriver. C'était tout un cérémonial. Elle ouvrait la portière, vérifiait son visage et ses cheveux dans le miroir, restait parfois quelques secondes de plus pour écouter la radio, attrapait son sac, vérifiait s'il y avait tout dedans, pivotait enfin pour se poser sur le sol. J'avais d'ailleurs eu l'occasion plusieurs fois d'avoir des aperçus intéressants, dans ces moments où une jambe posée sur le macadam, l'autre va la rejoindre, et qu'une brève vision de chair nue est possible avant que les deux ne soient en contact.
Mais sans doute pas comme ce jour-là.
Ellec était déjà arrivée. La portière était ouverte, et je l'ai trouvée comme jamais je ne l'avais trouvée.
Elle avait une jambe proche du sol, mais pas posée, et l'autre sur le tableau de bord. De la sorte, elle était largement ouverte et offerte. Rien n'aurait été bien sûr si elle avait eu un pantalon, mais elle avait une jupe noire, courte, qui était remontée à cause de sa position, et elle l'avait peut-être même aidée à remonter. Ses jambes et son ventre étaient offerts. Largement. Elle avait des bas stay-up qui arrivaient à mi-cuisses, avec une bande élastiquée qui les faisait tenir, des bottes noires à talon aiguille qui elles montaient quasiment jusqu'au genou, avec des parties froissées, et une absence totale de slip qui laissait voir son intimité de manière totale. Je me suis demandé si elle allait passer la journée sans slip ou si elle avait une culotte dans son sac qu'elle mettrait après. J'ai aperçu une toison brune, taillée, et un sexe bien ouvert, avec des lèvres sorties, et du liquide qui coulait, une réaction en partie due au fait que ses doigts tournaient sur elle dans un mouvement circulaire et continu.
Elle se caressait.
Et ce n'était pas tant succomber à une pulsion avant d'aller travailler que comme un produit d'appel pour que j'aille vers elle. J'en ai eu la certitude quand elle a su que j'étais là, et, son regard accroché au mien, elle m'a jeté :
--Ca fait plusieurs semaines que tu me fais tentes mais comme tu ne sembles pas disposé à faire le premier pas...J'ai eu envie de provoquer les choses...Viens...Je t'offre mon corps...Donne-moi ta queue...
Elle avait entièrement raison. Elle me plaisait, mais je ne m'étais pas vu allant vers elle. Il y avait une distance à franchir, mais cette distance m'avait fait l'effet d'un Rubicon.
Là, je n'avais aucune raison de ne pas aller vers elle.
Je me suis approché, pris par le désir en quelques secondes, la queue toute roide. Avec une vision plus nette de son ventre. Elle avait un corps vraiment bien dessiné, mais ça j'avais déjà eu largement l'occasion de le constater. Ce que je découvrais de nouveau, c'était des lèvres toutes gonflées, longues et charnues, un clitoris, qui s'est décalotté sous mes yeux, et la manière dont ses liquides intimes coulaient d'elle, vraiment abondants...Je me suis dit qu'il y avait quelque chose de particulier à cette tranche de temps. Parce que je n'avais jamais été témoin de moments de sexe si tôt, mais aussi parce qu'elle représentait un merveilleux cadeau. Tant pis si j'étais en retard de quelques minutes. Je n'avais jamais osé espérer un rapprochement, même si je ne lui jetais jamais un œil indifférent. Il y a des moments qui sont magiques, et j'en vivais un.
Elle a tendu la main vers mon pantalon, et elle m'a massé à travers le tissu. J'ai cru un instant que j'allais jouir dans mon caleçon. Mais je me suis retenu.
Elle souriait. Je ne l'avais jamais vue comme cela, aussi radieuse.
Elle s'est redressée, et me défaisant, elle m'a mis à nu.
-Mmm, tu as une belle queue, exactement comme j'avais imaginé.
Sur le tableau de bord, je l'ai remarqué au moment où elle l'attrapait, il y avait un préservatif encore dans son emballage. Elle a déchiré ce dernier pour faire apparaître une rondelle de latex jaune et qui sentait le citron. Elle l'a plaquée sur mon gland et elle l'a faite remonter avec habileté. Elle a souri en me disant :
--Autrefois, je mettais des capotes sur des queues par peur de maladie ou de tomber enceinte, aujourd'hui c'est parce que ça m'excite de voir une bite enveloppée de latex, de la caresser avec un obstacle entre la chair et ma langue. Et puis j'aime aussi les parfums, fraise, citron...
Ce parfum-là, elle en a profité en baladant sa langue le long de mon membre. Vu en sens opposé, c'était aussi excitant de sentir cette caresse à travers le latex, une première pour moi, et de voir l'expression de son visage, son ravissement appliqué.
Satisfaite, elle m'a dit :
--J'ai envie de ta queue dans mon ventre. Viens, je sais exactement comment on va faire.
Elle s'est redressée, sa jupe, malgré son mouvement, restant accrochée à ses hanches. J'avais bien compris ce qu'elle voulait, et donc, bien que guidé par elle, je me suis positionné naturellement sur le siège. Ma queue était bien raide de désir, et donc nos sexes étaient ainsi faits pour s’emboîter, ce qui a été le cas deux minutes plus tard, après qu'elle se soit laissée descendre sur moi, guidant ma queue vers l'ouverture bien marquée de son sexe. On regardait tous les deux, avec cette fascination ineffable que l'être humain éprouve pour le sexe, le rapprochement de ses lèvres et de mon gland. Le contact a eu lieu, et ma queue a glissé en elle, avec cette sensation exquise, chaque fois que je pénétrais une femme, d'être enveloppé par une gaine chaude, comme un gant, qui me prenait et me caressait. Pour moi, ce n'était pas ma queue qui caressait la muqueuse d'une femme, mais l'inverse, l'enveloppe de peau que constituait le vagin d'une fille qui venait me frotter, et cette sensation était au-delà de tout. C'était simple, basique, et il y avait bien d'autres plaisirs par ailleurs, mais ce contact était essentiel, la source d'un plaisir qui avant d'être physique était cérébral. J'y voyais un accomplissement quasi divin.
Je suis venu attraper sa croupe cambrée à pleines mains, et je l'ai faite monter et descendre sur moi. On a très vite éprouvé du plaisir. Elle ne faisait pas semblant, se tordant, gémissant, mais je ne valais sans doute pas mieux, submergé par un plaisir d'autant plus fort que je ne l'attendais pas. Les parois de son sexe frottant contre ma queue, tout comme la dureté de mon membre caressant ses muqueuses intimes, chaudes et délicates nous ont amené très rapidement vers un orgasme quasi simultané, qui a semblé aussi bon pour elle qu'il l'était pour moi.
Ca n'était pourtant pas fini. Elle s'est dégagée, redressée, avant de se pencher sur moi. Je me demandais où elle voulait en venir, mais je l'ai vite compris. Si elle redoutait autrefois une maladie, ce n'était plus le cas. Elle a dégagé le préservatif en faisant attention à ne pas vider le réservoir. Une fois le préservatif bien en main, elle a écarté le latex pour pouvoir venir laper le sperme, qu'elle a avalé jusqu'à la dernière goutte. De la voir faire, et avec autant de plaisir me donnait envie de continuer sur les chemins du sexe, mais je savais qu'on devait partir l'un comme l'autre vers nos occupations, sans traîner. On avait un délai. Sous mes yeux, et après avoir balancé le préservatif dans une poubelle, elle a attrapé une culotte blanche dans son sac à main. Elle l'a faite remonter sur son ventre. Je me suis dit qu'un strip-tease était troublant, mais une phase d'habillage aussi. Elle m'a souri en fermant le véhicule d'un coup de pouce sur la clef de contact, et elle m'a dit :
--J'aimerais remettre ça tous les matins. Tu crois que c'est possible ?
Décidément le parking des Rives réservait toujours des surprises, et de belles surprises.
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Histoire de JamesB

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