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Entre étudiants

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Lue : 4445 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 19/05/2013

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« Allons faire ce devoir au calme. »
« Tu crois que les amphis sont vides? »
« Oh oui sûrement. » me dit-il avec sa confiance naturelle.

Je le suis, enthousiaste, et entre dans l'amphithéâtre, entièrement vide, plongé dans une certaine obscurité. Il va allumer la lumière, et nous nous installons sur le dernier rang. Je contemple quelques minutes, pensive, l'espace vide et impressionnant qui a toujours eu un effet sur moi.

C'est bien, de se sentir dans un de mes endroits préférés, avec lui, seuls. Je survole du regard les questions du devoir en allumant mon pc et le cale tant bien que mal, sur le bureau de bois incliné et étroit. Il allume le sien, m'observant de temps en temps, amusé. Je porte une jupe très courte, un collant noir, mes escarpins préférés, et mon pull léger lui laisse la vue sur le haut de ma poitrine, que je n'ai aucun mal à dévoiler. Je passe au crayon de papier, rapidement, nerveusement, sur les réponses contenues dans mes feuilles de cours. Je sais ce que j'ai à faire. Pas en ce qui le concerne.

Au fur et à mesure, je le vois de plus en plus attaqué par le froid emplissant l'air. Je décide d'utiliser une méthode pour réchauffer l'ambiance, à défaut d'avoir une conversation active et caustique, et je remplace mon fond d'écran habituel par l'image d'un feu de camp, allumé de grandes bûches brûlantes. Si ça l'amuse, ça n'a pas l'air de le réchauffer... Nous parlons du devoir, nous avançons très lentement, et personnellement, je suis beaucoup plus intéressée par lui et notre échange que par le devoir. Je me mets à lui parler de mes envies, en matière amoureuse, de mon manque sexuel également, de ma grande réactivité. C'est cette dernière qui le rend curieux. Ça le fait rire doucement de me toucher du bout du doigt. J'aime son regard malicieux, son aplomb, son corps épais et rassurant. Il me laisse une sensation étonnante. Je succombe à ses petites caresses, mais je le vois qui grelotte. Je craque, et dans un élan de folie, lui attrape la main, pour la placer sous mon haut. Ses doigts rencontrent ma hanche, mon ventre chaud. Je n'ai jamais senti quelque chose d'aussi particulier, et d'aussi agréable. Je réalise mon attirance pour ce jeune homme qui dégage une douce animalité. Je me sens intriguée. Un immense bonheur me parcourt lorsque j'ai droit à un câlin des plus amical, et je l'entends prendre note de la particularité du lieu choisi pour faire ça. Étrangement, il avance sa main et part à la découverte de mon ventre, ce qui me ravit. J'ai eu droit au même type d’excursion sur ma poitrine... Mais on pourrait nous surprendre. Ces jeux durent jusqu'à ce que d'autres étudiants arrivent.

Après lui avoir suggéré d'aller plus loin dans cette possibilité de contacts, nous nous rendons chez lui. Il me prévient en route qu'il pourrait s'y passer des choses, et que c'est à moi de voir si je le veux vraiment.. Ce qu'il me redit aussi chez lui. Malgré sa tendance à me titiller du bout du doigt, j'ai encore droit à un rappel, il ne souhaite pas me forcer... Nous arrivons. Il me guide jusqu'à chez lui. Je ne sais pas si j'oserai faire quelque chose. Mon cœur s'accélère, ma tension augmente et je tremble, je m'inquiète et me sens perdue.. Attentif à cet état, il se penche et m'applique sa main sur le ventre, me détendant progressivement... Éveillée, joueuse et même subitement impatiente, je le touche et me rapproche, et arrive à obtenir une place contre lui sur son lit, où, allongée, je commence, heureuse, à caresser l'avant de son jean. J'ai pu ouvrir sa ceinture et descendre sa braguette, et me mets à caresser cette masse sous son caleçon dont je ne réalise pas encore les proportions. Je pars à mon tour en exploration pendant que l'on se parle de temps en temps, de plus en plus rarement.

Après l'avoir touché longuement, je réalise que j'hésite à aller plus loin. Je me sens gênée de profiter de ce contact et surtout de la tension qui s'installe sous mes doigts. Il se montre encourageant, alors n'y tenant plus, je mets ma main autour de sa verge, que je sors de son caleçon. Je la touche, tout à ma découverte, et ne peux véritablement penser sous la décharge d'envie et d'étonnement qui me traverse. Grosse, je n'en doutais pas, mais pas à ce point-là, et sa largeur et sa forme m'empêchent de penser encore à une utilisation sexuelle de l'attribut démesuré. Un peu sous le choc, j'essaie de la masturber, hésitante... Sachant que j'ai besoin d'un temps d'adaptation au corps de l'autre pour savoir le faire correctement, je décide de passer à une autre étape, une que j'ai toujours préférée... Mais la dimension de son sexe me fait douter de mes capacités.

Reprenant confiance, et animée de l'envie de lui faire de l'effet, je glisse ma langue autour de son sexe. Je le parcours et en prends conscience. Elle est suffisamment grande pour que je peine à la prendre en bouche, qui est pleine, remplie de cette queue que je fais de mon mieux pour sucer afin qu'il ressente quelque chose.. Je tiens à lui produire une sensation des plus agréable, je le suce avec envie, j'y mets tout mon cœur. Je sais que je peux faire des merveilles et je serre les lèvres, j'active ma langue, j'essaie de ne pas le laisser indifférent. Je le vois apprécier et je me juge satisfaite. Il veut passer à mon corps à présent, et je me déshabille, curieuse. Je suis flattée par son regard sur ma poitrine lorsque je soulève mon pull, qui a l'air d'être la plus grosse qu'il n'ait jamais approchée, ce qu'il me confirme. Décidément ce fut une journée de surprises... Il la touche, l'embrasse lorsque je la mets à nu. Je retire tous mes vêtements. Mes seins le captivent, pour mon plus grand plaisir, mais je lui fais remarquer que je l'aurai pensé plus entreprenant. Ses doigts parcourent alors mon sexe et le pénètrent en guise de réponse. Je me sens fouillée de l'intérieur, brutalement, et je ne réagis pas, tout à mon initiation à cette caresse. Il s'allonge sur moi. Un léger sentiment de panique me submerge. Vais-je supporter un tel calibre ?

Guidant sa verge de sa main vers l'entrée, il se prépare. Je fais tous mes efforts pour me détendre. Mais la pénétration est douce... bien que puissante, et je reste en alerte... Je tressaille lorsqu'il commence à bouger. Il s'active et je sens une agréable douleur, mon sexe est rempli au maximum de sa queue. Je le laisse aller et venir, et son corps lourd et brun me domine. Je me fais prendre à un rythme régulier, certains mouvements plus amples me font gémir de douleur. Il faut que je reste bien écartée, et il soulève mes jambes pour continuer plus fort. La sensation est extraordinaire, unique, et le tigre poursuit ses va-et-vient sans montrer de fatigue, alors que mon corps subit ce traitement intense et tente d'y résister. Il reste un bon moment actif, puis semble s'interrompre, pour me demander malicieusement « il y a un truc que j'ai toujours voulu essayer... je peux ? » je comprends rapidement quoi faire et je cherche une position tandis qu'il me demande où est-ce que je préfère qu'il éjacule..

Plus expérimenté, il s'approche soudain de moi et me couche sur le lit, puis il vient s'asseoir sur mon corps, juste sous ma poitrine. J'installe sa grosse verge au gland rose foncé entre mes seins lourds, et la presse, la branle doucement. Il s'agite sur moi, avance et recule son bassin pour la faire glisser, et mes seins rougissent sous ses assauts. J'ai envie de me caresser mais j'utilise mes mains pour appuyer de part et d'autre de ma poitrine. Je le sens s'activer de plus en plus fort, il ne va plus tarder. Maîtrisant d'une main son sexe il explose sur mon corps, me recouvrant la poitrine et le cou de giclées de sperme chaud d'une quantité honorable. Il me surprend, en étalant joyeusement de ses doigts le liquide abondamment répandu, puis prend soin de m'essuyer. Nous restons ensuite quelques instants inactifs, nus, avant qu'il se mette à aérer sa chambre et que je remette prestement mes vêtements. Je passe mes mains sur les parties de son corps accessibles, et le caresse un moment. Je m'imprègne des images de ce corps qui me plaît, puis me lève et décide de partir, pour m'arracher à cette fin d'après-midi mouvementée.
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Histoire de Katalina

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Commentaires du récit : Entre étudiants

Le 27/05/2013 - 17:12 par Julie592
Ben et la sodomie?

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