Eté 2014 : Pendant ce temps à la maison

Mardi 15 juillet 2014

Ce soir, c’est aussi l’occasion pour ma cousine et ses jumeaux d’un peu de calme après la frénésie de ces dix derniers jours. Chacun va même se coucher dans une chambre différente.


Mercredi 16 juillet 2014

Le matin, tout est encore calme même si Théo arrive avec son érection coutumière à laquelle personne ne fait plus attention. Pourtant il essaie de relancer des grandes manœuvres pendant la matinée par des petites touchette jusqu’à midi, sans succès auprès de sa mère ou sa sœur qui sont décidées à souffler un peu. Mais finalement, elles se laissent aller dans l’après -midi lorsqu’il vient gentiment passer l’huile solaire sur le dos de Manon. Il tente d’envoyer des doigts dans les deux trous offerts et ne trouve pas de résistance. Du coup, il la fait se redresser en position de levrette et l’embroche après s’être enduit la bite d’huile. Valy se tourne sur le dos et regarde ses enfants se donner du plaisir. Elle en profite pour se doigter devant ce tendre spectacle familial. Elle jouit en même temps que ses enfants, quand Théo lâche tout dans le vagin de sa sœur.

La journée reste relativement calme. Tout juste si dans l’après-midi Valy se fait offrir par Théo la même chose que Manon, sauf s’elle préfère se dégager quand il annonce sa venue et se retourne pour le recevoir dans sa bouche. Manon elle aussi s’est gentiment doigtée en les regardant.

Le soir, ils se font un autre petit plaisir avant d’aller dormir. Manon est en soixante-neuf sur Valy dans le canapé, ce qui donne de la vigueur à Théo. Il vient donc se positionner derrière sa sœur et l’embroche. Il partage sa bite entre le fourreau humide de celle-ci et la bouche non moins humide de sa mère. C’est elle qui a le dernier mot en recueillant son éjaculation.


Jeudi 17 juillet 2014

Aujourd’hui, peu de différence, si ce n’est que cette fois Manon préfère se faire enculer par son frère pendant qu’elle s’occupe de la langue et des doigts de sa mère plutôt que de la laisser se branler seule en les regardant. Puis ils paressent au soleil et dans la piscine jusqu’au soir.

Pour le diner, ils décident de commander des pizzas pour ne pas avoir à cuisiner.

En attendant, ils se font un petit apéro et Théo bande dur car depuis un moment il chauffe sa mère. Elle finit par se faire prendre en levrette à genoux sur le tapis du salon, accoudée confortablement sur le canapé sans attendre la livraison. C’est à ce moment que la sonnette retentit. Manon se lève de son fauteuil et leur dit :
— Ne vous dérangez pas, finissez ce que vous avez commencé, je m’en occupe.

Elle va dans l’entrée et ouvre, toujours à poil. C’est bien évidemment Julien qui reste un peu interdit, même si c’est ce qu’il espérait trouver en arrivant. Manon l’accueille :
— Tiens, bonjour. Puisque tu m’as déjà rencontrée dans cette tenue, je pense que ça ne te gêne pas.
— Euh… non, pas vraiment.
— Tiens, sois gentil.Tu veux bien les poser sur la table du salon ?
— Oui, pas de problème.
— Y a juste ma mère et mon frère.
— Je suppose qu’ils sont nus eux aussi, non ?
— Pourquoi ? Ça te gêne ?
— Euh, non, ça va. Je m’en doutais un peu.

Julien entre donc complètement et Manon referme la porte. Il se dirige vers le salon et tombe sur les deux en pleine action. Il s’arrête mais comme ils sont tournés, ils n’ont pas remarqué sa présence et s’en donnent à cœur-joie. de là où il se trouve, Julien voit le dos de Théo qui donne des grands coup de bassin pour pilonner Valy Manon lui montre la table basse et il finit par y déposer les deux cartons. Il est maintenant très près et et trois quart derrière les deux protagonistes. Il voit mieux maintenant ma cousine dont les seins ballotent tandis que les hanches de mon neveu viennent buter en cadence contre les fesses de sa mère. Julien n’ose pas bouger mais Manon le réveille en lui touchant le bras et lui fait signe de revenir avec elle dans l’entrée.

Une fois tous les deux seuls, il demande enfin :
— Tu m’a dit que c’est ta mère et ton frère ? Mais là ils étaient en train de…
— Ben oui, on est tous très proches dans la famille. Bon, merci encore et à la prochaine.

Encore tout secoué par sa vision, Julien s’éclipse sans chercher plus et Manon referme la porte. Puis elle retourne rejoindre les deux autres qui sont en train de conclure. Elle attend qu’ils aient fini de manifester leur contentement puis annonce :
— Allez, à table avant que ça refroidisse !

Pendant qu’ils mangent, elle leur raconte ce qu’elle a fait avec le livreur. Sa mère la gronde un peu pour le principe de les avoir fait mater sans qu’ils le sachent, mais ça manque de conviction. En fait elle se demande si elle n’aurait pas été tentée par une éventuelle participation de Julien. A voir pour la prochaine fois.


Vendredi 18 juillet 2014

En fin de matinée, tranquille elle aussi comme les autres, la sonnette retentit. En principe c’est la livraison du colis que j’ai commandé. Donc Valy va ouvrir franco car je lui ai dit que le préposé de Colissimo m’a déjà vu plusieurs fois à poil et elle ne résiste pas à l’envie de s’exhiber un peu devant lui. Mais là c’est une jeune femme qui est devant la porte. Comme elle a elle aussi une tenue de la Poste, Valy joue le jeu et lui demande :
— Tiens, ce n’est pas le livreur habituel ?
— Euh… non madame, il est en vacances, je fais le remplacement. Mais… euh… vous êtes toute nue ?
— Bien observé. Mais votre collègue s’est habitué depuis longtemps au fait que nous somme naturistes, alors je ne me suis pas embarrassée de me couvrir, croyant que c’était lui.
— Ah bon. Mais…
— Oh, maintenant qu’on y est, et on est entre femmes, alors…

La préposée est un peu déstabilisée mais elle lui tend le colis et le support pour la signature de livraison. C’est le moment que choisit Manon pour venir voir ce qui se passe. Elle arrive en se caressant négligemment un téton et elle aussi est un peu déçue de voir que ce n’est pas un livreur de genre masculin. Mais elle reste tout de même en continuant de se toucher légèrement et ça rajoute à l’émoi de la jeune postière qui ne s’éternise pas et s’en va prestement tandis que Valy referme la porte.

L’après-midi, Valy rappelle que je leur avais proposé de ne pas se gêner pour utiliser nos quelques jouets. Il décident donc de les essayer. Pour commencer, ma cousine et sa fille prennent des vibros pour faire monter l’excitation sur leur clito. Théo se contente de les regarder en bandant et fait l’effort de ne pas se branler. Puis viennent des pénétrations manuelles avec des bites factices de différentes tailles. Théo a maintenant sa main qui s’agite sur sa bite et prévient qu’il ne va pas tenir longtemps . Sa sœur vient s’occuper de lui à genoux entre ses jambes pendant que sa mère se met derrière lui et lui explore la rondelle avec un doigt pour le lubrifier puis un petit gode pour le préparer à plus. Il éjacule rapidement et inonde le gosier de sa sœur.

Un peu de repos, puis les expérimentations reprennent. Les tests se terminent quand Manon qui a un gode derrière et un autre qui vibre devant encule avec un strapon son frère qui en fait de même à leur mère qui a elle aussi un gode vibrant dans sa chatte. Tout le monde jouit en cœur et Théo se lâche au fond du boyau maternel.

Pour continuer à assouplir leur sphincter, ils décident de porter tous les trois un plug anal jusqu’à notre retour.


Samedi 19 juillet 2014

Ce matin, le plug anal donne la trique dès le réveil à Théo. Aussi, contrairement aux jours précédents, il n’attend pas et vient immédiatement se plaquer dans le dos de sa mère qui prépare le petit-déjeuner à la cuisine et la fait pencher sur le plan de travail pour l’embrocher sans préparation. Heureusement, elle-même est aussi excitée pas son propre plug et l’intrusion se fait sans mal car elle mouille déjà abondamment.

Il la baise en levrette et son pubis vient pousser le plug à chaque coup, ce qui ajoute au plaisir de sa mère. Manon débarque à ce moment et lui demande de se retenir car elle veut sa part. Comme Valy jouit assez vite, il se dégage et reprend la même position avec sa sœur qui s’est elle aussi accoudée au plan de travail. Elle aussi jouit assez vite et il sort sa queue pour lui asperger les fesses avec ses giclées de foutre.

En fin de matinée, Marie-Lou vient les rejoindre pour le week-end. Ça commence tranquillement avec le déjeuner puis un tour dans la piscine. Ma tante ne manque pas de remarquer les plus qui ornent les rondelles de sa fille et de ses petits-enfants. Mais c’est quand ils sont tous étalés au soleil que ça démarre vraiment. C’est Théo qui se propose pour passer de l’huile solaire sur sa grand-mère. Elle reste sur le dos, voulant d’abord bronzer devant. Evidemment il bande en lui massant la chatte les seins. Il malaxe longuement ces belles doudounes confortable et en triture les cabochons. Si bien qu’elle ne proteste pas quand il glisse sa queue entre les deux et s’en sert pour se procurer un branlette espagnole. Elle lui passe un coup de langue quand le gland vient à portée de ses lèvres dans ses va-et-vient. Puis son sperme vient rejoindre en abondance l’huile solaire sur la poitrine de son aïeule. Elle ne s’essuie pas et au contraire l’étale largement sur toute la surface.

Il a tenu assez longtemps car Valy et Manon ont eu le temps de s’occuper l’une de l’autre, se contentant d’un petit doigtage pendant le passage de l’huile de protection.

En fin d’après-midi, qui est resté assez calme en prévision des festivités probables du soir, Marie-Lou fait remarquer que le groupe est un peu trop déséquilibré. Valy propose alors qu’un d’entre elles se transforme en mâle jusqu’au lendemain. Elles font un tirage au sort et c’est Manon qui est désignée par le sort. Elle va piocher dans le stock de jouets qui a réintégré notre tiroir réservé et revient harnachée d’une belle queue bien droite. Comme ça, elle ressemble encore plus à son jumeau, si ce n’est que sa bite factice est plus grosse que la vraie de son frère.

Ça lui permet avec son frère d’offrir des doubles à leur mère et à leur grand-mère.


Dimanche 20 juillet 2014

Manon a dormi avec sa bite de substitution, mais elle la donne à sa mère qui doit prendre le relais. Il est entendu qu’ils se retiendront pour garder tout leur potentiel pour notre retour maison. Donc rien ne se passe dans la matinée et Théo qui s’était levé en grande forme finit par débander à force de rester tranquille.