Eté 2014 : Le retour de ma cousine (3)

Dimanche 6 juillet 2014

La matinée est bien avancée quand Ber et moi sommes les premiers debout. Nous commençons à préparer le petit-déjeuner et nous entendons remuer un peu partout du côté des chambres. Maintenant que nos invités se sont bien fait à nos strings, nous passons au cran supérieur. Ber a mis un string ficelle bleu avec un petit triangle derrière au raccordement des trois cordons tandis que j’ai sélectionné un cache-sexe noir brillant avec un tout petit triangle avant et trois ficelles élastiques fines. Il donne une belle vue sur le haut de mon pubis et confirme qu’il n’est pas trop chargé de poils.

C’est Théo qui se pointe le premier, avec encore un short de bain pas trop large. Il bloque un peu sur la taille de mon string, mais essaie de na pas trop s’y attarder. Il est rapidement suivi par sa mère et sa grand-mère. Ma cousine a écouté mes conseils du soir et a mis le string-ficelle blanc à rayures bleus que je lui ai préparé dans sa chambre. Ma tante l’a suivie et a enfilé celui destiné à son usage, avec des cordons à nouer sur les côtés avec un motif cachemire dans des tons orangés.

Pendant ce temps, les filles sont déjà levées mais ont d’autres choses à faire avant de nous rejoindre. Je le saurai plus tard lorsque Lola viendra m’aider dans la cuisine après le petit-déjeuner. Ce matin, Lola est la première réveillée des deux. Elle commence la journée par une nouvelle branlette dont les secousses finissent par porter leurs fruits en réveillant Manon. Celle-ci émerge enfin et réalise ce qui se déroule à côté d’elle. Elle hésite, puis elle finit par faire pareil.

Une fois qu’elle se sont bien fait plaisir, Lola rappelle à Manon qu’elle a promis de se laisser retailler la touffe. Elle a entendu du mouvement dans le couloir mais comme c’est calme maintenant, elle se doute que tous les autres sont levés et ont quitté les chambres. Elle entraine donc Manon vers la salle de bains avant qu’elle ait eu le temps de réaliser qu’elles sont toutes deux encore à poil. Elle la fait installer au bord de la baignoire pour se charger de l’opération. Manon se laisse faire en confiance et Lola n’en profite pas pour aller plus loin et n’essaie pas de la tripoter plus que nécessaire. Manon proteste tout de même un peu en voyant le résultat :
— Mais… on avait dit : pas trop. Et tu m’a rien laissé !
— Eh oui, finalement je me suis dit que le ticket de métro était un peu trop large, alors je l’ai rétréci et puis de fil en aiguille…
— Ouais, bon… C’est ce que tu comptais faire dès le début, non ?
— OK, j’avoue ! Mais reconnais que ça te va aussi bien qu’à moi.

Manon en prend donc son parti et reconnait même que c’est pas mal. Elle tique cette fois au moment où Lola ouvre la porte de la salle de bains :
— Mais, on va pas sortir comme ça dans le couloir ?
— Ben, on était déjà à poil quand on est venue tout à l’heure, non ?
— Ah oui, c’est vrai, j’y avais pas fait attention…
— Alors, hop, allons-y !

Et donc, elles retraversent le couloir totalement nues. Une fois dans la chambre, Lola choisit un string-ficelle pour elle-même. Sachant qu’elle va me trouver dans une tenue plus réduite qu’hier, elle en prend un assez mini, dévoilant la majeure partie de son épilation totale. Elle réussit à persuader Manon de mettre presque le même, un dont le triangle vert clair avant est à peine un peu plus grand. Une fois équipées, elles sont donc les dernières à faire leur apparition. Manon a les pommettes rouges et j’en aurai l’explication plus tard dans la cuisine. Théo est soufflé par toutes ces peaux dénudées offertes à sa vue.

Le petit déjeuner fait une diversion car nous sommes assis et seules les poitrines peuvent distraire notre jeune mâle. Je fais signe à Lola de m’aider à débarrasser et je profite de l’occasion pour la questionner sur sa nuit avec Manon. Elle me raconte tout ce qui s’est passé, à savoir les branlettes entre filles, l’épilation. Sans oublier Théo en train de nous mater. Au passage elle m’informe que notre jeune a l’air d’avoir une bite pas trop grosse. Je compte bientôt vérifier cette information.

Puis nous nous installons pour une nouvelle séance de bronzette. Je suggère de ne pas oublier la protection solaire et chacun se tartine avant de s’affaler dans les transats. Sauf évidemment Ber dont la peau n’a jamais eu besoin de produits pour ne pas att****r de coup de soleil. Nous laissons le temps s’écouler en silence, puis vient le moment où je décide de suggérer à notre petite assemblée que le soleil a bien doré le devant et qu’il serait temps de changer de côté.

Tout le monde émerge de sa torpeur et je vois ma cousine se lever la première pour prendre le matelas et le poser au sol. C’est l’occasion rêvée de tenter une petite attaque. Je lui propose de venir l’aider en lui tartinant le côté pile. Elle n’y voit aucun inconvénient et se place la première sur le ventre. Pendant ce temps, Lola propose à ma tante de lui rendre le même service et elles s’installent pour agir de même. Ber étant hors-jeu pour la question de protection solaire, il ne reste donc plus que les jumeaux. Manon ayant été plus prompte à s’installer, c’est Théo qui s’y colle.

Je fais ça très bien, sans aller trop loin, mais sans non plus me gêner de lui passer bien de l’huile partout, y compris le long de la ficelle arrière du string. Valy a l’air d’approuver car non seulement elle ne proteste pas, mais je sens ses cuisses s’écarter juste un peu plus. De son côté, Lola qui me voit faire ne se prive pas de passer elle aussi ses doigts dans la raie de Marie-Lou qui est un peu surprise au début mais se laisse faire. C’est plus dur pour Théo.

Il commence facilement par les épaules et le dos de sa sœur mais passe très brièvement sur ses fesses pour aller s’occuper plus longuement des jambes. Il est à ce moment à genoux au-dessus des chevilles de Manon et je lui fais presque face dans la même position. Je sens bien qu’il a envie de tripoter les globes qui lui sont proposés sous son nez, mais qu’il hésite car c’est sa sœur. Je fais alors en sorte d’attirer son attention et de lui montrer l’exemple en malaxant sans retenue les fesses de sa mère tout en lui faisant un mouvement de menton qui lui signifiait bien de faire pareil. Finalement il se lance et s’attarde sur le postérieur de sa jumelle. Je perçois un renflement de plus en plus évident devant son maillot.

L’opération ne peut tout de même pas s’éterniser et nous inversons les rôles pour que tout le monde soit protégé. Valy me rend la monnaie de ma pièce en me caressant la rondelle au passage, Marie-Lou reste soft apparemment et Manon s’occupe de son frère un peu moins puisqu’il a un maillot qui cache ses fesses.

Au déjeuner, pour changer des grillades de viandes, ma tante vient m’aider à préparer une grosse salade composée et pour dessert je sors des glaces. Puis les filles vont se poser à côté de la piscine pendant que ma tante et ma cousine se chargent de débarrasser de la table. Ber propose de les aider à faire la vaisselle. Je profite que tous les trois s’évacuent vers la cuisine pour suggérer à Théo :
— Dis donc, depuis ce matin, t’es le seul à pas être en string. Tu veux pas en mettre un pour qu’on soit tous à égalité ?
— Euh, je sais pas. J’en ai jamais porté.
— Eh bien, c’est l’occasion d’essayer ! Ber t’en prêtera volontiers un.
— Oui, mais…
— Quoi ?
— Ben, tu sais, ça cache pas grand chose. Et si je…
— Quoi, si tu bandes ?
— Euh… oui, c’est ça le problème.
— Mais non, et tu sais, tu peux en parler librement avec moi, je suis très ouverte.
— D’accord.
— Pour ce qui est des risques, d’abord je t’en prêterai un assez grand. Donc ça sera comme avec un maillot normal mais avec les fesses dégagées. Allez, viens voir !

Je l’entraîne donc sans le laisser trop réfléchir jus qu’à notre chambre où j’ouvre un tiroir et farfouille un peu. Je trouve assez vite ce qu’il faut : un des anciens strings que Ber ne met presque plus car il est avec des côtés à liens coulissants rejoignant sur un triangle arrière assez imposant une bande entre les fesses relativement large. Je le brandis sous le nez de Théo :
— Tiens, regarde, t’as certainement un maillot pour aller à la piscine et qui est presque comme celui-là, non ? La seule différence, c’est que les fesses sont un peu plus dégagées…
— Oui, c’est vrai que c’est pas comme ceux que vous portez avec seulement des ficelles et des petits triangles à l’avant.
— Donc vas-y, essaie-le !
— Euh… là ?
— Mais oui, t’en fais pas, j’en ai vu bien d’autres. Et ça sera un bon test pour savoir si tu peux te retenir de bander. Allez, exécution !

Il hésite encore un peu, puis il se décide et fait glisser son boxer en me tournant le dos. Puis il enfile le string qui n’est pas réglé à son tour de taille. Je lui demande de me laisser faire et je règle les liens coulissants des deux côtés. Le string est enfin ajusté. Je lui mets une petite tape amicale sur une fesse et lui demande :
— Bon, c’est réglé. Tourne-toi que je vois ce que ça donne.
— Euh… alors ?
— Ça te va très bien ! Et tu vois, pas d’alerte dans la poche avant, n’est-ce pas ?
— Oui, c’est vrai que je m’en était fait tout une histoire, mais en fait je me rends presque pas compte de la différence.
— Tiens, regarde-la donc dans le miroir, la différence ! Mignon, non ?

Il regarde par-dessus son épaule dans la glace de l’armoire et reconnait que c’est finalement pas mal. Nous quittons la chambre et retournons à l’extérieur. Ce sont Lola et Manon qui ont la primeur quand il les rejoint dans la piscine où elles se sont installées pendant notre absence. Je plonge aussi. Nous barbotons un peu en attendant le retour des trois autres. Il arrivent enfin et je note que ma tante a l’air un peu troublée. Valy a aussi un air un peu emprunté tandis que Ber arbore un grand sourire. Je parie qu’il s’est passé des choses à la cuisine, je demanderai plus tard.