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Eté 2014 : Le retour de ma cousine (7)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 21/07/2023

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Lundi 7 juillet 2014

Ce matin, Valy a rendez-vous avec une agence immobilière pour visiter des appartements. Ensuite elle a décidé d’aller terminer le rangement de leurs affaires chez Marie-Lou. Elle a un programme identique pour demain et mercredi, donc elle dormira chez sa mère et nous laisse les jumeaux jusque là. Elle part alors que les jeunes dorment tous encore. Avant ça, elle a laissé Ber lui enlever le string qu’elle avait enfilé et elle est partie à poil sous sa robe d’été après lui avoir un peu flatté la bite qui n’attendait que ça pour se réveiller.

Les premières à émerger sont les filles. Après que chacune se soit offert une petite branlette matinale, Lola n’a pas eu de mal à convaincre Manon de rester à poil d’entrée de jeu. Je constate d’ailleurs dès son arrivée qu’elle est bien moins gênée par l’ambiance et qu’elle ne se prive pas de regarder en direction des attributs de Ber, même si pour le moment sa bite est tranquillement redevenue demi-molle.

Théo est le seul a débarquer avec un short, mais je le persuade rapidement de se mettre lui aussi à poil. Comme la matinée est déjà bien avancée, nous faisons juste un gros brunch avant de piquer une tête dans la piscine. Puis nous nous étalons au soleil. Comme tout le monde sèche très vite, je suggère l’emploi de crème de protection et c’est l’occasion de pousser un peu plus loin.

Je prends les devants en demandant à Thé et Manon de se mettre sur le ventre sur des matelas. C’est marrant, mais dans cette position, on n’arrive presque pas à savoir qui est qui tellement ils se ressemblent de dos : mêmes fesses petites et rondes, même hanches peu marquées, même silhouette et pratiquement la même coupe de cheveux de la même blondeur. Je me place au-dessus de Théo et commence à l’enduire depuis les épaules, comme d’habitude.

Lola en fait de même avec Manon et se synchronise sur ma progression vers le bas. J’attends rapidement les fesses que j’effleure tout juste, me décalant pour remonter à partir des chevilles. Quand je rejoins le haut de ses cuisses, c’est la que je commence vraiment mon massage. D’abord en m’égarant largement entre ses cuisses jusqu’à la jonction des fesses, puis en remontant franchement sur elles. Au passage, j’ai un peu senti le contact de mes doigts sur ses couilles. Là, je m’attarde à bien les malaxer sans me priver de m’insinuer dans son sillon. je le sens un peu se crisper en subissant ma caresse osée. Juste à côté, Lola fait subir le même traitement à Manon qui a l’air de mieux le prendre. Alors que j’effleure la rondelle du garçon, ma fille va jusqu’à descendre plus bas. A ce que je vois, ses doigts se promènent dans la fente de sa cousine.

Je mets fin au supplice de mon cobaye et m’allonge à mon tour en lui demandant :
— Bon, à toi maintenant de t’occuper de moi.
— Euh…
— Quoi, tu peux bien me rendre ce service, non ?
— Oui, mais…

Je tourne la tête et le vois à genoux, ne sachant pas comment cacher son érection :
— Ah, c’est pour ça ? T’inquiète, c’est normal et ça me gêne pas du tout.

Il se lance donc, à cheval sur mes jambes. Le spectacle doit valoir le coup, lui en train de me masser le dos avec sa bite à l’horizontale au dessus de mes fesses. A côté, Manon à je té un coup d’œil sur son frère dans cet état et fait moins de chichis à s’occuper de Lola. Quand ils arrivent à notre partie sud, Lola et moi écartons un peu plus les cuisses pour leur donner une meilleure vue et un passage plus aisé.

Finalement, Théo à l’air d’y prendre goût car il se donne à fond sur mes fesses, sans toutefois oser le toucher au fond du sillon. Mais dans notre configuration, il ne peut manquer de voir tous les détails de ma rondelle juste sous son nez. Un regard de Lola me fait comprendre que Manon est peut-être allée plus loin.

Enfin je remercie Théo et il arrête, peut-être à regret, pour revenir se poser à plat ventre au soleil près de nous, comme sa sœur par ailleurs. Nous restons un bon moment sans rien faire d’autre que nous abandonner aux rayons qui nous chauffent. Puis je me lève et propose d’aller chercher de quoi nous rafraîchir le gosier.

Quand je reviens avec le nécessaire, ils se sont tous installés dans les transats et je les sers avant de m’y assoir aussi. C’est Ber qui relance la machine :
— Dis donc Théo, ça avait l’air de te faire de l’effet de te faire masser par Caro. Et encore plus de la masser toi aussi !
— Euh, je suis désolé…
— Mais non, c’est si t’avais pas bandé que ça aurait été anormal, vu les circonstances. Avoue que t’as bien aimé ça…

D’en parler, la bite de Théo se réveille et reprend de l’ampleur et de la hauteur. Il panique un peu mais réalise que nous ne nous en formalisons pas, et que sa sœur non plus. Il se laisse donc aller et Ber reprend son propos :
— Tu vois, ça c’est normal. D’ailleurs regarde, moi aussi !

Et effectivement, Ber qui a pas mal de contrôle sur ça commence lui aussi à nous présenter une érection naissante qui grandit rapidement. Il poursuit :
— Et voilà, pas de pudibonderie ici !
— Euh oui, je vois. Vous avez l’air vraiment très libres avec ça ici. Moi, ça m’était jamais arrivé avant de bander en public.
— Eh bien, plus la peine de te retenir, au moins avec nous.

Je taquine Manon qui bloque sur ces deux tiges dressées devant elle :
— Et toi, c’est pareil ? T’avais jamais vu de sexe en érection avant ?
— Euh, non. Enfin, pas en vrai avant hier. Etre puis d’abord mon frère, puis Ber…
— Et ça te choque ?
— J’aurais crû, mais finalement pas tant que ça.
— Tu vas voir, tu vas t’y faire.

Il est temps de manger et contrairement à Théo qui a fini par redescendre presque entièrement, Ber met un point d’honneur à nous exhiber sa bite bien raide et décalottée en faisant le service, la passant plusieurs fois sous le nez de Manon. Il se calme un peu pendant l’après-midi pour garder des forces car nul n’est immortel dans ce domaine.

Au moment des douches, je constate que Théo qui était de nouveau en érection à cause de mes jambes grandes ouvertes face à lui revient calmé de la salle de bains. Il a certainement fini par se vider les couilles pour évacuer la pression.


A suivre…
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Histoire de Hannapurna

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Commentaires du récit : Eté 2014 : Le retour de ma cousine (7)

Le 23/07/2023 - 17:54 par michelle2
j'attends la suite
Le 22/07/2023 - 13:43 par Levigeant59
Sympa, c est très prenant

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