Eté 2014 : Le retour de ma cousine (8)

Lundi 7 juillet (suite)

Le soir après le dîner, nous leurs demandons de discuter un peu de tout ça avant d’aller nous coucher. Je fais assoir Ber et Théo dans le canapé en me plaçant entre eux tandis que Lola et Manon se mettent comme les autres fois dans les fauteuils. J’entame la conversation par l’essentiel, sans rentrer dans les détails :
— Voilà, vous avez pu remarquer qu’on est assez libres avec les questions de nudité et de sexe chez nous. Sachez simplement qu’avant votre naissance, votre mère aussi, comme vous avez pu l’entrevoir hier soir.
— Oui, maintenant que j’y repense, quand on était petits Théo et moi, il nous arrivait d’être nus à la maison avec elle. Mais ça fait longtemps que c’était pas arrivé.
— Oui, je sais, elle m’a raconté que c’était surtout votre père qui n’aimait pas ça. Et pourtant, au début où on le connaissait, c’était pas le dernier à se montrer en pleine érection devant nous.
— Quoi ? Papa ?
— Eh oui, et puis il a changé. Dommage pour lui.
— Ben dis donc. T’entends Théo ?

Théo n’en dit pas plus. J’ai ma main sur sa cuisse et tout ça contribue à le remettre en forme. Mon autre main, caresse doucement le pubis de Ber. Je reprends:
— Bon, donc ici, pas de tabou, mais une règle importante, le respect des autres. On ne force personne à rien mais on laisse faire : vivre et laisse vivre. Ça vous va ?

Les deux hochent la tête et je mets immédiatement cet accord en pratique :
— Par exemple, Théo, j’ai bien envie de toucher ta bite pour voir si elle est aussi dure qu’elle en a l’air. Mais si tu dis non, je le fais pas. Alors ?
— Euh, oui, tu peux.

Ça m’aurait vraiment étonnée qu’il me dise non. Aussi je prends sa tige en main et je la serre un peu, sans la branler, juste un premier contact :
— Ouah, un vrai bout de bois ! Chapeau.

Mon autre main va se perdre sur les couilles de Ber qui n’attendait que ça pour bander lui aussi. Je lui caresse ouvertement les boules pendant que son gland pointe le bout de son nez en haut du prépuce. Je le prends alors en main et tire vers le bas pour le décalotter entièrement pendant que j’ai toujours l’autre bite dans ma main gauche. J’hésite à les branler mais ce serait un peu beaucoup pour une première approche. Aussi je les relâche et c’est Ber qui clôt l’épisode en se levant :
— Bon, maintenant qu’on est dans cet état, il serait temps d’aller en profiter. Tu viens, Caro ? Il y a une livraison urgente pour toi dans la chambre. Quant à toi, Théo, tu ferais bien d’aller te branler, ce serait dommage de perdre cette occasion.

Tout en disant ça, il prend lui-même sa queue en main et commence quelques va-et vient lentement pendant que je me lève en faisant un clin d’œil en direction des jeunes. Nous prenons la direction de notre chambre et il me suit, intercalant au vu de tous son autre main entre mes fesses tout en continuant sa petite branlette cool. Dès que nous y sommes, nous fermons la porte et allons attendre que du bruit se manifeste côté extérieur, comme prévu si Lola joue bien son rôle.

Au salon, ça commente fermement ce qu’il vient de se passer. Manon est soufflée :
— Putain, ils y vont cash tes parents. T’as vu ton père quand ils sont partis ?
— Oui, mais j’ai l’habitude de le voir se toucher un peu.
— Un peu ? Et ta mère, elle a failli le branler carrément devant nous et Théo avec !
— Oui, ça aurait été amusant, non ? Avoue que ça t’aurait plu, Théo…
— C’est sur, mais là, devant tout le monde…
— A propos de ça, Théo si tu t’en occupais maintenant qu’ils sont partis ?
— Euh, maintenant ?
— Ben oui, c’est pas comme si on t’avait pas déjà vu le faire hier soir.
— Oui, mais là ? Dans le salon ?
— C’est pas plus excitant ? Tiens, on va suivre nos règles familiales : ça te dérange si c’est moi qui te le fais ?

Sans attendre la réponse, elle se place à genoux devant Théo toujours assis dans le canapé et empoigne sa bite. Comme il ne proteste pas, elle le branle directement sur toute la longueur. Une fois bien lancée, elle tourne la tête et demande à Manon :
— Dis, t’as pas envie de venir m’aider ?
— Euh, non. C’est mon frère tout de même.
— OK, mais que ça t’empêche pas de te branler en nous regardant si ça te chauffe.

A ce régime, Théo commence rapidement à haleter. Lola sent les signes de sa venue prochaine et stoppe son mouvement en suggérant :
— Tiens, j’ai une autre idée. Suivez-moi !

Elle les entraîne vers sa chambre et ferme sa porte assez fort pour nous avertir. Puis les fait sortir par sa porte-fenêtre pour les amener près de la notre tout en leur faisant signe de bien rester silencieux. A l’intérieur, nous avons commencé notre séance dès que nous avons entendu le bruit de la porte. Nous sommes en position de levrette bien de profil pour qu’ils en profitent sous le meilleur angle.J’en rajoute en ne restant pas silencieuse pendant que Ber me pilonne. En fait, je n’ai pas trop à exagérer car de savoir que les deux jeunes nous matent, ça m’excite énormément.

A l’extérieur, Manon se doigte le clito tandis qu’à côté d’elle Lola est collée dans le dos de Théo et le branle de nouveau. A ce régime, il lâche une première bordée bien fournie qui s’écrase au sol. Mais il ne faiblit pas trop et Lola remet ça après une petite pause. Il faut dire que de notre côté nous continuons notre programme. Ber sort de mon vagin pour que je le suce un peu histoire de faire de la démonstration, puis je lui demande de m’enculer et il se replace derrière moi pour m’investir le boyau en douceur. Il me ramone le temps de me faire jouir, puis je me dégage et me place dos sur le lit et il vient se branler au-dessus de moi pour m’éjaculer sur le ventre et les seins, avec un peu d’éclaboussure sur le visage.

Dehors, les jeunes ont continué la même action et Lola a réussi à traire Théo une deuxième fois, mais en moindre quantité. Elle remarque que Manon est plus engagée que la veille et que ses doigts ne restent pas dehors sur le clito mais investissent complètement son intimité. Estimant qu’ils avaient déjà vu l’essentiel, elle les rapatrie vers sa chambre où c’est Théo qui commence les commentaires :
— Ouf, ils sont chauds tes parents !
— Je vous l’avais dit, non ? Et encore, là c’est rien.
— Quoi ? T’as déjà vu faire plus ?
— Ben oui, comme ma mère a dit, pas de tabou. Du coup, c’est souvent qu’ils se lâchent un peu, même dehors sur la terrasse en plein jour et dans le canapé le soir.
— Non ? Devant toi ?
— Comme je te dis, on est très libérés sur ce plan. Et moi aussi.
— Toi aussi ?
— Ben oui, ils m’ont jamais empêchée de me branler devant eux.
— Ouah, c’est chaud !
— Oui, je vois. T’es reparti pour un troisième tour, on dirait ?

En effet, de parler de tout ça l’a remis en érection. Lola propose de s’en servir :
— Et si on en profitait pour continuer l’éducation sexuelle d’hier soir ? Manon ?
— Euh, oui, quoi ?
— Eh bien, reprends où t’en étais hier.

Trop excitée par la soirée, Manon s’y met plus volontiers que la veille et referme ses doigts sur la hampe de son frère. Puis elle suit les instructions de Lola qui lui fait explorer les autres parties. Elle caresse timidement les couilles, puis le gland encore humide de foutre. Quand Lola lui demande de le branler un peu, elle résiste un peu :
— Mais, c’est mon frère. Ça va un peut trop loin, non ?
— Mais non, dis-toi que c’est juste un mannequin d’expérience. et de toute façon, tu l’as déjà en main. Alors que tu le tienne sans bouger ou que tu fasse un peu de mouvement, quelle différence au point où on en est ?

Manon se rend aux arguments de Lola et entame une petite masturbation de son frère qui est aux anges. Voir sa sœur à genoux devant lui en train de lui secouer la bête, il n’aurait jamais imaginé. Du coup, ça l’excite à mort et il ne prévient pas quand le reste de sève monte. Il éjacule sans prévenir et le peu de sperme qui restait dans ses stocks va mollement garnir la menton et l’absence de poitrine de Manon. qui lâche tout sous la surprise. Penaud après que la tension soit retombée, Théo se retire vers sa chambre en balbutiant de vagues excuses.

Les filles ont moins joui que lui et dès qu’il est parti, Lola va chercher les deux godes dans le tiroir et suggère à Manon de se faire un peu plus de plaisir. Allongées côte-à-côte sur le lit, elle constate que Manon reste encore juste à jouer des vibrations sur le clito. Elle décide donc de l’aider à aller plus loin :
— Dis, Manon, pourquoi tu reste dehors avec ce jouet. C’est fait pour aller dedans.
— Je sais, mais j’ai jamais fait.
— Quoi, même pas avec les doigts ? Pourtant il m’a semblé tout-à-l’heure, dehors…
— Oui, avec les doits, j’ai déjà fait, mais pas plus.
— Eh bien, à part le diamètre, c’est pareil. C’est même meilleur. Laisse-moi faire.

Et elle prend le gode de la main de Manon pour commencer à le promener sur toute sa fente, de l’anus au clito. Manon gémit de plus en plus, aussi Lola pointe l’engin sur l’entrée du vagin et entre progressivement le gland factice. Elle cherche une éventuelle résistance de l’hymen, mais apparemment Manon l’a déjà défloré auparavant dans ses branlettes manuelles. Donc elle pousse jusqu’à la garde et Manon ne tarde pas à vibrer elle aussi à fond, obtenant un superbe orgasme un peu sonore.

Lola lui demande de lui rendre la pareille, et elle ne peut refuser après le plaisir qu’elle vient de ressentir. Puis toutes deux se calment enfin et s’endorment. Mine de rien, il est déjà trois heures passées.


A suivre…