Eté 2014 : Le retour de ma cousine (9)

Mardi 8 juillet 2014

Après cette nuit bien mouvementée, tout le monde se lève très tardivement. Plus aguerris, Ber et moi sommes les premiers levés et nous prenons juste une petit en-cas en attendant les jeunes pour préparer tranquillement ce qui sera un vrai gros brunch, vu l’heure.

Lola et Manon sont les suivantes à émerger un peu avant onze heures. Elles s’installent dans les transat et je commence à apporter tout le nécessaire sur la table basse de jardin. je vois Lola se pencher vers Manon au moment où je disparais dans la cuisine où Ber finit de faire chauffer de l’eau pour le thé et surveille la cafetière. Quand je ressors, comme je m’y attendais, Lola est en train de se masturber paresseusement. je fais comme si de rien n’était. Je lui dis juste :
— Tiens, tu es déjà bien en forme ce matin !
— Oui, c’est même ça qui m’a réveillée.

A côté d’elle, Manon essaie de ne pas trop focaliser sur ça. Puis c’est Théo qui arrive enfin, précédé par une demi-érection qu’il a l’air de prendre plaisir à ne pas cacher. C’est bon, il s’adapte vite. Je lui fais une petite remarque :
— Salut Théo. Tu devrais peut-être songer à débroussailler ce duvet qui sert à rien.

Il ne répond pas, mais par contre il remarque Lola en train de se branler tranquillement devant tout le monde et ça achève de lui donner la trique. Mais il est temps de passer à autre chose car Ber arrive avec les boissons chaudes et froides et je finis d’installer les plats contenant les victuailles diverses, salées et sucrées. Le brunch crée une diversion qui détend un peu l’atmosphère. Mais dès que tout le monde cale, je pense qu’il est temps de passer à la suite.

Ber m’aide à débarrasser et reste à la cuisine pour faire la vaisselle. Je retourne sur la terrasse où les jeunes se sont remis en position relax dans les transat, tous en ligne face au soleil. Une bonne chose, Lola a recommencé à promener tranquillement deux doigts dans sa fente sans encore se faire remarquer par Théo, mais pas à l’insu de Manon qui est entre eux deux. Je me pose à gauche de Théo, les deux filles étant à sa droite. Je commence a faire comme ma fille en disant :
— Tu sais, Lola, ta petite branlette finit par me donner envie de faire pareil.

Théo est alerté par ma phrase et tourne la tête d’abord vers moi puis vers Lola et s’aperçoit enfin que nous sommes toutes les deux en action ouvertement en pleine lumière. Ça le met instantanément en érection, mais il n’ose pas encore se faire du bien devant tout le monde. Il ignore que je suis au courant pour ses progrès dans la chambre de Lola. Je vais donc à son secours en lui demandant :
— Je vois que tu bandes dur, alors surtout te gêne pas si tu veux te branler toi aussi.
— Euh… quand même…
— Quoi ? Tiens, si tu veux, ça me ferait plaisir de t’aider.

Je n’attends pas sa réponse et attrape à la volée sa bite. Je le décalotte directement et commence à faire des va-et-vient doucement pour commencer. Il est soufflé et donc me laisse faire, d’abord sous la surprise, puis parce que ça doit bien lui plaire. Comme Manon ne fait toujours rien et s’exorbite sur mon action, Lola lui souffle :
— Et toi, tu nous rejoins pas ? Ça t’excite pas de voir ma mère branler ton frère ?
— Euh, oui, un peu, mais…
— Mais quoi ? C’est un peu mieux que quand on l’a fait dans ma chambre, non ?

Là, j’interviens tout en continuant la masturbation de Théo sur le mode tranquille :
— Vous avez fait quoi dans ta chambre ?
— Oh rien, juste des branlettes, chacun de son côté d’abord, puis j’ai fait gicler Théo et ensuite Manon a fini par essayer elle aussi pour voir ce que ça faisait.
— Ah bon , Eh bien bravo les jeunes. Donc plus de raison de vous gêner maintenant.

Manon se rend enfin à ces arguments et se joint à l’action générale en se caressant timidement le clito. C’est le moment où Ber revient de l’intérieur après avoir terminé la vaisselle. Il a certainement regardé d’abord discrètement où on en était car il arrive avec une bite décalotté et bien raide un peu au-dessus de l’horizontale :
— Dites, je vois que vous profitez bien. Vous auriez pu m’attendre !

Il s’approche en se prenant en main, mais Lola le stoppe dans son début d’action :
— Si tu veux bien, j’aimerais te le faire moi.
— Avec grand plaisir !

Il s’approche donc du transat de notre fille qui l’empoigne et commence illico ses aller-retours sur toute la longueur alors qu’il reste debout à côté. Dans cette position, son sexe pointe directement vers la tête de Manon juste à faible distance. Celle-ci ne se cache même pas de le regarder droit les yeux dans le gland. Lola lui demande :
— Dis Manon, tu disais hier soir que sa queue te fascinait. Tu la vois mieux là, non ?
— Euh, oui, mais quand même, là, tu branles ton père ?
— Oui, c’est pas la première fois. Il adore ça et moi aussi, alors pourquoi se priver ?
— Ah… OK, mais ça fait un peu bizarre, non ?
— Et tiens, c’est le moment où jamais pour toi de la toucher, tu crois pas ?
— Euh, là ?
— Ben oui, avoue que t’en crève d’envie. Allez, mon père te donne l’autorisation !

Manon envoie alors timidement une main vers cet objet qui la tente et se décide enfin. Elle referme sa petite main sur le calibre imposant de cette tige et les serre un instant sans bouger, puis elle ose enfin faire de petits mouvements de faible amplitude. Elle regarde alternativement les réactions de Lola et de Ber, mais comme ils lui font des mines encourageantes, elle continue un peu plus franchement. Sa manipulation prend de l’assurance et Lola lui suggère d’explorer un peu les autres parties. Suivant ses directives, elle lâche la hampe pour aller tâter les couilles puis elle va passer ses doigts sur la peau douce du gland qui est lubrifié par une goutte de liquide séminal. Mais alors qu’elle revient à la branlette elle-même, Ber l’arrête :
— Merci Manon, c’est très bien, mais j’ai pas envie d’aller au bout maintenant. Je préfère garder mes munitions pour plus tard. Sinon, je peux t’assurer que tu te débrouilles déjà pas mal avec tes mains.

Un qui ne garde pas ses munition pour plus tard, c’est Théo. D’avoir vu Lola branler son père, puis sa propre sœur prendre le relais, ça lui a déclenché des spasmes que j’ai senti de plus en plus impétueux. J’ai donc anticipé la fin et me suis penchée sur lui pour le gober, juste à temps pour recevoir son éjaculation dans la bouche. Il gémit en déchargeant ses abondantes giclées sur mon palais et enfin se tarit. Je recrache le gland en nettoyant bien au passage toutes les traces de sperme que j’avale soigneusement. Je contemple mon travail en me félicitant ouvertement :
— Ouah, tu m’en as mis un paquet, merci ! J’avais justement envie d’un petit dessert.

C’est Manon qui n’a rien perdu de cette action et qui commente à Lola :
— J’y crois pas ! Ta mère vient de sucer mon frère, là, devant nous.
— En fait, elle l’a juste pris dans sa bouche à la fin parce qu’elle adore le sperme. Et comme ça il en a pas mis partout. Comme tu vois, il a bien aimé ça, il se plaint pas.

Je passe à autre chose pour détendre un peu l’atmosphère :
— Dis Théo, puisque tu est un peu calmé, si on t’enlevait ces poils comme on avait dit ? Viens avec moi, je vais m’en occuper.


A suivre…