Eté 2014 : Le retour de ma cousine (10)

Mardi 8 juillet 2014 (suite)

Il me suit à la salle de bains, précédé par sa queue à demi bandée. Je ne laisse pas de temps mort et le fais directement s’assoir au bord de la baignoire pendant que je prépare de la mousse avec le blaireau que le lui passe généreusement partout du pubis à l’anus sans oublier les boules. Le me sers de sa bite à nouveau raide comme poignée pour passer le rasoir tout autour et vite arriver à le débarrasser de tout poil superflu. Puis je le ronce et l’essuie. Je contemple le résultat de mon action :
— Ah, voilà ! C’est quand même mieux, non ?
— Euh… oui, ça fait drôle, on dirait moi mais quelques années avant.
— Ou ta sœur avec des choses en plus entre les jambes. Dis, ça t’a bien plu, ma branlette, hein ?
— Euh oui. je m’y attendais pas, mais c’était trop bon.
— Ça t’arrive souvent, ce genre de choses ?
— Ah non, pas souvent. même jamais avant d’arriver ici. Surtout en public…
— Donc, comme je m’en doute, t’es encore puceau ?
— Ben oui.
— Et si on s’en occupait un peu, tant qu’on y est ?
— Comment ?
— Ben, je sais pas moi. En me mettant ta bite toute mignonne dans ma chatte, par exemple. Ça te va comme façon de faire ?
— Euh, oui, carrément.
— Attends, je vais te mettre un peu plus dans l’ambiance.

Je commence à le branler un peu, puis je le suce dans les règles, avec léchage du gland, mordillage des couilles, etc. Mais n’ayant pas envie qu’il parte trop vite, je stoppe et je change nos positions. je me penche sur la baignoire et lui présente mon cul en lui demandant de me prendre en levrette. Il s’approche en suivant mes instructions. Pendant qu’il met ses mains sur mes hanches, j’att**** sa bite entre mes cuisses et pointe son gland sur mon entrée principale. Il ne se fait pas prier et trouve tout seul le chemin du fond du tunnel. Puis il commence ses allées et venues.

Je ne veux pas que ça se termine trop vite, et pas comme ça. J’ai une autre idée et je demande à Théo d’arrêter. Je me retire et lui explique mon plan. Il hésite un peu, puis ses hormones le poussent à accepter d’entrer dans mon jeu.

Nous sortons rejoindre les autres qui sont tous avachis dans les transats et à qui je fais admirer l’épilation radicale de Théo, dévoilée par sa queue qui est un peu retombée en-dessous de l’horizontale. Il prend surtout plaisir à la pointer vers Manon et ça lui donne des idées qui font remonter l’engin assez vite. Il s’assoit à côté de sa sœur et moi à gauche de lui en bout de rangée de transats. La queue bien dressée vers le ciel, il ne se dégonfle pas et embraye sur le scénario que nous avons monté. Il se prend en main pour se branler un peu, puis il s’arrête et me regarde en disant :
— Je peux te demander quelque chose, Tatie ?
— Oui, bien sur.
— Voilà, plutôt que de me branler, j’aimerais bien que tu me refasse ce que tu m’a fait tout à l’heure. Tu veux bien ?
— Quoi, la branlette ?
— Non, quand tu m’a pris dans ta bouche.
— Tu veux que je te suce ? Pas de problème, j’en ai bien envie aussi.

Et sans hésiter, je me lève pour me positionner à genoux entre les siens. Je tiens ses couilles dans la paume d’une main et le branle un peu de l’autre tout en léchant bien le gland avant de l’enfourner. Sa sœur juste à-côté de lui a une vue plongeante sur cette action. Elle est tirée de ce spectacle par Ber qui lui dit :
— Dis donc Manon, j’ai la trique. Et si tu reprenais comme tout à l’heure ?

Elle se retourne et voit à sa droite ce beau mandrin bien raide avec de grosses veines gorgées de sang et surmonté d’un gland décalotté et bien joufflu. Excitée par la pipe que reçoit son frère, elle ne fait pas de manières et prend en main l’engin qui lui est si gentiment offert. Cette fois, elle met plus de vigueur dans sa masturbation. Ber la laisse faire un moment puis lui propose de passer à autre chose :
— Tu sais, j’aimerais bien la même gâterie que ton frère. Ça te dit ?
— Euh, je sais pas, j’ai jamais fait ça.…
— Justement, c’est l’occasion rêvée d’essayer, non ?

Lola vient à sa rescousse en se levant pour se mettre à genoux devant Ber :
— Regarde, je vais te montrer d’abord. Mets-toi à côté de moi.

Et elle commence à lécher le gland de son père sous les yeux ahuris de Manon :
— Tu vois, tu commences d’abord par ça pour bien apprivoiser la bête.
— Mais… tu suces ton père ?
— Ben oui. Il adore ça, et moi aussi. Allez, viens !

Vaincue, Manon vient se placer à côté de Lola qui lui montre la suite en gobant le gland paternel. Puis quand elle lui passe le relais, elle se laisse aller et lèche timidement ce fruit bien rond qui la nargue. Enfin elle le gobe, se distendant un peu les lèvres. Mais ça va de mieux en mieux et elle tente de le faire coulisser sans toutefois aller trop loin. Lola est contre elle et lui masse les épaules. Puis elle descend sur les fesses. Comme l’attention de Manon est toute absorbée sa première pipe, elle fait coulisser ses doigts dans la raie et atteint la fente trempée de mouille. Elle la branle donc et notre jeune invitée se laisse faire.

De mon côté, mon action conjuguée à la vision de sa sœur suçant Ber tout en se laissant doigter par Lola déclenche Théo qui éjacule violemment dans ma bouche. J’avale tout. Ber fait durer encore un peu le plaisir, mais comme précédemment il demande à Manon d’arrêter et de venir se rassoir. Lola en fait de même et il leur dit :
— C’était très bien, les filles. Surtout toi, Manon pour une première fois. Mais je vais encore garder mes cartouches pour ce soir. Et pour vous remercier, je vais vous faire un peu du bien. Ça vous va ?

Et chacune de ses mains part en exploration dans la fourche des deux filles. Lola est bien évidemment partante d’office, mais Manon ne se défend pas non plus car elle a bien été chauffée par les doigts de notre fille. Ber met toute sa technique sur les deux clitos et ça ne tarde pas à porter ses fruits car Manon atteint rapidement un orgasme, suivie de peu par Lola.

De mon côté, je m’offre toute seule la même caresse, tandis que Théo qui avait un peu molli après son éjaculation est de nouveau tendu à fond avec ces trois nanas en pleine action. Je lui demande de mettre ses doigts à la place des miens et il se dévoue volontiers. Il n’est pas trop maladroit pour un débutant.

La tension retombe. Enfin pas totalement car le reste de l’après-midi Ber prend un malin plaisir à rester en demi-érection tandis que Théo se retrouve souvent dans le même état, mais lui c’est involontaire.

Le soir, après un temps relativement calme pour le repas, nous nous calons au salon. Les deux mâles ont enfin débandé. Je me suis posée entre les deux filles sur le canapé alors que Ber et Théo occupent les deux fauteuils. Pendant que Ber nous propose à boire, je lance la conversation pour remettre une ambiance :
— Alors, les jumeaux, notre mode de vie vous plait ?
— Euh, oui. Moi qui me suis toujours branlé en cachette jusqu’à maintenant, j’aurais jamais imaginé pouvoir le faire devant tout le monde. Et encore mieux, me faire branler et sucer. Dimanche, ça me paraissait déjà énorme de se retrouver tous totalement nus avec ma mère, ma sœur et même ma grand-mère. Alors là…
— Et ça avait l’air de te convenir, vu la quantité que tu m’as mis. Et toi, Manon ?
— Ben moi, j’aurais jamais osé toucher un sexe en érection avant, et puis finalement je l’ai même sucé. Et j’ai aimé ça. Mais ce qui m’étonne encore, c’est d’avoir vu Lola faire pareil. C’est quand même son père.
— Oh, je vais vous mettre au courant pour que vous n’ayez plus de surprises. On fait l’amour tous les trois régulièrement. Voilà, comme ça c’est réglé ! D’ailleurs…

Et sans attendre, je fais la même manœuvre que Ber cet après-midi en allant m’occuper des deux clitos qui m’entourent. Manon réagit un peu :
— Euh, Tatie, ça me gêne un peu.
— Quoi ? Que ce soit moi qui te branle, ou que ce soit devant tout le monde ?
— Euh, un peu les deux.
— Mais sinon, tu as bien aimé quand c’est Ber qui te l’a fait. Et même quand c’était Lola, si je me trompe pas ?
— Oui, mais…
— Eh bien, laisse-toi aller et profites-en. Tu vas voir, ça va te plaire autant. Et Théo et toi, arrêtez de m’appeler Tatie, ça me vieillit. Au point d’intimité où on en est, appelez-moi Caro.

Je reprends donc mon action et j’ouvre grand mes cuisses pour que Lola vienne me rendre la pareille. Quand je sens que Manon se détend complètement et s’abandonne à mes doigts, je lui demande de me faire la même chose. Elle hésite juste un peu, mais sa main reçoit celle de Lola qui lui laisse un peu de place sur mon clitoris. En face de nous, les deux mecs ne restent pas de marbre. Enfin, façon de parler car leurs queues sont aussi droites et raides que des colonnes grecques faites dans ce matériau. Le regard de Théo passes alternativement sur chacun de nos trois bas-ventres et il commence à se prendre en main. Ber le stoppe :
— Et si on faisait comme elles ? Ça te dit ?
— Quoi, mais justement, je le fais.
— Non, comme ça !
— Comment ? Oh !
— Voilà, c’est mieux, non ?

En fait, le “Oh“ de Théo vient du fait que Ber lui a pris la bite en main et le branle lentement mais fermement. Sous l’effet de la surprise, Théo se laisse manipuler et semble y prendre goût. Quand il sent qu’il est bien lancé, Ber lui demande de faire pareil et Théo prend timidement la grosse tige entre ses doigts et se décide à faire des aller-retours de faible amplitude pour commencer.