Eté 2014 : Le retour de ma cousine (11)

Mardi 8 juillet 2014 (suite et fin)

Nous continuons un petit moment sur ce rythme, puis je pense qu’il est temps de changer si on veut éviter de faire venir Théo trop vite. Je fais un signe discret à Ber qui comprend et arrête sa masturbation tout en faisant arrêter aussi Théo. Du côté du canapé, Nous stoppons aussi et je demande aux jumeaux s’ils ont aimé ce petit jeu de mains. Comme ils ne répondent pas mais ont l’air d’être plutôt pour, je dis :
— Bon, après les travaux manuels, passons à la dégustation. Lola ?

Ma fille se lève pour se glisser ente mes genoux et m’entreprend directement le clito de la langue. Manon regarde ça avec intérêt et n’a plus honte de se branler en même temps tandis que Ber fait signe à Théo de ne pas se toucher pour garder ses forces. Je profite un petit moment de cette minette bien venue puis j’enchaîne :
— Bon, tu as l’air d’apprécier ça, Manon. A toi d’y goûter.

Je me dégage et me positionne entre ses genoux pour lui prodiguer son premier cunnilingus. Cette fois, plus de fausse pudeur, elle s’ouvre à moi et s’abandonne à l’expertise de mes doigts et de ma langue. Lola va chercher Théo et le fait assoir à ma place pour lui prodiguer une belle fellation à laquelle il n’oppose aucune résistance. Vraiment aucune résistance car il se contracte, prémices de son éjaculation imminente. Lola le sent et se retire pour prendre les premières giclées sur la poitrine et le visage, histoire de mettre un peu plus d’ambiance, puis elle le reprend en bouche pour essorer le reste de sperme que Théo expulse encore. Pour terminer, elle se masse avec le liquide qui dégouline sur sa peau.

Manon ne tarde pas à jouir elle aussi, donc je laisse ma place à Ber qui pour l’instant attendait patiemment son tour. Il prend Manon par la main et la fait lever pour s’assoir à sa place. Elle comprend tout de site ce qu’il veut et n’a pas l’air contre car elle se met immédiatement en place pour le prendre en main et lui lécher la bite. Elle le branle un peu et passe sa langue sur la hampe jusqu’au gland, explorant au passage le frein. Puis elle gobe le nœud qui lui fait de l’œil et le suce en le tétant comme un gros biberon. Elle apprend vite.

Mais Ber n’entend pas finir comme ça. Il fait arrêter Manon et lui dit :
— Bon, maintenant qu’on a vu ce qu’on peut faire avec les mains et la bouche, passons à l’essentiel. Viens t’assoir sur ma queue.
— Mais, euh, je sais pas si ça va aller.
— Quoi, pourtant j’ai cru comprendre que tu avais déjà fait ça avec des godes, non ?
— Oui, mais là, elle est beaucoup plus grosse.
— C’est pas grave, un vagin, c’est très élastique. Et justement, c’est toi qui va guider la pénétration puisque tu seras dessus. Allez, viens, doucement…

Elle se laisse convaincre, un peu parce qu’elle a aussi pas mal envie de tester ce beau morceau. Elle replace au dessus du gland et Ber l’aide en lui prodiguant des conseils. Elle l’écoute et prend se queue en main pour présenter le gland à l’entrée de sa chatte, puis se laisse descendre un peu pour sentir ce que ça fait. ber fait un mouvement imperceptible du bassin qui fait entrer le gland. Manon sent cette introduction et attend un peu. Comme tout va bien, elle descend peu à peu et finit par se trouver empalée jusqu’à la garde en poussant un petit râle. Elle reste encore un peu comme ça le temps de s’y faire, puis elle commence à remonter et se laisse retomber, puis une nouvelle fois et enfin se lance sur un va-et-vient régulier pendant lequel elle nous commente ses sensations :
— Oh putain, que c’est bon ! Oui, je te sens à fond. Ouah, c’est énorme, elle m’explose la chatte ta bite. Ouf !

Et ainsi de suite. Qui aurait pu penser qu’une si gentille fille se lâcherait avec un tel langage ? Mais bon, du moment qu’elle prend son pied, pourquoi la blâmer ? De mon côté, je n’ai pas chômé en demandant à Théo de me déguster un peu le clito à son tour pendant que Manon suçait Ber. Puis comme il était forcément de nouveau en pleine érection dans cette ambiance, je me suis retournée à genoux devant le canapé, la poitrine sur les coussins d’assise et lui ai demandé de me prendre en levrette. Il ne se pas fait prier longtemps et m’embroche pour me pilonner nerveusement en se tenant à mes hanches pour ne pas risquer une sortie de route.

Évidemment, à ce régime il ne tarde pas à éjaculer une nouvelle fois en se calant bien au fond de mon antre. Mon mari en profite pour changer un peu. Comme Lola était un peu sur la touche, il la fait se mettre à sa place et demande à Manon de lui faire une petite visite linguale. Notre jeune partenaire a définitivement largué les amarres et ne se fait pas prier pour goûter au clito de sa cousine pendant que Ber se place derrière elle pour lui faire découvrir les plaisirs de la levrette.

A côté de ce trio, je n’ai pas de difficulté à faire remonter le tige de Théo assis à côté de sa sœur et dont les performances ont l’air de l’intéresser. J’en profite pour envoyer ma main entre ses fesses et il me laisse lui caresser l’œillet. Devant cette absence de résistance, je tente de faire entrer un doigt et il l’absorbe immédiatement. Je lui branle un peu l’anus pendant qu’à côté Manon prend son pied bruyamment sous les coups de reins de Ber qui ne prend plus aucune précaution pour la ménager. Vu l’état où les jumeaux se trouvent, je décide qu’il est temps de passer à la phase suivante. Je fais un clin d’œil à Ber qui comprend où je veux en venir.

Je laisse ma place et Ber fait décaler Manon qui se retrouve en face de l’érection de son frère. Elle comprend tout de suite ce qui l’attend et proteste pour la forme :
— Euh, non, c’est mon frère.
— Et alors, c’est une belle bite en même temps ?

Elle abdique et empoigne sa tige pour la branler un peu, le temps de se décider à enfin la prendre en bouche. Je profite que celle de Ber est un peu libre pour me faire baiser à mon tour en levrette près d’eux. Lola étant disponible, elle vient derrière Manon qui suce son frère pour lui faire une pince de crabe, l’index dans la chatte et le pouce dans le cul.

Se faire pomper par sa sœur est inespéré pour Théo qui ne tient pas longtemps et lui lâche ses restes de sperme dans la gorge. Elle suffoque un peu, mais comme il la tient par la tête, elle avale tant bien que mal cette offrande.

Je me laisse aller à un bel orgasme puis Ber choisit ce moment pour se libérer lui aussi. Mais il préfère le faire dans la bouche de Lola qui était un peu sur sa faim. Après ces péripéties, tout le monde est un peu sonné et se remet doucement, avachis pêle-mêle dans le canapé. Je prends la parole pour décréter :
— Bon, pour une première fois, je trouve que c’est pas mal. Je crois qu’on mérite une bonne nuit de sommeil maintenant. Pas vous ?

Personne n’en redemande, donc c’est adopté. Chacun se lève et regagne sa chambre. Lola soutient un peu Manon et Théo les suit. Nous fermons la marche avec Ber, assez contents de notre performance qui dépasse nos attentes.