Eté 2014 : Le retour de ma cousine (12)

Mercredi 9 juillet 2014

Ce matin, il est assez tard quand Théo émerge enfin mais nous sommes déjà sur la terrasse avec Ber. Certainement émoustillé par la séance d’hier soir, il arrive avec une demi-érection de bon augure. Peu après arrivent Lola et Manon, tendrement enlacées. Nous avons préparé un gros brunch pour reconstituer les forces de tout le monde. Pendant que nous dévorons les mets divers étalés devant nous, je dis :
— Alors les jeunes, pas trop déroutés par la soirée ?

C’est Théo qui répond le premier :
— Euh oui, un peu, mais ça m’a bien plu.
— J’espère, car c’était le but. Je crois même que ça t’a bien plu, vu que tu as participé activement. En tout cas, tu n’es plus puceau.
— Ouais, on peu dire ça.
— Et toi, Manon ?
— Ben, même dans mes rêves les plus fous, j’aurais jamais pensé prendre du plaisir avec une femme. Et déjà me faire dépuceler par un aussi gros…engin.
— Voilà, maintenant c’est fait. Au moins pour l’essentiel. On peut encore vous faire découvrir le reste avant que votre mère revienne.
— Quel reste ?
— Tu sais, Manon, il y a encore des choses qu’on a pas faites. et c’est au moins aussi bon.
— Ah ?
— Oui, finissons d’abord de vider ces plats, et puis on s’y met.

Nous terminons donc le brunch, puis après avoir débarrassé, nous rassemblons tout le monde dans le salon. Je suis entre Ber et Théo dans le canapé et Lola partage un fauteuil avec Manon. Je prends les deux bites en main et n’ai pas de mal à les mettre en forme. D’abord parce que Ber est habitué à se mettre à volonté en condition, ensuite parce que Théo était déjà bien parti pour ça vu qu’il était déjà à moitié bandé lorsque nous nous sommes assis. Je commente la suite des opérations :
— Voilà : Il reste un trou que nous n’avons que sommairement exploré. Et pourtant c’est une belle source de plaisir. Vous voyez ces que je veux dire ?
— Euh…
— Euh…
— Allez, vous allez pas me dire que vous aves pas aimé quand on vous a mis un doigt au cul, non ?

Comme ils hésitent à répondre, je continue :
— On va y aller doucement.d’abord on va recommencer comme hier, et puis quand ce sera bon, on ira plus loin, OK ?

Pendant mes manipulations qui on produit leur effet, Lola a aussi chauffé Manon qui s’est laissée caresser le clito par les doigts de Lola. Donc tout se présente bien. Lola laisse un peu sa cousine et vient se placer pour offrir une fellation à Théo. Ber se lève et se place en levrette derrière elle. Il la laboure en douceur un moment, puis rajoute son pouce dans le fondement de notre fille. Elle a l’habitude, donc ça rentre tout seul. Puis sous le regard intéressé de Théo et Manon qui entretemps est venue s’assoir à côté de son frère, il ressort complètement et présente son gland contre la rondelle cannelée. Il n’a aucune difficulté à lui forcer l’entrée de service car elle adore ça. Il pousse doucement et s’introduit jusqu’à la garde. De lents va-et-vient suivent, qui attirent toute l’attention de nos jeunes partenaires.

Une fois qu’ils ont bien assimilé la manœuvre, Je leur propose d’essayer :
— Allez, à vous. On va y aller en douceur pour cette première fois.

Manon émet une petite réserve :
— Euh, ça va pas faire mal ? Un doigt, c’était bon, mais là, c’est pas un peu gros ?
— T’as raison. Pour une première, il vaudrait mieux que ce soit Théo qui t’encule.
— Ah ? C’est pas ce que je voulais dire.
— Je m’en doute, t’allais encore me dire que c’est ton frère, je sais. Mais bon, tu l’as déjà branlé et sucé, donc y a pas de raison qu’il puisse pas t’enculer aussi…

Elle se le tient pour dit et se rend à mes arguments. Je crois qu’elle a vraiment envie d’y goûter. A la fois à la sodomie et aussi à son frangin adoré. Elle se laisse positionner à genoux devant le canapé et se cale bien la poitrine sur les coussin. Théo ne demande pas mieux que de prendre sa sœur, mais je suggère :
— Le mieux serait quand même que tu la baises d’abord un peu, histoire de la monter en régime et de bien lubrifier ta queue avant de passer à la suite.

Il ne se fait pas prier et présente son gland à l’entrée de la chatte de sa sœur. Il la trouve bien humide et n’a aucune difficulté à la pénétrer à fond après le rodage que lui a fait Ber hier soir. Il la lime avec ardeur, mais comme le but n’est pas qu’il lâche tout trop vite dans son vagin, je le stoppe et lui prends la bite en main. Je le guide sur l’anus de sa jumelle et je constate qu’elle est bien partie prenante car il palpite déjà. Je frotte le gland enduit de mouille sur la raie, puis je pointe l’engin sur le centre de la cible. Je l’aide à pousser un peu et le gland fait son chemin. Il franchit la porte étroite sans trop de soucis. Je laisse le temps à Manon de s’y habituer, puis je fais en sorte que Théo pousse lentement, par des aller-retours qui lui permettent de progresser jusqu’à enfin se retrouver bien au chaud à l’intérieur de ce rectum.

Maintenant les deux sont à ébullition et il cramponne ses hanches pour la pistonner en cadence. Elle clame un peu sa douleur passagère, puis rapidement son plaisir de sentir cette barre qui lui ramone le conduit anal. Elle manifeste rapidement sa jouissance et son frère ne tarde pas à la rejoindre en lâchant sa première éjaculation de la journée au fond du cul de sa sœur.

Une fois qu’il sont remis de leurs émotions, je leur demande :
— Alors, c’était bon, non ?
— Euh, oui, un peu mal au début, mais c’est… comment dire… spécial.
— Et toi Théo ?
— Ouais, c’était géant ! Putain, j’ai enculé ma sœur !
— Bon, maintenant, à toi.
— Quoi, à moi ?
— Ben oui, à toi de goûter à ce plaisir.
— Euh…
— Allez, avec Ber on va te montrer.

Pendant que Théo et Manon partageaient cette découverte de la sodomie, je suis allée chercher un accessoire : mon strapon. Je leur annonce ce qu’il va se passer :
— Voilà, c’est un strapon, un gode mais avec des lanières qui permettent à une femme de se transformer en homme quand c’est nécessaire. Soit avec une autre femme, soit, comme dans le cas présent, avec un homme. Regardez ce que ça donne.

Je m’harnache donc avec mon jouet et leur exhibe ma bite factice. Lola m’aide en préparant son père avec du gel puis en enduisant aussi ma queue grassement dans un simulacre de branlette. Je me positionne derrière lui et il y met de la bonne volonté car je peux m’immiscer directement jusqu’au fond de son tunnel. Je le besogne un peu et il montre sa satisfaction à l’assistance par des grognements d’aise. Je n’insiste pas plus et sors de son fourreau en proposant une variante :
— Tiens Manon, puisque ton frère a profité de ton cul, il serait équitable que se soit toi qui inaugures le sien. Bonne idée, non ?

Théo est un peu surpris par ma proposition, mais il ne proteste pas et donc semble intéressé par l’idée d’essayer ça aussi. D’ailleurs il bande de nouveau car Lola lui caressait les couilles tranquillement pendant qu’il me regardait sodomiser Ber. Autant ça n’a pas l’air de faire de différence pour lui que ce soit moi ou quelqu’un d’autre qui déflore son cul, autant il semble que l’idée plaise bien à sa sœur, ne serait-ce que par vengeance. Elle s’empresse donc d’enfiler le harnais, aidée complaisamment par Lola. Je demande aux deux de se mettre côte à côte d’abord face à nous :
— Regardez, dans cet état, vous êtes vraiment des jumeaux parfaits : Même tête, même silhouette, même fesses, même queue !

Puis je fais mettre Théo à quatre pattes comme elle précédemment et elle vient spontanément se positionner derrière son frère. Pour bien faciliter la chose, je prends soin de bien lui enduire la zone concernée de gel, intérieur et extérieur en vérifiant de l’index la souplesse du sphincter. J’en fais de même avec l’appendice de Manon.

Enfin, la voie semble libre et Manon me devance quand je tente de la guider vers son but. Elle prend elle-même son nouveau membre et le pointe droit vers le centre de sa destination puis le fait entrer sans attendre jusqu’au niveau du gland. Théo marque le coup, mais comme elle s’arrête un peu, il s’y fait doucement. Manon me regarde pour un signal que je lui donne d’un mouvement de menton. Donc elle continue sa progression et investit la canalisation de son jumeau en douceur. Il encaisse bien le coup et elle se met en branle. Il halète sous ses coups de reins. Ber se dit que c’est le moment de faire la totale et bien se placer devant Théo pour lui présenter son gland. Théo n’a plus de retenue et le prend entre ses lèvres pour le sucer. Par délicatesse, Ber s’était soucié du fait que juste avant il sortait de mon anus et avait nettoyé ses outils pendant que je préparais les jumeaux.

La tension monte encore un peu, mais il est temps de passer à la suite. Manon s’arrête quand je le lui demande et quitte le cul de son frère qui est toujours en pleine érection, signe que ça lui a bien plu. Je lui fais quitter le strapon et lui propose le plaisir ultime. Elle se demande ce qu’il peut y avoir de plus. Elle le comprend vite quand je fais s’allonger Ber, que je la fais s’empaler sur lui et que son frère vient se caler derrière elle. La découverte du sandwich semble lui plaire et elle l’exprime :
— Oh putain, oh putain, c’est trop bon. Oui, défoncez-moi !

Son frère est le premier à venir au fond de son boyau, suivi par elle. Ber s’est bien retenu comme d’habitude et attend que tous les deux soient arrivés pour les faire mettre tous les deux à genoux côte à côte devant lui. Il présente d’abord sa queue à Manon qui accepte sans rechigner ce gland dans sa bouche. Puis il passe à Théo qui ne se retire pas quand le gland s’immisce entre ses lèvres. Il alterne en se branlant douceur et éjacule enfin sa cargaison de foutre. La première salve est pour la bouche de Théo, ce qui le fait un peu s’étouffer. Il ressort et envoie les suivantes sur leurs visages puis c’est Manon qui a droit à avaler les dernières gouttes et bien essorer la tuyauterie.