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Eté 2014 : Le retour de ma cousine (13)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 01/12/2023

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Mercredi 9 juillet 2014 (suite)

Décidément, ces deux jeunes apprentis nous surprennent, eux qui avaient l’air si timides à leur arrivée. Pour le moment, ils sont visiblement repus car Théo ne bande même plus et sa sœur est avachie sur le canapé, nous exposant sa chatte béante et rougie et son œillet un peu boursouflé. Nous ressortons du salon pour commencer par un plongeon dans la piscine puis une séance de bronzage dans les transats sur la terrasse. J’attends un peu pour relancer la conversation :
— Alors, Théo, content de ces découvertes ?
— Ben ouais, évidemment. Je m’étais souvent branlé en imaginant de ce genre de choses sans penser les réaliser un jour. Surtout aussi vite…
— Et toi, Manon ?
— Euh, oui, c’est génial toutes ces sensations. J’aurais pas cru prendre mon pied avec des nanas, et encore moins faire des choses avec mon frère. Mais j’adore ça !
— Bon, maintenant, il va falloir penser au fait que votre mère revient bientôt.
— Ouais, ça va être plus difficile si on veut refaire ça.
— Pas forcément, Théo. Tu sais déjà que ta mère et ta grand-mère n’ont pas de problème avec la nudité en famille. mais c’est pas tout…
— Ah, quoi d’autre ?
— Ben, il fut un temps où on a aussi fait des choses ensemble.
— Quoi, vous et Mam ?
— Oui, et ta grand-mère aussi. Et même ton père. Mais ça fait longtemps.
— Ouah !
— Oui, comme tu dis, ouah ! Franchement, ça te dirait pas de baiser ta mère ?
— Non, tu déconnes…
— Chiche. Laisse-moi faire. En attendant, profite du soleil et reprends des forces…

C’est dans cette configuration décontractée que ma cousine nous retrouve le soir en retour de ses investigations. Elle est un peu surprise du changement de ses jumeaux qui semblent bien à l’aise avec la nudité ambiante. Elle-même s’est déshabillée dès son arrivée et nous a rejoint sur les transats après avoir piqué une petite tête dans l’eau. Elle nous raconte ses investigations immobilières. Pour le moment, il y en aurait deux qui pourraient convenir, mais elle attend d’en visiter d’autres. Je lui fais remarquer qu’il n’y a pas d’urgence car ils peuvent rester chez nous tant que ce sera nécessaire, il y a la place.

Sur ce, l’heure de l’apéro approchant, je propose qu’on se mette à l’intérieur car on a assez pris le soleil pour aujourd’hui. Pendant que Ber prépare le nécessaire, les trois jeunes s’éclipsent sans que Valy n’y prête cas sur le moment. C’est alors qu’on est installés dans les fauteuils toutes les deux et que Ber est encore debout qu’elle me fait remarquer le canapé laissé vide :
— Mais où ils sont passés ?
— Ben, à la douche je crois.
— Tous les trois ? Ensemble ?
— Je pense. Dans tous les cas, ça les changera guère, on est à poil les uns sur les autres toute la journée. Alors un peu plus un peu moins…

C’est justement à cet instant qu’ils reviennent. Théo nous exhibe une bandaison déjà prometteuse et a poussé le raffinement jusqu’à décalotter son gland. Il s’assoit dans le canapé avec une fille de chaque côté. Sa mère intervient tout de même :
— Euh…Théo, tu pourrais au moins éviter de venir dans cet état.
— Mais Mam, ça m’est déjà arrivé l’autre soir avec toi, et encore plusieurs fois pendant ton absence. Caro m’a dit que c’était naturel, de pas me gêner pour ça.
— Caro ?

J’interviens pour le soutenir :
— Oui, comme il semblait ne pas savoir quoi faire, on l’a aidé à le prendre plus cool. Du coup, plus personne n’y fait attention, même pas sa sœur. Pas vrai Manon ?
— Oui, c’est vrai, Mam, ça me gêne pas du tout de le voir bander. Et Ber non plus.
Ber ?
— Oui, ça lui est arrivé aussi, tu le connais.
— Oui, je me doute. Et ils vous appellent par vos prénoms, maintenant ?
— Ben oui, Tatie et Tonton, ça nous vieillit trop.
— Va pour la décontraction. Tiens, Lola, t’as qu’à m’appeler Valy et on sera bons !

Nous buvons deux tournées, puis c’est Lola qui propose aux jumeaux de l’aider à préparer la table dehors pour le repas et faire griller la viande sur le barbecue, ce qui nous donne le temps d’aller nous aussi prendre notre douche. Valy se dirige avec moi vers la salle de bains comme on l’a fait chaque fois depuis son arrivée, mais elle est surprise de voir Ber nous rejoindre. Elle le manifeste sans tarder :
— Non, mais ça va pas ? Que vont penser nos enfants ?
— Oh, on fait rien de plus qu’eux qui se sont savonnés à trois eux aussi.
— Ouais, mais bon…
— Et pour les décontracter, on leur a raconté le minimum. Comme quoi non seulement on avait l’habitude avant leur naissance d’être tous à poil, mais aussi que justement, les érections étaient banalisées et que nous n’avions pas de gêne à nous toucher pour la douche ou les massages ou encore la crème solaire. On est pas allés jusqu’à leur dire que tu aimais aussi te faire enculer par Ber tout en me suçant l’abricot. Donc tout va bien.
— Ouais, on peut dire ça. Vous auriez pu me mettre au courant avant que je le découvre par surprise, non ?
— Ah non, c’était plus amusant de voir ta tête quand Théo est revenu avec le grand mât bien dressé entre les deux filles. Allez, on se dépêche, sinon ils vont s’imaginer des choses !
— C’est malin !
— A propos de choses…

Pendant cette discussion, nous nous sommes savonnés et j’ai un peu aidé ma cousine entre ses fesses sans qu’elle ne proteste. Ber lui a présenté sa bite qu’elle l’a bien prise en main par habitude et elle est maintenant en cours de développement. Mais le but n’est pas de faire une partie à trois, en tout cas je ne pense pas que ce soit ce que veut ma cousine car elle est plutôt pour retourner au plus vite au salon pour ne pas éveiller de soupçons. Nous nous rinçons donc dans la foulée et nous séchons. Ber a fait en sorte de rester avec la bite suffisamment bandée pour qu’elle tienne bien à l’horizontale. Valy lui en fait la remarque :
— Et tu comptes retourner là-bas dans cet état ?
— Ben oui, de toute façon, tout le monde m’a déjà vu comme ça. Ça te gêne ? Toi ?
— Euh, non, pas vraiment, c’est juste que j’ai pas encore intégré que vous l’avez déjà fait pendant que j’étais pas là ces derniers jours. Et autant ça m’étonne moyennement de Théo dont je me doutais bien qu’à son âge il se faisait plaisir en cachette, autant j’aurais pas imaginé qu’il se permette de s’exhiber comme ça. Et encore moins que Manon s’habitue à voir ce genre de chose.
— Allez, regarde le côté amusant de la situation. Et caresse-moi un peu le gland avant qu’on y aille. A moins que tu veuilles le faire devant eux ?
— Ah ah ah, c’est malin !

Toujours est-il que ça lui fait envie car elle passe tout de même ses doigts sur le gland décalotté, ce qui donne un angle un peu plus ascendant à la tige qui le supporte. Et c’est dans cette forme que nous rejoignons la terrasse où les jumeaux sont sagement assis pendant que Lola surveille la cuisson des grillades. Pour éviter les éclaboussures brûlantes, elle a enfilé un tablier qui donne un air encore plus bandant à son cul qui en sort derrière que la simple nudité crue. C’est juste ce qu’il faut pour entretenir la raideur de la bite paternelle. Après être allé voir de très près l’œuvre de sa fille, Ber s’assoit enfin et fait disparaitre l’objet encombrant sous la table.

Après le repas, nous nous levons pour retourner au salon juste pour nous installer confortablement le temps d’un petit digestif. Théo est en totale érection car j’ai vu que Lola à ses côtés avait sa main sous la table pendant le dessert, et il prend apparemment un certain plaisir à l’exhiber devant sa mère. Ber et moi encadrons Valy sur le canapé tandis que les jeunes déclarent avoir déjà leur dose avec l’apéro et le vin et nous souhaitent une bonne fin de soirée. ils s’éloignent vers les chambres mais ma cousine a le temps de voir que son fils prend son érection en main avant de disparaitre à la suite des filles. Venant du couloir, nous entendons la voix de Lola proposer d’aller tous les trois dans sa chambre jouer un peu. C’était fait exprès pour que Valy l’entende. D’ailleurs, elle a bien entendu car elle demande :
— Euh, vous avez entendu ? Ils parlent de quels jeux d’après toi, Caro ?
— Je pense que vu la trique de ton fils, ils vont encore se taper une petite branlette.
— Et tu dis ça comme ça, tranquillement. Et comment ça, encore ?
— Ben l’autre jour, pour bien désacraliser la sexualité, on a suggéré à Théo de se masturber pour faire redescendre la pression. Il est allé dans sa chambre le faire. Mais on en a reparlé par la suite et on lui a dit que ça ne gênait personne s’il le faisait sans se cacher. Et pareil pour sa sœur. Du coup, hier ils ont osé le faire sur la terrasse. Pour faciliter la chose, on les a tous accompagnés.
— Ah, carrément !
— Je crois que là, ils ont pas osé le faire devant toi. C’est pas pareil, tu es leur mère et ils savent pas encore comment tu réagirais. D’ailleurs, le fait que tu reprennes ton fils dès qu’il bande un peu ne va pas dans ce sens. Tu devrais laisser couler. Rappelle-toi avec nous quand tu avais leur âge.
— Oui, finalement tu as raison. je sais pas pourquoi je réagis comme ça. C’est vrai qu’on faisait bien plus que ça. Je vais essayer de le prendre calmement.

Entre l’alcool et Ber à côté d’elle qui la tripote, elle finit par penser à tout autre chose. Elle émet juste une petite réserve quand il prend sa main pour la poser sur sa bite :
— Attends, on va pas faire ça ici ? On serait mieux dans la chambre, non ?
— Pourquoi ?
— Ben, parce qu’il y a toujours un risque qu’ils reviennent.
— Oh, ben moi, ça me gêne pas, et en plus ça m’étonnerait. Ils sont bien occupés.
— Ouais, mais quand même…
— Allez, laisse couler. Dans le temps, ça t’aurait même excitée cette idée de te faire surprendre.

Elles se rend à ses arguments et le branle enfin. Puis elle le suce et de fil en aiguille je me retrouve sa tête entre mes jambes en train de me déguster le clito pendant que Ber la prend en levrette à grands coups de reins. Ça lui déclenche son premier orgasme. Nous nous remettrons pêle-mêle sur le canapé et je lui dis :
— Alors, tu vois que c’est bon. Quand je pense qu’ils font la même chose à côté…
— Quoi la même chose ?
— Ben, je crois qu’ils se contentent pas de se branler chacun de son côté.
— Arrête tes conneries. Peut-être Lola avec Théo s’ils sont seuls, mais Manon ?
— Chiche, on passe par l’extérieur pour jeter un œil mais on parie avant.
— Quoi, aller faire les voyeurs ?
— Ecoute, soit tu as raison et ils jouent au Monopoly, soit c’est moi qui ai raison. Donc la gagnante, pourra faire faire le gage qu’elle veut à la perdante. Tenu ?
— Euh, OK, tenu !

Nous passons donc par notre chambre pour longer la maison par derrière jusqu’à la porte-fenêtre de la chambre de Lola. Comme prévu elle a fait en sorte de laisser ouvert avec juste les voilages tirés. Donc nous voyons à travers. Je jette discrètement un œil et me retourne pour souffler à ma cousine :
— Tu as perdu ! Tu peux vérifier si tu me crois pas.

Elle cède à la curiosité et découvre une scène assez chaude puisque Manon est en soixante-neuf sur Lola et Théo est derrière sa sœur en train de s’activer hardiment dans sa chatte. Valy reste scotchée devant ce spectacle mais je la tire en arrière pour la ramener vers notre chambre. Encore sonnée, elle me prend à témoin :
— C’est pas possible, je viens de voir mon fils baiser sa sœur…
— Allez, n’en fais pas un drame. rappelle-toi que tu faisais pareil avec ton frère.
— Euh, oui, c’est vrai. Mais ça fait un choc quand même sur le moment.
— Bon. Maintenant, ton gage : demain toute la journée, tu devras faire tout ce que Ber ou moi te disons de faire. Juste demain. OK ? Et pas le droit de refuser.
— Mmm, ou est le piège ?
— Pas de piège, juste des choses que tu as déjà faites.
— Bon, d’accord.

Puis nous reprenons un deuxième round sur notre lit et un troisième pour la mettre enfin KO. Elle nous quitte ensuite pour je joindre sa chambre, ne voulant pas se retrouver surprise le matin dans une situation gênante. Si seulement elle se doutait de ce qui l’attend…
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Histoire de Hannapurna

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