Eté 2014 : Le retour de ma cousine (15)

Jeudi 10 juillet 2014 (suite)

Tout le monde reste silencieux et pour éviter un moment de gêne, surtout pour Valy, je suis la première à aller plonger dans la piscine, suivie par Ber et Lola. Les trois autres nous y rejoignent et un peu de chahut permet de remettre de la légèreté dans l’atmosphère qui aurait risqué d’être pesante.

Puis pour rester dans la redescente vers le calme familial, je suggère de passer au déjeuner. Valy vient m’aider à confectionner une grosse salade composée et nous nous mettons à table dans un silence encore pesant. Puis nous nous installons pour une nouvelle séance de bronzette. Une fois dans les transats, ma cousine finit par ne plus supporter ces non-dits et se tourne vers ses enfants pour demander :
— Bon, on peut pas faire comme s’il s’était rien passé. Théo, t’as rien à me dire ?
— Euh, oui. Jusqu’à maintenant, je m’étais juste branlé seul dans ma chambre ou dans les toilettes. Mais, là, franchement j’ai bien aimé…
— Quoi, prendre ta cousine devant nous ou te faire sucer par moi ?
— Ben, euh, les deux. Allez, dis pas que t’as pas aimé, Mam.
— Euh, là n’est pas la question. et toi, Manon ?
— Ben, c’est vrai que j’aurais jamais osé faire ça devant tout le monde. Moi aussi je me branlais en cachette en pensant que c’était pas bien, mais Lola m’a bien décoincée quand on s’est branlées sur son lit. Et puis j’ai découvert comme ça pouvait être encore plus amusant de toucher un sexe masculin et le faire grossir entre ses doigts.
— Ah oui, rien que ça. Le sexe de ton oncle ?
— Non, d’abord celui de Théo, mais celui de Ber est plus impressionnant.
— Comment ça celui de Théo ?
— Ben oui, c’était dans la chambre, et c’était plus instructif que les cours d’éducation sexuelle qu’on a eu en classe.

A ce stade, je décide de reprendre la main :
— Allez, Valy, pas de fausse pudeur. Ils sont au courant pour nos relations passées. Et finalement, ils se sont bien adaptés à l’esprit de famille. Laisse-toi aller.
— Ouais, bon, je vois que j’ai plus rien à objecter. Et puisque personne n’est gêné, autant que je m’habitue au fait que mes jumeaux ne soient plus des gamins.

Sur ces paroles, l’atmosphère se détend et tout le monde profite du soleil.

Le soir, après un diner bien arrosé, nous sommes de nouveau au salon et cette fois, pas de faux-semblants. Ber ouvre le bal en demandant à Lola de le sucer et Théo n’hésite pas à demander la même chose à Manon. Valy voit donc sa fille se mettre à genoux devant le canapé et sucer son frère qui est juste à côté d’elle. Je vois que ma cousine s’est rendue à l“évidence et accepte que ses enfants entrent dans notre cercle comme notre fille. Je vais donc chercher quelques jouets car nous sommes à quatre contre deux. Je reviens avec ma queue de substitution pour nous mettre à égalité. Ce sera autant jouissif pour moi de faire le troisième mec que de me prendre une bite dans la chatte ou le cul. Tout au moins dans un premier temps. On verra par la suite.

A mon retour, les positions ont évolué car Ber a demandé à Lola de laisser sa place à Valy qui se régale visiblement à le sucer et Théo prend sa sœur en levrette. Cette dernière ne fait pas de manières pour tester une chose qu’elle n’avait jamais fait, à savoir qu’elle a la tête entre les cuisses de Lola et déguste son premier clito. Je prends donc la place encore libre derrière ma cousine pour l’embrocher sans difficulté tellement elle mouille. Nous nous activons dans cet ordre un moment, puis je propose à Théo :
— On échange ?

Il ne se le fait pas dire deux fois et vient prendre ma place dans le vagin de sa mère qui ne résiste pas une seconde à cette intromission filiale. Evidemment à ce régime, Théo ne tient pas longtemps et se retire juste à temps pour arroser les fesses et le dos de sa mère. Comme Manon à joui elle aussi sous mes coups de reins, je retourne m’occuper de ma cousine et lui fait prendre son pied. Les trois sont un peu sonnés, donc Lola va profiter que son père est encore en pleine forme pour s’empaler sur lui. Je complète le tableau en enculant ma fille en sandwich familial et elle clame assez vite son plaisir. Ber lui demande de le terminer avec ses mais et sa bouche et elle s’exécute avec bonne grâce car elle adore ça. Je vais l’aider et pour ma peine je recueille une partie de sa généreuse éjaculation.

Après ce premier round, nous nous remettons paresseusement dans les fauteuils et le canapé. Personne ne trouve utile de faire des commentaires, on n’en est plus là. Valy n’a plus aucun scrupule à caresser la bite de son fils qui est calé contre elle et lui caresse une téton pendant qu’elle regarde sa fille titiller le gland de Ber. Les deux queues retrouvent peu à peu de la vigueur et Ber suggère à Manon :
— Tu as aimé ce qu’on a fait à trois hier ?
— Ah oui, c’était trop bon !
— Eh bien si tu veux on va faire pareil, mais on va inverser les places. OK ?
— Euh… OK.

Il fait donc mettre sur le tapis Théo, maintenant en pleine érection à l’idée de ce qui va se passer, et Manon vient spontanément s’embrocher sur son frère. Ber veut explorer le seul trou qu’il ne connait pas encore. Il se place derrière elle et vérifie l’état de l’anneau ridé qui l’attend. Il trouve que c’est peut-être un peu sec car il prend de la mouille autour de la tige de Théo plantée dans l’autre trou pour lubrifier l’entrée et le pourtour de sa cible. Il pointe ensuite son gland et force l’entrée :
— Attention, Manon, c’est pas celle de ton frère !

Le gland est absorbé du premier coup mais il attend qu’il ait élargi l’entrée pour pousser plus loin. Tout en douceur, il fait son chemin jusqu’à la garde et entame des va-et-vient lents. Manon râle mais plus de plaisir que de douleur :
— Oh, elle est énorme ! Oui, c’est trop bon !

Donc tout va pour le mieux pour elle qui se fait prendre en sandwich sous le regard ébahi de sa mère. Elle ne tient pas trop la distance et se fait secouer par un bel orgasme. Comme les deux partenaires sont encore opérationnels, Lola vient prendre sa place. Elle en profite un moment et y prend aussi son pied. Je suggère alors que Valy ne soit pas en reste. Mais comme elle se met sans vergogne au-dessus de son fils et s’empale sur son mandrin, je les stoppe pour donner de nouvelles directives :
— Non, attendez, on va faire encore mieux !

Je me débarrasse de mon harnais et le fixe sur la taille de Manon qui se retrouve avec la bite factice qu’elle avait utilisée sur son frère. Elle a compris mon idée et va se placer derrière sa mère. Comme elle a tout bien suivi, elle commence par la préparer avec de la mouille maternelle qui n’est pas difficile à trouver car tout l’entre-jambes en est tapissé et engage un doigt pour tester le passage. Puis elle plante son gland de silicone sur la rosette offerte entre les fesses que Théo prend soin de tenir bien écartées et investit le conduit avec moins de précautions que Ber sur elle. Heureusement, Valy n’en est pas à sa première sodomie et le strapon est d’un calibre raisonnable. Donc tout se passe bien et Valy se retrouve en sandwich entre ses jumeaux. Une situation qu’elle n’aurait pas imaginée quelques heures auparavant, même dans ses rêves les plus fous.

Ber étant toujours au top et moi-même ayant libéré mes orifices en quittant mon strapon, je m’offre un petit plaisir tout classique en me faisant prendre en levrette par mon mari. Excitée par tous les préliminaires, je prends un pied voluptueux en regardant le trio qui s’active à côté et ma fille qui se branle avec un gode. Ber se dit qu’il serait dommage de ne pas compléter le tableau et va se faire sucer par ma cousine qui halète sous les coups de ses jumeaux. Après la première giclée, il préfère envoyer les suivantes sur son visage et sa poitrine tandis qu’elle exprime son orgasme. Théo est parti entretemps et a tout lâché dans le vagin maternel.

Tout le monde étant vanné et comblé, c’est d’un commun accord que chacun regagne sa chambre pour une nuit de sommeil bien méritée.