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Eté 2014 : Réunion de famille (1)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 08/12/2023

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Vendredi 11 juillet 2014

Ce matin, histoire de rester dans cette ambiance, je suis confortablement installée dans un transat et Valy me déguste l’abricot pendant que Ber est en train de la prendre en levrette. C’est dans cette configuration que Théo est le premier à nous trouver. Il est déjà en demi-érection, mais ce spectacle le met vite totalement en forme. Il se branle en nous regardant quand les filles arrivent à leur tour.

C’est à ce moment aussi que Valy prend son premier pied de la journée. Ber stoppe son va-et-vient et reste un peu, le temps de laisser retomber la pression. Puis il sort sa queue toute luisante de mouille et vient s’assoir dans le transat à gauche du mien. Valy se relève et vient s’assoir de l’autre côté. C’est une fois installée qu’elle réalise que tout le monde était déjà là à regarder sa prestation. Mais à voir son expression, je sais qu’elle maintenant dépassé ce stade, après ce qu’il s’est passé hier soir.

D’ailleurs, la séance reprend de plus belle avec Ber qui propose aux jumeaux :
— Dites, vous avez bien exploré les principales possibilités. Maintenant, ce serait bien que les cours d’éducation sexuelle soient consacrés aux perfectionnements techniques, non ? Tien, Théo, assied-toi là.

Théo s’exécute et se met à gauche de Ber. Avec cette petite diversion, tous deux ont débandé, mais ils ont un peu gardé du volume. Ber se reculotte et demande à Théo de faire pareil. Puis il s’adresse à Manon :
— Rien de plus désagréable qu’un bite un peu molle quand tu baises. Donc avant toute chose, tu dois t’assurer qu’elle devienne bien dure. Pour ça, tu as à ta disposition tes mains et ta bouche.Toi, Lola, comme tu sais déjà bien le faire, tu vas servir de modèle et toi, Manon tu suis mes instructions en prenant exemple sur elle.

Il demande alors à notre fille de venir se placer à genoux devant lui et à Manon de se mettre de même devant son frère. Puis il commence à les guider :
— Bon, On y va. C’est comme les travaux d’Hercule, il y a douze étapes. Etape un : tu prends la bite franchement en main en le regardant droit dans les yeux.
— Bien. Etape deux : tu caresses la tige gentiment en pressant les doigts de temps en temps pour en estimer le durcissement tout en gardant tes yeux dans les siens.
— OK. Trois : avec l’autre main, tu caresses ses couilles puis tu les prends dans la paume de la main comme pour les tenir au chaud. Tu les malaxes doucement, sans exagérer, les œufs sont fragiles.
— Quatre, Là tu augmentes l’amplitude du mouvement avec tes doigts refermés autour du bas de la tige. Voilà, comme ça. Tu mets pas dans la bouche tout de suite.
— Cinq : tu remontes ta main jusque sous le prépuce et tu serres un peu plus tes doigts pour redescendre jusqu’en bas. Au passage, ça décalotte le gland.
— Six : cette fois, ton mouvement de va-et-vient se fait sur toute la longueur, mais toujours lentement.

A côté, Valy s’est carrément penchée au-dessus de moi pour mieux voir cette scène qui était un peu surréaliste dans les vapeurs d’alcool hier soir, mais qui n’en est que plus crue là, à jeun et en pleine lumière. Sa fille en train de branler son fils, tranquillement, devant nous. L’action se continue et Ber fait passer à la suite :
— Sept : mets des petits coups de langue sur le gland puis prends-le entre tes lèvres, sans serrer.
— Huit : garde-le juste un peu puis libère-le. Tu lui fais un petit polissage avec la paume de la main sur la tête enduite de ta salive et de son liquide. Avec l’autre main qui serre sa tige, tu sens comme c’est bien raide maintenant ?
— Neuf : tu recommences comme au début. Branlette mais un peu plus rapide, léchage, pour le faire languir. C’est le cas de le dire puisque c’est avec ta langue…
— Dix, tu le reprends entre tes lèvres, mais toujours doucement, en aspirant un peu, comme pour une glace. Ne prend pas toute la bite dans ta bouche tout de suite. C’est bien. Garde les couilles dans ton autre main en les malaxant doucement.
— Voila, tu remarques comme il commence à avoir des soubresauts ? Donc on passe au point onze : tu le regardes à nouveau droit dans les yeux en continuant à le branler un peu et là tu le mets entre tes seins et tu le frotte un peu sur tes tétons. Si tu avais des seins assez gros, tu lui ferais une branlette espagnole comme est en train de me faire Lola, mais juste frotter le gland sur tes tétons ça le fait aussi.
— Douze : maintenant, une bonne prise en bouche du gland et de la tige, tout ce que tu peux avaler, en faisant aller et venir. Et n’oublie pas d’aspirer et d’utiliser ta langue. Pendant ce temps, tu le serres un peu à la base. Et quand tu sens qu’il est durci au maximum, tu arrêtes, il est à point !

Evidemment, à ce rythme et avec ses réserves à bloc le matin, Théo ne tarde pas à montrer les signes avant-coureurs d’une éruption imminente. Ber leur dit alors :
— Voilà, arrivés à ce point de non-retour, il y a deux options. Option A : tu le prends dans ta chatte ou dans ton cul sans avoir de risque qu’il ramollisse. Option B : tu le termines comme ça et tu reçois son éjaculation soit dans ta bouche si tu veux tout avaler, soit sur le visage et le corps si tu préfères que ce soit plus visuel. A toi de décider, mais tu peux aussi demander son avis à ton partenaire.

C’est Manon qui prend le commandement car Théo ne dit rien, tendu à l’extrême par sa montée de sève. Elle doit se dire qu’il ne tiendra pas assez pour la faire jouir avant de tout lâcher car elle se met à le branler nerveusement devant son visage et se prend vite une première giclée abondante sur la joue et le menton. Elle dirige les suivantes sur son buste et reprend le gland en bouche pour les dernières salves.

Pendant ce temps, je me suis bien branlée et je vois que Valy n’a pas pu se retenir d’en faire autant en regardant ses enfants en action. Je lui dis :
— Tu vois, tes jumeaux ont bien grandi en peu de temps.

Ber s’est bien tenu et demande à Lola d’arrêter sa fellation. Puis il propose :
— Tiens, Manon, pour te récompenser d’être une si bonne élève, tu as mérité qu’on s’occupe un peu de te faire jouir, non ?

Manon ne se la fait pas dire deux fois et se laisse positionner en levrette. Il la pénètre directement malgré son calibre car elle est abondamment trempée et totalement ouverte suite à sa prestation. Il la prend à grands coups de reins, mais tout en lenteur, ce qui l’amène très vite à un bel orgasme qu’elle nous commente en direct. Ber a encore de la réserve et va en faire profiter d’abord Valy qui en a bien besoin elle aussi. Puis comme elle clame très vite sa satisfaction, il garde la conclusion pour Lola et moi. Nous nous rapprochons toutes deux de sa bite et il se branle pour nous délivrer sa cargaison. Nous nous partageons équitablement les jets de sperme entre mère et fille pour terminer cette séance.

Puis il est temps de nous restaurer et Valy vient m’aider à préparer une grosse salade composée. Tout en mangeant, nous devisons de la suite de la journée. Je leur raconte qu’il n’y aura pas de problème avec la nudité car ma sœur et son fils y ont été habitués l’été dernier. Je leur mens un peu par omission en ne leur dévoilant pas que nous somme allés beaucoup plus loin dans nos relations familiales avec eux. Ce sera mieux s’ils en ont la surprise. D’autant plus que je compte en faire de même avec Sève et Thibault. Donc, comme on ne sait pas à quelle heure ils doivent exactement arriver en fonction de la circulation, nous restons calmes tout l’après-midi en profitant du soleil et de la piscine.

On a bien fait d’être prudents car ils arrivent un peu avant cinq heures, bien plus tôt que prévu. Je les réceptionne directement à poil, ce qui ne les étonne pas vraiment et leur annonce que tout le monde est open à ce sujet. Mais comme prévu dans mon scénario, je leur fais croire qu’il n’est pas question de sexe. Ils se déshabillent donc sans hésitation à ma demande et nous rejoignons les autres déjà à poil. Je constate que si Sève a toujours son petit triangle de moquette rase au dessus de sa fente, son fils s’est taillé la touffe qui a poussé depuis la dernière fois en petit tapis plus ou moins carré sur le pubis et que ses couilles sont bien dégagées de tout poil.

Evidemment, comme il retrouve Lola un an plus tard et que celle-ci ne se prive pas d’avoir les cuisses bien écartées et qu’en plus il découvre Valy et Manon qu’il ne connaissait que peu et surtout pas sous ce nouveau jour, ça lui procure un début d’érection mais je m’empresse de le rassure en dédramatisant la situation :
— T’en fais pas, c’est arrivé aussi à ton cousin et à ton oncle à plusieurs reprises, tout le monde y est habitué.

Comma sa mère ne dit rien, il fait le tour avec elle pour faire la bise à chacun dans cet état, la bite à l’horizontale. Puis chacun se répartit dans la piscine ou sur les transats et l’après-midi tire à sa fin dans le calme. La bite de Thibault est elle-même revenue à une position de repos. Pas d’alerte non plus pendant le dîner, et nous nous retrouvons dans le salon. Les canapés et fauteuils n’étant pas extensible, nous sommes un peu serrés. Je partage le canapé avec Sève à ma gauche et Valy à ma droite. Lola est allée se caler contre Thibault dans un des fauteuils tandis que Ber s’est octroyé l’autre pour lui tout seul. Les jumeaux se sont mis sur des coussins à ses pieds, adossés au fauteuil de part et d’autre de ses jambes. Nous nous délectons de bons petits digestifs tout en échangeant des propos légers.

Ce qui est moins léger, c’est que je me touche discrètement l’entre-jambes. Discrètement pour mes partenaires de canapé, mais moins pour ceux qui sont en face. Entre autres Thibault qui développe une érection qu’il ne tente même pas de masquer. Preuve qu’il est déjà remis dans l’ambiance de l’année dernière. Ce qui n’arrange rien à son état, c’est le fait que la main de Lola a disparu dans son dos et je me doute qu’elle est en train de lui caresser les fesses, voire même la raie qui les sépare. Comme Ber et Théo se laissent aller à bander eux aussi, c’est Sève qui prend l’excuse que la route a été longue et fatigante pour elle et suggère qu’il serait temps d’aller se coucher.

Il est prévu que les garçons partagent la même chambre et que ma cousine et ma sœur dorment ensemble. Comme ça les apparences sont sauves.

Les premiers à se lever sont les jeunes, Thibault n’ayant aucun scrupule à exhiber sa bite dressée, d’autant plus que personne ne lui fait de remarque. Surtout pas son cousin qui est debout à côté de lui dans le même état. Ils s’éclipsent et nous laissent tous les quatre. Ber se lève à son tour avec son érection bien à la vue de nous trois. Et comme les jeunes sont hors de notre vue, il s’approche du canapé et propose à mes deux voisines de tâter un peu de sa bite comme au bon vieux temps. Elles hésitent un peu, arguant que les autres peuvent revenir, mais c’est vite évacué comme excuse bidon et elles l’empoignent pour lui faire du bien. Pour qu’ils soient plus à l’aise, je lui laisse ma place. En retour de leur caresse, il les doigte gentiment.

Pendant ce temps, je me doute que Lola a invité les garçons à continuer la cousinade dans sa chambre. Et comme elle me le racontera demain, c’est bien le cas. Pour notre part, nous décidons qu’il serait plus confortable de continuer dans notre chambre aussi. Dès que nous y sommes rendus, nous révisons les combinaisons que nous avons si souvent pratiquées plus jeunes. Etant donné le déséquilibre homme-femme, nous enfilons à tour de rôle le strapon pour rétablir la parité. C’est une belle séance de baise débridée où chacun prend son pied plusieurs fois par tous les trous à disposition. Puis ma cousine et ma sœur rejoigne leur chambre pour dormir un peu.

Hasard du timing, c’est à ce même moment que les garçons quittent les filles et se retrouvent aussi dans le couloir. Même sans échange de mots, les deux mères ont une petite idée de comment leurs fils ont occupé cet intervalle de temps, vu les sécrétions qui maculent leurs bites. Et il en est certainement de même pour les fils au sujet de leurs mères.
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