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Eté 2014 : Pélerinage en Corse (2)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 17/01/2024

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Mercredi 16 juillet 2014 (suite)

Puis comme ils se lèvent et vont vers la mer pour certainement se rincer de toutes ces sécrétions, nous en faisons de même et les rejoignons. Ils nous regardent mais n’osent pas engager la conversation. Son mec évite le contact direct en allant faire quelques brasses. Donc c’est moi qui m’adresse à la nana tout en m’aspergeant :
— Salut, ça vous a bien plu à tous les deux, ce petit intermède, on dirait ?
— Euh, oui, on aurait pas osé le faire en premier, mais comme vous étiez bien lancés, on s’est permis de faire pareil.
— Et vous avez eu raison. C’est bon de se faire du bien.
— Oui, on aime bien le faire ici, mais d’habitude c’est quand il n’y a personne.
— Oh, nous ça nous gêne pas du tout, comme tu as pu le constater. On a juste un peu hésité car on avait peur que vous essayez de vous incruster.
— Non, on a pas osé. Déjà, on l’a jamais fait à plusieurs, et puis on vous aurait pas sauté dessus, on aurait d’abord demandé. Pourquoi, vous auriez voulu ?
— Une autre fois, certainement, mais là on voulait juste faire un petit câlin en famille.
— C’est ce que j’ai cru entendre. Ça fait drôle.
— Ça te choque ?
— Pas vraiment. C’est juste qu’on s’attend pas à rencontrer cette situation.

Là où nous sommes, nous avons de l’eau à mi-cuisse et Lola s’est occupée de nettoyer son entre-jambes puis celui de son père pendant que je faisais mes ablutions en devisant avec ma vis-à-vis. Elle en profite pour le remettre en forme, puis sans autre formalité, elle s’agenouille dans l’eau et le branle avant de le prendre en bouche. Je le souligne à la nana :
— Tiens, regarde comme elle adore son père !
— Euh, oui, je vois !
— Allez, tu as envie de prendre sa place, avoue.
— Ben oui, je vais pas me mentir. Mais je sais pas ce que va en penser Luc.
— T’en fais pas, on va s’en occuper de Luc ! Lola, tu veux bien laisser ta place à… Au fait, tu t’appelles comment ?
— Moi c’est Sandrine.
— Et nous c’est Bernard et Caroline, et notre fille Lola. Bon, allez, mais juste les mains et la langue ! Ça te va ?
— D’accord, ça me va.

Lola se relève et Sandrine ne laisse pas de répit à Ber en se mettant en position pour continuer cette pipe. Luc revient de ses brasses juste à temps pour la voir se mettre en action. Je ne le laisse pas réfléchir et dès qu’il se remet debout, je m’approche de lui et lui empoigne la bite qui commençait d’ailleurs à se réveiller à ce spectacle.

Lola vient me rejoindre et nous nous partageons équitablement son gland, sa tige et ses boules. Puis je la laisse prodiguer une cravate de notaire à notre invité surprise pour aller me placer derrière Sandrine que je doigte un moment avec le majeur et l’index avant d’introduire le pouce dans son anus pour lui faire une pince de crabe. Elle essaie de manifester son plaisir mais n’émet que peu de sons, la bouche dilatée par Ber qui pousse de plus en plus loin.

Lola demande à Luc :
— Je suppose qu’elle te fait pas ça. Elle a des jolis tétons, mais un peu trop petits, non ?
— Euh oui, c’est vrai, mais continue, c’est bon. Je sens que je vais venir.

Du coup, elle guette cette éjaculation annoncée et dès la première giclée, elle le prend en bouche pour tout avaler. Il tremble sur ses jambes tellement ça a l’air bon pour lui. D’ailleurs Lola lui en fait la remarque :
— Ouah, on aurait dit que c’était ta première fois. C’est le cas ?
— Euh, pas pour la fellation, mais Sandrine s’est toujours retirée pour me faire jouir de la main. C’était trop bon de te sentir me pomper jusqu’à la moelle.

De son côté, Ber ne se retient pas trop et par contre, il met ses mains de part et d’autre de la tête de Sandrine pour lui faire comprendre ce qu’il attend. Elle ne tente pas de se rétracter et reste bien en place quand il lâche sa cargaison. Elle s’étouffe un peu et en laisse échapper, mais elle avale une bonne partie du sperme qui lui inonde la bouche. Je retire mes doigts de leurs orifices et dis à Luc :
— Eh bien maintenant, je crois que cet obstacle est franchi.

Après de nouvelles ablutions plus sages, nous regagnons nos places pour songer au retour. Finalement, ils nous accompagnent jusqu’à l’embarquement et prennent la même navette que nous. Avant de quitter notre place, je leur propose un marché : Si on y va tous à poil et qu’ils ne remettent leurs maillots qu’arrivés sur l’autre plage, on leur donne notre téléphone pour qu’ils viennent un jour nous rendre visite à la maison. Cela les tente bien et ils osent le faire avec nous, ce qui est pas mal car l’autre plage n’est pas naturiste officiellement, même si c’est un peu toléré. Nous nous quittons sur le quai de Saint Florent et ils reprennent leur voiture car ils sont dans un camping dans l’intérieur de terres. J’espère les revoir, mais je suis contente qu’on ait respecté notre deal de départ, même si on a un peu débordé.

De retour à l’hôtel, en attendant l’heure d’aller manger, nous profitons de la piscine dans une tenue décontractée. Evidemment, pour aller de notre chambre à la piscine en traversant l’hôtel, nous prenons soin de nous envelopper dans nos serviettes. Mais une fois au bord de l’eau, ça change tout quand nous nous dévoilons. A savoir que si la plupart des clientes ont des bikinis ou des monokinis plus ou moins échancrés en bas jusqu’à des strings pour certaines, nous emportons la palme avec ma fille pour nos cache-sexes minimaliste ; trois ficelles et un triangle de tissu. Quant à lui, Ber est le seul homme en string bandeau, les autres étant en shorts, bermudas et quelques maillots de natation classiques.Nous faisons fi des regards outrés de certains pour nous consacrer à en faire profiter ceux que notre vue intéresse. Dans tous les cas, le personnel de l’hôtel n’a pas l’air de vouloir intervenir, donc nous continuons.

Puis nous remontons à notre chambre toujours drapés dans nos serviettes mais nous enlevons tout dès que nous y sommes. Comme il est l’heure de l’apéro, j’appelle l’accueil pour nous faire monter trois pastis et des accompagnements. Puis nous allons nous installer sur le balcon où notre apparition fait lever machinalement quelques têtes autour de la piscine. Nous faisons comme si nous n’avions pas remarqué ces regards et nous installons dans les fauteuils. Je constate que certains continuent à nous mater discrètement. Puis quelqu’un toque à la porte. C’est forcément l’arrivée des apéros. je me dirige vers la porte en me demandant : serveur ou serveuse ?

J’ouvre, à poil, et c’est une serveuse. La jeune fille marque son étonnement mais je fais comme si tout était normal et lui demande de bien vouloir aller poser son plateau sur la table basse du balcon. Elle hésite un peu en essayant d’éviter de trop regarder ma fente épilée et mes tétons, puis se décide à entrer. Je la précède, histoire de lui montrer aussi mon côté pile. Arrivées sur le balcon, elle découvre que Lola et Ber sont dans la même configuration et marque un temps d’arrêt. Surtout que Ber s’est décalotté et s’est un peu mis en forme, juste pour prendre du volume mais sans bander. Je m’assois et elle finit par déposer son plateau. Je demande à Lola de raccompagner la serveuse et elle se lève en me disant “volontiers, Maman“ histoire de bien montrer nos liens familiaux. Le retour ne traîne pas et la porte est vite refermée sur elle.

Pour le repas, nous enfilons tout de même quelque chose d’assez sobre, puis nous rejoignons notre chambre pour quelques manœuvres familiales que nous commençons sur le balcon car il y a quelques personnes qui profitent de la soirée autour de la piscine. Le fait que je sois à genoux devant Ber en train forcément de le sucer pendant qu'il doigte Lola assise sur le fauteuil à côté a a l’air d’intéresser certains d’entre eux qui finissent par nous regarder sans se cacher, ayant compris que c’était voulu de notre part. D’autres finissent pas s’esquiver rapidement. Puis nous allons nous étaler sur le lit pour dormir un peu car demain nous reprenons la route.
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