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Eté 2014 : Pélerinage en Corse (3)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 29/01/2024

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Jeudi 17 juillet 2014

Aujourd’hui, pour garder l’ambiance, nous nous mettons tous les trois en short. Ber passe un débardeur tandis que Lola et moi enfilons des crop-tops tellement réduits qu’ils couvrent à peine nos seins. Ils sont un peu lâches, donc il suffit d’être un peu en contre-bas pour les voir. Pour Lola qui est un peu plus fournie que moi de ce côté-là, le bas des ses globes dépasse un peu en-dessous même de face. Pour ce soir, nous avons réservé dans l’hôtel de Nathalie et Gilbert à Corte. Cela fait maintenant 24 ans que nous avions passé un séjour intéressant dans cet hôtel, mais de par nos diverses activités et obligations nous n’avions pas eu l’occasion d’y retourner depuis. Ils sont apparemment très content de nous revoir. Comme nous, ils ont vieilli mais sans trop de dommages. Ils font la connaissance de notre fille et nous présentent leur fils Manu qui a un an de plus que Lola. Il profite de ses vacances d’été à la fac pour venir les aider au service de l’hôtel. Il n’a d’yeux que pour nos tenues légères, évidemment.

Nous posons nos bagages puis nous allons faire une visite de la citadelle où nos tenus font sensation, surtout pour ceux qui sont plus bas que nous dans les escaliers, avant de nous lancer vers une petite randonnée jusqu’à la passerelle du Tavignano. Arrivés à ce point, nous nous posons sur les rochers en enlevant le peu de vêtements que nous avons sur nous pour profiter du soleil et de l’eau. Tout au moins pour nos pieds car elle est un peu fraîche et pas assez profonde pour nous baigner. Quelques randonneurs peuvent ainsi profiter de nos académies, au grand plaisir de certains et à la visible réprobation des autres.

De retour à l’hôtel en fin d’après-midi, nous constatons qu’ils ont fait le plein de leurs clients mais ça ne nous gêne pas trop. Après une bonne douche, les strings-ficelle sont évidemment de circonstance pour aller profiter des rayons du soleil autour de la piscine en attendant l’heure du dîner. Les regards des clients présents montrent un peu leur surprise devant nos tenues légères.A part nous, tout le monde est en caleçon pour les hommes et maillots une-pièce ou bikini pour les femmes. Quelques-uns ont l’air d’apprécier la vue sans trop oser nous mater directement, surtout si bobonne fait la gueule à côté. Je crois que c’est le cache-sexe de Ber qui étonne le plus. Mais personne ne se rebiffe ouvertement, d’autant plus que les patrons ne nous disent rien. Donc nous ne nous gênons pas, surtout de les chauffer en nous enduisant suggestivement d’huile solaire.

Pour passer à table, Lola et moi n’enfilons qu’un paréo un peu transparent par-dessus nos strings et Ber se glisse dans une chemise indienne qui lui arrive à mi-cuisse et qui est assez opaque pour masquer le fait qu’il ne porte rien dessous. Nos hôteliers ont l’air amusés par notre petit jeu, entre autres quand en passant devant Nathalie je remonte l’arrière de la chemise pour leur montrer les fesses nues de Ber. Leur fils a déjà bien profité de nos académies lorsque nous étions à la piscine puisque c’est lui qui faisait le service des boissons. Mais pendant le repas je vois qu’il continue à nous mater discrètement.

Après le dîner, nous flânons un peu en terrasse au bord de la piscine. Nous nous mettons d’accord que même si essaie de rester sur notre plan exhibition, on pourra peut-être s’octroyer un autre petit écart avec Manu après celui d’hier.

Justement, ce dernier s’est porté volontaire pour finir le service. Du coup, ses parents s’étant rendu compte qu’il y avait trop de monde et que nous ne faisions rien pour les retenir, ils sont allés se coucher car la fatigue de la saison se fait sentir et qu’ils doivent se lever très tôt. A cette heure tardive, les derniers clients qui étaient encore là se lèvent aussi pour regagner leur chambre. Du coup, je dis à Manu :
On va s’offrir un dernier petit bain. Comme il n’y a plus personne, on aimerait le prendre à poil, comme on a l’habitude. Ça te dérange pas?
— Euh… non, faites comme vous voulez.

Du coup, on enlève les paréos et les strings et Ber vire sa tunique et nous prenons notre temps pour bien le faire profiter de nos académies avant de nous glisser dans l’eau. Il nous mate à mort, alors je lui propose :
— Et si tu venais nous rejoindre ? Tu as fini ton travail.

Il hésite un peu puis enlève son T-shirt mais garde son bermuda pour venir vers nous. Avant qu’il ne descende, je lui dis :
— Ah non, tu enlèves tout toi aussi, ce sera plus correct.
— Mais…
— Allez, pas de fausse pudeur.
— Non, mais je…
— Quoi, tu bandes ? C’est pas grave, c’est même un peu normal, t’en fais pas.

Du coup, il vire son dernier rempart et vient dans l’eau en essayant de ne pas trop nous montrer sa bite à moitié érigée surmontée d’un gros duvet broussailleux. Comme nous ne faisons pas de gestes équivoques, il se détend peu à peu. Nous restons un moment, puis nous sortons nous sécher avec nos paréo et nous poser dans les transats, toujours à poil. Comme lui est sorti aussi et que je devine qu’il va se rhabiller et s’éclipser, je lui demande :
— Tiens, tu referais pas un peu d’heures supplémentaires en nous amenant à boire ?
— Euh, oui, volontiers. Vous voulez quoi ?

On passe la commande et il va encore pour se rhabiller, aussi je le stoppe :
— Non, reste comme ça pour le service, ce sera bien plus mignon.
— Mais, s’il vient quelqu’un ?
— Pas trop de risque à cette heure.Allez, fais-moi plaisir !

Il n’insiste pas et rentre comme ça. Il revient avec le plateau et quatre verres, signe qu’il compte boire avec nous. Dans l’intervalle, la situation l’a de nouveau excité et sa queue reprend petit à petit une position horizontale que cette fois il est bien en peine de cacher, vu qu’il a les mains prises. Il fait le service en commençant par Ber et Lola qui sont les plus près de l’entrée, puis moi et enfin il pose le plateau en prenant son verre. Nous lui avons laissé une place entre Lola et moi, donc il s’assoit, un peu gêné. je bois une gorgée, puis je me tourne vers lui et lui dis :
— Tiens, depuis qu’on est arrivés, tu as été aux petits soins. Ça mérite un pourboire.

Sans lui laisser le temps de comprendre, je lui empoigne sa bite et entame une branlette. Il ne s’insurge pas et voyant que mon mari et ma fille ne se formalisent pas, il se laisse faire. Il est maintenant bien raide dans ma main. Lola me demande :
— Dis, M’mam, je peux le remercier moi aussi ?
— Bien sûr, ma chérie !

Je le lâche et elle prend le relais. elle va plus loin en se penchant sur lui pour le prendre en bouche. Je demande à Manu qui marque sa stupéfaction :
— Tu as l’air de ne pas avoir l’habitude qu’on te remercie comme ça.
— Euh… Non. C’est la première fois.
— La première fois que quoi ? Qu’on te fait ce pourboire ou la première fois qu’on te suce ?
— Ben, les deux.
— Donc tu es puceau ?
— Ben oui…
— Alors, profite bien !

Je laisse ma fille œuvrer et me lève pour aller me mettre à cheval sur Ber qui s’est mis en condition. Je m’empale dos à lui. Manu est maintenant en train de se faire pomper tout en me regardant chevaucher mon mari. Comme Lola y met toute sa science, il ne tarde pas à éjaculer et elle avale tout consciencieusement. J’arrête ma cavalcade et vais me poser dans un transat en faisant un clin d’œil à ma fille qui comprend immédiatement le signal. Elle me lance :
— Dis, tu vas pas laisser P’ap comme ça ?

Sans attendre ma réponse, elle se penche de l’autre côté et prend le relais. Manu est éberlué de la voir faire une fellation à son propre père. Mais ça l’émoustille bien car sa bite remonte directement. Alors je me penche aussi et lui mets la deuxième couche. Ayant déjà joui, il résiste plus longtemps, mais je finis par le faire gicler un quantité encore honnête que j’avale intégralement. Lola fait elle aussi céder son père mais le sort de sa bouche juste à temps pour que ce soit plus spectaculaire en recevant son éjaculation sur ses seins. Elle étale le sperme sur son corps puis se lèche les doigts.
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