ACCUEIL > En groupe > Récit : Eté 2014 : Réunion de famille (2)

Eté 2014 : Réunion de famille (2)

+8

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 08/12/2023

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Samedi 12 juillet 2014

Ce matin, tout le monde émerge un peu tard et nous passons le petit-déjeuner pour faire directement un gros brunch. Thibault et Théo ne se sont pas gênés pour arriver en demi-érection et constatent, un peu à regret me semble-t-il, que leurs mères n’en font pas toute une histoire. Tout reste dans la limite du décent pendant que nous mangeons, puis je demande à Lola de venir m’aider à ranger et faire la vaisselle. En fait, je veux surtout qu’elle me raconte leur soirée. Ce qu’elle ne manque pas de faire pendant que nous faisons la plonge :

— Ben voilà, on a proposé aux garçons de venir un peu dans notre chambre pour continuer à discuter. Mais la discussion est vite venue sur la bite de Thibault qui était restée en position haute. Evidemment, Théo qui avait presque débandé dans l'intervalle s’est vite retrouvé dans la même situation. Donc j’ai suggéré qu’on en passe à des confidences plus croustillantes. Sur mon insistance, les jumeaux ont avoué qu’ils avaient fait beaucoup de choses ensemble depuis leur arrivée ici et moi que j’avais lancé ça. Dans la foulée je leur ai aussi révélé que Thibault n’était pas un inconnu pour moi. Du coup, comme je commençais à le branler, l’ambiance s’est bien chauffée et nous avons enchaîné sur deux pipes, Manon sur son frère et moi sur Thibault qui était sonné de voir la sœur sucer le frère. Et puis ça a dérivé sans retenue, Nous avons terminé un ensemble de combinaisons par moi à cheval sur le visage de Thibault qui se faisait chevaucher par Manon que son frère enculait. Tout le monde a bien été essoré, mais aucun d’entre eux n’a laissé filtrer un mot sur leurs relation avec leurs mères.
— Bravo, nous de même, on a remis ça comme dans les années 90, et ni Valy ni Sève n’ont parlé non plus entre elles de leurs expériences avec leurs enfants. On va laisser mariner encore un peu jusqu’à ce soir…

De retour sur la terrasse, nous trouvons les jeunes dans la piscine sous le regard bienveillant de leur mères étalées sans retenue dans les transats.

A midi, c’est Marie-Lou qui nous rejoint. Evidemment, elle n’émet aucune objection à se mettre nue dès que je lui ouvre dans cette tenue et que je lui dis que tout le monde a adopté la même mode vestimentaire. Quand nous arrivons sur la terrasse, les jumeaux découvrent avec étonnement le petit triangle de poils grisonnants de leur grand-mère. Et Thibault a l’air assez intéressé par le même spectacle ainsi que par les seins lourds qui ballottent encore plus que ceux de sa mère.

Pendant l’après-midi, les séances de crème solaire donnent lieu à des attouchements à la limite du raisonnable. Théo s’enhardit à proposer ses services à sa grand-mère et malaxe bien toutes ces formes généreuses et nouvelles qui s’offrent à ses manipulations et Thibault en profite pour en faire de même sur sa tante Valy , ce qui est une première pour lui aussi. Tout cela a forcément pour effet de remettre les queues à la verticale, y compris celle de Ber qui ne fait pas ça uniquement par solidarité avec les jeunes.

Le soir, pour ne pas avoir à cuisiner, nous commandons des pizzas. Bien évidemment, c’est l’occasion de me payer ma petite petite exhibition habituelle. Je l’annonce aux nouveaux en leur expliquant que nous faisons ça depuis des années avec tous les livreurs, facteurs, etc. Pour ça, j’enfile généralement au maximum une robe légère d’été qui se boutonne tout devant comme une blouse, mais en oubliant de la boutonner correctement, sinon je me d**** dans une serviette éponge et parfois carrément sans rien du tout.

Manon est curieuse et me demande si elle peut assister à cette opération en restant un peu cachée derrière le chambranle entre l’entrée et le séjour. Lorsque la sonnette retentit, j’att**** vite la robe-blouse qui est pendue en permanence à la patère près de la porte et l’enfile pour aller ouvrir sans fermer les boutons. Le livreur est surpris lorsque la porte s’ouvre à la volée, mais moi aussi car ce n’est pas l’habituel, qui m’a même déjà vue entièrement nue plusieurs fois, mais un remplaçant. Je le connais car c’est le fils de voisins du lotissement, étudiant de son état. Il bloque sur ma nudité, mais puisqu’on y est je me dépêche d’enchaîner :
— Tiens, salut Julien ! Tu as trouvé un job pour l’été ?
— Euh… oui. Mais juste pour le mois de juillet…
— C’est bien. On va donc se revoir bientôt.
— Mais, euh, votre robe est ouverte et on voit… euh… tout !
— Ah oui, zut ! Quand il fait chaud, j’ai l’habitude d’être à poil à la maison. Et comme je l’ai enfilée précipitamment pour venir ouvrir, j’ai oublié de fermer les boutons. Du coup, au point où on en est, y en a plus besoin, non ?

Les pans de la robe sont largement écartés, présentant à notre jeune voisin mon côté face dans sa nudité la plus totale.

C’est le moment où Lola vient me rejoindre, entièrement nue :
— Dis donc, M’man, elle vont finir par refroidir, les pizzas !

Manon l’a suivie et n’a pas l’air gênée du tout de se montrer toute nue pour la première fois devant un inconnu. Le fait de ne pas être seule l’aide certainement un peu.

Lola marque tout de même un temps d’arrêt en s’apercevant que c’est Julien qui est là, car elle le connait non seulement du lotissement, mais aussi de la fac. Elle bredouille un petit :
— Euh… salut, ça va ?

Puis sans attendre la réponse elle prend les pizza des mains de Julien qui bloque sur sa nudité et elle disparait vers le salon, accompagnée de Manon. Je ne m’éternise pas sur la situation et comme je n’ai pas à payer car nous sommes en compte, je prends congé :
— Donc à bientôt, surtout si c’est toi qui viens nous livrer. Et donne le bonjour à tes parents de ma part !

Tout ça comme si tout était normal et je referme la porte sur son air hébété. Je ne sais pas s’il va transmettre mon bonjour à ses parents, mais ça m’étonnerait qu’il leur dise dans quelle tenue nous étions…

Ce repas tout simple ayant été précédé d’un bon apéro et accompagné d’un bon rosé bien frais, nous sommes bien détendus pour nous retrouver tous avachis dans les fauteuils et le canapé. Cette fois, les deux garçons m’encadrent sur le canapé, Sève et Valy se sont blotties dans un des fauteuils, Marie-Lou s’est avancé un pouf du coin du salon près de la table basse et Ber trône dans le deuxième fauteuil avec Lola et Manon à ses pieds. Il démarre un peu l’ambiance en présentant une belle érection qu’il prend en main pour se prodiguer comme négligemment une petite branlette paresseuse tout en devisant de tout et de rien. Ma sœur, ma cousine et ma tante jettent quelques œillades un peu gênées mais aucune d’entre elles n’ose objecter et il continue ses légers mouvements de poignet.

C’est Lola qui lance enfin les festivités, comme nous l’avons convenu entre nous. Elle se retourne vers lui comme pour lui demander quelque chose et fait semblant de découvrir ce qu’il fait :
— Dis donc P’ap, tu as… Ah tiens, je t’aiderais volontiers. Tu permets ?
— Pas de problème. Et comme tout le monde t’a déjà vu me le faire…

Comme personne ne dit rien, elle se retourne complètement sur ses genoux et le prend en main, puis après quelques coups de langue sur le gland le prend carrément en bouche pour une belle sucette. De mon côté, j’ai discrètement caressé les deux queues qui m’encadrent et maintenant qu’elles pointent vers le plafond, je les empoigne pour les masser sur toute leur longueur. Puis je me penche vers chacun des garçons et leur murmure un truc à l’oreille.

Ils se lèvent ensemble et se dirigent vers l’autre fauteuil pour présenter leurs deux glands, chacun à sa mère. Elles me regardent toutes deux sidérés, puis devant mon sourire goguenard et mon clin d’œil, elles comprennent la situation. Elles se regardent et finissent par s’esclaffer. Puis elles décident de se laisser aller et chacune s’occupe de son fils. Marie-Lou se lève pour venir me rejoindre sur le canapé et comme moi se contente du spectacle de ces fellations inter-générationnelles en se caressant le clito.

Je ne sais pas si c’est la pleine lune qui y est pour quelque chose, mais l’ambiance est maintenant bien lancée. Les deux mères sucent leur fils côte-à-côte sans retenue. Puis ces derniers se font un signe et échangent leur position. Théo explore avec son gland la bouche de sa tante Sève et Thibault celle de sa tante Valy.

Après un petit moment de ce régime, ils décident de changer de trou. Je reprends alors les rênes de cette réunion familiale. Valy vient se placer entre mes jambes et me lèche l’abricot pendant que Thibault l’embroche en levrette. A côté de moi c’est Manon qui vient s’occuper de celui de sa grand-mère et Ber qui lui introduit son engin dans la chatte. Lola s’assoit dans la place toute chaude de son père et Sève vient la déguster, se faisant pénétrer par Théo.

Tout le monde soupire, râle, halète. Puis c’est Thibault qui tient le moins la distance et lâche tout au fond du vagin de sa tante. Théo a plus de retenue et a le temps de sortir de son fourreau pour demander à Sève de le terminer de la main et de la bouche. Ce qu’elle s’empresse de faire en délaissant la fente de Lola.

Ber est intéressé par le petit trou de Manon qu’il compte bien continuer à roder. Il promène son gland sur l’ensemble de la fente et quand il sent que ça glisse bien, il pointe son gland sur la petite rosette et pousse en douceur. Manon ne se retire pas et se détend au maximum car le gland force enfin l’anneau. Elle marque le coup, mais ça a l’air d’aller. Ber attend un peu puis force le passage progressivement pour finalement arriver au fond, les couilles contre la moule humide de sa partenaire.

Petit à petit, il en vient à l’enculer dans toute la longueur et à grands coups de reins qui la font feuler de plaisir et l’amènent à un orgasme dévastateur. Ber la laisse reprendre ses esprits puis décule lentement et vient s’occuper de Marie-Lou qui demande d’entrée le même traitement. Elle prend assez vite son pied et il choisit de finir entre ses seins voluptueux. Il lui arrose le visage et la poitrine.

L’avantage des jeunes, c’est qu’il reprennent très vite de la vigueur, surtout dans ces conditions. Du coup, ils prennent à tour de rôle leur deux partenaires. D’abord Valy qui s’empale sur la bite de son fils pendant que Thibault inaugure son cul. Puis c’est Sève qui a droit à la même chose, offrant son anus à Théo.

Entretemps, Ber a repris du volume et continue ses sodomies avec Lola en premier puis moi pour terminer. Il garde son éjaculation pour la bouche de Manon.

Tous comblés, nous nous remettons pêle-mêle sur les sièges et rigolons de la bonne surprise que j’ai ménagée à chacun. Puis chacun regagne sagement sa chambre officielle, vidé et avec le besoin d’enfin dormir un peu.
8 vote(s)


Histoire de Hannapurna

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Eté 2014 : Réunion de famille (2)


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :