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Lue : 8227 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 03/10/2010
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Etrusques inc
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Etant président de ma compagnie, j’ai la chance d’avoir une réussite professionnelle plus qu’enviable. Financièrement, j’ai un compte en banque m’assurant une retraite des plus dorée. Mon entreprise va bien, étant un chef de file dans mon domaine. À cette époque, la compagnie était en pleine progression et on parlait de l’entreprise comme des plus prometteuses et un futur chef de file. J’avais des employés fiables et performants mais il régnait une ambiance particulière. J’ai découvert que des cadres avaient besoin de performer dans tous les domaines.
Mon travail exigeait souvent d’aller rencontrer des clients, je n’avais pas à l’époque un carnet de commande tout à fait remplie. Cependant cette journée là je dus retourner au bureau à 17h00, mon souper étant été annulé à la dernière minute, le client avait une rencontre qui s’est prolongé. Je décidais donc de revenir au bureau. Arrivée à 17h45 je fut content de voir que certains employé étaient demeurés au bureau même si le patron n’y était pas. J’ai voulu aller rencontrer le ou la valeureuse.
Ils étaient trois, ils étaient dans la salle de conférence. Ils n’avaient pas de document mais travaillent très fort. Le responsable des achats était couché sur la table (je l’ai reconnu que plus tard) et ma comptable positionné en 69. Ils ne pouvaient me voir et j’ai décidé d’attendre avant d’intervenir. La comptable quittait sa fellation pour gémir de plus en plus fort. Elle était sur le bord de l’orgasme quand elle se retourna pour admirer son amant. C’est à se moment que son regard croisa le mien. Elle voulu se débattre mais le gars voulait finir le travail à la perfection (j’ai toujours aimé son professionnalisme). Il l’obligea à revenir à lui et elle ne quitta pas mon regard et décida de se laisser aller. Tout en soutenant mon regard, elle eu un orgasme sonore des plus excitant. Je quittai immédiatement préparant déjà deux rencontres pour le lendemain.
Le premier appelle fut le chef des achats. Je lui fis savoir que son comportement était inacceptable et que j’attendais sa lettre de démission dans la journée, s’il désirait avoir des références ne faisant pas références à ses heures supplémentaires discutables. Il fut des plus abasourdies et quitta mon bureau sans dire un mot. J’avais convoqué la chef comptable en début d’après-midi et tout se déroula comme prévu. Elle avait discuté avec son amant et en arrivant dans mon bureau, elle avait déjà sa lettre de démission.
- Madame vous savez que je n’aime pas qu’on me joue dans le dos, expliquez moi.
- Monsieur j’ai un mari et un enfant et je ne veux pas perdre ma famille alors si vous jurez de ne rien dire, je promets de ne faire aucune vague.
- Alors pourquoi avoir un amant ? Pourquoi ici ?
- J’ai besoin d’adrénaline, je travail ici parce que l’entreprise est stimulante et j’ai besoin de sortir de la routine et ici parce que nous passons notre vie ici et à la maison je crois que mon mari apprécierait pas.
- Je refuse votre démission mais sachez qu’il n’y a qu’un coq ici.
- …
- C’est trop dur pour vous de me servir ?
- … (elle lève les yeux vers moi en me suppliant du regard)
- Je veux vous offrir toute l’adrénaline que vous avez besoin mais je te veux à moi.
- Monsieur vous êtes le patron… faites ce que vous voulez de moi mais je vous en supplie il faut que rien ne sorte de l’entreprise.
- Vous comprenez que je veux savoir s’il y a d’autres collaborateurs qui devraient avoir peur ? Voyons si je peux avoir confiance en vous.
- Monsieur, je vais vivre l’enfer si je dénonce les employés.
- Je veux savoir est-ce qu’il y a d’autres collaboratrices friandes de luxures et de sexe au bureau ?
- Oui… (dit-elle tête baissée)
- Je dois les mettre dehors mais vous le ferez pour moi.
- Mais pourquoi les mettre à la porte ?
- Parce qu’elles n’ont daigné se donner à 100% à l’entreprise.
- Elles sont comme moi Monsieur elle ne savaient pas.. que… vous êtes…
- Je suis quoi ?
- Ce qu’on aime…
- Alors moi je vous dis de mettre à la porte toutes celles qui n’aiment pas… et tous ceux qui veulent prendre ma place dans l’entreprise.
- Je comprends très bien Monsieur.
- Est-ce tout ?
- On verra ça lors de votre rapport.
Elle quitta le bureau encore tout abasourdie mais ayant compris son rôle. Tour à tour quatre employés masculins et un employé féminin vinrent me remettre leur démission. De plus je reçu un courriel du bureau de ma chef comptable que trois employés ne figuraient plus dans la philosophie de l’entreprise. J’émis un communiqué et un mémo interne spécifiant le besoin de l’entreprise de se restructurer pour aller vers de nouveaux objectifs ainsi que les postes coupés en fonction de la restructuration. En fin de journée vers 17h30, la chef comptable cogna à ma porte.
Elle me fit rapport de sa journée. Les cadres, adjointes administratives et secrétaires toujours en poste dans les bureaux administratifs étaient maintenant tous coopératifs et d’accord avec le respect de l’ordre hiérarchique de l’entreprise. J’avais maintenant des employés efficaces et aussi luxurieux. Elle termina son rapport en me regardant dans les yeux et sans avoir besoin d lui indiquer mon désir, s’approcha de moi et si mis à genoux. Elle défit ma fermeture éclair et en me regardant me dis qu’elle méritait maintenant sa récompense. Elle avait dû déjà en rêver car on sentait qu’elle salivait en la sortant de sa tanière. Elle était déjà dure mais si elle avait le moindrement de talent, elle atteindrait très rapidement son extension maximum. Elle fit glisser sa langue de la base au gland pour ensuite avaler se dernier en tournant sa langue pour l’exciter. De ses mains, elle caressait mes bourses. Elle avala ma queue centimètre par centimètre et elle devait avoir l’habitude des grosses queues car elle s’arrêta seulement quand ses lèvres coquèrent mon bas ventre et mes couilles. C’était délicieux et le mieux dans tout cela c’est qu’elle semblait y prendre beaucoup de plaisir, elle gémissait en savourant. Ma queue comme prévue était maintenant des plus dures grâce à la chaleur et la dextérité de sa bouche. Elle y allait maintenant de plus en plus vite en me regardant dans les yeux pour y voir mon plaisir. Je prends alors ses cheveux dans l’excitation et elle semblait apprécier que j’y aille de ma cadence maintenant. Elle sortit ma queue de sa bouche pour aller lécher, sucer et mettre en bouche mes testicules. Elle était merveilleuse, une grande suceuse et perverse comme je les aime. Elle reprit mon membre en bouche et recommença la cadence. Mon gland gonfla de plus en plus et lorsque je fus sur le point d’éjaculer l’enfonça au plus profond pour toute prendre mon sperme salé. Elle ralenti alors le rythme et doucement fit de léger va et vient pour s’assurer de prendre toute ma semence en bouche et l’avaler, la déguster comme un délicieux dessert de luxure.
Elle remit ma queue dans mes pantalons, ferma la fermeture éclair et remonta sur ses pieds. Avec un sourire, elle me demanda si demain elle pourra me présenter une partie de son équipe à la comptabilité. Le rendez-vous fut pris pour un briefing dans la salle de réunion à 18h00 jeudi. Elle reparti avec le sourire, dire que j’ai toujours eu peur de choqué mes employés avec mes désirs et fantasmes.
Le jeudi arriva et depuis deux j’ai remarqué que la performance battait son plein. Malgré tout les secrétaires étaient habillée sexy mais avec classe et mon adjointe administrative avait un décolleté qu’elle me montrait en se penchant sur les dossiers qu’elle voulait me montrer, en me disant que c’était assez complexe et que vendredi midi il faudrait regarder cela ensemble.
À 18h00, Maude la chef-comptable entra dans mon bureau avec le technicien qui s’appelle Charles et la réceptionniste du bureau la jeune et belle Marion. Des salutations timides me mirent mal à l’aise et me firent douter de la suite des choses. Maude m’expliqua que les récentes coupures avaient entraîné un surplus de travail et que Charles semblait avoir besoin de motivation. Elle lui demanda se s’asseoir et en le gronda lui dit qu’il était chanceux d’être si excitant mais qu’il ne pourrait plus profiter des avantages du bureau tant qu’il se montrait pas à la hauteur à son travail. Elle me regarda, baissa les yeux et me demanda si elle prenait trop d’initiatives en termina sa phrase avec un « Monsieur » bien senti pour démontrer que je restais maître de la situation. Alors, je demandai si Marion était elle aussi fautive ? Elle me répondit que bien au contraire et qu’elle était une perle pour l’entreprise et que je devais ainsi moi-même la gratifier. Marion était debout, belle, sensuelle et terriblement gênée. Elle s’avança vers Marion et tout en m’expliquant, en détail, les bons coups de l’employé elle défit sa blouse et enleva sa jupe en coupa son discours par des qualificatifs de plus en plus salés sur le corps de Marion qui était maintenant devant moi en soutien-gorge, bas mi-cuisse et jarretelle, sans string. Ce dernier point fut mis en évidence pour m’expliquer que plusieurs employés féminins n’en porte pas dans l’espoir d’avoir un entretien privée avec moi.
Elle demanda à Marion si elle voulait bien aller se coucher sur la table pour qu’elle puisse bien la dévorer. Par la suite, elle se tourna vers Charles et lui ordonna sèchement de quitter le bureau immédiatement, n’étant pas digne de demeurer dans la pièce. Il semblait très déçu et penaud mais quitta sans rouspéter. Maude écarta alors les cuisses de Marion et de ses doigts alla caresser l’intérieur des cuisses de la petite femme d’un peu plus de 5 pieds, menue mais si délicieuse. Elle semble déjà mouillée, vous savez monsieur Marion m’avait déjà parlé qu’elle rêvait de vous régulièrement mais elle est timide la petite mais croyez moi une fois la glace brisée, humm.
En termina sa phrase elle plongea entre les cuisses et savourer cette jeunesse. Marion ferma les yeux et se serra la lèvre inférieure. Maude s’amusait à la faire languir avec des coups de langues tout doux et Marion s’impatienta pris la tête de sa partenaire et la força à la dévorer plus goulûment : « Manges moi bien comme tu sais si bien le faire, allez sois vicieuse. Monsieur laissez moi pas ainsi, svp venez ici, il y a quelque chose que vous avez que je désire depuis le premier jour.» Je fus surpris par ces paroles crues et je m’approchai d’elle en défaisant ma fermeture éclaire. Ses mains sautèrent sur ma queue dès qu’elle fut assez près. Elle l’avala d’un coup sec et s’arrêtait seulement parce qu’elle n’était plus capable de retenir ses gémissements que lui procurait la bouche experte de Maude. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que les gémissements se rapprochent de plus en plus et qu’elle explose dans un orgasme superbe. Quand elle reprit ses forces elle me demanda de prendre sa place sur la table et dis à sa bienfaitrice que j’étais vraiment un bon morceau. Les deux femmes me déshabillèrent en m’embrassant l’une après l’autre et une fois nue j’allai me coucher sur la table et je pus me laisser dévorer par les deux femmes qui s’amusaient à y aller en duo, l’une avalant ma queue, l’autre ma léchant les couilles, les cuisses et me caressant le corps. Elles alternaient en prenant régulièrement le temps de s’embrasser et de lancer de nombreux compliment sur ma queue. Elles suçaient ma queue en profondeur. L’une l’attaquant plus vicieusement que l’autre, comme sil y avait une compétition de perversité entre les deux. La plus jeune semblait avoir plus de difficultés à tout prendre en bouche et je sentais mon gland s’écraser dans le fond de sa gorge mais elle continuait et semblait adorer me sucer ainsi. Après plusieurs merveilleuses minutes, C’était paradisiaque et la suite le fut encore plus.
Maude s’approcha à mon oreille et me chuchota qu’elle rêvait à moi depuis plusieurs nuits. Qu’elle voit ma queue la défoncer et qu’elle se masturbe à tous les soirs espérant que cela devienne réalité. Qu’elle va se mettre à quatre pattes le cul bien relevé et qu’elle veut être baisée par ma queue. Passant du mot au geste elle part et la Marion vient m’embrasser. Ses seins s’écrasent sur ma poitrine. Elle me quitte à son tour et je me lève vers Maude. Elle est subliment obscène avec ses mains qui écartent ses fesses la visage plaqué sur le table me suppliant de venir la baiser. Ma queue sur le bord des lèvres de sa chatte. Je savoure la texture de cette chatte toute mouillée. J’enfonce ma queue d’un seul coup et elle sort un cri entre la surprise et le plaisir. Je fais de délicieux va et vient, elle est si bonne, mon doigt commence à caresser son anus qui se dilate sous le plaisir et l’excitation. Je lui prends les cheveux et les tire à son grand plaisir de se sentir dominée, désirée, domptée. Elle gémit à coups de bassin et Marion qui s’ennuyait vient me présenter ses seins délicieux que je savoure. Je quitte régulièrement Maude pour que Marion savoure en même temps ma queue et le goût de la chatte à Maude. Je termine ce voyage de plaisir dans une explosion orgasmique qui inonde sa chatte. Marion vient lécher le sperme qui s’échappe de la chatte et donnant un deuxième orgasme à Maude. Après quelques minutes de repos et que tout le monde se soit rhabillé, on se quitte par des poignées de mains des plus professionnels comme si nous venions de terminer une réunion de travail. Je rentrais dans mon bureau pour vérifier mes courriels. J’avais un message du bureau du marketing m’expliquant qu’il y avait un problème avec une employée qui nous avait fait manquer un gros contrat. Après avoir lu le courriel en détail, je décidai de convoquer ladite employée le lundi suivant.
Mon travail exigeait souvent d’aller rencontrer des clients, je n’avais pas à l’époque un carnet de commande tout à fait remplie. Cependant cette journée là je dus retourner au bureau à 17h00, mon souper étant été annulé à la dernière minute, le client avait une rencontre qui s’est prolongé. Je décidais donc de revenir au bureau. Arrivée à 17h45 je fut content de voir que certains employé étaient demeurés au bureau même si le patron n’y était pas. J’ai voulu aller rencontrer le ou la valeureuse.
Ils étaient trois, ils étaient dans la salle de conférence. Ils n’avaient pas de document mais travaillent très fort. Le responsable des achats était couché sur la table (je l’ai reconnu que plus tard) et ma comptable positionné en 69. Ils ne pouvaient me voir et j’ai décidé d’attendre avant d’intervenir. La comptable quittait sa fellation pour gémir de plus en plus fort. Elle était sur le bord de l’orgasme quand elle se retourna pour admirer son amant. C’est à se moment que son regard croisa le mien. Elle voulu se débattre mais le gars voulait finir le travail à la perfection (j’ai toujours aimé son professionnalisme). Il l’obligea à revenir à lui et elle ne quitta pas mon regard et décida de se laisser aller. Tout en soutenant mon regard, elle eu un orgasme sonore des plus excitant. Je quittai immédiatement préparant déjà deux rencontres pour le lendemain.
Le premier appelle fut le chef des achats. Je lui fis savoir que son comportement était inacceptable et que j’attendais sa lettre de démission dans la journée, s’il désirait avoir des références ne faisant pas références à ses heures supplémentaires discutables. Il fut des plus abasourdies et quitta mon bureau sans dire un mot. J’avais convoqué la chef comptable en début d’après-midi et tout se déroula comme prévu. Elle avait discuté avec son amant et en arrivant dans mon bureau, elle avait déjà sa lettre de démission.
- Madame vous savez que je n’aime pas qu’on me joue dans le dos, expliquez moi.
- Monsieur j’ai un mari et un enfant et je ne veux pas perdre ma famille alors si vous jurez de ne rien dire, je promets de ne faire aucune vague.
- Alors pourquoi avoir un amant ? Pourquoi ici ?
- J’ai besoin d’adrénaline, je travail ici parce que l’entreprise est stimulante et j’ai besoin de sortir de la routine et ici parce que nous passons notre vie ici et à la maison je crois que mon mari apprécierait pas.
- Je refuse votre démission mais sachez qu’il n’y a qu’un coq ici.
- …
- C’est trop dur pour vous de me servir ?
- … (elle lève les yeux vers moi en me suppliant du regard)
- Je veux vous offrir toute l’adrénaline que vous avez besoin mais je te veux à moi.
- Monsieur vous êtes le patron… faites ce que vous voulez de moi mais je vous en supplie il faut que rien ne sorte de l’entreprise.
- Vous comprenez que je veux savoir s’il y a d’autres collaborateurs qui devraient avoir peur ? Voyons si je peux avoir confiance en vous.
- Monsieur, je vais vivre l’enfer si je dénonce les employés.
- Je veux savoir est-ce qu’il y a d’autres collaboratrices friandes de luxures et de sexe au bureau ?
- Oui… (dit-elle tête baissée)
- Je dois les mettre dehors mais vous le ferez pour moi.
- Mais pourquoi les mettre à la porte ?
- Parce qu’elles n’ont daigné se donner à 100% à l’entreprise.
- Elles sont comme moi Monsieur elle ne savaient pas.. que… vous êtes…
- Je suis quoi ?
- Ce qu’on aime…
- Alors moi je vous dis de mettre à la porte toutes celles qui n’aiment pas… et tous ceux qui veulent prendre ma place dans l’entreprise.
- Je comprends très bien Monsieur.
- Est-ce tout ?
- On verra ça lors de votre rapport.
Elle quitta le bureau encore tout abasourdie mais ayant compris son rôle. Tour à tour quatre employés masculins et un employé féminin vinrent me remettre leur démission. De plus je reçu un courriel du bureau de ma chef comptable que trois employés ne figuraient plus dans la philosophie de l’entreprise. J’émis un communiqué et un mémo interne spécifiant le besoin de l’entreprise de se restructurer pour aller vers de nouveaux objectifs ainsi que les postes coupés en fonction de la restructuration. En fin de journée vers 17h30, la chef comptable cogna à ma porte.
Elle me fit rapport de sa journée. Les cadres, adjointes administratives et secrétaires toujours en poste dans les bureaux administratifs étaient maintenant tous coopératifs et d’accord avec le respect de l’ordre hiérarchique de l’entreprise. J’avais maintenant des employés efficaces et aussi luxurieux. Elle termina son rapport en me regardant dans les yeux et sans avoir besoin d lui indiquer mon désir, s’approcha de moi et si mis à genoux. Elle défit ma fermeture éclair et en me regardant me dis qu’elle méritait maintenant sa récompense. Elle avait dû déjà en rêver car on sentait qu’elle salivait en la sortant de sa tanière. Elle était déjà dure mais si elle avait le moindrement de talent, elle atteindrait très rapidement son extension maximum. Elle fit glisser sa langue de la base au gland pour ensuite avaler se dernier en tournant sa langue pour l’exciter. De ses mains, elle caressait mes bourses. Elle avala ma queue centimètre par centimètre et elle devait avoir l’habitude des grosses queues car elle s’arrêta seulement quand ses lèvres coquèrent mon bas ventre et mes couilles. C’était délicieux et le mieux dans tout cela c’est qu’elle semblait y prendre beaucoup de plaisir, elle gémissait en savourant. Ma queue comme prévue était maintenant des plus dures grâce à la chaleur et la dextérité de sa bouche. Elle y allait maintenant de plus en plus vite en me regardant dans les yeux pour y voir mon plaisir. Je prends alors ses cheveux dans l’excitation et elle semblait apprécier que j’y aille de ma cadence maintenant. Elle sortit ma queue de sa bouche pour aller lécher, sucer et mettre en bouche mes testicules. Elle était merveilleuse, une grande suceuse et perverse comme je les aime. Elle reprit mon membre en bouche et recommença la cadence. Mon gland gonfla de plus en plus et lorsque je fus sur le point d’éjaculer l’enfonça au plus profond pour toute prendre mon sperme salé. Elle ralenti alors le rythme et doucement fit de léger va et vient pour s’assurer de prendre toute ma semence en bouche et l’avaler, la déguster comme un délicieux dessert de luxure.
Elle remit ma queue dans mes pantalons, ferma la fermeture éclair et remonta sur ses pieds. Avec un sourire, elle me demanda si demain elle pourra me présenter une partie de son équipe à la comptabilité. Le rendez-vous fut pris pour un briefing dans la salle de réunion à 18h00 jeudi. Elle reparti avec le sourire, dire que j’ai toujours eu peur de choqué mes employés avec mes désirs et fantasmes.
Le jeudi arriva et depuis deux j’ai remarqué que la performance battait son plein. Malgré tout les secrétaires étaient habillée sexy mais avec classe et mon adjointe administrative avait un décolleté qu’elle me montrait en se penchant sur les dossiers qu’elle voulait me montrer, en me disant que c’était assez complexe et que vendredi midi il faudrait regarder cela ensemble.
À 18h00, Maude la chef-comptable entra dans mon bureau avec le technicien qui s’appelle Charles et la réceptionniste du bureau la jeune et belle Marion. Des salutations timides me mirent mal à l’aise et me firent douter de la suite des choses. Maude m’expliqua que les récentes coupures avaient entraîné un surplus de travail et que Charles semblait avoir besoin de motivation. Elle lui demanda se s’asseoir et en le gronda lui dit qu’il était chanceux d’être si excitant mais qu’il ne pourrait plus profiter des avantages du bureau tant qu’il se montrait pas à la hauteur à son travail. Elle me regarda, baissa les yeux et me demanda si elle prenait trop d’initiatives en termina sa phrase avec un « Monsieur » bien senti pour démontrer que je restais maître de la situation. Alors, je demandai si Marion était elle aussi fautive ? Elle me répondit que bien au contraire et qu’elle était une perle pour l’entreprise et que je devais ainsi moi-même la gratifier. Marion était debout, belle, sensuelle et terriblement gênée. Elle s’avança vers Marion et tout en m’expliquant, en détail, les bons coups de l’employé elle défit sa blouse et enleva sa jupe en coupa son discours par des qualificatifs de plus en plus salés sur le corps de Marion qui était maintenant devant moi en soutien-gorge, bas mi-cuisse et jarretelle, sans string. Ce dernier point fut mis en évidence pour m’expliquer que plusieurs employés féminins n’en porte pas dans l’espoir d’avoir un entretien privée avec moi.
Elle demanda à Marion si elle voulait bien aller se coucher sur la table pour qu’elle puisse bien la dévorer. Par la suite, elle se tourna vers Charles et lui ordonna sèchement de quitter le bureau immédiatement, n’étant pas digne de demeurer dans la pièce. Il semblait très déçu et penaud mais quitta sans rouspéter. Maude écarta alors les cuisses de Marion et de ses doigts alla caresser l’intérieur des cuisses de la petite femme d’un peu plus de 5 pieds, menue mais si délicieuse. Elle semble déjà mouillée, vous savez monsieur Marion m’avait déjà parlé qu’elle rêvait de vous régulièrement mais elle est timide la petite mais croyez moi une fois la glace brisée, humm.
En termina sa phrase elle plongea entre les cuisses et savourer cette jeunesse. Marion ferma les yeux et se serra la lèvre inférieure. Maude s’amusait à la faire languir avec des coups de langues tout doux et Marion s’impatienta pris la tête de sa partenaire et la força à la dévorer plus goulûment : « Manges moi bien comme tu sais si bien le faire, allez sois vicieuse. Monsieur laissez moi pas ainsi, svp venez ici, il y a quelque chose que vous avez que je désire depuis le premier jour.» Je fus surpris par ces paroles crues et je m’approchai d’elle en défaisant ma fermeture éclaire. Ses mains sautèrent sur ma queue dès qu’elle fut assez près. Elle l’avala d’un coup sec et s’arrêtait seulement parce qu’elle n’était plus capable de retenir ses gémissements que lui procurait la bouche experte de Maude. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que les gémissements se rapprochent de plus en plus et qu’elle explose dans un orgasme superbe. Quand elle reprit ses forces elle me demanda de prendre sa place sur la table et dis à sa bienfaitrice que j’étais vraiment un bon morceau. Les deux femmes me déshabillèrent en m’embrassant l’une après l’autre et une fois nue j’allai me coucher sur la table et je pus me laisser dévorer par les deux femmes qui s’amusaient à y aller en duo, l’une avalant ma queue, l’autre ma léchant les couilles, les cuisses et me caressant le corps. Elles alternaient en prenant régulièrement le temps de s’embrasser et de lancer de nombreux compliment sur ma queue. Elles suçaient ma queue en profondeur. L’une l’attaquant plus vicieusement que l’autre, comme sil y avait une compétition de perversité entre les deux. La plus jeune semblait avoir plus de difficultés à tout prendre en bouche et je sentais mon gland s’écraser dans le fond de sa gorge mais elle continuait et semblait adorer me sucer ainsi. Après plusieurs merveilleuses minutes, C’était paradisiaque et la suite le fut encore plus.
Maude s’approcha à mon oreille et me chuchota qu’elle rêvait à moi depuis plusieurs nuits. Qu’elle voit ma queue la défoncer et qu’elle se masturbe à tous les soirs espérant que cela devienne réalité. Qu’elle va se mettre à quatre pattes le cul bien relevé et qu’elle veut être baisée par ma queue. Passant du mot au geste elle part et la Marion vient m’embrasser. Ses seins s’écrasent sur ma poitrine. Elle me quitte à son tour et je me lève vers Maude. Elle est subliment obscène avec ses mains qui écartent ses fesses la visage plaqué sur le table me suppliant de venir la baiser. Ma queue sur le bord des lèvres de sa chatte. Je savoure la texture de cette chatte toute mouillée. J’enfonce ma queue d’un seul coup et elle sort un cri entre la surprise et le plaisir. Je fais de délicieux va et vient, elle est si bonne, mon doigt commence à caresser son anus qui se dilate sous le plaisir et l’excitation. Je lui prends les cheveux et les tire à son grand plaisir de se sentir dominée, désirée, domptée. Elle gémit à coups de bassin et Marion qui s’ennuyait vient me présenter ses seins délicieux que je savoure. Je quitte régulièrement Maude pour que Marion savoure en même temps ma queue et le goût de la chatte à Maude. Je termine ce voyage de plaisir dans une explosion orgasmique qui inonde sa chatte. Marion vient lécher le sperme qui s’échappe de la chatte et donnant un deuxième orgasme à Maude. Après quelques minutes de repos et que tout le monde se soit rhabillé, on se quitte par des poignées de mains des plus professionnels comme si nous venions de terminer une réunion de travail. Je rentrais dans mon bureau pour vérifier mes courriels. J’avais un message du bureau du marketing m’expliquant qu’il y avait un problème avec une employée qui nous avait fait manquer un gros contrat. Après avoir lu le courriel en détail, je décidai de convoquer ladite employée le lundi suivant.
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Commentaires du récit : Etrusques inc
Le 05/10/2010 - 00:03 par bestknight
Lundi 14h00 Chloé entra dans mon bureau. Elle s’assit et je lui demandai comment ça allait au travail. Elle me répondit que oui que tout allait bien, elle ne semblait pas avoir réalisé son erreur. Je lui explique alors la situation et après quelques minutes, elle semblait réaliser que la discussion ne serait pas facile pour elle. Son sourire s’effaça et elle semblait de plus en plus effrayée de la suite des choses. Je terminai en lui expliquant que l’entreprise avait besoin d’employées dévouées mais également compétent. Elle m’affirma qu’elle était vraiment dévouée qu’elle était prête à travailleur deux fois plus fort mais mon visage sembla lui démontrer que j’étais très peu ému. Elle me demanda ce qu’elle pouvait faire pour se reprendre et elle ouvra ses cuisses pour que je puisse voir l’intérieur de ses cuisses et déboutonna un peu plus sa blouse. Je lui demandai alors si elle demeurait avec un petit ami et elle me confirma mes soupçons en me disant que non. C’est alors que je lui expliquai comment elle pouvait être punie pour ne plus recommencer. J’ouvris un tiroir de mon bureau et lui dit que l’entreprise voulait qu’elle se concentre sur le travail et que bien que pour l’esprit de corps, la luxure était privilégiée, seul les plus méritants pouvaient se le permettre. Je lui laissai donc le choix entre la ceinture de chasteté que je lui montrais d’une main et sa lettre de démission que je lui montrais de l’autre main. Elle me regarda toute abasourdie et se leva et prit la ceinture. Je lui expliquai que je la débarrasserais de la ceinture quand elle fait preuve de son bon travail. Elle était toute penaude et me dit qu’elle était demeurée dans l’entreprise après avoir rencontré Maude et que je pouvais faire d’elle tout ce que je désirais, qu’elle mourrait si elle était privée trop longtemps de sexe. Loin d’être touché par son offre je lui demandai d’enlever sa jupe, ce qu’elle fit aussi espérant que je la saute plutôt que d’avoir une prison sexuelle. Malheureusement pour elle je plaçai la ceinture de chasteté et ferma le cadenas et garda la clef sur moi. Je lui dis de venir me voir à la salle de réunion ce soir et à tout les lundis soir à 18h00 pour qu’on puisse procéder à sa réhabilitation. Le soir elle entra dans la salle de réunion et fut surprise de constater qu’il y avait 3 autres personnes. Maude, Fred et Magalie. Un sourire illumina son visage et elle vint vers moi. Je lui demandai si elle était prête et me chanta un oui. Pendant que les trois comparses commencèrent à s’embrasser, je lui présentai sa chaise. Cela ressemblait plus à un cheval d’arçon miniature qu’à une chaise. Elle se plaça sur le ventre et ainsi elle avait les fesses un peu relevées et je défis sa ceinture de sécurité. Les deux femmes avaient déshabillées Fred et le suça à tour de rôle l’autre l’embrassant en attendant son tour. Chloé était maintenant sans jupe et sans ceinture. Je lui pris les poignets et les attachai au fixations et lui dis comment se passerais ses lundis des prochaines semaines : « Chloé tu recevras une correction motivatrice à tous les lundis et pour te rappeler ce que tu pourras mériter d’ici quelques semaines, tu verras à chaque fois de tes collègues s’amuser à faire ce qui t’est maintenant interdit. » En finissant ma phrase ma main frappa sa fesse droite bruyamment. Elle cria, plus de surprise que de mal, car je n’avais pas encore mis toute la gomme. Pendant se temps, Magalie c’était placée à un pied du visage de Chloé et se masturbait sans honte devant elle. Je l’avais choisi car les deux femmes se voyaient régulièrement. Elle se masturba tout doucement en parlant à Chloé de tout ce qu’elle désirait lui faire dans quelques semaines. Elle était explicite et très excitante, assez pour être moi-même des plus excité. Magali c’est placé de telle façon qu’elle ne cachait à Chloé le couple qui s’était lancé dans une baise bestiale. Maude chevauchait de dos Fred et l’on pouvait très bien voir sa queue qui disparaissait dans la chatte de Maude à chaque fois qu’elle redescendait sur lui. Pendant ce temps, je n’avais pas resté inactif et j’avais donné une dizaine de coups sur chacune des fesses de Chloé. Elle n’était maintenant qu’un bruit sourd qu’elle étouffait le plus possible. À chacun des coups ma mains senti les fesses fermes de Chloé. Ma main rebondissait et j’admirais le mouvement ondulatoire que procurait ma main sur les fesses. Ses yeux se fermèrent et je dû alors augmenter la punition en lui indiquant que ça serait ainsi à chaque fois qu’elle fermerait les yeux pour ne pas voir ce qu’il y avait devant elle. Je sortis alors un fouet en lanières de cuir et je fouettai son joli cul de plus en plus fort. Elle cria à chaque coups mais on senti que la véritable torture était de voir ces collègues au bord de l’orgasme sans qu’elle puisse gouter à ce plaisir elle aussi. Ses fesses passèrent du rose au rouge vif. Son calvaire acheva quand Fred jouit après une chevauché endiablé de Maude qui n’étais pas rassasiée. Elle s’approcha alors de Magali et les deux se mirent en ciseaux. Pendant se temps j’avais sorti une crème pour le cul à Chloé que je caressais pour pas que ses jolies fesses restent marquée. Les deux femmes jouirent presqu’en même temps et après je détachai Chloé, remis sa ceinture et sa jupe et je donnai rendez à tout le monde pour le lundi suivant. Après trois semaine le travail de Chloé était plus qu’amélioré et le lundi je lui dis qu’elle n’avait plus qu’une semaine d’abstinence à subir. Elle était plus que ravie et c’est ainsi que lundi passé elle fut plus qu’adorable. À chaque fois que ma mains frappait son cul elle répétait : « Merci et j’ai hâte à ma récompense lundi. » Après que les trois mêmes comparses batifolaient luxurieusement elle chantait son désir d’être lundi prochain. Elle reçut une trentaine de claques sur chaque fesse et malgré des larmes de douleurs son sourire resplendissait et elle était inondée. La petite était rendue fanatique des fessées qui l’excitaient vraiment. Quand je remis sa ceinture elle essuya ses larmes et me dit que je lui avais fait découvrir un monde merveilleux mais que je serrais le seul à lui procurer se plaisir. En fin de journée aujourd’hui, j’ai ressemblé toute l’équipe de cadre dans la salle de réunion et les cinq hommes se sont fait déshabiller par les femmes. À tour de rôle les hommes ont pris Chloé et l’on baisé, Chloé était comme un volcan en irruption et insatiable, le jeune devait être compensé. Elle vida chacun des cinq gars et elle criait ses orgasmes qui furent nombreux. Les femmes suçaient les hommes qui attendaient leur tour, pour qu’ils aient la queue la plus dure et grosses possible pour bien défoncer la petite Chloé qui en redemandait toujours. Elle fut la seule femme à jouir ce soir mais elle a jouit une fois pour les 7 femmes présentes. Présentement, je suis son dessert. Elle voulait manger une seule queue ce soir, au grand malheur des hommes présent à la réunion tout à l’heure qui aurait bien aimé profiter de ses talents indéniables, je peux le confirmer présentement car les mots sont de plus en plus durs à écrire avec elle sous mon bureau. Ma queue est présentement dures et sur le point d’exploser et son plus grand talent à Chloé est de me manger comme si sa vie en dépendait et avec beaucoup d’enthousiasme vous devriez y voir les yeux tout brillant quand elle me regarde avec ma queue dans sa bouche. Elle aime le lécher de bas en haut avec sa langue et sa main experte me caresse les couilles de façon très sensuelle. C’est si bon, elle vient de la prendre tout en bouche, ses lèvres se moulent parfaitement. J’adore quand elle va rapidement comme présentement, elle sort ma queue complètement de sa bouche pour la reprendre immédiatement et se l’enfoncer complètement de plus en plus rapidement. Ça doit faire maintenant près de 15 minutes qu’elle me suce et je n’écris pas tout en détails car j’aime prendre le temps de la regarder me sucer mais elle me chicane et me dit de continuer d’écrire, Je crois que cela l’excite. Je vais vous laisser, je vais exploser sur son visage, elle est vraiment bonne la petite salope.
Lundi 14h00 Chloé entra dans mon bureau. Elle s’assit et je lui demandai comment ça allait au travail. Elle me répondit que oui que tout allait bien, elle ne semblait pas avoir réalisé son erreur. Je lui explique alors la situation et après quelques minutes, elle semblait réaliser que la discussion ne serait pas facile pour elle. Son sourire s’effaça et elle semblait de plus en plus effrayée de la suite des choses. Je terminai en lui expliquant que l’entreprise avait besoin d’employées dévouées mais également compétent. Elle m’affirma qu’elle était vraiment dévouée qu’elle était prête à travailleur deux fois plus fort mais mon visage sembla lui démontrer que j’étais très peu ému. Elle me demanda ce qu’elle pouvait faire pour se reprendre et elle ouvra ses cuisses pour que je puisse voir l’intérieur de ses cuisses et déboutonna un peu plus sa blouse. Je lui demandai alors si elle demeurait avec un petit ami et elle me confirma mes soupçons en me disant que non. C’est alors que je lui expliquai comment elle pouvait être punie pour ne plus recommencer. J’ouvris un tiroir de mon bureau et lui dit que l’entreprise voulait qu’elle se concentre sur le travail et que bien que pour l’esprit de corps, la luxure était privilégiée, seul les plus méritants pouvaient se le permettre. Je lui laissai donc le choix entre la ceinture de chasteté que je lui montrais d’une main et sa lettre de démission que je lui montrais de l’autre main. Elle me regarda toute abasourdie et se leva et prit la ceinture. Je lui expliquai que je la débarrasserais de la ceinture quand elle fait preuve de son bon travail. Elle était toute penaude et me dit qu’elle était demeurée dans l’entreprise après avoir rencontré Maude et que je pouvais faire d’elle tout ce que je désirais, qu’elle mourrait si elle était privée trop longtemps de sexe. Loin d’être touché par son offre je lui demandai d’enlever sa jupe, ce qu’elle fit aussi espérant que je la saute plutôt que d’avoir une prison sexuelle. Malheureusement pour elle je plaçai la ceinture de chasteté et ferma le cadenas et garda la clef sur moi. Je lui dis de venir me voir à la salle de réunion ce soir et à tout les lundis soir à 18h00 pour qu’on puisse procéder à sa réhabilitation. Le soir elle entra dans la salle de réunion et fut surprise de constater qu’il y avait 3 autres personnes. Maude, Fred et Magalie. Un sourire illumina son visage et elle vint vers moi. Je lui demandai si elle était prête et me chanta un oui. Pendant que les trois comparses commencèrent à s’embrasser, je lui présentai sa chaise. Cela ressemblait plus à un cheval d’arçon miniature qu’à une chaise. Elle se plaça sur le ventre et ainsi elle avait les fesses un peu relevées et je défis sa ceinture de sécurité. Les deux femmes avaient déshabillées Fred et le suça à tour de rôle l’autre l’embrassant en attendant son tour. Chloé était maintenant sans jupe et sans ceinture. Je lui pris les poignets et les attachai au fixations et lui dis comment se passerais ses lundis des prochaines semaines : « Chloé tu recevras une correction motivatrice à tous les lundis et pour te rappeler ce que tu pourras mériter d’ici quelques semaines, tu verras à chaque fois de tes collègues s’amuser à faire ce qui t’est maintenant interdit. » En finissant ma phrase ma main frappa sa fesse droite bruyamment. Elle cria, plus de surprise que de mal, car je n’avais pas encore mis toute la gomme. Pendant se temps, Magalie c’était placée à un pied du visage de Chloé et se masturbait sans honte devant elle. Je l’avais choisi car les deux femmes se voyaient régulièrement. Elle se masturba tout doucement en parlant à Chloé de tout ce qu’elle désirait lui faire dans quelques semaines. Elle était explicite et très excitante, assez pour être moi-même des plus excité. Magali c’est placé de telle façon qu’elle ne cachait à Chloé le couple qui s’était lancé dans une baise bestiale. Maude chevauchait de dos Fred et l’on pouvait très bien voir sa queue qui disparaissait dans la chatte de Maude à chaque fois qu’elle redescendait sur lui. Pendant ce temps, je n’avais pas resté inactif et j’avais donné une dizaine de coups sur chacune des fesses de Chloé. Elle n’était maintenant qu’un bruit sourd qu’elle étouffait le plus possible. À chacun des coups ma mains senti les fesses fermes de Chloé. Ma main rebondissait et j’admirais le mouvement ondulatoire que procurait ma main sur les fesses. Ses yeux se fermèrent et je dû alors augmenter la punition en lui indiquant que ça serait ainsi à chaque fois qu’elle fermerait les yeux pour ne pas voir ce qu’il y avait devant elle. Je sortis alors un fouet en lanières de cuir et je fouettai son joli cul de plus en plus fort. Elle cria à chaque coups mais on senti que la véritable torture était de voir ces collègues au bord de l’orgasme sans qu’elle puisse gouter à ce plaisir elle aussi. Ses fesses passèrent du rose au rouge vif. Son calvaire acheva quand Fred jouit après une chevauché endiablé de Maude qui n’étais pas rassasiée. Elle s’approcha alors de Magali et les deux se mirent en ciseaux. Pendant se temps j’avais sorti une crème pour le cul à Chloé que je caressais pour pas que ses jolies fesses restent marquée. Les deux femmes jouirent presqu’en même temps et après je détachai Chloé, remis sa ceinture et sa jupe et je donnai rendez à tout le monde pour le lundi suivant. Après trois semaine le travail de Chloé était plus qu’amélioré et le lundi je lui dis qu’elle n’avait plus qu’une semaine d’abstinence à subir. Elle était plus que ravie et c’est ainsi que lundi passé elle fut plus qu’adorable. À chaque fois que ma mains frappait son cul elle répétait : « Merci et j’ai hâte à ma récompense lundi. » Après que les trois mêmes comparses batifolaient luxurieusement elle chantait son désir d’être lundi prochain. Elle reçut une trentaine de claques sur chaque fesse et malgré des larmes de douleurs son sourire resplendissait et elle était inondée. La petite était rendue fanatique des fessées qui l’excitaient vraiment. Quand je remis sa ceinture elle essuya ses larmes et me dit que je lui avais fait découvrir un monde merveilleux mais que je serrais le seul à lui procurer se plaisir. En fin de journée aujourd’hui, j’ai ressemblé toute l’équipe de cadre dans la salle de réunion et les cinq hommes se sont fait déshabiller par les femmes. À tour de rôle les hommes ont pris Chloé et l’on baisé, Chloé était comme un volcan en irruption et insatiable, le jeune devait être compensé. Elle vida chacun des cinq gars et elle criait ses orgasmes qui furent nombreux. Les femmes suçaient les hommes qui attendaient leur tour, pour qu’ils aient la queue la plus dure et grosses possible pour bien défoncer la petite Chloé qui en redemandait toujours. Elle fut la seule femme à jouir ce soir mais elle a jouit une fois pour les 7 femmes présentes. Présentement, je suis son dessert. Elle voulait manger une seule queue ce soir, au grand malheur des hommes présent à la réunion tout à l’heure qui aurait bien aimé profiter de ses talents indéniables, je peux le confirmer présentement car les mots sont de plus en plus durs à écrire avec elle sous mon bureau. Ma queue est présentement dures et sur le point d’exploser et son plus grand talent à Chloé est de me manger comme si sa vie en dépendait et avec beaucoup d’enthousiasme vous devriez y voir les yeux tout brillant quand elle me regarde avec ma queue dans sa bouche. Elle aime le lécher de bas en haut avec sa langue et sa main experte me caresse les couilles de façon très sensuelle. C’est si bon, elle vient de la prendre tout en bouche, ses lèvres se moulent parfaitement. J’adore quand elle va rapidement comme présentement, elle sort ma queue complètement de sa bouche pour la reprendre immédiatement et se l’enfoncer complètement de plus en plus rapidement. Ça doit faire maintenant près de 15 minutes qu’elle me suce et je n’écris pas tout en détails car j’aime prendre le temps de la regarder me sucer mais elle me chicane et me dit de continuer d’écrire, Je crois que cela l’excite. Je vais vous laisser, je vais exploser sur son visage, elle est vraiment bonne la petite salope.
Le 04/10/2010 - 22:51 par ithos
Compliments pour la conception de l'intrigue. Une suite s'impose sur le même registre.
Compliments pour la conception de l'intrigue. Une suite s'impose sur le même registre.
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