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Le jour de mon mariage

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Lue : 27870 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 03/10/2010

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Le jour de mon mariage


* — Bon Dieu, que c’est bizarre de te voir avec une alliance au doigt ! s’exclame ma sœur Anne.
* — Pff, à qui le dis-tu ?
* — Ah tu vois, tu regrettes déjà !


Se parer de précautions et tourner sept fois sa langue de vipère dans sa petite bouche d’ange n’étaient pas vraiment du genre de ma sœur, toujours prompte à dire ce qu’elle pense même et surtout au moment le plus inapproprié.

Voilà à peine plus de trois heures que j’étais mariée religieusement. Un après-midi merveilleux avec une grande cérémonie dans la plus belle église du coin, des « mariés superbes » à en croire la foule d’amis et de membres plus ou moins proches de nos deux familles, une réception avec faste dans un magnifique château loué pour l’occasion, champagne et petits fours à volonté, avec en prime un soleil radieux… un vrai mariage de princesse !

Sauf qu’au moment de me retrouver seule dans une chambre isolée pour mettre une robe un peu plus pratique à porter que cette grande robe de mariée avec tous ses beaux apparats, son voile et ses formes si soignées, le spleen envahit peu à peu mes pensées. Mon mariage avec Jean-Charles, nos futurs enfants, notre déménagement dans les jours à venir à Saint-Nazaire, la grisaille bretonne, la routine, … la promesse de fidélité à vie : quel programme ! Plus j’y pense et plus j’ai l’impression de rentrer au couvent. Et ce n’est pas ma sœur bien aimée qui va m’aider à évacuer mes idées noires !

* — N’empêche, qu’est-ce qu’il avait l’air niais ton Jean-Charlot à l’église ! T’as vu comme il bredouillait ? J’ai bien cru que le sermon soporifique du curé l’avait changé en âne !
* — T’es bête ! (je lui réponds ainsi gentiment, réprimant assez mal un petit ricanement nerveux).
* — C’est un beau couillon que t’as épousé là !
* — Laisse-le un peu tranquille va, je sais très bien ce que tu penses de lui !
* — Mouais… en tout cas, toi, tu es sublime ! dit-elle en soulevant un peu mon voile pour mieux capter mon regard.
* — Merci… Allez, allez, aide moi un peu à retirer cet accoutrement !
* — On est pas pressé ! Ton, euh, ton mari est en train de se cuiter gentiment la gueule avec ses potes d’enfance ou écoute sans broncher les invités de son papa et de sa p’tite maman lui raconter leurs longues vies de chiottes ! En parlant de chiottes, attends, je reviens…
* — Va vite expulser tout le champagne que t’as ingurgité et reviens vite m’aider !



Faut dire que, j’ai beau l’aimer mon Jean-Charlot, ma sœur n’a pas complètement tort. Laissée complètement seule dans la chambre, désemparée, je regarde sans y prêter vraiment attention les oiseaux par la fenêtre. Une larme vient perler au creux de mes paupières.

La porte se rouvre et se referme derrière moi. Allez, il faut que je me reprenne ! Je respire profondément et dis :

* — Ah te revoilà sœurette ! Tu peux défaire les lacets du bustier de ma robe, dans mon dos, s’il te plaît ?


Je l’entends qui s’approche doucement derrière moi. Et j’ajoute :

* — Tu sais, ça me fait un peu peur à moi aussi…


Elle ne répond pas. Doucement, tout doucement, les lacets lâchent. Par le haut, d’abord. Je ferme les yeux pour tenter de ne plus penser à rien, que cette robe qui s’ouvre un peu dans le dos, me libérant en partie de ce bustier qui me serrait terriblement la poitrine. Faut dire que j’avais pris soin à ce qu’il soit très serré afin de contenir autant que possible mes seins que j’ai très volumineux. Une fois les lacets défaits, je sens des doigts effleurer la peau de mon dos, remonter sur mes épaules nues, sous le tissu fin de mon voile… Drôle d’idée mais très bonne idée sœurette ! Ça fait tellement de bien… Ses mains me caressent avec un peu plus d’insistance dans la nuque, un instant de grâce appréciable ! Ses mains ? Elles me semblent bien fortes… Pas du tout les doigts fins de ma sœur ! J’ai un sursaut.

* — Félicitations Marie.


Ces mots me glacent. Ils me tétanisent sur place. Cette voix qui les a murmurés à mon oreille, chaude, grave, je la reconnaîtrais parmi cent ! Putain, Marc ! Mon amant fougueux, l’étalon de ma jeunesse ! Lui que j’ai invité sans que mon Jean-Charlot ne connaisse rien de lui. Lui qui m’a fait jouir tant de fois, qui m’a baisée tellement fort ! Et dire que je n’ai jamais baisé avec mon désormais mari, pas même en rêve…

Je me retourne d’un coup, les yeux ébahis.

* — Qu’est-ce que tu fais ici ?
* — Mais c’est toi qui, après tant d’années de silence, m’a invité à ton mariage, tu te souviens ?


Toujours ce ton impétueux. Il n’a pas changé d’ailleurs : grand, brun, mal rasé, viril, des yeux de braise… Surtout pas de costard comme les autres, les bourgeois de ma trempe, mais un jean et une chemise largement ouverte au-dessus.

* — J’ai vu ta sœur. Elle est partie rejoindre ses amis. Tiens, je t’ai rapporté du champagne ma belle.


Pas étonnant de la part de ma sœur, vu qu’elle préférait de très loin me voir arriver en soirée avec Marc plutôt qu’avec « Jean-Charlot ».

Marc se dirige vers le meuble où il a déposé une bouteille de champagne, en sert deux coupes et m’en ramène une.

* — Merci… Excuse-moi… Tu m’as… surprise !
* — Après tout ce temps c’est normal ! Très belle cérémonie ceci dit… un brin pompeuse, pour tout dire carrément chiante, sans parler de ton croque-mort de mari, mais toi tu étais, tu ES ravissante ma chérie !


D’une main tremblante, j’apporte la coupe à mes lèvres et la bois d’un trait. Il reprend :

* — Enfin mariée alors ! Faut dire que ce n’est pas vraiment moi qui aurais pu t’offrir ça ! Ni la cérémonie et le château qui vont avec, d’ailleurs. C’est sans doute pour ça que tu m’as lâché sans un mot d’explication.
* — …
* — Tu ne dis rien ma petite garce ?
* — Tu as déjà tout dit : notre petite histoire de cul n’avait rien à voir !


Merde, ce que ces yeux me prennent aux tripes ! Surtout tenir son regard. Ne pas montrer de signes de faiblesse… malgré mon corps qui tremble de tout son long et mon cœur qui bat la chamade. Ça avait toujours été impossible de ne pas rentrer dans son petit jeu de provoc’. Sa réponse ne s’est pas fait attendre :

* — C’est sûr qu’entre le cul et le mari cucul il faut choisir !


Je me force à rire pour augmenter l’effet donné par ce que je vais lui répondre :

* — Détrompe-toi Marc ! Côté sexe tout va TRÈS bien se passer !
* — Ahahaha ! Bien sûr que tu as tout prévu puisque tu m’as invité à ton mariage ! On n’invite pas une simple relation de cul à son mariage pour rien.


Touchée ! Coulée ! Impossible de résister : à ce petit jeu, c’est lui le plus fort. Et j’ai une folle envie qu’il me prenne là, maintenant ! De sentir ses mains, sa bouche, son sexe… Qu’il me baise en tenue de mariée !

C’est qu’il s’approche le coquin. Et je ne dis rien. Je suis collé contre une vieille commode. Il me fixe de ses yeux vert foncé et caresse ma joue de sa main. Il continue :

* — Tu es à croquer dans ta belle robe blanche, Marie. Tes boucles brunes et tes yeux bleus en amande m’ont terriblement manqué. Ton insatiable soif de cul aussi.
* — Arrête, je ne…
* — Ne mens pas. Tes yeux me disent tout ce dont tu as envie.


Sans me laisser le temps de répondre, il jette ses lèvres sur les miennes en m’empoignant les hanches de ses mains fortes, sans ménagement pour la robe de mariée. Pas besoin d’attendre longtemps avant que je ne lui cède et sa langue vient enlacer la mienne. J’agrippe son dos musclé. Notre baiser est passionné, nos langues tournoient l’une contre l’autre. Une fois ce premier baiser passé, je ne peux que lui avouer avec une voix de chatte, mes yeux noyés dans son regard :

* — J’ai envie de toi… de ton sexe.


Sa bouche, ses lèvres gagnent rageusement ma nuque et mes épaules. Puis ils reviennent baiser mes lèvres. Je suis en feu ! Je prends ses cheveux dans mes mains, l’embrasse sur tout le visage. Je descends mes mains dans son dos tandis que je me baisse petit à petit, m’accroupis. De mes doigts, je défais sa ceinture, et fais sauter en un quart de seconde tous les boutons de son jean. Je sors du tissu sa belle pine toute dressée. Je la caresse légèrement de mon voile de mariée au tissu si fin. De ma langue dardée, je lape le gland rose qui s’offre à moi. Hmmmm ! Ça fait si longtemps que je n’avais pas fait cela ! D’une main je le branle un peu.

Puis je repousse un peu mon voile sur le côté pour pouvoir le sucer convenablement. J’applique mes lèvres rouges et bien pleines sur le gland en pressant très fort. Et, tout en le pressant de mes lèvres charnues, je fais aller son sexe chaud dans ma bouche. Je laisse échapper un petit rire étouffé en pensant à la vue qu’il doit avoir, le salaud, sur la jeune mariée qui le suce, sur ce voile blanc qui fait des va-et-vient sur sa bite toute dure ! J’agrippe mes mains à ses fesses et continue ainsi à le sucer, poussant sa pine entre mes lèvres, n’hésitant pas à racler à l’occasion la chair avec mes dents. J’accélère rapidement la cadence de mes va-et-vient. Il grogne et me dis que je suis une belle petite salope, que mon mari devrait me voir ainsi sucer un autre le jour même de son mariage. Cela m’amuse. Alors je m’applique à le prendre en bouche du mieux que je peux. J’adore ça !

Puis je me relève. Et après quelques baisers langoureux, et que je lui ai demandé de m’enlever ma robe, il me dit :

* — Avant ça, j’ai un cadeau de mariage pour toi !
* — Vraiment ?
* — Oui mais d’abord une autre coupe de champagne !


Je vide d’un trait la coupe qu’il me tend. Marc appelle :

* — Dominique !


Un serveur, un black, ouvre la porte. Je prends peur d’abord, croyant que Marc me tend un piège en créant un scandale dans MON mariage ! Mais le black, un géant, referme la porte derrière lui et tourne la clé dans la serrure afin que nous ne soyons pas dérangés. Je ne suis pas sûr de comprendre et adresse un regard interrogateur à mon amant.

* — Je te présente Dominique. Il est très gentil. C’est à lui qu’on doit cette très bonne bouteille de champagne. Rassure-toi, il ne dira absolument rien de ce qui se passe ici, c’est convenu entre nous… à condition qu’il puisse participer à la fête.
* — Ahahaha ! Tu crois vraiment que je vais céder au chantage ?
* — Ce n’est pas un chantage, Marie. C’est un cadeau de mariage. Et ne crois pas que je vais le laisser profiter seule de la mariée !


Pour être franche, à cette déclaration, mes yeux bleus pétillent d’un désir immense. Se faire prendre par deux mecs le jour de son mariage ? Le cadeau est osé… mais ne se refuse pas ! Le serveur, lui, est resté près de la porte.

* — Eh bien ne fais pas le timide, je lui dis, approche toi !


Il s’exécute. Nous nous embrassons tandis que je caresse son entrejambe. Marc est là, à côté de moi. Je l’embrasse à son tour. Alors que ma bouche retourne ensuite sur celle de Dominique, Marc tire sur ma robe pour faire sortir mes seins volumineux de leur cage de tissu. Il m’embrasse dans le cou tout en me malaxant le sein droit. Dominique ne tarde pas à se saisir du sein gauche. Je sens aussi une main qui palpe une fesse par delà la robe et une autre qui me caresse au niveau de la cuisse droite. Je suis serrée entre ces deux beaux mâles. J’embrasse de nouveau Marc. Dominique, lui, en profite pour attaquer mon sein gauche de sa langue, de sa bouche, de ses dents qui raclent mon téton. C’est tellement bon d’être ainsi caressée ! Marc s’arrête et demande à « Monsieur Dominique » de porter cette « garce de mariée » jusqu’au lit. Celui-ci, bien costaud sous son costume noir et blanc impeccable, me prend dans ses bras. En me regardant d’un air réjoui, Marc lance un « vive la mariée » qui me fait glousser de rire. Et « Monsieur Dominique » me dépose délicatement sur les couvertures brodées du lit à baldaquin.

Dominique me saisit les chevilles et lève mes jambes bien haut. Marc s’approche alors et tire sur ma robe pour la faire remonter jusqu’aux hanches, dévoilant à leurs yeux avides mes jambes et mes belles petites fesses bien rebondies avec les bas, le porte-jarretelles et la petite culotte blanche qui vont avec. Pendant ce traitement, toute excitée, je ne peux m’empêcher de laisser échapper quelques rires nerveux. Mon géant de serveur repose ensuite mes jambes. Chacun de mes deux beaux mâles s’occupe des pinces de mon porte-jarretelles, chacun une jambe, me caressent les cuisses de leurs mains viriles. Puis Dominique revient à mes seins qu’il s’occupe de triturer avec ses doigts, sa langue et ses dents. Marc m’a enlevé ma culotte et commence à laper mon clitoris tout gonflé de désir. Sa langue lape le bouton de chair et fait déjà quelques va-et-vient sur mes lèvres intimes. Je murmure allègrement sous les assauts de mes deux assaillants. Du moins jusqu’à ce que Dominique me présente son sexe, une queue énorme, grosse et longue comme je n’en avais jamais vu auparavant ! En se postant ainsi au-dessus de moi, il me dit :

* — Suce Madame !


C’est la première fois, je crois, qu’on m’appelle Madame.

Évidemment, je prends plaisir à la sucer cette énorme pine qui me déforme mes belles petites lèvres. Les yeux mi-clos, je suce une bite noire gigantesque en gémissant sous les coups de langue qui s’agitent frénétiquement entre mes cuisses. Marc continue en effet un délicieux léchage de clito qui me transporte de plaisir. Sa langue ne tarde pas d’ailleurs à venir s’insinuer dans mon sexe en de longs et ciblés va-et-vient. Sous les spasmes de plaisir, il m’arrive de lâcher prise mon amuse-bouche pour gémir à haute voix et remuer la tête contre mon voile. Mais telle n’est pas du goût du beau black qui me prend la tête avec ses mains puissantes, et applique lui-même les va-et-vient dans ma bouche, raclant ma glotte de son gros gland. Marc me soulève les cuisses. Sa langue alterne désormais mon sexe et mon petit trou, entre mes fesses. La sensation est divine ! Puis il lance de nouveau sa langue contre mon sexe en l’accompagnant d’un doigt qu’il fait frétiller contre ma rondelle et qu'il ne tarde pas à me rentrer l’anus. C’est bon ! Délicieux ! Il m’avait fait découvrir la sodomie et je constate avec bien du plaisir que j’aime toujours autant ça ! Dominique finit d’ailleurs par abandonner de me pénétrer la bouche pour me laisser gémir avec force.

Marc arrête son traitement pour ne pas me laisser jouir tout de suite. Il m'invite à me mettre à quatre pattes sur le lit, la croupe offerte à la première bite qui s’annonce. Marc me défait mon voile, le passe autour de ma poitrine, l’enserre. Dominique se branle en me regardant ainsi offerte. Marc m’empale d’un coup ! Hmmm ! Enfin ! Son sexe effectuant des va-et-vient dans mon vagin, il accompagne ses coups de butoir par des à-coups sur le voile qui enserre mes gros seins. L’effet est prodigieux, tant je n’avais pas été baisée depuis longtemps ! Je grogne et râle sous ses coups de butoir. Puis, Dominique vient se placer à son tour derrière moi.

* — La mariée n’a jamais vu d’aussi grosse bite, me dit Marc. Et elle veut la sentir tout de suite au fond de son sexe trempée…
* — Oui…
* — Comment ?
* — OUUUUIIIIIII !


Dominique m’empale de son énorme pine. Je crie. Il commence ses allers-retours en moi, sortant quasiment toute sa queue pour la rentrer de nouveau, et ainsi de suite. Je crie quasiment à chacun de ses coups, me mords la lèvre inférieure entre deux râles. Marc essaie de me faire sucer sa queue, ce que je fais frénétiquement, comme une folle de sexe… mais pas plus d’une minute ou deux car la queue du black m’enflamme le bas-ventre. Je ne sais plus très bien où je suis. Je n’entends plus que mes râles de plaisir. Jusqu’à ce que la boule qui me tenaille le bas-ventre ne me remonte dans tout le corps, laissant échapper trois puissants cris de jouissance.

Eux n’en ont pas fini avec moi pour autant. Le géant black se met sur le dos, sa longue tige encore toute raide. Je quitte définitivement ma robe et me mets à califourchon sur lui. Baisée comme je viens de l’être, la pine entre plus facilement dans mon sexe. Je reste ainsi quelques précieuses secondes empalée dessus. Marc me donne quelques petites tapes sur les fesses, impatient de me voir dandiner du bassin, la tige allant et venant en moi. En m’appuyant sur le torse musclé de Dominique, je commence donc à faire coulisser le sexe entre mes cuisses en ondulant doucement de la croupe. Puis de plus en plus vite. Un rodéo jubilatoire ! J’ai beau avoir joui quelques minutes plus tôt, ce nouveau traitement fait très vite effet. Je gémis de nouveau. Surtout, ça a l’air de plaire à mon beau black qui grogne ostensiblement.

Je recommence en fait à me laisser aller entièrement au sexe, comme envoûtée, faisant claquer mes fesses contre les cuisses du serveur avec toujours plus de force, avec toujours plus de cette envie impérieuse de me faire prendre comme une chienne ! Mais Marc arrêta mon élan.

* — Et maintenant le bouquet final, dit-il.


Il place sa queue à l’entrée de mon anus, s’enfonce lentement, me faisant pousser un long gémissement. Prise ainsi en sandwich, pas de doute que je vais jouir une seconde fois… Marc donne l’impulsion des premiers va-et-vient, sans brusquer d’abord, pour ne pas me faire trop mal. Alors Dominique se met aussi à s’agiter. Les coups de reins de Marc suivent et se font de plus en plus profonds, m’arrachant des râles de plaisir encore et encore. Le rythme donné par Marc permet à Dominique de me limer de plus en plus sur l’entière longueur de sa pine. Je sens les deux bites en moi, me limer de long en large. Leurs bourses claquent sur mes chairs. Mes râles deviennent de plus en plus aigus. De vrais cris de petite chatte ! La cadence des deux bites qui vont et viennent en moi, s’accélère. La tête me tourne. Les yeux fermés, la bouche grande ouverte, je crie. Encore. Et encore. Et encore. Dominique a des convulsions et finit par jouir en même temps que moi. Je suis épuisée… Marc se retire et vient me présenter sa queue. Je la mets en bouche, un peu désorientée, et quelques succions suffisent à la faire gicler dans la bouche. J’avale comme je peux le précieux liquide.

Marc glisse une main dans mes cheveux et me dit :

* — Il faut que tu sois présentable pour tes invités…


En essuyant le sperme sur mes lèvres avec le voile blanc qu’il vient de ramasser. Revenant soudain à la réalité, je me précipite tant bien que mal dans la salle de bain faire un brin de toilette et remettre un peu de maquillage. Je vais chercher ma robe de soirée quand on frappe à la porte et j’entends ma sœur me crier

* — Putain, Marie-Christine, qu’est-ce que tu fous ? Ça fait une heure et demi que tout le monde t’attends ! Magne-toi ! »


Un quart d’heure plus tard me voilà définitivement parée. Je sors, m’assurant que mes deux beaux étalons attendront un peu avant de quitter la chambre, histoire de ne pas me compromettre inutilement. En chemin je tombe sur Jean-Charles qui, tout énervé, me lance :

* — Où t’étais ? Ça fait plus d’une heure que je te cherche ! Tout le monde se demande ce qui t’es arrivé !
* — Oh, je suis désolée mon chéri, je me suis reposée un peu et sans m’en rendre compte je me suis endormie. Je suis tellement désolée… mais toute cette préparation et le stress ont dû terriblement me fatiguer !


Ma petite voix et mes yeux implorants ont très vite fait de l’amadouer et de le calmer. Alors qu’il me tient par la taille, je l’embrasse et lui dis « je t’aime ». Et, surprise ! Une fois arrivée à la salle du dîner, les convives m’ont tellement attendue, que j’ai le droit à la plus grande ovation que je n’aie jamais eu !

Ce mariage, vraiment le plus beau jour de ma vie !… avant la prochaine expérience en filouteries bien entendu !



Marie-Christine
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Histoire de MarieC

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Commentaires du récit : Le jour de mon mariage

Le 20/06/2012 - 20:07 par fantaisymike
Magnifique histoire j'en laisser quelques gouttes en te lisant...
Le 22/05/2011 - 15:46 par Julie592
Je vais me marier comment faire pour que mon mariage ressemble au tien.

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