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Un brûlante relation

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/06/2022

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Je suis cocu. C’est aujourd’hui une certitude. Cette situation, je l’ai subie, pas comme ces maris qui fantasmes de voir leurs épouses, baiser avec un autre homme, non. Mais je n’ai rien fait pour l’en empêcher. Un jour, elle est parti à la faute, cherchant dans les bras d’un autre ce que je ne lui apportais pas.
Je suis un peu responsable si aujourd’hui, elle a échappé à mon contrôle.
Mais laissez-moi vous raconter comment nous en sommes arrivés là.
Je m’appelle Pascal, vingt huit ans, agent immobilier. Je suis marié depuis maintenant trois ans à Rose, vingt quatre ans. C’est une superbe blonde à la peau bronzée par le soleil, qui fait ressortir ses yeux verts émeraudes. Elle mesure un mètre soixante dix, pour cinquante huit, un corps ferme, des formes féminines et une poitrine à tomber par terre.
Nous habitons dans le sud de la France, dans une vieille bâtisse, héritée de mes parents. Mon père n’a jamais pu vendre cette maison, car il s’y passait, soit disant, des choses bizarres, paranormales. Bref, des ragots lançaient par ce qu’il ne pouvait pas se la payer.
Rose et moi, nous sommes connus au lycée, elle, étudiante en droit, moi surveillant. A l’époque, elle avait seize ans, et moi vingt.
Le courant est de suite passé entre nous, au grand dam de jaloux étudiants qui lui tournaient autour. Mais elle était folle de moi, et c’était réciproque. On passait nos soirée dans ma chambre à bavarder, de nôtre avenir, ensemble ou pas. Il ne c’est jamais rien passé. On a attendu sa majorité, pour avoir nôtre première relation.
Ce fût ni bien, ni mal. Juste approximatif. La crainte du mal faire sans doute.
Mais je m’aperçus très vite qu’au lit, je n’étais pas très performant. Bien sur, Rose s’en contentait, n’ayant jamais eu de rapports avec d’autres hommes que moi..
Bien souvent le lundi matin, les collègues au bureau, racontaient leur week-end.
- Moi, disait Jeannot, tranquille, un peu de repos, beaucoup de baises.
- Pour moi, c’est pareil, poursuit Marjorie.
- A bon, t’a baisé toi aussi.
- Oh putain, m’en parles pas. Je me le suis fait mettre tout le samedi matin. Mon mari absent, j’ai ramené un mec, un vrai étalon.
J’étais surpris d’entendre ça, de la part d’une femme, habituellement très discrète quand on parle de sexe, et mariée de surcroît.
- Et toi Norbert...t’a niqué un peu.
- Ben moi, je suis pas un cador au lit. Aussi, comme c’était l’anniversaire de ma chérie, j’ai invité un pote pour le week-end. Putain...comme il l’a baisée ce salaud.
- A bon..t’as fait ça...et ta femme s’est laissé faire.
- Et comment...on a commençait à trois, puis devant mon incapacité, mon épouse m’a demandé de la laisser seule avec lui. Il l’a baisée toute le nuit du samedi à dimanche….comme elle gueulait...elle en redemandait sans arrêt.. Il arrêtait pas de la faire jouir...au moins sept ou huit fois.
- Et ta femme en a pensé quoi ?
- Elle m’a remercié pour son cadeau d’anniversaire, et qu’elle aimerai remettre ça.
- Et...t’as décidé quoi.
- Je veux ce qu’il y a de mieux pour ma femme. Et si quelqu’un peut la rendre heureuse au lit, je suis d’accord.
Je n’en croyais pas mes oreilles. En ce qui me concerne, il est hors de question de voir mon épouse, dans les bras d’un autre homme. Je suis d’un tempérament jaloux. Quand lors de soirée, je la vois danser sur la piste, avec des partenaires un peu trop entreprenant, j’ai envie de l’arracher de la piste.
Par chance, personne ne me demandait pour mon week-end.
Mais plus ça va, plus ses commentaires du lundi matin, me font réfléchir. Rose est jeune, très séduisante, et par amour pour moi, se prive de ce qui est important dans le vie...le sexe. J’essaie innover au lit, mais manque d’imagination, de création, d’endurance. Rose ne m’a jamais rien reproché, elle se contente de son petit orgasme deux fois par semaine, c’est tout. Puis un jour…
Je reçois un coup de fil de Romain, un cousin, qui rentre d’une mission au Kosovo. Il me demande si je peux l’héberger quelques jours, avant de rejoindre ses parents au Maroc. Nous habitons dans une villa dans le sud de la France, excellente étape avant de traverser la méditerranée. Ce fût donc un grand plaisir que d’accepter, ne serait-ce que pour le présenter à ma femme.
Il est dix sept heures, en ce jeudi, quand je le récupère à la gare.
Arrivé à la villa je lui présente Rose. Au premier regard, je vois qu’elle n’est pas pour lui déplaire. Romain n’arrête pas de vanter la beauté, jusqu’à me féliciter de mon choix, et la faire rougir.
Pour la circonstance, Rose avait préparé un copieux repas, accompagné d’un excellent vin. Après le café, Romain aida ma femme à débarrasser, puis elle lui montra la chambre d’amis. Pas que la visite à l’étage s’éternisait, mais, assis sur le canapé, je me posais des questions. Ils revinrent un quart d’heure plus tard.
Rose nous servit un calva, demandait à Romain de raconter sa mission au Kosovo. Elle buvait ses paroles, suspendue à ses lèvres, avait les yeux qui brillaient.
Il était minuit, quand nous allions nous coucher.
A peine au lit, que je pensais au week-end de Norbert. Du cadeau qu’il avait offert à sa femme, en mettant un copain dans son lit.
- Que penses-tu de mon copain, demandais-je.
- Je le trouve très intéressant, très séduisant.
- Au point de…
Il y eu un blanc. Lisait-elle dans mes pensées...savait-elle ce que je voulais savoir, réfléchissait-elle à une éventuelle réponse.
- De quoi…reprit-elle
- D’avoir envie de lui.
- Mais ça va pas enfin, sursauta-t-elle.
Puis, plus rien, si ce n’est une main qui se faufile sous le drap, saisit ma queue, la décalotte, la branle. A mon tour, je glissais la mienne, et fus surpris de sentir sa chatte déjà bien mouillée. Qui pouvait l’exciter à ce point. Romain, ou moi. J’eus la réponse quand elle enleva le drap, et prit ma bite en bouche. Une première.
Le vendredi matin, j’expédiais les affaires. j’avais juste rendez-vous avec un client, pour signer la vente d’un bien. Entre une énième visite, et les dossiers à parapher, j’en ai eu pour presque deux heures. J’arrivais à la villa vers onze heures.
Je la trouvais vide. Puis je me souvenais que souvent, le matin, Rose allait dans serre, pour s’occuper de ses fleurs. Et là, je restais sans voix.
Romain était collé derrière elle, les bras autour de la taille. Celle-ci avait la tête inclinée, pour mieux recevoir les doux baisers dans son cou. Je vis même la langue de Romain pénétrer l’oreille.
- Arrêtes, soupirait-elle...tu me donnes des frissons.
- Imagines si c’était dans ta chatte.
- Assez, dit-elle en se dégageant. Je suis mariée, et aime mon mari.
Ils sont passés devant moi sans me voir, et se ce sont dirigés vers la villa.
Pendant le repas de midi, je remarquais un changement dans l’attitude de ma femme, vis à vis de Romain. Je pense que la séance à la serre y était pour quelque chose. Ne s’imagine-t-elle pas la langue de Romain dans sa chatte. La langue ou autre chose.
Je repensais à Norbert, à ce qu’il avait fait par amour, pour rendre sa femme heureuse, insatisfaite sexuellement. Cette idée couvait dans mon esprit, mais serais-je capable d’accepter de voir ma femme baisée par un autre homme, même si c’est avec Romain. Le seul point positif était que mon cousin n’était que de passage.
Mais après, si Rose prenait du plaisir dans ses bras, s’il la faisait jouir au-delà de ce que je peux le faire. Qu’elle serait ses exigences par la suite.
L’idée d’offrir ma femme à mon cousin, était inconcevable pour moi. Je préférerai encore les surprendre à leur insu, et ainsi assister à l’infidélité de mon épouse.
Il se trouve qu’actuellement, nous effectuons quelques travaux à la maison. Rose a tenu à faire une ouverture entre la chambre, et la salle de bains, tout en conservant l’accès par le hall. Pour le moment, c’est un simple rideau qui fait office de porte. Et c’est grâce à cette transformation, que je vais découvrir beaucoup de choses.
Un midi, après avoir débarrassé la table avec l’aide de Romain, Rose nous dit.
- Je vais aller prendre une douche.
- On peut la prendre ensemble si tu veux, propose Romain.
- A...ça...il faut le demander à Pascal, répond-elle d’un air interrogateur.
Je fus surpris par la réponse de ma femme, qui laissait entrevoir qu’elle ne serait pas contre. Je ne répondis pas, mais à mon regard, ils devinèrent la réponse. Sans un mot, Rose prit le chemin de la salle de bains.
Romain décide de profiter de la piscine, d’autant qu’il fait une chaleur accablante.
Quant à moi, je m’assoupis sur le canapé. J’ai bien dû dormir une petite heure, quand je vais me rincer à la salle de bains, afin de me réveiller. C’est à ce moment que j’entends des vox dans la chambre, uniquement séparée par le rideau.
- Tu vois, dit Romain, on pourrait presque la prendre nôtre douche.
- Arrêtes...imagine s’il vient à se réveiller...non...lèves ta main de là...
Cette réponse veut dire qu’elle serait d’accord...et sa main, ou est-elle.
- Pourquoi, tu veux pas que je caresse ta petite chatte.
- Non...déconnes pas...sors ton doigt…
Ce salaud a mis un doigt dans la chatte de ma femme.
- J’arrête si tu me dis que tu est satisfaite au lit...allez…
- C’est vrai, j’avoue ne pas être satisfaite...mais que fais-tu ?
- Je caresse ta chatte...t’aimes pas…
- Si...mais elle va être toute mouillée après. Restons en là...s’il te plaît.,
J’en crois pas mes oreilles. Ce salaud, je l’héberge gracieusement, et voilà qu’il propose à ma femme, de lui mettre un doigt dans le chatte. Mais son refus était-il sincère...ne regrette-t-elle pas d’avoir refuser.
Un silence s’installe un court instant. J’écarte légèrement le rideau, et les surprends à s’embrasser. Un petit toussotement pour signaler ma présence, et j’entends la porte de la chambre claquer.
Que dois-je faire. Leur dire que j’ai tout entendu, laissé courir pour savoir jusqu’où ils veulent aller. Si je n’intervient pas, j’aurai l’impression de leur faire la main.
Même s’il ne s’il ne s’est rien passé, mis à part un doigt, ce qui est déjà grave, et un baiser, je sens leur relation proche. Je veux savoir jusqu’où ils sont prêt à aller, quitte à les surprendre en flagrant délit.
On se retrouve tous les trois au bord de la piscine. Bien évidemment, je ne fais aucune allusion à ce que j’ai vu, même si je vois Romain serrer Rose d’un peu trop près. Arrivé à l’échelle, Romain tien ma femme par la taille, pour l’aider à sortir de l’eau. Rose marque un temps d’arrêt, car une main à quitté la hanche, et glissé sous l’eau, pour, je devine, caresser un endroit précis de son anatomie. Elle sort enfin de la piscine, en poussant un petit gémissement.
A partir de ce moment, je suis bien décidé en en savoir, et en voir d’avantage.
- J’ai reçu un mail de ma société, dis-je. J’ai une réunion exceptionnelle à la maison mère, demain matin. C’est à cent vingt kilomètres d’ici. Il va falloir me lever tôt.
- A bon, dit Rose surprise...et tu comptes renter à qu’elle heure…
- Je sais pas, mais ne te déranges pas ma chérie. Je vais à la gare en voiture, et prends le TGV. Je pense rentrer dans la soirée.
Je remarque le regard complice que se lancent Romain et Rose.
Après le repas du soir, je reste un moment sur le canapé, puis joue le jeu. Je monte me coucher vers vingt deux heures, laissant ma femme seule avec mon cousin. Je l’entends dire qu’elle aussi, va se coucher, pour ne pas éveiller les soupçons. Je vois du haut des escaliers, que ça ne l’empêche pas, de lui donner un sulfureux baiser sur la bouche, en guise de bonne nuit.
Le lendemain, je pars à sept heures. Dan la foulée, un taxi me ramène vers huit heures du matin. Je rentre dans la villa, par la porte de service, arpente le hall, à la recherche de l’endroit ou ils peuvent éventuellement être. A entendre l’eau, je devine que Rose prend une douche. Puis j’entends de rires...elle n’est pas seule.
- Ben tu vois...on l’a eu nôtre douche, dit Romain.
- Et coquine en plus, répond Rose...allons au lit, tu veux bien…
Ils quittent la salle de bains pour la chambre, et m’y installe aussitôt. J’écarte le rideau, et les vois allongés sur le lit, déjà enlacé, en train de s’embrasser. Puis Romain fait rouler ma femme sur le dos, lui écarte les jambes. Petit à petit, les doigts de mon cousin disparaissent dans la chatte de Rose, qui se cambre à leur contact, tandis que le pouce, plus vicieux, s’active sur le clitoris décalotté. Je remarque aussi la brillance de son abondante mouille. L’effet réceptif est immédiat. Rose se tord sur le lit en atteignant déjà, un premier orgasme.
Comme pour la femme de Norbert, j’ai l’impression que Rose va connaître le plaisir avec un autre homme. Puis-je la priver de ça ?
Tout en maintenant son odieuse caresse, Romain rampe au côté de ma femme, jusqu’à ce que sa queue soit à la hauteur de sa bouche. Sans un mot, Rose la prend en bouche. Ses lèvres mettent le gland à nu, tandis que le langue s’y enroule autour. Elle parcours la bite de haut en bas, envoie un coup de langue aux énorme couilles de Romain. Ce dernier, en phase ascendante, lui maintient la tête d’une main. Un silence s’installe un instant. J’écarte d’avantage le rideau.
- Oh putain...comme tu suces toi...oh oui...tu te retireras quand je viendrais...ah, mais qu’est-ce que tu fais...tu es en train de tout avaler…
- Hum...c’est bon...regarde comme je nettoie ton gland avec ma langue…
- Oh oui...vas-y, suces moi encore...ouah..
Romain vient d’obtenir la faveur que je n’ai jamais eu. Et je ne suis pas au bout de mes surprises.
- Si mon mari apprend que je t’ai taillé une pipe, il va pas être content.
- Le principal est que toi tu es aimé.
- Bien sur que j’ai aimé...tu as dû t’en faire tailler au Kosovo. Tu as dû en baiser des femmes...tu en as sodomisée aussi ?
- Elles adorent ça...avoir une grosse bite dans le cul...t’as déjà essayé ?
- Jamais...tu sais avec Pascal. Il a déjà du mal à assurer avec ma chatte.
- Et alors, il s’agit de savoir si tu aimes…tu veux qu’on essaie ?
Non...il va pas oser l’enculer. Sa bite est beaucoup trop grosse pour ça. Pourtant, c’est elle même qui se positionne à quatre pattes sur le lit, à attendre l’offrande. Je vois Romain s’approcher, sa queue en érection, prêt à étendre le feue qui se consume dans le ventre de ma femme.
Une légère pression, et voila les couilles contre les fesses. Il ne reste plus qu’à se mettre en mouvement.
- Alors...ça va, demande Romain...t’aimes ?
- Oh oui j’aime...c’est bon...hum…
- Et est-ce que ma queue te convient ?
- Bien sûr qu’elle me convient...elle est bien plus grosse que celle de Pascal.
Je suis sidéré d’entendre de tels propos à mon sujet. Comment peut-elle me faire ça. Je m’assois sur le bidet, me prends la tête entre les mains, tandis que j’entends Rose gémir de plaisir, derrière le rideau de séparation. Son cri transperce mes tympans quand elle atteint l’orgasme.
Je reprends ma place, et m’aperçois que c’est à nouveau au tour de la chatte de se faire défoncer. L’orgasme est là, plus puissant que les précédents, pourtant énormes. Soudain, Romain se retire, place sa queue à l’entrée de la bouche de ma femme, se branle violemment. « Ouvre ».
je vois les jets puissant gicler à deux centimètres des lèvres de Rose. Celle-ci n’y tient plus, et le prend entièrement en bouche. La queue reste planté, évacuant son abondante semence. C’est Rose qui la maintient en elle, aspirant et avalant tout jusqu’à la dernière goutte. Puis leur corps s’écroulent sur le lit.
- Je crois qu’on a mérité une bonne douche, dit Rose.
- Et peut-être un dernier coup de queue, sourit Romain.
- Hum...décidément...t’en a jamais assez...t’es increvable.
- C’est toi qui me stimule.
- A moi dans faire autant avec mon mari...c’est pas bien ce que j’ai fait.
Je quitte rapidement la salle de bains, et regagne le salon. Ils y rentrent un quart d’heure plus tard, après que Rose ai hurlé un dernier orgasme. Il se figent sur place en me voyant assis sur le canapé.
- Mais...balbutie Rose...je croyais que…
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Commentaires du récit : Un brûlante relation

Le 30/06/2022 - 20:44 par Jacques du Canada
Ce n’est pas votre habitude de laisser vos lecteurs sur une note d’incertitude. Habituellement ce sont soit des récits d’adultères répétés a l’encontre du mari confiant envers sa femme ou soit un récit de mari cocu contant. Franchement je ne sais pas si vous êtes capable d’écrire une suite a ce récit qui reflète les réactions les plus véridiques d’un homme ou d’une femme devant un tel scénario. Je pense plutôt que vous seriez plus intéressée par une fin du genre: « Je fais ce que je veux et tu n’as rien à dire ». Vous pensez peut-être que vous êtes une personne libre et libérée, moi je pense que vous êtes une personne non-fiable, non-responsable et ce sur le côté sentimental ou financier. On a pas une deuxième chance de réussir sa première impression!

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