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Expérience tantra 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/07/2022

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Expérience tantra

Lorsque j’avais 19 ans je me suis retrouvée seule pour les vacances pour la 1ère fois. Mes parents avaient prévus un voyage en amoureux et j’avais quitté mon copain quelques semaines avant. Nous étions en Juillet et alors que j’étais dans mon bain je cherchais des idées de vacances solo car j’avais une grosse envie de couper avec mon entourage pour quelques jours et enfin prendre du temps pour m’occuper un peu de moi.

Je regardais les promos hotel-spa car j’avais envie de détente et de massage. Les prix m’ont gentiment fait descendre de mon nuage, à 19 ans je n’avais pas les moyens de me payer ce genre de luxe. Je ne me décourageas pas et continuais de chercher un moyen de me faire masser. Au fil de mes recherches sur internet je suis tombé sur des annonces de « stage initiation tantra » qui décrivaient une retraite de plusieurs jours en petit nombre pour « s’éveiller au plaisir du massage et de la découverte du corps ». Ce genre de stage étaient dans mon budget, je me mis alors à chercher plus précisément ce genre de réservation.

Outre le fait de tomber sur des sites décrivant le déroulement des stages, je suis aussi tombée sur des avis et témoignages plutôt troublant. Apparemment certains stages ne faisaient pas que permettre la découverte de son corps mais aussi ceux des autres. Certains détails éveillèrent ma curiosité et je dois l’avouer, mon excitation. Je posa mon téléphone et m’allongea dans mon bain les yeux fermés. Jamais je n’aurai imaginé que ce genre de stage existe. Moi qui suis assez pudique je me mis à imaginer ma réaction si je participais à ce genre de « formation », je ne m’étais jamais montré nue auparavant ci ce n’est au 2 petits copains que j’avais eu. J’évacua cette idée de mon esprit et alla dîner avec mes parents.

La soirée se finie et je remonta me coucher dans ma chambre. Une fois allongée dans mon lit cette idée me revint en tête. « Que penseraient mon entourage ou mes parents s’ils savaient que je participais à ce genre de stage ? » « serais-je capable d’y participer ? »
Le simple fais d’y penser m’excita de nouveau et j’en fus très troublée vu que je n’avais jamais eu ce genre de pensée. Ma vie était assez rangée, je n’avais eu que 2 copains avec qui le sexe me semblait assez sage malgré ma faible expérience et je n’avais d’ailleurs joui que très rarement. Je réalisa que ma vie actuelle était beaucoup plus tranquille que ce que j’en attendais, il me manquait un brin de folie et sur un coup de tête je me mis au défit de m’inscrire au stage dès le lendemain matin. Ma main glissa doucement entre mes cuisses et je me mis à me caresser en pensant à cette folle aventure a venir, bien que je ne sache pas vraiment ce qui m’attendait.

Le lendemain matin, après que les parents soient partis, j’ouvris mon PC portable pour m’inscrire à un stage. Habitant Bordeaux je pris soin de prendre un stage assez éloigné afin de n’y croiser personne de mon entourage bien que cela fus peu probable. C’est ainsi que je validai un séjour d’une semaine dans le Larzac. Le stage était spécialisé sur le toucher avec des séances les yeux bandés, ce qui le plu. Je trouvais plus de facilité à me lâcher les yeux bandés sans avoir à affronter le regard des autres et vice versa.

Le jour J arriva et après un long voyage en bus je me retrouvai dans un charmant petit village où une estafette m’attendait.
- c’est vous Chloé ?
- Oui, dis-je au chauffeur.
Et nous voilà parti en direction de la ferme isolée dans laquelle devait avoir lieu le stage.
Je fus la dernière arrivée et je me retrouvai un peu gêner de voir tout ces regards posés sur moi à ma descente de Vehicule. Ils étaient une bonne douzaine, assis dans le jardin en train de boire un verre et faire connaissance. J’étais apparemment la plus jeune, à mon grand désarroi je ne vis personne, homme ou femme de moins de 40 ans. La plus âgée avoisinait les 60 ans à mon avis.

- Chloé je te présente le reste du groupe, dit le chauffeur qui se trouvait aussi être le maître des lieux. Lors du trajet il s’était présenté et me paraissait être une sorte de hippie qui vivait ici avec sa compagne ils devaient avoir la quarantaine.

Tout le monde me salua et la soirée de bienvenue commença. On nous attribua des chambres et une tunique qui serait notre unique vêtement de la semaine. Elle était en lin, très légère et ce fus un bonheur de l’enfiler tellement la chaleur de la journée avait été accablante. Rdv était donné a 20h pour le repas et je sorti de ma chambre rejoindre le groupe. A mon arrivée dans le jardin ou avait été dressé une grande tablée on m’offrît un verre de vin et les discussions allèrent bon train. Nous étions éclairés par des torches et je remarquais que ceux qui passaient trop près d’elle nous dévoilaient des parties de leur corps, comme des ombres chinoises au travers de leur tunique, je me demandai si la mienne l’était tout autant. Heureusement que j’avais gardé mes sous-vêtements.

Alain, Le « chef » nous pria de nous regrouper, nous remercia de notre venue et nous indiqua le planning du lendemain. Nous allions débuter nos cours de massage.

Le lendemain matin après un déjeuner léger je me retrouvais dans une salle avec 5 autres personnes et Alain. Il nous expliqua que pour connaître et comprendre un corps il fallait se concentrer sur nos sens et que la leçon d’aujourd’hui porterait sur le toucher. Il tira les rideaux pour nous plonger dans la pénombre et nous tendit des bandeaux.
- tout en restant debout, mettez vos bandeaux sur les yeux et attendez.
Une fois qu’il fut assuré que tout le monde était près, il nous demanda de nous avancer les uns vers les autres, mains en avant et de toucher les personnes croisées. Mon premier contact fut l’épaule d’une dame. Ma main descendit le long de son bras puis remonta sur son visage. Elle fit de même avec moi.

Ce petit jeu dura quelques minutes le t’émis de nous mettre en confiance puis Alain pris la parole.
- je vois que vous êtes timide, c’est normal le 1er jour, mais le corps ne se limite pas au visage, aux mains et au dos. Je veux que vous exploriez l’autre dans sa globalité. Un corps est un tout qu’il faut savoir découvrir pour le comprendre et lui parler. A vous de jouer.

Sur ces paroles nous nous mîmes en action avec des gestes tout aussi hésitants, personnellement j’avais encore de l’appréhension à toucher des inconnus. Ce qui n’était apparemment pas réciproque pour certains. Au bout de quelques minutes je senti quelqu’un derrière moi qui posa ses deux mains sur mon dos puis mes hanches. C’était un homme, ses mains étaient chaudes et il me malaxait doucement au travers de ma tunique. J’étais moi même en train de caresser le cou d’une personne en face de moi et mes deux mains remontèrent sur son visage et ses cheveux pour en apprécier les détails. L’homme derrière moi avait lui aussi l’air d’apprécier car il fit glisser ses mains sur mon ventre et remonta lentement vers ma poitrine. Je n’ai pas des seins énormes mais je suis assez fière de mon 90C. Mon cœur battait la chamade, c’était la 1ère fois que je laissai autant de liberté à un inconnu. Ses mains se posèrent sur mes seins, d’abord sans bouger puis il se mit à les malaxer en faisant rouler mes tétons entre ses doigts. Une décharge électrique parcouru mon corps. Ce plaisir interdit dura quelques minutes puis l’homme se retira et disparu. Sûrement appelé par un autre corps.

Je restai toute excitée et mouillée, je continuai ma découverte du corps en face de moi. D’avoir touché son visage il me semblait que cela devait être un homme de 50 ans plutôt bien conservé. Mes mains descendirent sur son torse que je sentais puisant. Son cœur battais fort également, il fut étonnant que je fus la seule personne a être émoustillée par la situation. Je tournais autour du pot depuis un moment mais je ne pus que constater que mon envie était d’explorer plus bas le corps de cet homme qui de toute façon ne savait pas qui le touchait. Alors ma main descendit sur sa tunique, d’abord sur sa hanche, puis sa cuisse et arrivée au niveau du genou je fis remonter ma main entre ses jambes. Même si je savais ce que je faisais, je fus surprise de sentir mes doigts frôler son sexe et remonter vers d’un pubis. Moi, Chloé, 19 ans, timide de nature, je me retrouvais dans cette situation. Ma curiosité l’emporta et ma main redescendit vers ce sexe inconnu que j’avais juste effleuré. Cette fois j’avais l’intention de mieux l’appréhender.

Ma main se reposa sur la base de son sexe avec plus d’appuie et glissa vers son gland que je sentais entre mes doigts. L’homme était circoncis et son sexe avait un diamètre très honorable. Je ne me rendis pas compte de suite de l’effet produit mais je retirais ma main brusquement alors que je venais de sentit son érection grandissante.
- Merci à vous, marchez encore en comptant jusqu’à 10 et enlevez vos bandeaux. Dis Alain, coupant court à nos travaux manuels.
Nous nous applaudirent tous et allâmes déjeuner dans le jardin.

Lors du repas j’essayais de sonder les corps et les regards des participants pour essayer de deviner à qui étaient les mains baladeuses et cette verge circoncise… mais en vain.

Le lendemain, rebelote mais cette fois avec le groupe complet. Je prenais du plaisir à faire ce petit jeu qui restait sans conséquence. Cette fois c’est une femme qui c’est attardée sur mon corps, en tâtant et soupesant chaque partie. Cela me plu et je fis de même avec elle. Sa peau était assez ferme et elle avait les seins lourd, ceux d’une maman, généreux et tendre. Puis nous nous quittâmes pour aller explorer d’autres corps.

J’étais à la recherche d’une autre personne lorsque je senti quelqu’un venir se coller contre mon dos, vu sa carrure c’était un homme. Ses mais glissèrent sur mes hanches, puis sur mon ventre et remontèrent jusqu’à mes seins sans aucune retenue. Il les malaxa doucement et mes tétons se mirent à pointer. Apparemment ce monsieur avait une manière très ciblée pour explorer les corps. Mon cœur battait fort et il devait le sentir vu que ses mains étaient toujours en train de caresser mes seins devenus maintenant durs. Je gardais mes mains le long de mon corps et me laisser aller à ce plaisir.

Son parfum vint à mon nez, il me semblait le connaître mais sans savoir exactement pourquoi. Je l’huma quelques secondes de plus et je compris. Il s’agissait d’Alain, l’organisateur. Le salaud profitait de cet exercice pour venir peloter des élèves et apparemment il avait jeté son dévolu sur moi. J’eu un petit réflexe de peur et me raidi mais il continua son manège et je me laissa faire. Je savait que lui n’avait pas de bandeau et qu’il m’avait donc choisit volontairement, jusqu’où voulait il aller ? Allait il en profiter pendant que tous les autres était provisoirement aveugle.

Il massait mes seins depuis un bon moment maintenant et mon excitation commençait à mouillée mon entrejambe. Je me senti vraiment humide lorsque je senti sa queue se durcir dans mon dos, ou plutôt devrais-je dire, entre mes fesses vu que nous faisions à peu près la même taille. Nous étions là, debout, au milieu de tout ces gens et pourtant personne ne pouvait voir ce petit manège.

Il pris ma main gauche et la posa sur son sexe en erection. Il replia mes doigts autour de sa verge et débuta un lent mouvement de masturbation. Je n’avais touché que 3 ou 4 sexe jusqu’alors mais aucun semblable à celui-ci. Il était dur et doux à la fois et encore une fois je me laissa faire, il retira sa main de sur la mienne et je continua le mouvement initié avec la même intensité.

Il reposa sa main gauche sur mon sein et mis un doigt de sa main droite sur mes lèvres. Il commença a les caresser, ils les écrasait légèrement, les écartait jusqu’au moment où il décida d’enfoncer un doigt dans ma bouche. Sentant la pression j’ouvris légèrement les lèvres pour le laisser déposer son doigt sur la langue. Il l’humecta avec ma salive et je commença a le sucer timidement. J’essayais de voir à travers le bandeau, en regardant pas dessous mais la pénombre ambiante ne me permis pas d’en voir plus sur mon environnement.

Après quelques minutes de ce petit jeu il retira son doigt de ma bouche, le fit glisser sur mon menton et descendit sur mon mamelon droit pour l’humecter de ma salive. Mon téton déjà bien dur adora ce contact humide et je cru que nous allions en rester là.

Mais main continua sa descente sur mon ventre et glissa vers mon pubis. J’eu un mouvement de recul mais il me tenait fermement et continua son exploration. A travers la tunique il caressait mon intimité et essayait de deviner ses formes. Je sentais la tunique se mouiller au contact de mon sexe, son doigt appuyait maintenant sur ma fente. Je sentais qu’il cherchait mon clitoris sans vraiment pouvoir le situer bien que le tissu fut léger. Il fit alors quelque chose dont je ne m’attendais pas. Il releva ma tunique pour passer la main en dessous et repris ses caresses. Sa main était maintenant au contact direct de ma chatte (je trouve ce mot un peu vulgaire mais à ce moment là c’était bien ma chatte qu’il était en train de fouiller). Dans ce contexte je ne pouvais plus cacher mon excitation tant sa main était recouverte de ma cyprine dégoulinante.

Je sentais des vagues de plaisir parcourir mon corps et j’atteins l’apothéose lorsqu’il me doigta sans prévenir. Je me crispa sous la décharge électrique et serra sa bite dans ma main pendant que l’orgasme me traversa. Je serrai les dents pour étouffer tout bruit qui auraient pu alerter les autres participants.

Il s’éclipsa sans rien dire et après un petit moment je l’entendît dire depuis l’autre bout de la salle « merci à vous, la séance est finie. On se retrouve pour déjeuner ». Je repris mes esprits et sortis de la salle comme si de rien n’était en passant devant lui, il en fit de même pensant que je ne l’avait pas reconnu.

De retour dans ma chambre je m’écroulais sur mon lit et pris la mesure de la situation. J’avais dissimulé ces vacances à mes parents, à 19 ans je me retrouvais dans une sorte de communauté hippie et un homme de 45 ans venait de me faire jouir dans une salle remplie de monde et dans des circonstances très « particulières ». Vu l’ascension crescendo des événements ne fallait-il pas que je quitte ce lieu maintenant ?

- Toc,Toc ! Je fis un bond de surprise lorsque quelqu’un tapota à ma porte.
- Qui est la ?
- C’est Mireille, la femme d’Alain. J’alla lui ouvrir.
- Bonjour Chloe je m’inquiétais de ne pas vous voir au déjeuner, tout va bien ? De plus il ne faudra pas être en retard au cours de cet après-midi. C’est moi qui l’anime, vous allez aimer, faites moi confiance.
Prise de cours je balbutia un oui et l’accompagnait rejoindre le reste du groupe.

Le cours de l’après-midi commença. Nous étions tous assis en tailleur en face d’Alain et Mireille, celle-ci pris la parole : « comme vous le savez nos exercices sont fait pour vous apprendre à vous désinhiber et mieux profiter de votre corps et de votre confiance en vous. Dans ce but nous allons avec Alain vous faire voir quels plaisirs vous pouvez avoir à atteindre ce but »

Nous étions tous assis au sol et le couple se leva, ils se mirent face à face, s’échangèrent un sourire complice et s’embrassèrent. Puis tirant chacun sur la tunique de l’autre ils se dévêtirent. Il se retournèrent vers nous et s’avancèrent au milieu de notre groupe. Mireille se tenait debout juste devant moi, jambes légèrement écartées, m’offrant une vision directe et brute sur son intimité. « Ne soyez pas gênés, regardez nous dans les moindres détails » et elle me regarda droit dans les yeux pour m’inciter à regarder son entrejambe. Alain était lui aussi debout, jambes écartées, les mais sur les hanches et il s’était arrêté devant une femme d’environ 30 ans qui se retrouva rouge comme une tomate.
« Madame, lui dit Mireille, ne soyez pas gênée, regardez son sexe » La femme s’exécuta et rougit de plus belle tous en lâchant un rire de petite fille prise la main dans le sac. J’en profitais pour voir ce sexe que je tenais dans ma main quelques heures auparavant, bien que cette fois il ne fut pas en érection.

Ils passèrent de stagiaire à stagiaire pendant quelques minutes et revinrent devant le groupe. Une couverture était installée au sol et ils s’y assirent. «  Chloé pouvez-vous éteindre la lumière s’il vous plaît ? » je me leva et exécuta son ordre avant de me rassoir a ma place uniquement éclairé pas les bougies qu’ils avaient pris le soin d’allumer juste auparavant. « maintenant détendez vous et profite du cadeau que nous vous faisons »
Ils s’embrassèrent et Mireille s’allongea sur Alain. Je n’en croyais pas mes yeux, ils n’allaient quand même pas faire l’amour devant nous. Mais c’est ce qu’il se passa et se fut la 1 ère Ford que j’assista a une telle scène.

Mireille descendu le long du corps d’Alain et pris son sexe dans sa bouche jusqu’à ce qu’il soit bien dur. Une fous fait elle vint s’assoit sur son visage, face à nous et je pouvais voir les mouvements de lèvre et de langue qu’Alain lui prodiguait afin de la préparer. Mireille bougea en arrière et vins s’empaler sur le sexe de son mari et faisant rentrer sa verge lentement mais entièrement dans sa fente humide. Ce moment le paru interminable aux vues de la taille imposante de la verge d’Alain.

J’étais hypnotisée par la scène et je regardais autour de moi pour voir la réaction des autres participants. Ils semblaient tous dans le même état que moi, c’est à dire fascinés et excités. Deux participants venus en couple se caressaient même simultanément tout en regardant ce spectacle. Ce fut trop d’émotion pour une stagiaire qui quitta la salle discrètement. De mon côté je ne pu m’empêcher de regarder jusqu’à la fin. Mireille était maintenant allongée, jambes écartées. Alain lui installa un coussin sous les fesses et se plaça entre ses jambes. Il pris son sexe en main et l’introduisit beaucoup plus brutalement que ce à quoi nous nous attendions. Mireille poussa un cri de plaisir pendant que son mari la pilonnait en lui tenant les jambes écartées pour que nous ne rations rien du spectacle.

Un homme était assis sur la droite et j’avais remarqué depuis quelques t’émis son s ère en érection. Il n’osait se caresser mais semblait très excité au point que je vis plusieurs giclée de sperme sortir de son sexe sans qu’il n’ai eu à le toucher. Ça tunique était toute imbibée de sperme et il fis comme si de rien n’était en espérant que personne ne l’ai vu.

C’était une explosion de sentiments dans tout mon corps, mon cerveau n’arrivait plus à gérer cet afflux de plaisirs débridés. Assise en tailleur, Je posa innocemment mes mains sur mon pubis. Deux de mes doigts glissèrent vers mon clitoris que je commença à caresser tout en regardant la suite des événements.

Alain chuchota à l’oreille de Monique qui se leva pour prendre un flacon d’huile et revint se mettre à quatre pattes devant Alain. Celui ci se badigeonna le sexe d’huile et débuta une levrette. Puis il ressorti sa queue et y remue de l’huile avant de la reprendre en main. Il se remis en position pour pénétrer Mireille mais elle ci fit une grimace tout en s’efforçant de nous regarder dans les yeux. Je compris alors qu’elle était en train de se faire sodomiser et me fis à me caresser deux fois plus intensément.

Quand Alain eu fini d’enfoncer l’intégralité de son sexe entre les fesses de sa femme, celle-ci poussa une sorte de cri de soulagement. Après quelques secondes il entreprit des vas et viens de plus en plus intenses, au même titre que les cris de Mireille qui se faisait démontée devant nous sans aucune retenue. A bout de force elle se retourna et s’allongea. Alain vint s’assoit sur elle à califourchon et éjaculat sur ses seins.

Un grand silence retomba sur l’assistance et les deux amants de mirent à genoux face à nous, fatigués mais souriants. Mireille pris la parole. « A voir vos visages j’imagine que vous avez bien profites du spectacle et j’en suis ravis. J’espère que vous n’y avez rien vu de vulgaire mais juste une expression de l’amour entre deux corps consentants »

Effectivement, bien qu’elle nous parlait en ayant le buste recouvert de sperme je n’y voyais rien de vulgaire. Bien que ce liquide coulait sur ses cuisses, elle se leva avec son mari et quittèrent la salle.

Je rejoignis ma chambre et couru sur mon lit pour finir de me caresser. Je me remémorais la scène au même titre que tout les autres participants qui devaient être en train de déité la même chose que moi. Cette idée m’excita encore plus et ma main ne me suffisant plus, je du prendre ma brosse à cheveux pour m’introduire son manche dans les fesses tout en me caressant. J’eu un orgasme très intense et resta groggy sur mon lit. C’était la 1ère fous que j’introduisais quelque chose dans mon anus et jamais je n’aurai cru que cela me fasse jouir aussi vite.

J’avais désormais la réponse à la question : j’allais rester. En pesant le pour et le contre je me dis « Chloé, tu n’auras pas beaucoup l’occasion de vivre se genre d’expérience et comme ici personne ne te connais, profites en ! ». C’était facile a dire mais. D’la faisait beaucoup pour la petite de 19 ans que j’étais. Apparemment les stagiaires étaient plus âgés que moi car ils censurent chercher de quoi rallumer la flamme de leur libido ou autre chose de ce genre mais moi qui n’avait eu que 2 amants jusqu’à maintenant, que faisais je là ? Aurais je le courage de participer aux autres exercices ? On dit que la nuit porte conseil et je m’endormis avec ces pensées.

Le cours commença le lendemain matin. Nous nous regroupâmes comme la veille, assis en tailleur et Mireille vint s’assoir sur la couverture non pas avec son marié mais avec Noemie, la stagiaire qui avait précipitamment quitté le cours la veille. C’était une femme d’environ 30 ans, plus belle que la moyenne avec de grands cheveux bruns. Nous étions dans une ambiance feutrée, bougies allumées et musiques relaxantes en fond sonore lorsque Mireille pris la parole. « j’ai eu une grande discussion hier soir et ce matin avec Noemie. Elle est ici suite à sa séparation et à perdu confiance en elle. C’est entre autre ce qui a fait qu’elle n’a pu partager jusqu’à la fin le cadeau que nous vous avons fais hier. J’ai donc choisi de faire cet exercice avec elle pour lui montrer l’amour que nous lui portons. Elle manque de confiance alors nous allons lui montrer qu’elle se trompe ».

Sur ce, les 2 femmes se levèrent et Mireille plaça Noemie face à nous. Elle se mit derrière la jeune femme et fis tomber sa tunique. Noémie resta debout, figée et les yeux fermés. Mireille la pris par les épaules et dit : « Noémie, ouvre les yeux et contemple la salle » Elle s’exécuta non sans mal. Nos regards se croisèrent et je pus lire la gêne dans ses yeux. Mireille lui parla à l’oreille et l’entraîna au milieu de nous, comme elle l’avait fait avec son mari la veille. Elle s’arrêta non loin de moi et Mireille lui reparla à l’oreille. Je vis Noémie se crisper et fermer les yeux, puis elle se mit à écarter doucement les jambes, aidée par la main de Mireille. « Regardez comme elle est belle, comme elle s’offre à vous sans pudeur et avec fierté. Chloé, que veux-tu dire à Noémie » et elle me fit un clin d’œil plein d’encouragements.
- et bien je trouve Noémie très courageuse d’être venue à ce stage et de faire cet exercice. Elle ne doit pas avoir honte ou être gênée. Elle est très belle.
- Toi aussi tu es très belle Chloe. Vient avec nous rejoindre de moment de partage.
Elle pris ma main et m’aida a le relever. Sans que j’ai eu le temps de m’en rendre compte elle m’avait déjà retiré ma tunique et j’étais nu devant le groupe.
- Mets toi aussi en position d’offrande Chloé. Et elle écarta légèrement mes jambes, suffisamment pour que je sente un filet d’air caresser ma fente devenue humide par la situation.
Nous étions maintenant toutes les 3 debout, nues et offertes au regard des autres. C’est la 1ère fous que je me retrouvais ainsi. Je ne savais pas s’il fallait que je ressente de la liberté ou de la confiance en moi à faire cela mais j’en fus toute émoustillée.

- Mais l’exercice n’est pas fini pour Noémie. Nous avons discuté et elle accepte de vous offrir un peu plus de son intimité. N’est-ce pas Noemie ?
- Oui. Répondit elle a voix basse et tête baissée.
On m’invita à reprendre ma place et les 2 femmes s’avancèrent sur la couverture.
- je vous demande à tous le plus grand silence et respect pour notre amie Noémie qui va s’offrir à nous.

Mireille alla s’assoir au bord de la couverture t Noémie s’allongea face à nous sans bouger. Après quelques instant elle releva ses genoux, écarta ses jambes et resta de nouveau immobile, comme pour prendre du courage. Etant au 1er rang j’avais une vis parfaite sur son sexe. Elle était épilée mais avait laissée une petite toison de poil court et fin sur son pubis. Sa fente était serrée et ses lèvres semblaient fermes. Concernant ses seins, nous avions quasiment les mêmes.

Elle ferma les yeux Puis elle se mis en mouvement et ses mains allèrent caresser ses seins puis son ventre. Bientôt sa main droite glissa entre ses cuisses et elle caressa sa fente, l’ouvrant légèrement pour titiller son clitoris luisant. Mireille l’encouragea à continuer. La suite fut d’un érotisme grandiose et Noémie alla jusqu’à nous offrir un orgasme bruyant dans lequel elle se tordit de tout son être. Encore une fois un grand silence régna dans la salle jusqu’à ce que Mireille ne prenne la parole. «  merci Noémie pour le cadeau que tu nous as fait, allons maintenant célébrer cette joie autour d’un verre ». Tout le monde se leva et je restai assise quelques instant pour intégrer cette nouvelle expérience, sans me rendre compte que j’étais restée nue.
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