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Une brûlante relation (Deuxième version)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 01/07/2022

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J’ouvre internet, et découvre, avec stupeur, un récit que mon mari vient d’envoyer sur « Histoire intime », un superbe site que je parcours régulièrement. Je reste sidérée en le lisant, et me sens obligée d’en rectifier toutes les incohérences.
Mon mari est cocu, c’est une certitude, mais il ne l’a jamais su. Mais il est peut-être responsable si j’ai commis l’adultère. Je suis tout simplement allé chercher dans les bras d’un autre, ce qu’il ne m’apportais plus. Quand il affirme, que contrairement à d’autres maris, son fantasme n’était pas de me voir baiser avec d’autres hommes, c’est le contraire, il tenait beaucoup à me voir me faire prendre devant lui. Tout ça suite à des propos qu’ils se disaient au bureau, et qu’il n’était pas capable d’assumer. C’est moi qui est rejeté cette proposition.
C’est comme quand il parle de nôtre première fois. C’était la sienne, pas la mienne. Combien de fois je me suis faite baiser au lycée, par des étudiants bien montés, qui me donnaient énormément de plaisir. Et mes professeurs vicieux, qui transformaient les heures de colles en coups de queues. Et je parle pas des heures de colles qui se chevauchaient. C’est jours là, je m’en tapais deux. pas une seule fois, je n’ai pris une double. C’est pourquoi, je n’ai jamais connu la sodomie. Ce fut mon seul regret de lycée.
Comment ne s’est-il pas aperçu lors de nôtre première relation, que je n’étais plus vierge.
Mais aujourd’hui, il est un peu responsable si je suis parti à la faute.
Mais laissez-moi vous raconter comment nous en sommes arrivés là, et surtout la façon surprenante, dont ça s’est terminé..
Je m’appelle, Aurélie, et non Rose, superbe blonde d’après lui, j’ai vingt quatre ans et suis responsable dans une société d’import/export.
Un jour, en rentrant du bureau, je vois que mon mari n’était pas seul. Sans m’en parler, il avait invité un vieux pote, qui rentrait d’une mission au Kosovo.
- Je te présente mon épouse.
- Enchanté...moi c’est Karl...vous êtes très belle, madame.
Du coup, c’était plus Romain, mais Karl
- Merci...enchantée...moi c’est Aurélie
Je le trouvais très séduisant, beau mec.
Je m’excusais en leur disant que j’allais prendre une douche.
- Voulez-vous pas qu’on la prenions ensemble, proposa Karl.
- A ça, faut le demander à mon mari…
Aucune réponse, mais je pense que Pascal avait du parler de son fantasme.
Je m’apprêtais à revenir au salon, quand je saisis une conversation assez corsée.
Karl vantait tout simplement ses prouesses sexuelles, au cours de sa mission.
« J’en ai baisée en missionnaire, j’en ai sodomisée en levrette, je me suis fais tailler des pipes. Ces salopes avalaient tout, comme si elles crevaient de faim ».
Toute la panoplie du parfait baiseur.
J’avoue avoir été déçu par ces propos, moi qui avec mon mari, beaucoup de ce dont il se vantait, ne faisait pas parti de nos rapports au lit.
Mais j’avoue aussi que cela me faisait réfléchir, et la suite du récit de mon mari, m’excitait très fort, même s’il était jalonné de mensonges.
Je les rejoignis au salon, et interrompais leur conversation. Je vis leur regard changer, quand je demandais à Karl de me raconter comment s’était passé sa mission. Je le sentais mal à l’aise, et n’insistais pas..
Après un copieux repas, et deux verres de brandy, je l’ai laissé entre eux, et montais me couchais. J’ai eu du mal à m’endormir. J’imaginais ces femmes se faire prendre par tout les trous, comme le racontait Karl, alors que moi, j’en avais encore deux à l’abandon. Je sentais ma chatte devenir humide, et me mis à me caresser. J’atteignais un mini-orgasme, juste quand mon mari entrait dans la chambre. Il essaya de me caresser, certainement émoustillé par les aventures craquantes de son pote. Et Karl...que faisait-il en ce moment.
Le matin, je croisais Karl à la salle de bain, ou, bien évidemment, il n’y avait aucun travaux. C’est vrai qu’il était séduisant, son regard perçant m’envoûtait. Je rougis quand je vis l’énorme bosse qui tendait son boxer. Gentiment, il se retira et me laissa me préparer.
Demi-heure plus tard, mon mari m’accompagna à ma voiture.
Je croisais le regard figé de Karl derrière la fenêtre, et ne pus m’empêcher encore une fois, de reconnaître son charme envoûtant.
Ce matin, j’avais énormément de rendez-vous, aussi j’avais mis une robe noire, sans bretelle, qui moulait parfaitement mon corps. Le physique joue beaucoup dans les affaires, sans obligatoirement finir au lit, ce qui était mon cas.
Je revenais de la photocopieuse, et trouvais Karl dans mon bureau.
- Karl...comment saviez-vous que travaillais ici.
- C’est Pascal qui m’a donné l’adresse.
- A bon...et que me vaut l’honneur...mais asseyez-vous.
Karl prit un air triste, comme s’il devait m’annoncer une mauvaise nouvelle.
- Voila, je sais que vous avez surpris nôtre discussion hier soir. Mais je dois vous avouer un truc. Tout ceci est faux, je voulais juste en mettre plein la vue à Pascal.
- Je comprends pas...c’est quoi qui est faux…
- En réalité...ça fait deux ans que je n’ai pas vu une femme nue, pas l’ombre d’un sein, d’une chatte...je ne parle même pas de caresser...
- A bon...mais...et…
- Je me branlais tout les soirs…en solitaire, en regardant des vieux magasines.
- Mon dieu…quelle tristesse…
Il disais, en essayant d’ironiser, qu’il plaignait la première femme qui allait lui tomber sous la main. Je pensais à mon mari, à la femme qu’il avait dans son lit, et dont il ne savait se servir.
Devant son désarrois, et instinctivement, je pris l’interphone du service, demandais à ma secrétaire d’annuler tout mes rendez-vous, et de n’être dérangée sous aucun prétexte. Puis je me levais et allais fermer la porte à clé….pourquoi ça...
Je revins me planter devant lui, appuyais au bureau. Il avait le regard anxieux. J’avoue qu’à ce moment là, je la jouais provoc.
- Vous savez que je suis nue sous ma robe.
- A bon...heu…
- Et que diriez-vous si je vous montrais mes seins.
Sans attendre de réponse, je faisais glisser le haut de ma robe, offrant ma superbe poitrine aux yeux exorbités de Karl.
- Mon dieu...qu’ils sont beau….
- Et, ça vous direz de les caresser ? Allez-y Karl, caressez les...lancez-vous...
Devant son hésitation, c’est moi qui lui pris la main. Il commença à les palper, à faire rouler les bouts entre ses doigts, puis approcha sa tête pour les embrasser. Puis je le repoussais légèrement, fit glisser ma robe au sol. Je ne lui avait pas menti, j’étais entièrement nue dessous. Ses yeux doublèrent de volume. Je m’assis sur le bureau, écartais légèrement les jambes. Il compris le message. Il avançait une main tremblante entre mes cuisses, jusqu’à ce que son pouce soit en contact avec mon clitoris, il le décalotta légèrement, et commença à le frictionner. Je sentis comme une décharge électrique traverser mon corps. Je me penchais en arrière, prenant appuie de mes mains sur le bureau. Deux doigts caressèrent mes lèvres, pénétrèrent ma chatte. Ils se mirent en action, faisant des va et vient à l’intérieur.
- Hum...vous n’avez pas perdu la main salaud...vous savez branler les chattes.
Il retira ses doigts, qu’il remplaça par sa langue. Rarement mon mari m’a langué le clito de cette manière. Je maintenais sa tête de peur qu’il ne la retire. Soudain…
- Oh oui Karl...surtout ne vous arrêtez pas...je jouis...oui…je jouis...hou...hou...
D’un coup, je le relevais, lui pris les lèvres dans un sulfureux baiser. Même au jeu de langues, il n’avais rien oublier. Je débarrassais le bureau, et m’y allongeais. Je l’invitais à se déshabiller, et de venir au bord le la table. Je fus surprise par les mensurations de sa queue, tant en longueur, qu’en épaisseur. La tête à moitié dans le vide, je la pris en bouche. Elle était dure, et douce à la fois. J’entamais de lent va et vient, tandis que des doigts s’enfonçaient dans ma chatte, et l’un d’eux doigtait mon petit bouton.
En sexe, j’étais en train de connaître ce qui m’avait défaut jusqu’à aujourd’hui.
La puissance que seul un vrai mâle peut apporter.
Je n’en pouvais plus. Je lui demandais de me prendre là, sur le bureau. Je sentais ma chatte se mouler à son calibre quand il me pénétrait avec douceur. Je ne put retenir un gémissement quand il se mit en mouvement. Sa fébrilité du début disparut comme par enchantement, pour mon plus grand bonheur. Il me faisait mettre à quatre pattes sur le bureau, se penchait pour lécher ma chatte et mon petit trou. Puis il s’enfonçait en moi, et me besognait comme jamais. Je me cramponnais ou je pouvais, quand surgit un deuxième orgasme très haut sur l’échelle de Richter.
- Oh oui Karl...elle est bonne vôtre queue…
- Oh putain...je viens...han...ah…ça faisait si longtemps…
- Et quelle chance que ce soit moi qui profite de ça...
Je sentais sa semence gicler en abondance en moi, avec violence.
La violence d’un homme privé de femmes pendant deux ans. Quand il se retira, du sperme coula de ma chatte. Je pensais au mini gicler que mon mari envoyait vulgairement dans un mouchoir lors de nos ébats.
Karl parti, je me rhabiller, en espérant que mes cris de plaisir n’aient pas traversés les murs. Je croisais la secrétaire en allant aux toilettes.
- Vous allez bien, madame.
- Oui, merci Annette.
- J’ai entendu des gémissements provenant de vôtre bureau...ça m’inquiétait.
- Heu...je peux compter sur vôtre discrétion ?
- Mais bien sur madame, pas de souci.
- Ben...j’étais en train de me faire baiser par un pote à mon mari...et là, je vais aux toilettes me laver la chatte.
A son regard plein de surprise, je ne sais pas si elle m’a cru.
Je rentrais vers dix huit heures, trouvais Karl et mon époux en grande discussion.
- Je pari que vous parlez de moi...en bien j’espère..
- Pas du tout ma chérie…
- Et vous Karl, qu’avez-vous fait.
Je le sentais gêné quand son regard croisait le mien. Un regard plein d’excuses.
- J’ai cherché les correspondances de Marseille pour le Maroc, dit-il.
- Mais vous n’êtes pas pressé, vous pouvez rester.
- Oui, je disais à Karl que je partais de bonne heure demain.
- Ah...et ou vas-tu mon chéri ?
- Sur Lyon, je pense en avoir pour deux jours.
- Moi qui avais prévu qu’on passe la journée ensemble.
Le soir, le me couchais tôt, ressassais l’après-midi torride passée au bureau, à baiser avec Karl. J’imaginais ma petite chatte s’enrouler autour de sa grosse bite .Je n’avais jamais vécu ça, en trois ans de mariage. Jouir deux fois, pendant un même rapport si court, était une première pour moi. Mais lui qui parlait de sodomie à mon mari, pour ne l’a-t-il pas tentée de m’enculer.
Je ne pensais qu’à ça, à tel point, que je repoussais toute les avances de Pascal, quand il me rejoint au lit.
Le lendemain mati, quand Pascal fut parti, je me dirigeais à la verrière m’occuper de mes fleurs. Je me préparais à tailler mes rosiers, quand je senti une présence derrière moi. C’était Karl.
- Bonjour me dit-il en m’embrassant dans le cou.
- Hum...arrêtes, tu me donnes des frissons
- C’est pas pire que ce qu’on à fait hier...à moins que tu n’es pas aimé…
- Oh si j’ai aimé, tu le sais...tu m’as fait crier de plaisir, jouir deux fois…
Karl ouvrit son peignoir, d’où jaillit son énorme mandrin, prêt à l’emploi. Attirée par cet énorme objet, je tombais à genoux et le pris en bouche.
On était loin du récit de mon mari, ou une langue pénétrait mon oreille. Là, c’était de la bite, de la vraie, que je parcourais avec ma langue affamée, de haut en bas, jusqu’aux couilles. Et quels œufs, qui rendrait jalouse la meilleure des pondeuses.
Karl me releva, me proposa d’aller à le chambre. Il fut surpris quand je pris les escaliers, qui menait à nôtre chambre. Ce qui dupliqua se perversité d’homme en manque. Je fis toute la montée, avec deux doigts dans la chatte. Je ralentissais, écartais légèrement les jambes, pour rendre la scène plus insolente encore.
Heureusement que la chambre était proche, sinon j’aurai joui dans les escaliers. Il me jeta littéralement sur le lit, arracha le peu de vêtements que je portais, il se mis nu lui aussi, m’enlaça me couvrit de baiser. C’était fort, inhabituel pour moi, restée trop longtemps aux préliminaires bâclés, et à une agace chatte insignifiante.
Là, c’était du lourd.
Il me fit mettre à quatre pattes, me prit en levrette. Je sentais son calibre en mouvement à l’intérieur de moi, son gland cogner au fond de ma chatte, ses couilles frapper sur mes fesses. Je sentais la jouissance monter en moi, et ne pus la contenir. Je lâchais tout sur cette queue qui me donnais tant de plaisir. Puis Karl se retira, taquina mon petit trou avec son gland souillé de mon abondante mouille.
- Ça va ? Je peux ?
- Vas-y, dis-je dans un souffle.
Je devinais sa grosse queue dilater mon petit orifice. Elle avançait, lentement, puis me pénétrait. Je poussais un petit cri, quant elle atteignit entièrement son but.
- Ah...c’est bon de sodomiser un petit cul serré...ouah…
- Fallait bien une grosse queue pour la première passe...vas-y encules-moi...
Bizarrement, ce sont mes reins qui agirent en premier, suivit par des coups de boutoirs au rythme infernal. Karl jouait avec moi, il était le mâle dominant, qui se rattrapait du sevrage des ces longs mois d’abstinences. Et c’est avec plaisir que j’en payais les frais.
- T’aimes ça, hein, salope, disait-il en me giflant les fesses.
- Oh oui...frappes moi encore...je suis une salope...je trompe mon mari…
- Et ça mérite quoi...dis le…
- Un bonne fessée...plus fort, fais moi mal.
Cette torture érotique déclencha en moi, un orgasme terrible, certainement le plus puissant que j’ai connu. Et ce n’était pas mon mari qui l’avait provoqué.
Karl se retira, m’obligea à m’allonger. Il mis sa queue au bord de mes lèvres. J’ouvris la bouche et engloutis sa bite. Il resta planté, sans bouger, tout au long de l’éjaculation...bien au-delà de la minute. Il avait tellement de sperme en stock.
On a remis ça encore et encore. Karl était increvable, et répondais coup par coup à mes attentes. Je ne saurait dire combien de fois j’ai joui.
Enfin repus, nous nous affalons sur le lit, côte à côte.
Karl voulait prendre sa douche seul. J’insistais pour la prendre avec lui, pour qu’il me mette un dernier coup de queue, avant l’arrivée de mon mari. Devant ma détresse, il accepta.
Ce fut merveilleux de sentir cette queue perforer tous mes trous. J’hésitais longtemps avant de tout avaler. J’aurai tant voulu faire goûter le sperme de Karl à mon mari, pendant que je l’embrassais. Mais j’ai pas voulu prendre le risque.
Quand Pascal arriva, Karl était installé sur la terrasse, tandis que je séchais mes cheveux. A un quart d’heure près, il me tombait dessus en train de tailler une pipe à son pote. Je les rejoignit, des boissons à la main.
- Bonjour mon chéri...ton séminaire c’est bien passé ?
- Parfait...et vous, vous avez bien baisé je suppose...
Je croisais le regard Karl, et celui interrogateur de mon mari. Toutes mes pensées s’embrouillaient dans ma tête. Que voulait-il dire.
- Quoi, sursaute Karl... Pascal, tu m’offre le toit et le couvert, et pour te remercier, je baiserai ta femme ? Enfin Pascal.
- Mais pourquoi sors-tu un truc pareil, je suis fidèle, tu le sais, et je t’aime. Je ne ferai jamais ça.
- Je plaisante ma chérie. Mais je vais te dire un truc que je ne t’ai jamais dit.Tu sais pourquoi j’ai accepté l’héritage de cette maison.
- Ben oui...parce que elle appartenait à tes parents.
- C’est vrai...mais aussi parce qu’il ne pouvait la vendre, car on la disait hantée. Il a beaucoup insisté pour que je la prenne.
« Mon fils, prend cette maison, me disait-il, elle a des yeux et des oreilles..c’est grâce à ça que j’ai appris que ma femme me trompait »
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Commentaires du récit : Une brûlante relation (Deuxième version)

Le 01/07/2022 - 16:26 par nouslove64
Délicieuse histoire merci
Le 01/07/2022 - 16:26 par nouslove64
Délicieuse histoire merci

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