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Fantasme de Maria

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Lue : 25407 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 04/03/2007

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Maria et Julia sont de grandes amies. Elles se racontent tout depuis la maternelle. Elles ont vécu ensemble la petite enfance, l’enfance, l’adolescence et, maintenant, à l’âge adulte, elles continuent à ne rien se cacher.

Julia, une grande blonde, fine et élancée, belle poitrine, joli cul rond, est la plus délurée des deux. Elle mène, il faut bien le dire, une vie de bâton de chaise – un amant par culotte et, parfois, elle ne porte pas de culotte – et ne tarit pas de raconter à sa copine Maria ses bons (ou mauvais) coups sexuels. Il faut dire que ses tenues sexy favorisent les envies des mâles qui croisent son sillage et ses odeurs et que les verges au « garde à vous » sont « monnaie courante » dans son entourage, tant au bureau que dans les divers lieux qu’elle fréquente. Son allure, sa démarche, ses décolletés, ses jupes courtes et ses œillades sont autant d’appel au sexe et, bien sûr, elle récolte ce qu’elle a semé.

Maria quant à elle, plus réservée, n’a jamais su mettre autant de piment dans sa vie sexuelle. Elle dispose, pourtant, en dépit de sa tenue BCBG, d’un corps superbe et, je dirais même, plus érotique que sa copine : des petit seins bien ronds, des hanches avantageuses, des yeux magnifiques et, bien sûr, un visage d’ange encadré d’une chevelure brune mi-longue. Mais elle n’a jamais su, ou voulu, dépasser les bornes de la bienséance : un amant à la fois, et le même pour un certain temps (le temps d’en faire le tour posément). Quand la routine s’installe, elle en change calmement, en prenant le temps qu’il faut, pour tenter de tomber sur le bon numéro.

Inutile de dire que Julia se taille la part du lion dans leurs échanges de petits secrets de femmes, ce qui finit par créer une envie chez Maria : l’envie d’avoir à raconter autre chose que la baise façon missionnaire ou la dernière levrette avec son partenaire du moment. Finalement, Maria fantasme sans oser. Et Julia, fine mouche, le devine, en est sure ; elle amène la conversation sur les fantasmes érotiques de chacune et amorce le sujet en racontant le sien : se faire baiser par un inconnu dans une cabine de téléphone publique, en appelant un autre de ses amants en lui faisant croire qu’elle se masturbe pour lui. Maria en reste béate, à la limite de l’incrédulité. Jamais, elle n’oserait faire ça….quoi que l’idée de l’inconnu la séduit et elle le dit à Julia en précisant que l’inconnu devrait rester inconnu d’elle, qu’un lieu plus fermé qu’une cabine lui paraîtrait plus « confortable » et que les précautions d’usage devraient être mise en œuvre.

Le sujet étant épuisé, chacune retourne vaquer à ses occupations. Il faut bien gagner sa vie.


*****

Vendredi soir, 19 :00, après un bon bain, Maria, chez elle, un verre à la main, se détend de sa semaine de travail, enveloppée dans son drap de bain. Son esprit galvaude, elle repense à cette conversation avec Julia sur les fantasmes et rêve…

Dring, dring, dring…. Le téléphone……C’est Julia

- Depuis trois jours je me démène pour te trouver un inconnu qui puisse réaliser ton fantasme et je crois que j’ai ce qu’il te faut, dit Julia
- Quoi, comment, qu’est-ce-que tu racontes ? s’étonne, hypocritement, Maria faisant semblant de ne pas comprendre un mot de ce dont Julia parle, alors qu’elle ne pensait qu’à ça deux minutes auparavant.
- Allons, reprend Julia, tu m’as décrit ton fantasme sexuel l’autre jour et je suis en mesure de te le faire vivre idéalement. Je tiens à ta disposition un homme qui accepterait de te le faire vivre dans un hôtel quatre étoiles. Je t’ai décrite du mieux que j’ai pu, tes exigences lui conviennent, il te souhaiterait attachée, les yeux bandés et nue sur son lit demain soir à 22 :00. L’inconnu idéal, il n’habite pas Paris et prend un avion pour le bout du monde tôt dans la matinée de dimanche.
- Mais, mais tente de protester Maria.
- Ne discute pas, dit Julia, j’ai donné mon accord, tu ne va pas me ridiculiser quand même !
- Mais ! chevrote Maria.
- Je t’envoie les détails par e-mail…..mais il y aura des surprises ! Bises

Julia raccroche et Maria toute pantelante se demande si c’est du lard ou du cochon. Elle n’ira pas, c’est tout ! Non mais…

Mais l’idée l’excite, elle laisse tomber son drap de bain et commence à se caresser le ventre, les seins, le pubis et les quelques poils qu’elle conserve…que faire ? Son index caresse son clitoris ; dans son corps la chaleur monte, ses tétons durcissent. Elle ne sait plus ce qu’elle doit décider, mais elle a besoin, maintenant, de se faire du bien. Elle retourne dans sa chambre et s’allonge nue sur le lit, les cuisses bien écartées, son vibromasseur en main. Elle va jusqu’à l’orgasme solitaire….c’est bon et cela remet les idées en place. Elle s’endort comme une masse avec son jouet dans la chatte, à fond.

*****

Samedi 10 :00, Maria ouvre un œil, se débarrasse de son gode qu’elle feint de s’étonner de trouver là et repense au coup de téléphone de Julia. Elle a parlé d’un e-mail…Maria met en route son PC et se précipite dans la cuisine pour se faire un café en vitesse et revient presqu’en courant pour tapoter son identifiant et son code. Et oui il y a un e mail de Julia ; elle l’ouvre : une pleine page de consignes et informations relatives à la soirée : n° de la chambre dans tel hôtel, ah oui pas n’importe quoi l’hôtel, l’un des plus grand de Paris, heure d’arrivée (impérative) selon Julia, tenue exigée : son manteau bleu qui lui arrive à mi-cuisse, quoi ! Bas, porte-jarretelles et rien d’autres sous le manteau….ah non ! Escarpins bleus….encore heureux que je n’y vais pas nu-pied. Ah là, elle exagère la Julia. Maria essaie de joindre Julia par téléphone…pas de réponse sauf la boite vocale ironique, reconfigurée pour la circonstance et qui répète, à chaque appel « prend bien ton pied Maria, tu me raconteras tout ».

Maria tournicote son e mail dans tous les sens, furieuse, curieuse, énervée, ne sachant quoi faire, excitée un peu, déjà, à la simple idée de prendre un taxi pour se rendre dans ce super hôtel dans une tenue aussi réduite. Au fond, je ne risque rien, ou pas grand-chose, à me rendre à l’hôtel, à boire un verre au bar et à revenir. Mon inconnu sera probablement là à attendre et c’est déjà excitant. OK, je vais à cet hôtel, je reste un quart d’heure devant un Périer et je reviens. Et puis je mettrais une petite robe sous le manteau, un soutien gorge et un string.

Nonobstant cette décision de ne pas dépasser le stade du bar, Maria passe son après-midi à se faire aussi jolie que possible : peu de maquillage mais des parfums recherchés. Elle finit par enfiler ses bas, puisque bas et porte-jarretelles il faut. Elle enfile dans cette tenue sommaire son manteau bleu, le ferme soigneusement et s’admire dans la glace de la chambre. Elle tourne et se retourne devant le miroir et se rend compte que les vêtements manquants seraient, de toute façon cachés par le manteau, et la doublure de ce manteau est si douce sur ses fesses nues…mais je prends la robe et le reste dans une petite mallette, normal pour aller à l’hôtel d’avoir, au moins, un bagage.

*****

Samedi 20 :00, Maria décide d’appeler un taxi. Il est tôt encore mais avec les embouteillages….elle se cherche des excuses pour ne pas attendre plus longtemps. Le taxi dans un quart d’heure. Elle tourne sur elle-même, déboutonne et reboutonne le manteau vingt fois, va vérifier devant son miroir que rien ne laisse deviner sa quasi nudité. Sonnette…. Le taxi est là. Un dernier coup d’œil et c’est parti.

En bas de l’immeuble, le chauffeur tient, galamment, la portière ouverte pour lui permettre de s’installer. Maria s’assoie… et le manteau, dans sa raideur, s’entrouvre, en bas à partir du dernier bouton, pour laisser au chauffeur l’occasion de se rincer l’œil : un large morceau de cuisse, gainée de nylon est apparu, limite le haut du bas, avant que Maria ne réalise et ne tire, furieuse, sur le bas du manteau…Je ne vais tout de même pas rester debout…la salope de Julia qui adore faire de l’exhibition, elle savait que ce manteau était trop court. Elle me le paiera.

Et ce chauffeur qui ne quitte pas son rétroviseur des yeux en espérant que cela se reproduise, que le manteau fasse encore des siennes. Mais Maria tient le bas du manteau, bien serré. Les cahots et mouvements du véhicule tentent bien de la faire lâcher prise. Le voyage se poursuit et, finalement, Maria décide que, compte tenu de l’objectif imaginé par Julia de cette soirée, laisser le chauffeur en voir un peu plus n’est rien. Elle lâche son manteau et, même, écarte légèrement les cuisses pour lui permettre d’avoir une vue plus panoramique de la chose. Et le coquin ne s’en prive pas de reluquer les jarretelles découvertes.

Enfin, l’hôtel. Maria paie le taxi et s’esquive rapidement, pas suffisamment rapidement pour ne pas entendre le « passez une bonne soirée, Madame » égrillard du conducteur.

Groom qui vous ouvre la porte, et ce grand espace d’accueil que vous offrent les palaces. Maria n’est pas familière avec ce genre d’endroit et, sa petite valise à la main, paraît toute perdue. Une jolie femme perdue dans un grand hôtel attire, nécessairement, l’attention du personnel et un serveur se propose pour la renseigner.

- Euh, j’ai rendez-vous au bar avec une amie.
- A gauche des ascenseurs, Madame…je vous souhaite une excellente soirée

Moins de gouaille dans la remarque, mais des sous-entendus, lui semble-t-il.

Le bar est devant elle, l’un de ces grands bars longs, associé à plusieurs canapés et tables basses qui font le charme de ces endroits. Son premier réflexe est de se diriger vers le coin le plus sombre et le canapé le moins en vue possible, puis se remémorant « l’aventure taxi » et compte tenu de l’assise franchement basse de ces canapés, elle se rend compte que, assise, ses genoux arriveraient au niveau de sa poitrine et là bonjour les dégâts, Tous les hommes assis n’auraient franchement pas beaucoup d’efforts à faire pour me « déshabiller » du regard. Elle opte, à contre cœur, pour les haut tabourets du bar, qui ne sont pas non plus exempt d’inconvénients.

Elle grimpe sur le tabouret face au bar, genoux serrés, sa valise sur les genoux pour maintenir le bas de son manteau fermé. Le barman lui propose de la débarrasser de son manteau et de sa valise, gentille attention qui met Maria dans l’embarras

- heu non merci je suis frileuse et la climatisation de cet endroit est réglée un peu bas pour mon goût, j’attends une amie qui devrait arriver, murmure-t-elle confuse.
- Je vous sers quoi, Madame ?
- Un Périer citron, s’il vous plaît, avec de la glace.

*****

21 :30 Maria termine son deuxième Périer. Sa bouche est sèche ; depuis son installation au bar, elle ne quitte pas des yeux le grand miroir situé derrière le bar qui lui permet d’observer l’agitation dans le hall de l’hôtel et les canapés du bar pour tenter de repérer cet inconnu. Beaucoup sont élégants, comme ce monsieur dans la quarantaine assis derrière elle sur le canapé le plus proche et qui n’arrête pas de regarder son dos, ou cet autre, un peu plus jeune, qui fait semblant de s’intéresser au boutiques du hall tout en jetant très régulièrement des coups d’œil dans sa direction depuis plusieurs endroit comme si il évaluait « la marchandise ».

Maria a beau serré les cuisses, sa culotte, si culotte il y avait, commencerait à être mouillée. Son envie monte, son besoin de se faire prendre devient de plus en plus impératif. Cela bouillonne dans sa tête, ses tétons sont érigés sur la soie de la doublure du manteau. Soudain, sa décision est prise, elle règle ses consommations et se dirige vers la réception et se fait connaître comme Madame XXXXXX qui aurait réservé une chambre (selon les consigne de l’e-mail de Julia)

- Certainement Madame, lui dit le réceptionniste en lui donnant la clé magnétique de la chambre et en lui indiquant l’étage.

Ascenseur, ouverture de la porte de la chambre, coup d’œil circulaire. Superbe la chambre. Mon inconnu ne s’est pas moqué de moi, se dit-elle, en posant sa valise au pied du lit. Elle aperçoit sur le lit une enveloppe adressée à « la belle inconnue » et un masque de soie
Fébrilement, elle ouvre la lettre. Après une gentille introduction, la remerciant à l’avance de sa « démarche », de nouvelles consignes fixent les règles du jeu

1 – Enlevez votre manteau
2 – Etendez vous sur le lit, genoux légèrement pliés, cuisses bien ouvertes
3 – Fixez le masque sur votre visage pour maintenir mon anonymat
5 – Mettez vous dans la chatte les boules de geisha que vous trouverez dans le tiroir de la table de nuit
6 – Sortez les dix préservatifs que vous vous ferez un devoir de me mettre quand je vous le dirais
7 – Détendez-vous en attendant, une folle nuit vous attend

Maria, soumise, obéit à la lettre au consigne, sauf pour la détente « dans quelle situation me suis-je fourrée et pourquoi dix préservatifs ». Cinq minutes à attendre, elle joue avec a cordelette des boules, les tirant, les poussant.

Un léger bruit lui parvient de l’entrée de la chambre : la porte s’ouvre, la moquette foulée, la porte se referme. Trop tard pour reculer. Une belle voix mâle l’interpelle depuis l’entrée :

- Avez-vous respecté toutes les consignes.
- Oui Monsieur, murmure Maria
- Parfait, dis l’homme en s’approchant du lit, joignez vos mains au dessus de votre tête que je les attache
- Oui, Monsieur

Les poignées de Maria sont attachés par un foulard qui semble être de la soie. Un doigt se pose sur sa bouche, caresse les lèvres, les entrouvre

- Nerveuse, dit l’inconnu
- Un peu, répond Maria

La main caresse le visage, le cou, s’arrête sur un téton, puis l’autre, les aréoles de Maria en rosissent de plaisir, pincement des tétons. L’autre main se pose à plat sur le ventre, se glisse sous la dentelle du porte-jarretelles qui ceint la taille, descend vers le pubis et son ticket de métro de poil. Maria, sans doute par réflexe referme ses cuisses, mais la main ferme les écarte à nouveau.

Elles sont douces ces mains qui la caresse. Maria sent le plaisir monter dans son ventre, dans son minou, dans sa tête aussi. Elle aime ces préliminaires doux et lents, elle aime sa voix. Oh ! Un doigt sur sa fente qui écarte les lèvres et commence à malmener le clitoris. Léger gémissement de Maria

- Je vais te sucer la chatte jusqu’à l’orgasme pour commencer, dit l’inconnu.

Elle le sent qui grimpe sur le lit, s’installe entre ses cuisses ouvertes qu’il écarte encore en appuyant sur le haut des cuisses, à la limite des bas, et sa langue vient prendre la place de son doigt. Il joue avec la cordelette des boules et les extrait une à une.

- Suce ton jus sur ces boules lui dit-il, en lui présentant, devant sa bouche

Il se réinstalle entre ses cuisses, ouvre sa chatte et y plonge sa langue. Maria sent dans son intimité la rugosité de cette langue inconnue. Elle aime, elle se contorsionne pour lui faciliter la tâche, pour lui dire d’aller plus profond, son clitoris est dur, il le titille de l’index ; maintenant, Maria pousse des gémissements, elle sent l’orgasme venir :

- ah ouiiiii , oui plus profond ta langue, crie-t-elle en le tutoyant pour la première fois, ahh, oh ! …..elle se lâche….

Et l’inconnu poursuit son nettoyage, avec un doigt sur le clitoris de Maria et un doigt sur sa rosette qu’il humidifie de son jus pour l’assouplir. Maria se rend compte de son jeu et proteste véhémentement, dans un premier temps, en refusant… de plus en plus mollement…. En laissant faire. Elle se sent détendue maintenant, après ce violent séisme dans son ventre, un tsunami façon privé ! Sa nudité, sa position grotesque, les cuisses ouvertes, toute offerte, ne la gène plus. Elle est même prête pour la suite.

L’inconnu cesse son jeu :

- Maintenant à toi de faire connaissance avec mon membre, dit-il en se levant du lit.

Des bruits de vêtement que l’on enlève, un zip qui descend, une odeur qui approche de la tête du lit, une bite bien raide, décalottée, posée sur ces lèvres. Maria entrouvre ses lèvres et caresse du bout de la langue ce gland qu’elle imagine. Tournée maintenant sur le côté, elle lèche la hampe et les couilles offertes. Elle ne peut pas résister et, malgré ses poignés liés, elle s’empare de la queue et, tout en continuant ses coup de langue, elle commence à masturber cet engin superbe qui grossi dans ses mains. De temps en temps, l’inconnu se recule, lui fait lâcher prise et, revenir, la bite soit plus molle, soit plus raide et parfois cambrée (elle l’entend poursuivre la masturbation)

- Tiens voila un préservatif, dit-il, tu vas me l’enfiler avec ta bouche et sans les mains, jusqu'au bout.

Maria commence à le prendre en bouche et pousse pour dérouler la capote le long de la hampe dressée. Elle n’en finit pas cette queue, au moins 20cm et épaisse. A la limite de la nausée avec cet engin dans la bouche..enfin les poils du pubis de l’inconnu.

- Bien, à genoux sur le bord du lit, cuisses bien écartées, ordonne-t-il.

Elle obéit, toute honte bue, la chatte et le cul à bonne hauteur. Reprise des caresses de l’homme sur sa fente et sur son anus. Maria s’attend à tout. Finalement, c’est une levrette qui commence la bite à fond dans la chatte détrempée et de grand coup de butoir, les couilles cogne sur ses cuisses, claques sur les fesses en rythme, Maria aime cela, pas méchante les claques, juste pour faire circuler le sang. Il s’accroche d’une main à sa hanche, de l’autre il malmène ses seins. Maria participe au mouvement de l’homme et fait en sorte que le mouvement de ses fesses amplifie les entrées/sorties du pieu qui la défonce. L’homme commence à geindre, Maria aussi. Puis ce sont des cris de jouissance qui les réunissent :

- Ah…..ah……oh…. encore OOOOHHHH, dit l’une.
- Han !!! Han…..j’aime ta chatte Oh OOOOOOHHHHH, répond l’autre

Maria sent le préservatif se gonfler de sperme et feule, un peu frustrée et c’est son second orgasme. L’homme ressort de sa chatte avec un soupir de contentement. Bruit de déplacement dans la chambre. L’eau qui coule dans la salle de bain. Nouveau mouvement. Maria est en travers du lit, appuyées sur ses coudes, la croupe d’un côté, le visage de l’autre. Une main plus fraîche (il s’est lavé aussi les mains) lui caresse le dos. Maria se cambre sous la caresse. A nouveau un gland sur ses lèvres :

- Remets un préservatif, Chérie, comme tu as si bien fait tout à l’heure.

Dans cette position, c’est moins commode, mais elle s’applique. La bite est un peu ramollie, mais reprend vite de la vigueur grâce à cette gymnastique buccale. Elle grossit même et prend cette allure courbe que Maria avait remarquée. Quel étalon ce mec se dit Maria, à nouveau au garde à vous, prêt à l’usage. Il contourne le lit et commence à balader son gland ganté dans sa raie fessière. L’homme lui écarte les fesses, lui doigte l’anus et présente son gland devant la porte de derrière…Elle s’y attendait Maria. Il va la sodomiser. C’est sans doute cela la surprise annoncée par Julia qui sait très bien que Maria n’aime pas trop !

Il pousse son gland doucement pour le faire pénétrer et s’enfonce d’un coup dans ses entrailles. Mouvements de va et vient longs et lents qui tire des crie de douleur et de plaisir (inconnus) à Maria. Elle n’avait jamais jouit de cette façon. Mais c’est bon.

Durant les heures suivantes, le scénario se répète, avec le rituel du préservatif, et de nouvelles positions de plus en plus acrobatiques : assise sur sa queue, face à lui, de dos, la tête sur la moquette et le cul en l’air, un pied sur une chaise, sodomie, levrette, léchage, même missionnaire.

*****

6 :00 Ereintée la petite Maria, mais gavée de sexe. L’inconnu, très gentiment, l’embrasse et lui dit :

- Merci, Chérie, ce fut superbe. Tu gardes la chambre jusqu’à 11:00, c’est payé. Adieu.

Bruit de mouvements dans la chambre, La porte. Puis le silence. Elle ne revient pas de la vigueur de ce mâle qui l’a faite jouir au moins dix fois en huit heures de temps. Quel étalon. Julia ne va pas en revenir. Elle se sent bien, comblée malgré quelques douleurs. Elle retire son bandeau de soie ; sa tenue sommaire à subit quelques dommages : bas filés et torsadés autour des jambes et des cuisses ; elle a envie d’un bain chaud.
*****

12 :00 Maria rend la clé magnétique à la réception. Elle a décidé de rentrer chez elle dans la même tenue qu’hier soir et de prendre un taxi. Avec un peu de chance, je peux tomber sur un beau voyeur se dit-elle !


16 :00 Julia est à sa porte pour un compte rendu exhaustif de cette folle nuit. Et Maria raconte. Pour une fois, Julia semble ne rien avoir à dire. Maria n’en revient pas de la vigueur de cet inconnu et le répète à Julia, à plusieurs reprises. Pour conclure, Julia lâche :

- Rien d’étonnant, ma chérie, tu avais trois inconnus pour le prix d’un.
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Histoire de jules105

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